Mon pote de lycée

Je m’appelle Florent, et travaille dans une société informatique, dans la banlieue de Nice. Depuis quatre ans, je suis marié avec Laure, une superbe brune rencontré lors d’un vernissage. Elle travaille dans l’import.
Nous avons atteint la trentaine, et sommes tous les deux, en parfaite harmonie concernant le sexe.
Mais nôtre relation sexuelle allait prendre une nouvelle tournure, suite à un évènement imprévu.
Je reçois un coup de fil de Dylan, un pote de lycée, avec qui j’ai fait les quatre cent coups. Il me dit qu’il est de passage dans la région, et qu’il aimerait bien nous rendre visite, ne serait-ce que faire connaissance de mon épouse, qu’il n’a jamais vu.
Il est dix sept heures, quand je vais le chercher à la gare.
Lorsque nous sommes arrivés, Laure nous avait préparé l’apéritif, afin que Dylan puisse se détendre, après un long trajet. La soirée se déroulait en toute décontraction. Dylan prenant plaisir à discuter avec ma femme, la vantait sur sa beauté. Je dois avouer que Laure n’était pas indifférente à ses compliments.
De là s’en suivi un petit repas, pris sur la terrasse. A chaque allé et venu de Laure à la cuisine, je voyais Dylan la mater du regard. Il est évident qu’il flasher sur elle.
Après quelques verres pris à la fraîcheur de la nuit, on décidait d’aller se coucher. Nous aménageons confortablement le canapé pour Dylan.
Après un rapide passage par la salle de bains, Laure me rejoint à la chambre, vêtue d’une courte nuisette.
Une fois au lit, Laure m’avoue qu’elle trouvait Dylan très sympa et très séduisant.
Je pense que c’est réciproque, lui avais-je répondu, et que je comprendrais si elle succombait à ses charmes. Elle repoussa cette proposition d’un «ça va pas» catégorique.
Après ce bref échange, je n’avais qu’une seule envie. Dormir. Le dernier contact que j’ai senti, c’est celui de mon épouse se blottir contre moi.
Dans la nuit, en me retournant, je senti que Laure n’était plus dans le lit. Je me levais pour voir si tout allait bien, et là, je reste surpris par la scène qui se déroule devant moi.
Laure est à genoux devant Dylan, qui est assis sur le canapé, jambes écartées. Une queue qui frôle les vingt centimètres, un gland plus gros qu’une balle de ping-pong, sort du boxer. Impressionnant. Il est évident que je ne peux rivaliser.
Laure la suce goulûment. Je voulais les interrompre, mais me ravisa. Le bonheur de ma femme passant avant tout.
Laure mettait tout son cœur dans cette pipe, ou je voyais ses lèvres s’ouvrir sur le gland décalotté de Dylan. Elle s’amusait aussi avec les énormes couilles, chose que mon pote avait l’air d’apprécier.
Lentement, Dylan se pencha, remonta le nuisette de ma femme sur ses hanches. J’avais une vue imprenable sur sa magnifique croupe. Un main caressa le dos, descendit entre les fesses. Un doigt alla profond dans la raie, puis glissa sous le ventre. Le doigt réparait sur la fente humide, excite le clitoris de Laure, qui s’écarte de plus en plus, pour laisser l’intrus pénétrer la chatte.
Puis Dylan la coucha sur le sol, plongea son visage entre les cuisses, et lui bouffa le minou. Je voyais la langue lécher la chatte, les lèvres aspirer le petit bouton entièrement décalotté. Laure mouillait et gémissait de plus en plus.
J’étais excité par la baise qui s’annonçait. C’est Laure elle même, qui saisit l’énorme queue bien raide de Dylan, et qui la guida dans sa chatte. Mon pote était tout simplement en train de défoncer ma femme.
Puis Laure s’est positionnée en levrette, sa position préféré. Cette position lui procure un plaisir intense, sentir une bonne paire de couilles claquer contre ses fesses. Mais surtout, ça l’emmène à l’orgasme.
Celui-ci est terrible, avec un cri non maîtrisé, au-delà du plaisir que je n’arrive à lui procurer.
Elle saisit la bite de Dylan, et la prend une nouvelle fois en bouche. Dylan vide sa semence bien chaude au fond de sa gorge. C’est fini. Pendant que Laure lui nettoie le gland, je me précipite à ma chambre. Elle me rejoint quelques minutes plus tard, après un passage à la douche.
Je fais mine de me réveiller, glisse une main sur sa chatte.

«Mais, ma chérie, ta petite chatte est toute épilée...et mouillée».
«C’est ton pote qui me la fait mouiller, mon amour. Puis il m’a demandé de raser ma toison».
Je suis sidéré par sa réponse. En plus elle réagit comme si elle savait que j’avais assisté à la scène.

Le lendemain, je ne fais aucune allusion quant à la nuit torride de mon épouse.
Je ne dis rien non plus, quand elle propose d’aller à la plage. Je trouve l’idée excellente, Dylan aussi.
Nous voila partis. Nous descendons un chemin escarpé, qui donne accès directement aux calanques. Dylan se fait un plaisir d’aider ma charmante épouse.
La plage est déserte. Ni une ni deux, Laure quitte son maillot, et se retrouve entièrement nue. Dylan me regarde et en fait de même.
Pendant que je fais un brin de sieste, Dylan propose à Laure d’aller se baigner. Bien évidemment, ma femme accepte.
Sachant ce qu’il s’est passé cette nuit, je garde un œil rivé sur le couple. Dylan saisit Laure par la taille, la jette à l’eau. Laure rit aux éclats. Ils s’éloignent de plus en plus du rivage, jusqu’à ce qu’ils aient de l’eau au dessus de la taille. Soudain, Laure se met à faire du sous l’eau, Dylan reste stoïque, les mains sur les hanches. Ma femme refait surface deux minutes plus tard, puis replonge. La scène se reproduit quatre ou cinq fois.
La dernière fois, Laure ressort en s’essuyant les lèvres. La salope, elle vient de lui tailler une pipe sous l’eau. Elle n’a pu tout avaler. Dylan la fait se retourner, se colle à elle. Ils sont dos à moi. Lentement, ils reculent vers la plage. Arrivés à trois mètres de moi environ, ils se retourne.
Je vois la chatte exposée au soleil, à moitié ouverte. Dylan porte Laure, en position de chaise. Elle est empalée sur l’énorme bite de Dylan...par le petit trou. Je n’y crois pas, Laure est en train de se faire sodomiser. Je vois la grosse bite aller et venir dans le petit orifice. L’enfoiré, il l’encule ma chéri, devant moi.
-Flûte, dit ma femme, elle est sortie...mon chéri, tu veux bien la remettre.
Tel un automate, je saisis la queue de mon pote, et la remet à sa place. Dans le petit trou de ma femme.
Dans un dernier cri, Laure atteint l’orgasme. Elle vient de jouir du cul.
Lentement, Dylan pose ma femme sur le sable. Dylan prend une serviette et essuie le dos de ma femme. A l’entendant gémir, je me doute qu’il s’attarde à un endroit bien précis de son anatomie. Puis Laure prend Dylan par la queue, et l’entraîne vers un bungalow pour prendre une douche. J’entends tout.
«Oh... pas mon petit bouton, tu vas me faire jouir après...»
«Allez...tu me tailleras une bonne pipe après...je sais que tu aimes tout avaler.»
«Salaud, tu t’amuses avec moi, hein.»
Même si ces mots me font mal, je suis heureux de sentir ma femme heureuse.
Quand ils sortent de leur douche coquine, je suis rentré à la maison. Ils arrivent un quart d’heure plus tard en riant aux éclats.
Je suis assis sur le fauteuil.
Dylan se confond en excuses, m’assure qu’il est désolé, qu’il ne voulait pas ça.
Je lui réponds que le principal, c’est que ma femme ait pris du plaisir.
Laure s’approche de moi, me prend tendrement les lèvres, puis me demande à l’oreille, si elle peut passer la nuit avec Dylan. Comment lui refuser.
Promets moi de me revenir, lui dis-je. Je ne pourrai pas vivre sans toi.
Elle me répond que ce n’est que sexuel, qu’elle m’aime, et que je reste l’homme de sa vie.
Ce qui n’atténue pas ma douleur, quand je l’entends hurler de plaisir toute la nuit.