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Mon voyage

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Lue : 2907 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/02/2014

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Fauché, je fais de l’auto stop. J’attends à l’entrée de l’autoroute. Enfin un véhicule s’arrête. Un grand camion dont je ne vois même pas le chauffeur. J’espère ne pas tomber dans un piège. Une fois à bord je regarde le chauffeur : une femme dans les 40 ans, jolie sans plus. Je dis où je vais, elle y va aussi. Et roule ma poule. Elle s’arrête une fois à une station-service pour satisfaire un besoin naturel. Je la suis pour faire comme elle. En route à nouveau. Cette fois elle parle, enfin.

Elle commence à raconter sa vie, ce qui ne m’intéresse pas du tout sauf qu’elle parle de son expérience sexuelle. Là, j’écoute bien. Je sais qu’elle n’est plus vierge depuis ses 15 ans, qu’elle ne regrette pas cette première expérience, qu’elle a ensuite eu plusieurs petites amies avant de revenir vers les hommes ou elle-même pour se branler, souvent elle-même, encore tout à l’heure en conduisant. C’est là que je remarque qu’elle est assez peu vêtue avec sa salopette et son t-shirt qui flotte.
• Si tu veux, il y a des capotes dans le vide poche en face de toi. Pour moi ne crains rien, je suis sain
Elle me fait des avances, non ?
• Tu sais, si je trouve une file sur le chemin j’arrête comme pour toi. Tu aimes baiser à plusieurs ?
• Je n’en sais rien, je n’ai jamais essayé.
• Tu n’es pas puceau quand même ?
• Non.
• Tu aime baiser les filles, tu n’es pas gay ?
• Certes pas.
• Tant mieux. J’ai bien envie de t’essayer.
• M’essayer ?
• Oui, tirer un coup pour voir comment tu te démerde.

Nous passons devant un parking. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle s’arrête. Elle fait le tour du parking, se gare à l’abri, sous un arbre même.
• Aller, prépare toi : nous allons baiser.

C’est bien la première fois que je suis invité de cette façon. Elle oublie son volant, ses pédales, elle vient sur moi. Sa bouche m’emprisonne, sa langue est sur la mienne fort vite. Dire que je ne la connaissais pas il y a une heure. Sa main est sur ma braguette, elle l’ouvre facilement. Je ne suis pas son premier amant sur son bahut. Elle sort ma bite. Je bande bien sûr. Elle ouvre la bite pour faire sortir le gland :
• Il me plait.

Elle commence son œuvre de sabotage en me branlant directement. Je reconnais qu’elle sait masturber. Alors, je me laisse faire. Elle arrête tout pour se déshabiller : facile à faire, une salopette et un t-shirt, l’affaire de 2 minutes.

Une belle surprise à l’arrivée : un corps de déesse. De vraie déesse, style Vénus de Milo, mais avec des bras. Elle vient sur mes genoux, elle s’encastre contre moi. Ma bite est écrasée entre son corps et le mien. Sa bouche est une ventouse sur la mienne. Elle s’empare d’une de mes mains la passe sur ses fesses ;
• Caresses moi le cul.
• Et moi.
• Lève-toi à peine que je puise te doigter.

Drôle de position. C’est agréable de tripoter le cul d’une belle fille pendant qu’elle met son doigt dans mon petit trou. Ses seins se promènent contre ma bouche. Je ne peux que lui sucer ce qu’elle offre. Ses tétons sont dans ma bouche : ils me semblent être salés, sans doute un peu de sueur.

J’arrive à passer une main entre nos corps. Je trouve son bas ventre un peu poilu, comme j’aime. Je craignais d’avoir affaire une fana du rasoir. D’un doigt j’écarte ses lèvres pulpeuses : je peux la branler ainsi commodément. Elle se tortille, gémit pour finalement avouer
• Tu me fais jouir. Encore une fois avec ta queue dans le cul.
• Tu ne seras pas mouillée.
• T’en fais pas, je mets de la mouille quand il faut. Encule-moi.
• J’aurais voulu tu baiser avant.
• Comme tu veux : tu trouveras du sperme de celui avant toi.

Elle me donne à réfléchir, je n’ai pas l’habitude de passe après les autres. Je préfère son cul finalement. Elle avait raison. Non seulement elle sait se faire mettre par derrière, mais en plus c’est fortement agréable. Elle m’a tourné le dos, s’est un peu penchée en avant. Je vois bien ses fesses. Pourtant c’est elle qui prend ma queue qui la met dans sa raie, la fait parcourir du chemin jusqu’à son trou. Elle me pose pile à l’endroit voulu. J’entre dans son trou facilement, profondément.

Qu’elle est agréable à sodomiser surtout qu’elle remplit son rôle en allant et venant sur ma bite. Je suis un peu étonné de sa rapidité à jouir : son cul a des spasmes comme un con. Je décharge à mon tour.

Elle a vite fait de se remettre au volant. Je me rhabille en route. Elle est contente d’avoir baisé encore une fois. Elle sifflote comme un mec qui a eu une fille. Elle fait une cinquantaine de kilomètre quand elle se caresse un sein. J’ai comme des crampes au bas ventre : je me la payerai bien encore.

Elle voit une autostoppeuse, elle s’arrête en me disant : nous allons être trois pour baiser.
La fille est étrangère de je ne sais quelle marque, allemande, je pense. Elle s’assoit entre nous. C’est la conductrice qui se charge de la mettre au courant en lui posant une main sur le genou. L’autre la regarde, un peu étonnée. Elle me regarde aussi. Je fais un signe de tête d’approbation. Elle se laisse contaminer. Au parking suivant, arrêt à nouveau. Cette fois la nouvelle se fait embrasser par ma conductrice. Comme elle ne réagit pas négativement je m’y mets à mon tour en lui prenant les seins par derrière. Dire qu’elle s’offense ou qu’il s’y oppose n’est pas juste. Elle participe un peu quand elle s’empare de ma bite toujours dehors, qu’elle cherche les seins de l’autre femme. Cette fois c’est une affaire de fille. Je suis libre de me branler, de les regarder.

C’est la première fois que je vois deux femmes qui jouent ensemble. Je ne pensais jamais qu’elles se fassent tant de caresses légères et ciblées. Je me pousse un peu quand elles décident de se sucer. C’est magnifique deux filles en 69, surtout tout près de moi. Je caresse le corps de dessus. Je voudrais participer. Je vois un visage sous le corps de la conductrice, un visage et des yeux exorbités. Juste au-dessus un cul.

Tant pis pour le visage, je passe sur lui, ma queue va dans sa niche normale, le cul d’une fille. Je crois bien que c’est celui de l’allemande. Elle gémit, là-bas au bout. Je suis en entier dans son anus. Je sens des doigts qui caressent mes petites couilles douillettes.

Je ne peux jouir puisqu’elle change de place, j’encule l’autre. Je pourrais faire un comparatif des culs. Mais je jouis avant.

Dommage, je descends arrivée à destination, l’autre fille reste. Elles vont certainement recommencer mais sans moi.
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Histoire de baiserjouir

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