Monsieur Le Directeur

Après avoir raccroché avec Tony j’avais eu une drôle d’impression. J’étais à peu près sûr qu’une autre bouche que la mienne s’occupait de son sexe. Une forte pointe de jalousie m’étreignit. Mais je n’avais absolu pas le droit de l’être avec la journée que j’étais en train de vivre. Bertrand ce matin, Rémy et Thierry sous la douche et mon Directeur en ce moment. En fait, ce qui me dérangeait c’est que nous nous étions menti mutuellement. Nous n’avions pas été capables d’assumer et de nous avouer ce que nous étions en train de faire. Et il faut absolument que cela change. Nous nous aimons éperdument et notre nouvelle vie de libertin risque de nous amener droit dans le mur si nous nous mentons à la première occasion. Nous allons devoir en parler et mettre les choses au clair car je ne veux ni perdre mon chéri, ni perdre cette liberté et j’imagine que c’est pareil pour luiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!! Ooooohhh Monsieur le directeur………….

Je suis allongé sur son bureau en appui sur mes coudes, la tête renversée en arrière après l’orgasme qu’il venait de me prodiguer avec sa langue et ses doigts. Il savait drôlement bien s’en servir le bougre. Je me redresse et le vois affaler dans son fauteuil le sexe sorti de son pantalon. Il est d’une taille tout à fait convenable, pointant fièrement vers le plafond, des boules bien grosses, légèrement poilus, le gland violacé. Il était en train de se masturber, faisant aller et venir son prépuce sur son gland qui s’humidifiait de plus en plus, devant le spectacle de ma vulve lisse et dégoulinante du plaisir qu’il m’avait procuré.

Cette vision m’excitait au plus haut point. Mes doigts viennent caresser mon pubis et descendent sur ma chatte trempée. J’enfonce deux doigts à l’intérieur me faisant gémir plus fort que je ne l’aurai voulu, les ressorts, recouvert de ma liqueur et les porte à ma bouche pour me goûter sans cesser de le regarder droit dans les yeux. Je le vis respirer très profondément et sa main se resserrer sur son sexe. Je me redresse complètement et vient m’agenouiller entre ses jambes.

- Laisser moi faire Monsieur le Directeur. Je vous dois bien ça.

Ma main vient se poser sur ses boules et remonte le long de sa queue bien dure, je sens les veines saillantes palpitées sous ma caresse. Je remonte jusqu’à ce que sa main le lâche et recouvre totalement son gland. Je défais alors le bouton retenant encore son pantalon. Je le tire, il m’aide en levant légèrement ses fesses et je le fais glisser à ses pieds en même temps que son boxer. Mes ongles remontent le long de ses mollets, contournent ses genoux et glissent sur l’intérieur de ses cuisses jusqu’à la lisière de ses boules. Je le sens frissonner. Je me saisis de ses boules d’une main et de sa queue de l’autre. Mon pouce agace son méat et se glisse entre son prépuce et son gland, faisant tout le tour de celui-ci. L’autre cajole puis serre ses couilles avant de les relâcher et les cajoler à nouveau. Je le décalotte entièrement et commence à le masturber lentement. Je sens sa respiration s’accélérer, et plus encore quand ma bouche et mes lèvres vinrent effleurer son gland turgescent. Quand ma main remonte de la base de son sexe à la base de son gland et le recouvrant partiellement, une goutte de liquide séminal remonta également, s’échappe et coule le long de son gland. Je la recueille juste du bout de la langue et remonte jusqu’à son méat. Je rentre alors ma langue doucement et quand mes lèvres rentrent en contact avec son sexe, celles-ci s’ouvrent pour prendre en bouche ce gland puis descendre progressivement tout le long de sa hampe. Je la sens encore gonfler dans ma bouche. Je l’ai entièrement en bouche, reste quelques instants ainsi. Il halète de plus en plus rapidement. Je sors alors ma langue et vient lui lécher la base de ses couilles juste avec le bout. Puis je remonte tout aussi lentement et la ressort entièrement. Sa queue est luisante de ma salive.

Je descend le long de son mât dressé, le prenant entre mes lèvres, arrive à ses boules et les avale l’une après l’autre et les fait rouler à l’intérieur de ma bouche. Je le sens alors s’avancer au bord de son fauteuil et écarter encore plus les jambes. Je devine qu’il en veut plus. Sacré coquin Monsieur le Directeur !!

Je décide donc de m’aventurer plus bas et je viens lécher son petit trou. Il a l’air de fortement apprécié. Je le titille, l’agace. Je le sens se détendre et se dilater. Je m’occupe à nouveau de ses couilles et de sa queue. Je sens ma liqueur couler le long de mes cuisses. J’ai alors l’idée de lubrifier mon doigt avec ma propre mouille. Je passe donc ma main entre mes cuisses et introduit un doigt dans ma fente trempée avant de le ressortir et le positionner à l’entrée de la petite rondelle du Directeur. Je pousse légèrement et la première phalange rentre toute seule, bien lubrifiée par ma salive et ma liqueur. Bientôt, mon doigt est rentré entièrement dans son fondement et je commence à faire de lents va et vient tout en lui suçant la queue. Et je viens lui caresser la prostate.

Ces râles sont de plus en plus rauques. Une main dans mes cheveux, me les tenant et rythmant ses va et vient dans ma bouche. Je sens sa queue palpiter. Il va bientôt se répandre dans ma bouche.

Mais Monsieur le Directeur en a décidé autrement. Il me tire par les cheveux, se qui fait sortir sa queue de ma bouche et se redresse me faisant sortir mon doigt d’entre ses fesses. Il me relève, me retourne et vient m’appuyer contre son bureau. Il me penche en avant et ma poitrine vient s’écraser sur le bois du bureau. Il me dit de m’accrocher au coin du bureau au dessus de ma tête. Il relève ma jupe totalement sur mes hanches et écarte mes fesses.

Je sens son sexe se care sser entre mes deux globes fessiers. Il les resserre sur sa queue et se branle entre. Il à l’air particulièrement endurant car d’autres auraient déjà éjaculé depuis bien longtemps. Il prend sa queue en main et je le sens la passer le long de mes lèvres, les écarter, passer juste le gland entre et monter et descendre sans s’enfoncer. Cette lenteur me rend folle. J’ai envie qu’il s’enfonce en moi, me défonce mais il continue à me caresser l’intérieur des cuisses avec son membre et vient étaler ma cyprine sur mon petit trou que je sens frétiller. Je sens l’orgasme monter tel une avalanche dévalant une montagne. Et au moment où je le sens exploser dans mon ventre, Monsieur le Directeur décide de s’enfoncer en moi jusqu’à la garde, ses cuisses claquant contre mes fesses. J’étouffai un cri dans mon bras. Il resta ainsi quelques instants avant que je sente son bassin onduler. Une main caresse ma croupe pendant que l’autre vient caresser mes cheveux. C’était doux et cela permit de ma calmer quelque peu.

Mais ce fut de courte durée. Je sens sa main s’enrouler dans ma crinière, me la saisir et me la tirer en arrière. Ce geste le fit s’enfoncer encore plus profondément en moi. Je sens alors qu’il ouvre un tiroir de son bureau, qu’il cherche quelque chose à l’intérieur. Il a dû le trouver car il se penche sur moi, ce qui fait ressortir légèrement son sexe du mien, et présente à l’entrée de ma bouche une boule en latex qu’il introduit à l’intérieur pour que je la morde et me dit :

- C’est uniquement pour que vous n’ameutiez pas toute la concession quand je commencerai à vous pilonner ma chère Anne. Une croupe comme la vôtre mérite d’être défoncer en bonne et due forme.

Il se redresse alors, tirant à nouveau mes cheveux en arrière, et son autre main s’agrippe sur mes hanches et il commence alors ses vas et vient d’abord lentement en sortant très lentement et presque entièrement sa queue de ma fente avant de s’enfoncer avec force au plus profond de mon vagin en fusion m’arrachant un cri étouffé à chaque pénétration. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. C’est si bon d’être prise ainsi. Sa main glisse sur mes fesses et un doigt s’insinue entre et je le sens introduire totalement son pouce dans mon petit trou. Il accélère alors la cadence et me pilonne, me défonce littéralement. Sa queue glisse dans mon fourreau dans un bruit de succion et ma cyprine gicle sur son sexe et ses boules à chaque fois qu’il vient frapper mon cul. Ses râles sont de plus en rauques et je l’entends marmonner des insultes à mon encontre. Il se retire alors de mes deux trous et mon d’un étage avec sa bite pour venir s’enfoncer dans mon fondement et me défoncer à nouveau. Je ne compte même plus mes orgasmes tellement ils sont rapprochés les uns des autres. Je ne suis plus qu’un pantin entre ses bras. Soudain il se bloque au plus profond de mes entrailles et répandre son sperme chaud dans un long râle.

Après quelques instants, il se retire et me relève avec douceur et m’assoit sur ses genoux sur son fauteuil et me berce comme une petite fille dans ses bras. J’ai beaucoup de mal à reprendre ma respiration tellement c’était intense mais mon dieu que c’était bon. Il me propose alors d’aller une douche dans sa salle de bain personnel, ce que j’accepte. Je me lève avec difficulté et me dirige vers celle-ci. Je ferme la porte derrière moi, me déshabille et commence à faire couler l’eau pour ensuite me glisser dessous et reste de longues minutes dessous. Je me rhabille et sors de la salle d’eau. Je me dirige vers Monsieur le Directeur, lui fait une bise et lui dit :

- Merci Monsieur le Directeur. Je vous souhaite une excellente fin de journée et je sortis de son bureau.

Je pensais alors que la mienne fut plus qu’excellente pour le moment.