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Une relation ambiguë

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Lue : 1870 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/06/2021

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Je sors de l’hôtel, lunettes noires, fichu sur la tête, pour éviter qu’on me reconnaisse. En effet, je viens de passer deux heures à faire l’amour avec Hervé, mon beau frère. Par sécurité, celui-ci quitte les lieux, un quart d’heure après moi. Cela fait six mois que ça dure. Cette relation m’apporte beaucoup. D’abord, de part son intensité sexuelle, mais aussi par la délicatesse, le calme apaisant, dont fait preuve Hervé. Aux antipodes des brutalités verbale de son frère Didier.
Çà a commencer le jour ou, sortant de la salle de bains, vêtue d’un peignoir, je me rendais à la cuisine, pour mettre mon gigot en route, avant de m’habiller. Soudain, on sonna quand à la porte.
C’est Hervé, mon beau frère, actuellement en conflit avec son frère Didier, mon époux, pour une sordide dispute, lors d’un repas de famille
-Bonjour, lui dis-je froidement. T’as osé venir, et si Didier l’apprend. -Oh ça va...mon frère fait toujours la gueule? -Devine...vous allez rester longtemps sans vous parler, tous les deux? -Je sais pas, il est tellement rancunier. Il faudrait que tu lui parles.
Sans me méfier, je me baisse pour surveiller la cuisson du gigot. J’en oubli que je suis nue sous le peignoir. Je dois offrir une vue imprenable sur mon intimité. Je me doute que l’envie doit être forte pour lui d’envoyer sa main. Aussi, je ne suis pas surprise quand je la sens frôler ma chatte.
-Oh, ça va pas...mets moi un doigt pendant que tu y es.
-Désolé, répond Hervé, excuses moi…pour en revenir à mon frère…
-Ben, il est remonté contre toi. Pourquoi avoir fait allusion que je te courrai après, d’autant que c’est faux, j’aime mon mari, plus que tout.
-Quel con...je suis son frère quand même, je ne me permettrais jamais de me taper sa femme.
-Peut-être, mais il faut faire quelque chose, il faut vraiment que tu lui parles, que tu lui dises qu’il se fait des idées.
Je me penche à nouveau pour arroser mon gigot. On dirait que je le fais exprès, pour allumer mon beau frère. Cette fois, il me prend par les hanches, m’attire à lui, me force à m’asseoir sur ses genoux. Je me débat, et échappe à l’étreinte, en colère.
-Mais, ça ne va pas, putain, enfin…qu’est-ce- qu’il te prend, tu trouves qu’il n’y a pas assez de problèmes comme ça. Tu dis que tu es désolé, que tu feras jamais un sale coup à ton frère, et là, tu veux quoi ?
-Ben toi, dit-il en me rattrapant, personne n’en saura rien, allez, laisse moi gratter ta petite chatte.
-Assez…non, hors de question, pense à ton frère, c’est mon mari, et je l’aime. Je ne veux pas d’histoires.
-C’est ton mari, je sais, poursuit Hervé, mais t’as pas envie d’un câlin, d’un bon coup de queue...vites fait...t’es sure...
-Oui, oui, certaine, n’insiste pas, d’ailleurs, tu devrais partir.
-Toi aussi tu m’en veux, moi qui comptais sur toi pour arranger le truc.
-N’insiste pas, je ne peux pas, voila. Il va croire qu’il y a quelque chose entre nous.
Hervé insiste, me tire par un bras, et m’assoit de force sur ses genoux.
Je me retrouve à demi couchée sur ses cuisses, jambes écartées. Je me débat, essaie de me relever, mais je n’ai pas sa force. Dans l’action, le peignoir s’est ouvert, découvrant ma chatte parfaitement épilée. D’une seule main, Hervé bloque mes poignets derrières mon dos. Ce salaud profite de sa main libre, pour me caresser. Un doigt caresse ma fente, ouvre mes lèvres intimes.
-Arrêtes, salaud, tu fais tout pour que je trompe mon mari...rends toi compte, si ça arrive ses oreilles…s’il te plaît…assez, ma chatte va être toute mouillée…oh mon dieu…
-Chut, calme toi, dit-il en souriant. T’aimes pas, t’as pas envie qu’on joue tous les deux ?
C’est maintenant deux doigts qui ont pris possession des lieux, tandis que le pouce doigte mon petit bouton, en partie sorti de sa capuche.
Non seulement je me soumet à la caresse, mais l’apprécie. Au point de me cambrer sur les doigts qui fouille ma chatte, dans des gémissements, non simulés, qui montent en intensité.
« Oh putain que j’aime ça...que c’est bon.»
Hervé se contorsionne pour extraire sa queue de son bermuda. Elle est énorme, déjà en érection. Je sens son sexe durcit entre ses cuisses. Malgré ma fidélité sans faille, le désir monte en moi, prend le dessus. Je passe une main entre ses cuisses, saisit l’énorme bite. Je fais coulisser le prépuce, pour bien décalotter le gland, que je frotte contre mon clitoris, puis le place à l’entrée de ma chatte.
Hervé est stupéfait. Il sent que je vais succomber à ses avances.
-Je sens que je fais faire une grosse bêtise, tans pis, vas-y…baises moi. -C’est ce que tu veux...t’es sure. -Certaine...
D’une simple pression, la bite d’Hervé pénètre ma chatte humide. Je me cambre sur l’énorme pieu, jette ma tête en arrière, gémis de plaisir.
-Hum…salaud, c’est bon, soufflais-je…arrêtes, j’ai envie de te sucer. -Tu vois que t’avais envie...vas-y, tailles moi une bonne pipe.
Je me libère de cette position inconfortable, et me mets à genoux devant Hervé. Je saisit sa queue, la prend en bouche, entame de lent va et vient.
Mon beau frère tend son ventre au maximum, pour offrir son calibre, à ma bouche gourmande.
-Oh putain, quelle est belle, quelle est bonne, dis-je la bouche pleine.
-Ouah…t’aimes salope…mon frère, tu le suces comme ça ?
-Non, je ne l’ai jamais sucé…j’ai envie de ta queue maintenant…
-Et ton gigot ma chérie, ironise Hervé.
-J’en ai rien à foutre de mon gigot, ma chatte passe avant, c’est bien plus important…elle a besoin d’être calmée par une grosse queue, baises la…
D’un geste brusque, Hervé débarrasse la table, m’y allonge dessus ouvre mes jambes. Il soulève mes fesses pour avoir ma chatte baveuse à portée de sa bouche. Il commence à la lécher goulûment, la pénètre de sa langue, aspire le clitoris. J’arrête pas de glousser de plaisir.
-Qu’est- ce- qu’il dirait ton mari s’il savait que son frère bouffe la chatte de sa femme.
-Il dirait que suis une grosse salope, que je suis une chienne.
-Et il aurait raison. Aller, tournes toi que je te le mette bien profond.
Je me penche en avant, monte une jambe sur la table pour mieux m’offrir à l’objet de tous mes désirs. Hervé s’avance, la bite bien dressée, taquine ma chatte, mon petit trou.
-Lequel, demande-t-il.
-Salaud, ne me fais pas râler, murmure-t-elle. Prends-moi la chatte d’abord, tu me prendras au petit après…tu seras le premier.
Hervé s’exécute, enfonce sa queue dans l’antre chaud de mon ventre. Je ne peux retenir un râle de plaisir. Du reste, je ne tarde pas à atteindre l’orgasme.
-Oh oui…salaud, tu me fais jouir…tu fais jouir ta belle sœur.
-Si tu savais comme c’est bon de baiser la femme de son frère…et toi, t’aimes ma queue, hein? Avoue.
-Oh oui je l’aime, elle est bien dure, plus grosse que celle de ton frère. Elle a tout pour satisfaire une femme.
Hervé sent que c’est le moment, qu’il peut faire de moi, ce qu’il veut. Il se retire, place son gland contre mon petit trou, le déflore d’une simple pression. Je ressens une petite douleur. Normal pour un premier passage.

-Ah…c’est bon d’enculer la femme de son frère...ouah
-Aie…ça fait un peu mal, tant pis, il fallait que se soit une grosse bite qui me trou le cul, autant que ce soit la tienne, t’es tellement bien monté.
-Je vais jouir, hurle Hervé, oh la salope…
-Attends, jouis dans ma bouche…je veux goûter ton sperme, l’avaler.
Hervé se vide copieusement les couilles dans ma bouche. Je prends un réel plaisir à tout avaler, et à nettoyer le gland. Je prends les lèvres de mon beau frère, lui donne un sulfureux baiser.
-Comme tu m’as régalée salaud, tu as eu ce que tu voulais, niquer ta belle sœur. Il faut que tu partes maintenant, ton frère risque d’arriver. Et puis promis, je vais lui parler. Je tiens à débloquer cette situation.
Hervé quitte la villa. J’en profite pour aller prendre une douche, et m’occuper enfin de mon gigot.
Didier arrive vers dix huit heures.
-Alors ma chérie, dit-il en m’embrassant, tu as passé une bonne journée.
-Oui mon amour, et toi…au fait ton frère est passé, il voulait te voir.
-A bon…pour parler. C’est vrai qu’on ne peut pas rester fâché éternellement, c’est quand même mon frère. Appelle le, dis lui de venir dîner ce soir. Je vais me doucher. -OK, d’autant que j’ai préparé un excellent gigot.
Je saute sur mon portable, pour annoncer la bonne nouvelle à Hervé. Depuis ces retrouvailles, nous avons interrompu toutes relations avec mon beau frère, même s’il nous en coûte. Et ce ne sont pas quelques baisers volés ça et là, qui apaisent nôtre ferveur de se retrouver dans un lit. Mais qui sait...avec le temps.
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