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Nadine devient accroc 2

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Lue : 17014 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/07/2009

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C’est donc les jambes tremblantes, le cœur palpitant à une allure jusqu’alors inconnue que Nadine suivit cet homme à la carrure imposante en silence. Son esprit n’était plus qu’un volcan et le magma de ses idées fusait dans des directions qui s’entrecroisaient. C’était le flou le plus total.
Tout de même encore avec un zest de lucidité, elle entreprit de poser une question :
- Alors… Moussa. Où va-t-on ?

Le regard qu’elle eut en retour stoppa immédiatement son envie de parler. Non seulement il ne répondit pas tout de suite mais il s’arrêta. Il fouilla dans sa poche sans rien en ressortir si ce n’est sa poche vide elle-même. Il regarda sa victime dans les yeux et lui parla au beau milieu des cohortes qui s’entrecroisaient autour d’eux. Le ton de sa voix était fort et grave.
- Diara…
- Mon prénom c’est Nadine…
- Ne m’interrompt plus quand je parle, t’as compris !
Au ton employé et à la fermeté du discours, Nadine se taisait et baissait les yeux, sous le regard des passants qui continuaient à défiler.
- Tu t’appelles Diara dorénavant. Tu n’es plus à mes yeux celle que tu étais et crois moi, tu oublieras celle que tu étais. Regarde moi dans les yeux.

La scène était surréaliste aux yeux de Nadine. Elle croise de temps en temps les regards de quelques passants interrogatifs. Elle n’avait plus aucun moyen de réaction. Elle n’était plus dans la réalité, ou plutôt dans sa réalité. Sa vie venait de basculer dans une autre dimension.
- Regarde moi et cesse de regarder les gens. Ce que je te propose aujourd’hui est une alternative à ta vie routinière et trop commune. Ta vie va changer, tes repères vont changer, ta personne va changer, et tu vas te libérer pour devenir une autre. Tu vas connaître une vie nouvelle à travers cette nouvelle identité. Pour cela, il me faut ton assentiment. Si tu refuses, alors tu ne me verras plus et tu oublieras cet épisode de ton existence… ou tu essaieras de l’oublier. Tu retourneras à ta vie banale. Si tu acceptes ma proposition, des grands changements s’opéreront et tu deviendras Diara. Une autre femme. Tu obéiras à ton maître et mentor. Tu pourras à tout moment cesser de jouer mais je crois que si tu acceptes, tu ne voudras plus faire machine arrière. Acceptes tu ma proposition, oui ou non ?

Perdu dans ses songes, les yeux dans ceux de Moussa, elle reste dubitative une poignée de secondes. L’ennui de sa vie, les tâches répétitives de son travail, une rapide introspection de sa vie l’amène à prononcer un « oui » à peine audible mais bien réfléchi….
- Bien, Diara… Attrape ma poche, celle qui dépasse de mon pantalon et suit moi.

Nadine agrippait le revers de la poche de sa main moite et suivait son maître dans les couloirs du métro. Les gens regardaient cette scène insolite. Un colosse d’ébène déambulait dans les couloirs du métro parisien et une femme blanche s’agrippait à sa poche. Nadine croisait le regard de passants ébahis. Le rouge de ses joues lui procurait une sensation de honte et pourtant, un sentiment de protection s’emparait d’elle. La puissance physique de son gardien la plongeait dans un état de soumission et d’excitation qu’elle n’avait jamais connu ni même imaginé. De nouveau, elle avait chaud, ce genre de chaleur qui trahissait ses sentiments. Elle avançait en silence vers une destination inconnue, la culotte trempée et le diable au corps.

Finalement, ils sortirent du métro et se dirigèrent vers un immeuble vétuste d’Aubervilliers.
En montant l’escalier, l’homme plaqua sa proie contre le mur, et en regardant Nadine droit dans les yeux, déboutonna son chemisier, arracha son soutien-gorge et en remontant tendrement sa main sous sa jupe, arracha également sa culotte.
Nadine était au bord de l’explosion. La main puissante et ferme prenait possession des cuisses et des fesses blanchâtres de la mère de famille. Dans un suave mouvement, les doigts fouillèrent son entrecuisse et pendant que les lèvres charnues du noir se délectaient de ses seins, quelques caresses adroites amenèrent Nadine à un orgasme violent. C’est en étouffant ses cris, et en s’agrippant violemment aux épaules massives de son geôlier qu’elle jouissait comme une pute à deux sous, dans ce décor sordide.
- C’est bon de jouir comme une pute, hein ? C’est pas ton mari qui te fait décoller de la sorte, hein…
- Ou… oui.
- Quoi, oui ? Tu es une pute ou ton mari ne te fait pas jouir ?
- Je ne sais pas…
- Monte et accroche toi à ma poche. Je vais t’apprendre qui tu es…

En montant, elle croise plusieurs personnes tout en baissant les yeux. Des hommes et des femmes, sous des regards parfois indifférents ou parfois moqueurs, sous des insultes d’un quelconque dialecte africain qui lui est inconnu ou sous des rires ironiques. Certains doivent penser qu’il s’agit certainement d’une femme blanche naïve venue consulter un marabout alors que d’autres savent déjà qu’il s’agit d’une femme venant découvrir des plaisirs inconnus et inassouvis.

Lorsque la porte s’ouvre, elle sait qu’elle franchit une autre dimension. Elle vient de jouir comme jamais elle n’avait jouit et elle est quasiment prête à endosser le personnage de Diara. L’appartement est un trois pièces, orné de quelques statues africaines, assez bien rangé et assez propre. Elle n’ose toujours pas parler et se contente d’observer.
Son maître lui jette un pagne et lui ordonne de l’enfiler. Incapable de le fixer correctement, il a dû l’ajuster à sa place. Il s’agit juste d’un pagne en forme de jupe, laissant les seins de la jeune blanche libres et ballottant.
- Tu as de beaux seins. J’espère que tu sais t’en servir au moins… Sinon, je t’apprendrai à utiliser tes atouts sexy. La bonne mère de famille et tendre épouse va devenir ma putain. Amène moi la petite bassine et l’éponge qui se trouve dans l’angle de la pièce et déshabille moi.

Nadine obéit et s’exécute. Elle entreprend un déshabillage méticuleux de l’homme qui se tient devant elle. Elle finit par son pantalon. Elle ne peut s’empêcher de contempler la musculature impressionnante… ce cou puissant, ces épaules larges, ces pectoraux fermes, ces abdominaux si bien dessinés et ces cuisses puissantes. Elle finit par ôter le caleçon de son maître et reste ébahi devant cet appareil. Son sexe est au repos, pendant et épais, et ses bourses sont assez volumineuses. Une certaine peur s’accapare de Nadine, et pourtant le désir est bien là. Elle approche sa main pour se saisir de ce membre noir.
- N’y touche pas encore Diara.
Elle lève les yeux et s’interroge. L’homme s’assoit dans un fauteuil et ordonne à sa proie.
- A genoux ! Tu vas me laver doucement avec cette éponge et faire connaissance avec le corps de ton maître.

Elle saisit l’éponge douce et humide et parcourt la musculature colossale de Moussa. De l’autre main, elle tâte et parcourt ce corps solide. Elle regarde l’eau s’écouler sur le corps qui lui est offert, en se demandant au final si ce ne sera pas son corps qui sera l’offrande. Pensant avoir finit sa tâche, elle lança un regard interrogateur à son maître.
- C’est bien Diara. Tu as oublié de me laver les pieds. Lave les immédiatement et ensuite, tu suceras ma queue avec délicatesse et tu me lècheras les couilles.
- D’accord Moussa…
- Tu ne m’appelles plus jamais Moussa et tu emploieras le vouvoiement en m’appelant Maître. Tu as bien compris ? Moi seul a le droit de te tutoyer. N’inverse plus jamais les rôles et ne me manque plus de respect. Maintenant, lave mes pieds et suce ma bite.

Nadine s’affairait à laver les pieds de son maître en s’appliquant. Elle commençait à adorer la voix de son maître, ses expressions triviales couplées à ce ton ferme. Elle mouillait sans même sans rendre compte, son entrecuisse ruisselait et ses seins pointaient…

Après avoir soigneusement nettoyé les pieds de Moussa, Nadine s’attaquait à son pénis. Un peu plus rigide qu’au début, il n’était pas encore érigé totalement. Elle saisit la grosse tige noire et la lécha avec douceur. D’une main, elle soupesait ses lourds testicules et de l’autre elle manipulait tendrement la colonne de chair sombre. Elle engloutit tant qu’elle pouvait le mât désormais tendu tout en s’apercevant de la difficulté de la tâche, due à cette dimension insoupçonnée. Son maître soupirait en se délectant du spectacle…
- Allez, suce ma salope. C’est ta première bite noire, hein…
- Oui maître.
- Ca te change de la queue de ton cocu de mari.
- Oui maître.
- Caresse toi tout en me suçant. En rentrant chez toi tout à l’heure, tu repenseras à ces moments et tu te rendras compte de ce qui te manquait. Tu commences à découvrir à quel point il est bon d’être ma pute. Tu m’appartiens corps et âme dorénavant et quand je prendrai possession de ton corps, tu ne voudras plus goûter à autre chose qu’à ma bite.

Jamais elle ne jouissait deux fois de suite avec Jacques, son époux.
A l’écoute de ces mots, Nadine n’était plus qu’un sujet, qu’un objet. Ses doigts frottant frénétiquement son clitoris béant et luisant s’activent. Un cri rauque déchire le calme de la pièce. Les jambes frémissantes, elle s’accroche à son pieu obscur sans pouvoir se séparer de ce cylindre.
- Tu es prête maintenant. Met toi à quatre pattes.

Prêt du fauteuil, il se saisit d’un collier qu’il fixa au cou de Nadine. Il y attacha une laisse et la fit marcher comme une chienne dans l’appartement.
- Si ton mari te voyait... Arrête toi et suce la queue de ton maître.

Elle pompait ce glaive qu’elle entourait de ces deux mains. Ce glaive turgide qui la fendrait dans quelques instants et qui l’achèverait.
Assis sur son fauteuil, Moussa vociférait d’autres ordres.
- Lève toi chienne et vient t’empaler sur ma bite.

Entre peur et envie, elle se plaçait doucement entre les jambes de son tortionnaire en lui tournant le dos. Le membre dressé et triomphant de Moussa n’attendait plus que le réceptacle chaud et trempé de Nadine. Elle plaça ses lèvres à l’apogée de cette tige et glissa lentement sur la colonne. Jamais elle n’avait subi l’assaut d’un objet si gros. Mais le bonheur d’être possédée et d’avoir les chairs distendues de la sorte lui faisait juste prendre conscience qu’elle n’était plus elle-même.

De soupir à gémissements, puis de gémissements à cris, elle subissait les coups de boutoir de Moussa qui la tenait toujours en laisse.
- T’aime ça la bite hein ?
- Oui maître. Prenez moi. Je suis à vous. Toute à vous !!!
- Dis moi à quel point c’est bon d’être ma pute.
- Hummm… oui… Je suis votre pute. Je suis votre bien. Je vous appartiens.
- Par terre. A quatre pattes.

Moussa se plaça derrière Nadine et l’empala de nouveau. En attrapant ses cheveux châtains et lisses, il besogna Nadine avec vigueur et constance. Les chairs écartées, le membre puissant se frayait un chemin régulier jusqu’à des profondeurs jamais atteintes. Douleur et plaisir communiait parfaitement sur le visage de Nadine. Entre soumission et dévergondage, elle avait franchit une étape nouvelle dans sa sexualité. Une étape qu’elle n’aurait jamais connu sans la présence de Moussa. C’est dans cet état d’esprit qu’un orgasme fulgurant la saisit et qu’elle hurla dans la pièce en sentant le membre ravageur de Moussa gonfler de plus en plus. Il ordonna de nouveau en se retirant.
- A genoux. Face à moi. Suce moi et avale.

Elle s’exécuta sur le champ et prit le biberon de Moussa en bouche. Après quelques mouvements délicats, les mains imposantes de Moussa agrippèrent la délicate chevelure de Nadine. C’est à travers un cri animal et libérateur que la sève légèrement salée inonda la bouche de Nadine. Elle avala cette semence tel que l’ordre lui en avait été donné, puis elle s’appliqua à nettoyer l’outil qui venait de la projeter dans une aventure nouvelle.
- Tu es une bonne esclave Diara. Nettoie toi et habille toi. Tes enfants et ton mari doivent t’attendre. Nous nous reverrons très bientôt.

Sur le chemin du retour, elle revivait les instants passés avec un peu de nostalgie. Elle tentait d’analyser les événements. Elle était passée du stade de femme à celui d’animal et frissonnait à l’idée de retrouver cet état. Elle s’est soumise à la force brute et au diktat d’un inconnu alors qu’elle se donnait un rang de chef à la maison. Elle repensait à la façon dont elle avait succombée à cet ogre, à cet animal qui n’avait d’appétit que pour elle et le comparait à son mari. Cet homme insipide et sans poigne qui gagnait sa vie péniblement à gérer des comptes bancaires, qui la baisait machinalement et sans surprise. Elle lui avait toujours refusé d’avaler son sperme sous prétexte que c’était sale. Des questions fusaient à travers son esprit : comment gérer cette relation ? L’envie de revoir son bourreau était bien présente. Elle sait qu’il y aura un après Moussa.

En attendant, elle passe le seuil de sa porte, embrasse ses enfants et voyant la faible inquiétude de Jacques face à son retard, elle prétexta qu’elle alla voir les soldes au centre commercial. Jacques avait nettoyé un peu la maison et avait préparé un petit repas. En le voyant, elle ne pouvait s’empêcher de revivre les moments qu’elle venait de passer. A son grand étonnement, elle n’éprouvait aucun regret ni même aucun remord.

En se couchant, Jacques lui avait tourné le dos et dormait déjà. Sa main caressa subrepticement son corps à travers sa nuisette en soie et alla trouver son entrecuisse qui s’humidifiait déjà quand dans sa tête elle répétait les mots « Maître, je suis votre chienne… je vous appartiens… ».
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Commentaires du récit : Nadine devient accroc 2

Le 12/10/2023 - 13:20 par Bigben0308
Mmmmh une bonne esclave comme j aime...une suite ???

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