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Naïma, une cop-coquine - Ma vie 2

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Lue : 4419 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/08/2009

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Après mes premiers baisers échangés avec Naïma, et ce choix de me garder pour celle que j'aimais à l'époque, j'ai eu l'énorme plaisir de réaliser un de mes plus grand rêve. Enfin, j'eus prit mon courage pour faire part de mes sentiments à Julie. Loin d'y être réticente, nous sommes sortis ensemble durant 7 mois. Un long partage entre deux jeunes amoureux qui ne veulent pas bousculer les étapes et surtout partager un grand respect mutuel. Ces 7 mois furent vraiment magiques et restent encore gravés en moi. Nos moments intimes n'ont pas été nombeux, mais ils étaient intenses en émotions. Pourtant, ces 7 mois ne nous ont pas permis de vivre les plaisirs si convoités. La rupture fut dure à accepter, mais ce sont les choses de la vie paraît-il.

Quelques mois après, Naïma est de retour parmi mes connaissances. Forcément, après 7 mois d'excitation sans vrais soulagements, je me dis légitimement qu'il me faut Naïma. Qu'il me faut trouver une excuse pour qu'elle revienne une fois chez moi et qu'on s'y amuse comme elle le désirait temps un an auparavant. Vu la manière dont elle m'avait parlé la dernière fois : "Je peux te sucer si tu veux", j'avais décidé de ne pas y aller par quatre chemins et de l'inviter ouvertement. Les occasions ont été nombreuses, et je n'en ai loupé aucune. Dès qu'il s'agissait que l'un des deux s'en aille, je lui proposait de venir chez moi. Malgré ma grande timidité, je parvenait même à l'inviter simplement à dormir chez moi. Mais le message était clair. Elle n'avait pas vraiment apprécié de s'être fait refouler la dernière fois, et je dû me résoudre à me masturber à maintes reprises après l'avoir croisée dans une soirée ou dans la rue. Faut dire qu'à presque 19 ans, puceau que j'étais, me donnant si régulièrement tant de plaisirs de célibataires, tout seul devant tous les films X que j'ai pu piquer à droite à gauche, j'avais de quoi m'imaginer combien mon plaisir solitaire n'était rien à côté de l'extase qu'une femme peut offrir à son partenaire. Oui, puceau, certes, mais des litres et des litres de sperme jouis par tous ces fantasmes rêvés, ces films visionnés, ces histoires lues. Comment dire ? J'étais grave en manque de quelque chose d'inconnu, et alors que j'en avais eu l'occasion un an plus tôt, je m'étais permis de refuser ces avances qui sortaient en plus d'une fille qui semblait experte en la matière, vu l'expérience qu'elle tirait de son entourage.

Menoh : "Allo ? Naïma, c'est Menoh. Je t'appelle pour t'inviter à manger chez moi ce soir. Est-ce que ça te dit ?"

Naïma : "Ok, je viens vers 19h".

Estomaqué par cette accord si rapide, je me sens toutefois un peu dérangé. Je me suis alors dit un truc du genre : "Merde, j'en ai tant envie, et pourtant, ça me m'angoisse"

Bon, il me fallait descendre faire les courses, préparer la bouffe, faire le ménage, me doucher, et m'assurer que les capotes n'étaient pas périmées. En effet, depuis des années déjà, mes parents s'assuraient de ma santé et me refilaient régulièrement de quoi me protéger. Mais bon, au vu de mes galipettes inexistantes, il me fallait régulièrement faire le tri dans mon stock de capotes pour en jeter les douteuses.

Durant toute la journée, je pensais à ce que la soirée pourrait m'offrir. J'imaginais Naïma nue, ou encore en petit top laissant percevoir sa généreuse poitrine teintée aux couleurs nord africaines. Je l'imaginais en train de réaliser ce qu'elle m'avait proposé il y avait un an de cela.

« Hmmm, ce doit tellement être bon une fellation ! J'imagine que ce doit être encore bien meilleur que de faire l'amour, mais je ne pense vraiment pas que je tiendrais deux secondes dans la bouche d'une femme ». Chaque fois que j'imaginais ma verge tendue au contact de la langue d'une fille, je ne pouvais penser à autre chose qu'à mon incapacité de contrôle sur ma jouissance et que celle-ci s'exprimerait précocement sans moyen de recours.

Malgré le programme chargé qu'il me fallait accomplir avant son arrivée, je n'avais tête qu'à ces plaisirs que j'espérais enfin pouvoir assouvir. J'en bandais bien dur même dans ma supérette de quartier. C'est au passage en caisse que la situation était la plus gênante. Sexe déformant légèrement mon pantalon, la caisse réagissant d'un « bip » au passage du code-barre de la boîte de capotes, je me suis retrouvé bien rouge en priant pour que personne ne s'aperçoive de mon émoi.

Tout était prêt. Moi, parfumé, déguisé d'une chemise légèrement ouverte sur le torse, des folies plein la tête, de quoi se réjouir d'être à 19h.
Une collation à mes côtés, je m'installa sur le rebord du balcon en guettant l'arrivée de Naïma. Que le temps s'écoule lentement à ces moments...
18h57, toujours personne. J'ai même baissé frénétiquement la musique pour être sûr de l'entendre frapper à la porte au cas ou je ne l'avais pas vue passer dans la rue.
18h58, seul, ma boisson déjà à sec, j'éteignis ma clope par-dessus ses consœurs récemment consommées.
19h59, toujours pas de signe de sa venue. J'ai d'abord pensé qu'elle m'avait oublié, puis, j'ai eu la subite certitude qu'elle savait ce qu'elle faisait et qu'en faite, le lapin qu'elle m'avait préparé était tout calculé. Je comprenais alors pourquoi elle avait accepté si facilement.
Toutefois, j'osais encore y croire, et c'est une fois l'heure passée, dès 19h01, que le temps s'excite. Les minutes se sont affolées et se relayaient à une vitesse anormalement rapide.
19h10, 19h20, 19h30 ... Toc, toc, toc...

J'avais bien fait d'y croire encore. Son visage apparaissait alors dans le judas de la porte, et ce fut en ouvrant cette dernière que je vis Naïma pour la première fois en jupe « courte », les jambes recouvertes d'un bas noir jouant avec la transparence. Chaussée de longues bottes en simili-cuir, seuls ses genoux étaient visibles, mais, ça, moi, j'adore ! D'autant que le haut de son corps arborait un blazer dont l'échancrure mettait très bien en valeur la fermeté et la volupté de sa poitrine rebondie. J'imagine alors le plaisir que je vais avoir à retirer petit à petit ces vêtements pour découvrir au fur et à mesure la douceur de son corps sexy.

A table, je calcula de m'installer face à Naïma, mais légèrement de travers, pour pouvoir profiter au mieux de la vue alléchante des courbes de ses seins. Je ne devais pas être très discret contrairement à mes habitudes, mais quand c'est beau et si près que ça, c'est difficile de garder la tête froide. Pendant que je la servais, mes yeux n'arrivaient pas à décrocher de cette parcelle de peau nue qui me donnait tant envie de m'y enfouir. Déterminé, je l'étais. Oui, ce soir, je vais tout faire pour me dépuceler.
Soudain, et je ne su jamais si c'était par inadvertance et s'il s'agissait d'un acte délibéré, mais son couteau tomba à terre, et je me jeta sous la table pour aller le lui ramasser. Je suis de tempérament très serviable, mais là, une vue plongeante sur ses jambes étaient en jeu, et je vît justement ce à quoi je m'attendais. Sa jupe s'étant légèrement relevée lorsqu'elle s'était assise, ses jambes prenaient un peu plus l'air et laissaient même apparaître non pas un bas comme je l'avais imaginé à son arrivée, mais des jarretelles. Hmm, c'est vraiment trop bandant comme vue. Enfin, c'était sans compter sur le fait que ses jambes se sont alors écartées, laissant purement et simplement ses dessous les plus intimes libres à mon regard.
Après coup, j'ai compris que c'était une invitation aux caresses, mais têtu comme mon éducation me l'a inculqué, je ne pouvais profiter d'une telle situation pour « abuser » de son corps. C'est très con comme réaction, mais ma timidité innée et cette p*tain d'éducation me mettent pas mal de bâtons dans les roues. L'invitation était là, et pourtant, y répondre semblait être de l'abus à mes yeux, du harcèlement, de la malhonnêteté.
Je me rassis donc en lui redonnant de quoi couper son alimentation et sentis alors que mes sens étaient une fois de plus en gros éveil. Discrètement, la main entre mes cuisses, je remis mon pénis dans une position un peu moins dérangeante à vivre.

Naïma : « Alors, toi qui ne cesse de mâter mon décolleté, tu préfère mon string ou mon soutif ?

Menoh : « Euh, comment ça ? » Terriblement gêné

Déboutonnant le bouton supérieur de son blazer, Naïma me rétorqua : « Tu aimes ce que tu vois ? »

Toujours aussi rouge, je ne pu nier plus longtemps. M. : « Euh, oui »
Reprenant, « j'adore, le blanc te va vraiment bien. Beau contraste avec ton teint hâlé. »

N. : « Hmmm, et t'as pas encore tout vu ! »

Ouhlala, c'était en train de se gâter. Naïma s'amusant, sourire aux lèvres et regard complice capturant mon regard, ses doigts tournaient autour du dernier bouton de son blazer, laissant les bouts d'étoffe se séparer. Bombant le thorax, comme pour inviter son soutien-gorge à prendre un bon bol d'air frais, elle se remit à manger. J'avais les yeux écarquillés sur un tel spectacle, ici, chez moi, rien que pour moi. Comme pour lui rendre la monnaie de sa pièce, je défis aussi deux ou trois boutons de ma chemise.

Ayant finis de manger, je débarrassa la table, et, en train d'empiler dans l'évier mon labeur du lendemain, Naïma vînt se coller à mon dos et profita de l'ouverture de ma chemise pour gambader de ses délicates mains les dunes de mon torse. Tentant de me retourner pour l'enlacer et l'embrasser comme j'en rêvais de mes souvenirs, elle me plaqua contre l'évier et me chuchota « tu veux pas faire la vaisselle ? »

M. : « Non, non, je la ferais demain, j'aurais tout mon temps demain »

N. : « Ce soir aussi t'as tout ton temps, profite de ma présence pour faire tes corvées dans de meilleures conditions. »

M. : « C'est bon, je préfère la faire demain, seul »

Tentant une nouvelle fois de me retourner, Naïma me plaqua de nouveau contre l'évier et appliqua ses caresses de plus en plus bas. Passant sous la ceinture de mon pantalon, elle vînt rajouter.

N. : « T'es sûr de ne pas vouloir faire cette vaisselle pendant que je m'occupe de toi ? »

Oui, vous l'aurez remarqué, il me faut un sacré temps pour percuter sur les intentions coquines d'une femme. Mon éducation m'a tellement ancré dans l'esprit que les bonnes relations étaient basées sur le respect de chacun, que j'en oublie que les invitations peuvent être formulées de diverses manières, y compris en voilant ses désirs derrière des mots anodins, des comportements doux ou encore derrière des non-dits. A moins que ce ne soit plutôt pour cause de peur de regarder la vérité en face ou encore de peur de tout gâcher.

La ceinture se laissa défaire sans objection alors que de mes mains souillées par la vaisselle, je n'avais droit qu'au contact du pyrex ou de la céramique, bien moins doux et appétissant que la peau de cette coquine qui ne cessait de me chauffer. Rapidement d'ailleurs, ses mains se sont activées sur ce que mon caleçon est sensé cacher. Dure comme ça, je n'avais alors souvenir de l'avoir été un jour. Le contact de ses mains chaudes sur mon phallus n'était autre qu'extase. Une main étrangère, au touché sensuel, sur mon intimité, que rêver de mieux ? Puis, plus rien. Elle se décolla de moi, me laissant seul avec mon excitation, mon esprit virevoltant au 7ème ciel, et cette foutue vaisselle que je n'arrivais pas vraiment à faire. Elle revînt quelques minutes plus tard et fini de me déboutonner la chemise. Elle me retira la chemise et se mit à baiser mes omoplates de ses lèvres humides. Elle descendit le long de la colonne pour ensuite remonter sur mon côté droit. Arrivée au niveau de ma nuque, elle se recolla à moi de tout son corps. Il n'y avait alors plus de tissu entre nous. Ayant retiré blazer et soutif, sa poitrine parcourait mon dos au rythme de ses baisers si doux. Ses mains, quant à elles, se baladaient de mes cuisses, à mon membre, passant par mon torse tout en faisant quelques détours sur mes fesses.

Vaisselle enfin terminée, je me suis essuyé les mains et cherchais désespérément à pouvoir moi aussi parcourir son corps de mes caresses. Mais il n'en fut point, sa volonté était tout autre et je ne devais m'aventurer à la toucher. Se baissant, ses lèvres vinrent au contact de mon pubis, puis de mes testicules, et enfin, de ma verge. Sa langue se jouait de mon gland et sa bouche aimait à mouiller toute la longueur de mon pénis. Accrochée à mes fesses, elle entreprit la première fellation que j'eus l'honneur de vivre. Chaud que sa bouche était, humides caressent qui m'étaient infligées, c'était pas possible, ce ne pouvait qu'être rêve. Et pourtant, il s'agissait bel et bien d'un moment de ma vie.
Sans être moins agréable que je ne l'eut pensé, j'étais alors très content de pouvoir tenir le coup sans jouer la carte du précoce.
Ses mains venaient de temps à autre remplacer ou aider sa bouche. J'avoue que la combinaison des deux est ce que je préfère. Affairé à mon plaisir, obnubilé par toutes ces magnifiques sensations qui traversaient alors mon corps et mes pensées, je ne senti pas ma jouissance approcher. Naïma avait de l'expérience elle. Elle avait dû sentir ma bite prendre légèrement plus de volume et se retira alors juste avant l'éjaculation. Je vit alors un jet de sperme sortir de mon gland pour venir reluire la poitrine de celle à qui j'aurais alors voulu dire : « je t'aime ». Mon éjaculation était bien plus abondante que lors de mes masturbations en solitaire. J'imaginais alors que les mains d'une femme, et raison de plus sa bouche, étaient plus à même de récolter la semence masculine.

Lâchant alors mon pénis, elle se releva pour venir m'embrasser comme l'année passée. A grands coups de langoureux baisers, à s'emmêler nos langues. Enfin, je pouvais toucher son corps, mais seul son dos était dénudé, son ventre et sa poitrine étant alors collés aux miens. Ce contact humide nous collait un peu plus à chaque fois que le fruit de ma jouissance séchait un peu plus. Enfin, ses fesses, protégées de sa jupe en simili-cuir en profitaient quand même. Malaxer cette partie charnue d'une femme m'a toujours fait rêver, et je ne fut pas surpris des sentiments qui se dégageaient de telles caresses.

Ce jour là, j'ai vécu beaucoup de nouveautés. Que du bon, que de l'excellent. L'extase, le plaisir à l'état pur, la joie de vivre quoi, je me disais même, la raison de vivre ! Caresses charnelles d'une femme, caresse de son arrière-train, contact avec sa douce poitrine, branlette malicieuse et fellation intégrale. Ouahhhh, j'avais de quoi nourrir mes nombreux rêves à venir !

La suite dans la partie 3
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Histoire de Menoh

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