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Natalophobie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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NATALOPHOBIE

Je crois que personne ne s'est rendu compte que j'avais quitté la pièce. Il faut dire qu'il y avait plus de quarante personnes qui étaient présentes, quarante-deux précisément, et que je n'étais que l'une d'entre elles. Toutes ces personnes ensemble, autour d'une immense table qui avait été prolongée, avec des rallonges, er qui avaient des liens très variés entre elles. Elles discutaient, riaient, s'interpellaient.
Et moi je ne me sentais pas à l'aise dans ce repas de Noël. A vrai dire, les années passant, j'étais de moins en moins à l'aise dans ce repas traditionnel auquel j'étais invité parce que je faisais partie de la famille.
Jusqu'à ce point de rupture.
Il fallait que je respire.
Et j'étais bien conscient que personne ne remarquerait mon absence au milieu de ce brouhaha, de ce vacarme que je ne supportais plus.
Ce serait mon dernier Noël, je ne reviendrais pas l'année suivante.
Je suis parti à travers cette petite ville de province qui, à cette heure de la soirée, 22 heures, le soir de Noël, était calme, sans surprise. Et la température douce.
Je connaissais les lieux par cœur, j'avais vécu ici pendant une dizaine d'années, avec mes parents, avant qu'on monte plus au Nord. Et depuis une dizaine d'années, j'y revenais, mon héritage m'ayant permis de me payer un petit appartement. J'éprouvais du plaisir à me balader dans la ville, plus sans doute qu'à partager des moments factices avec des personnes avec qui je n'avais pas vraiment d'affinités. Même si elles faisaient partie de ma famille.
Je l'ai trouvée près de l'un des deux ponts qui enjambaient le fleuve qui longeait la ville. Elle était tout au bout de la rambarde, contre le mur qui jouxtait celle-ci, et elle tirait sur une cigarette.
Son image s'est précisée alors que j'approchais. Une fille mince, très grande, allongée, qui portait une robe blanche qui soulignait ce qu'elle avait de longiligne, en même temps que des formes bien marquées, l'un n'excluait pas l'autre, des hanches et des seins qui tendaient le tissu. La robe était fendue très haut sur le côté, dévoilant sa jambe, une paire de cuissardes en velours, mais aussi, pour la partie non enveloppée par la cuissarde, par un bas stay-up dont l'aboutissement était un cercle de dentelle qui permettait au bas de tenir. Une silhouette sexy, une veste et un réticule complétant l'ensemble. Elle avait un très joli visage, des traits purs, son visage mis en valeur par une coupe courte, qui permettait à son visage de respirer.
Je ne sais pas quelle raison l'a emporté pour que je m'arrête. Parce qu'elle était attirante, parce qu'elle m'a souri, parce qu'elle semblait marquer un certain dépit? Ou peut-être parce que, plus simplement, j'ai pensé que, comme moi, elle était rétive à Noël.
--Je viens de m'échapper d'une soirée de Noël que je ne pouvais plus supporter. Ce sera la dernière.
Elle m'a répondu:
--Et moi on m'a posé un lapin. Un gars avec qui je devais passer Noël, que j'ai rencontré il y a une semaine. On s'est déjà vus plusieurs fois, mais il ne donne plus signe de vie.
Souvent avec des inconnus, des étrangers, on s'ouvrait.
Dommage de plaquer une aussi jolie fille. Elle avait vraiment un charme fou.
Mais ce n'était peut-être pas l'avis de celui qui lui avait posé un lapin.
--On est tous les deux des marginaux, je lui ai dit. En marge de Noël. Ca vous dirait qu'on passe un moment ensemble. Je vous invite à prendre un verre. Pas dans un lieu bondé. Je loue un petit appartement un peu plus haut, je l'ai toujours gardé parce que je viens ici en vacances.
Je pensais qu'elle allait dire non, mais à ma grande surprise, elle m'a souri, et elle m'a dit:
--Au moins, ma soirée ne sera pas totalement gâchée.
On a remonté les allées qui longeaient les immeubles de quelques étages. Les talons aiguille de ses cuissardes tapaient contre la pierre. Elle a eu un geste de rapprochement, venant passer son bras sous le mien. Je me suis dit que c'était curieux. En quelques minutes seulement, j'étais passé d'un univers à un autre, d'une salle à manger bondée à la présence de cette fille, dont le parfum fleuri montait à mes narines.
Je me suis arrêté devant un immeuble de deux étages, avec une entrée vitrée.
--Voilà, c'est là.
J'habitais au rez-de-chaussée. Je l'ai faite rentrer dans cet appartement dans lequel je logeais quand je venais en vacances.
--On boit un verre? Je vous propose de vous faire un cocktail. Ca vous dit? Je m'en sors bien.
J'avais installé un mini-bar dans un coin de la pièce, avec deux tabourets. Elle est venue se poser sur l'un des deux tabourets, croisant les jambes, et me laissant ainsi voir ses jambes longues et fines, bien dessinées. La position me donnait à les voir jusqu'au-delà de l'accroche des bas, un bout de peau nu. Je me suis rendu compte que ma queue durcissait. Elle avait vraiment du charme, et de la sensualité. J'ai attrapé deux verres à cocktail, et j'y ai fait les mélanges. Je les connaissais par cœur, 5 centilitres de bourbon, 2,5 centimètres de vermouth rouge, et quelques gouttes de bitter...J'ai bien remué, à la cuillère, et enlevé les deux glaçons que j'avais mis pour rafraîchir le breuvage. Elle m'a regardé faire, fascinée.
--Je suis sûre que LUI ne savait pas faire les cocktails. Vous êtes un magicien.
C'était curieux. Nous ne nous connaissions que depuis quelques minutes, mais je sentais que quelque chose prenait vie entre nous. Au froid, à l'inconnu, succédait une sorte de chaleur. Je me sentais en tout cas mieux ici avec elle que dans ce repas agité.
--On trinque? A notre rencontre.
--Je m'appelle Catherine.
--Frank.
Nos verres se sont entrechoqués. On a bu une rasade, puis une autre.
--Je suis content qu'on soit ensemble. Et d'avoir échappé à cette soirée.
--Comment tu l'envisages pour la suite?, elle a demandé, passant au tutoiement.
--Avec une seule autre personne.
--Ma compagnie te convient ?
--On se connaît à peine, mais je te trouve agréable, oui.
Il y a eu un silence, mais ce n'était pas un silence hostile, au contraire, un silence apaisé. On était bien l'un et l'autre, dans ce silence, avant qu'elle ne me dise:
--C'est sexy, hein ?
J'ai répondu du tac au tac...
--Je crois qu'il y a pas mal de choses sexy chez toi, alors il faut que tu me donnes des précisions.
--Cette fente très haut...J'ai acheté la robe pour l'occasion, et c'est ce qui m'a séduit, cette fente.. Ca dévoile beaucoup et en même temps, ca ne permet pas l'accès à ce qu'il y a de plus intime, comme une mini-robe par exemple. Tu as envie de balader tes doigts sur la partie révélée ? Ca te donnera du plaisir et à moi aussi...
J'ai contourné le comptoir. J'ai posé mes doigts au niveau de sa cheville.
Il y a eu, alors que je remontais, trois sensations. Celle, lisse et froide, du velours des cuissardes, celle plus électrique du nylon qui se prolongeait au-delà des cuissardes, et enfin la chaleur absolue de sa chair.
Une caresse simple mais qui a semblé lui plaire, et fait sa respiration plus forte.
Elle n'est pas restée inactive, allant plus loin que ne pouvait l'impliquer ma caresse, en venant poser la main sur mon pantalon, là où il était tendu par une érection bien évidente. Elle m'a massé doucement, et j'ai gémi. Audacieuse, elle a tout de suite été plus loin, tirant sur ma fermeture-éclair pour mettre ma queue à nu. J'étais dur de désir, et d'autant plus que je n'avais pas eu de copine ces derniers temps. Elle m'a caressé doucement, avec la même lenteur maîtrisée avec laquelle j'ai caressé la part de sa jambe disponible. On basculait petit à petit dans un isolement qui nous coupait du monde, de ce qu'on avait vécu avant, pour être à deux dans un moment de détente et de plaisir.
Mon liquide pré-sécrétif s'est mis à couler abondamment, trempant ma chair et sa main.
Elle m'a souri.
--Tu as envie qu'on aille plus loin ? Je t'avoue que je comptais passer Noël en faisant l'amour. Avec ce gars, on s'est vus deux fois, mais on s'est à peine parlés, on a fait que s'envoyer en l'air. J'escomptais que ce serait comme ça. J'aime beaucoup le sexe.
--J'ai très envie de toi, j'ai avoué. Tu es...
Nos bouches se sont jointes et nos langues rejointes pour un baiser intense, long, chaud, et intime. Une heure plus tôt, on ne se connaissait pas. Le sexe permettait toujours, magique, de transcender les barrières.
Quand elle a lâché ma bouche, ça a été pour descendre la sienne sur ma queue et l'englober. Sensation de chaleur et d'humidité très forte. J'aiùais qu'une fille me prenne dans sa bouche. C'était une sensation intense.
Elle a lâché ma queue pour venir caresser mes couilles de la langue. Une caresse rare, qui disait qu'elle aimait le sexe et le plaisir.
--C'est donnant, donnant, elle a dit quand elle m'a lâché. J'ai sucé ta queue, tu lèches ma chatte. Tu sais lécher une chatte au moins ?
--Je crois que je me débrouille plutôt bien.
--On va voir ça. Tu as vu comme ta queue a gonflé ? Elle est un tiers plus grosse et plus longue. J'ai envie que tu sois énorme quand tu viendras en moi. En attendant...Il y a une fermeture-éclair à descendre...Tu vas savoir faire ça ?
C'est toujours un moment fort que de déshabiller une femme ou la voir se déshabiller. Découvrir sa nudité. C'est sans doute pour ça que j'avais les mains légèrement tremblantes quand je suis venu attraper la tirette de la fermeture-éclair, et que je l'ai faite descendre, dévalant son dos jusqu'à ses fesses. Une peau blanche, douce contre la pulpe de mes doigts, avec l'attache d'un soutien-gorge bleu nuit au milieu.
J'ai pris les épaulettes de la robe, et je l'ai descendue le long de son corps, jusqu'à ses hanches. Là, il y a eu juste un ultime mouvement à faire, passé le cap de ses hanches, et le tissu est tombé tout seul. L'occasion pour moi d'admirer une croupe épanouie, charnue et pleine, coupée en deux par un sillon profond, qui a jailli vers moi quand elle est sortie du tissu, mais aussi que, si elle avait un soutien-gorge, elle n'avait pas de culotte.
La robe à ses pieds, elle l'a enjambée, gardant bas et cuissardes, sans doute parce qu'elle savait que c'était excitant.
Elle a fait quelques pas jusqu'au divan, elle s'y est laissée tomber, et, les pattes en l'air, elle a projeté son ventre vers moi, pour le cunni qu'elle souhaitait. Son sexe était à la fois dilaté et luisant d'excitation, entrouvert sur un intérieur rose, les lèvres sorties, gonflées, qui gonflaient et s'étalaient encore, et la luisance imposée par les jus qui coulaient d'elle et la trempaient. Je me suis accroupi face à elle. Elle a poussé un cri quand ma langue est venue au contact de ses lèvres, et sa réponse physiologique, ça a été de balancer un jet de mouille dans ma bouche. Elle mouillait énormément, j'ai pu m'en rendre compte dans les minutes qui ont suivi, alternant ruissellements continus et éjaculations.
Je savais faire des cunni, et puis j'aimais ça. J'ai en tout cas donné le meilleur de moi-même, caressant la surface de ses lèvres, les mordillant doucement, poussant ma langue à l'intérieur d'elle, venant lécher ses parois internes, avant de remonter sur son gland clitoridien, qu'elle avait décalotté, pour le frotter, le faire grossir, il n'était pas épais, mais très fin, et lorsqu'il a été suffisamment long, je l'ai sucé avec avidité.
Ca devait être bon parce qu'elle a crié, mais aussi joui, son corps se tendant, et éjaculant des jets de liquide qui ont maculé mon visage et rempli ma bouche.
Ce n'était pourtant que le début. Elle m'a soufflé:
--Tu as des capotes ? J'en ai dans mon sac sinon. Mets-en une et viens dans mon ventre. J'ai envie que tu me fouilles, et que tu me fouilles longtemps.
J'avais effectivement une boite de capotes dans un tiroir, mais elles étaient périmées. J'ai été piocher dans son sac. Pendant ce temps, parce qu'elle était excitée, et pour m'exciter, elle se masturbait, faisait aller et venir deux doigts dans son sexe béant, et poussant à l'extérieur des jets de liquide. Allongée sur le dos, elle m'attendait, et je suis venu enfin remplacer ses doigts et pousser ma queue en elle...Elle a poussé un cri de plaisir alors que je rentrais en elle, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. Je me suis mise à la fouiller, et si elle était en plein trip, je ne valais pas mieux. Se sentir gainé par une chatte chaude et humide, qui vous enveloppe bien, colle bien à votre queue, il n'y a rien de meilleur.
On avait l'éternité pour nous. La soirée, en tout cas. On a multiplié les positions, en tirant à chaque fois un plaisir nouveau, jusqu'à ce que, j'étais collé contre son dos et je bougeais ma queue en elle, elle l'éjecte de sa vulve, et vienne poser mon gland congestionné contre sa muqueuse anale.
--J'adore me faire sodomiser. N'aie pas peur, tu ne me feras pas mal.
J'ai donné un coup de reins et je suis rentré en elle aussi facilement que j'avais glissé dans son vagin. Elle a poussé un soupir :
--C'est tellement bon par le cul...Un pur nectar...
J'ai bougé dans son rectum pendant qu'elle tirait sur ses lèvres et son clitoris de manière frénétique. J'ai senti que son corps était en tension, et elle s'est effectivement mise à jouir, hurlant en enchaînant orgasme sur orgasme, et éjaculant plusieurs fois.
Cela ne nous a pas empêchés parce qu'on avait encore envie, un désir exceptionnel, à la mesure de cette soirée exceptionnelle de faire l'amour jusqu'au milieu de la nuit.
Le lendemain matin, à ma grande surprise, elle était encore là. On a basculé à nouveau sur du sexe dans le lit, elle est venue gainer ma queue de ses seins lourds, m'amenant au bord de l'orgasme, avant qu'on passe sous la douche. Je l'ai pénétrée et on a joui ensemble au terme de plusieurs assemblements.
Après le petit déjeuner, le moment était venu de se séparer.
--Ca a été la plus belle nuit de Noël de toute ma vie, elle m'a dit sur le seuil.
--Moi aussi. C'était vraiment bien.
J'avais envie de lui demander un numéro, quelque chose pour rester en contact, mais je n'ai pas osé. Et elle ne m'a rien donné.
Dans les lueurs du jour naissant, elle s'est éloignée le long des allées, silhouette splendide. Elle a tourné deux rues plus loin, disparaissant de ma vue.
Je suis rentré chez moi. Oui, ç’avait été un merveilleux moment, et ce serait un merveilleux souvenir. Dommage que...J'aurais aimé qu'on prolonge cette relation.
Je suis revenu sur les lieux du réveillon. Tout le monde dormait encore. Je n'ai eu droit à aucune réflexion dans la journée.
C'est deux jours plus tard que c'est arrivé. Je suis passé à la Poste pour faire affranchir un colis. Un vaste espace. Un guichet COLIS. Je me suis avancé. Il était vide, mais une silhouette longiligne est arrivée vers moi. Un jean hyper-collant qui soulignait ses jambes interminables, ses hanches, dessinait de manière précise son sexe, des fesses pleines que j'ai aperçues quand elle s'est retournée pour attraper un colis à peser. Elle portait un pull ultra-serré qui soulignait ses seins pleins. Ça me faisait un drôle d'effet de la retrouver, de retrouver ces formes masquées dont j'avais profité dans leur nudité offerte...
Elle a levé les yeux vers moi et elle m'a reconnu. S'est figée.
--Je voudrais envoyer un colis.
--Euh oui...Colissimo...
--Ça m'ira très bien.
Elle a effectué des gestes professionnels. Ses paroles l'étaient moins.
--Je mourrais d'envie de te revoir. Se dire, c'est un coup d'un soir et c'est fini, c'est une belle connerie. C'était trop bien entre nous. J'ai envie de revivre ça. Voilà. 5 euros 28.
J'ai payé. Elle a ajouté :
--Je finis dans une demi-heure. Ca te dit de m'inviter? On pourrait aller boire un coup...Et puis après...J'ai envie de sexe. Tu crois que c'est possible?
--On ira chez moi.
Il me restait une demi-heure à attendre. Je me demandais si elle ne me poserait pas un lapin, mais elle a bien surgi de l'arrière des bâtiments pour venir jusqu'à moi. Elle m'a souri.
--Si on inversait? Le sexe d'abord, et le verre après.
Il suffisait de traverser la place pour arriver chez moi.








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Histoire de JamesB

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