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Nathalie, une maman gâteau 1

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Lue : 6050 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/03/2018

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[Nathalie est une quadra que j'ai rencontré il y a quelques années par le plus grand des hasards. Ce récit raconte un de nos moments, Mais ce ne fut pas le seul ! ce que je peux dire, même si tout n'est pas exact, même si globalement c'est à peu près comme dans ces tons que cela s'est passé ... une chose est vraiment vraie, c'est une super Pâtissière ! Bonne lecture :)]

Revenant au pays pour quelques jours de repos, je reviens dans ma petite ville, l'occasion pour moi de croiser bon nombre de copains et copines d'enfance. Cette fois ci, c'est désert à l'exception de Mel' qui est dans les parages m'a t-elle dit lors de mon dernier SMS. C'est une amie d'enfance avec qui j'en ais fais des bêtises, des rigolades et toutes sortes de choses que les jeunes peuvent faire quand ils ont l'âge bête. Comme d'habitude, j'envoie un SMS et comme souvent, elle ne répond pas, du moins, pas de suite. Alors comme d'habitude je me dis que je vais passer la voir, après tout, j'y ai passé des soirées et des WE, et avant on fonctionnait sans SMS.

Je longe alors la ruelle, puis l'allée et me présente à la maison. Je sonne. Après quelques minutes, c'est sa mère, Nathalie, qui ouvre la porte. Cela faisait une paie que je ne l'avais pas vue. Nathalie c'est la maman toujours enjouée, positive, souriante et marrante. La mère de famille idéale et plutôt bien foutue par-dessus le marché. Sur le pas de porte, je la vois vêtue d'une robe d'été, un tablier de cuisine et son éternel sourire, elle semble très occupée.

Apres quelques échanges très polis sur les nouvelles depuis le temps, elle me dit que Mel' est en vadrouille comme à son habitude. Pourtant cela n'arrête pas Nathalie qui me pose mille questions et m'invite alors à entrer. J'accepte et passé le pas de la porte. Habitué des lieux, je me met à l'aise, quitte ma veste, et je la suis ensuite dans la cuisine.

En entrant, je peux voir qu'elle s'affaire déjà au repas de la fête des mères qui aura lieu dimanche prochain. Ça sent drôlement bon ! La cuisine est en champ de bataille : un mélange de plats cuisinés, des affaires sorties pour préparer les desserts, le lave-vaisselle ou l'évier qui sont remplis des ustensiles de cuisines, les épluchures sur le plan de travail ... Nathalie compte bien mettre les petits plats dans les grands !

Edouard (E) : "eh be ! vous ne faites pas semblant ! Et ça sent très bon ..."

Nathalie (N) : "oh que tu es gentil ! et en plus tu sais très bien que je ne cuisine pas beaucoup mais Mel' mange ici dimanche donc ... je fais un effort je la vois peu en ce moment !"

Nathalie s'active à faire un peu de place soulignant l'heure qui tourne et les quelques tâches qu'elle a prévues durant l'après-midi mais aussi s'accorder un moment détente à la piscine. Poliment et naturellement, j'aide Nathalie à ranger un peu la cuisine.



N : "ne va pas te salir je m'en sors très bien mais merci du coup de main ... toujours aussi serviable toi" dit elle en me poussant du coude.



Il faut dire que depuis les années que je la croise, Nathalie a toujours été une super maman, avec le sourire, elle venait nous chercher en soirée, laissait sa maison pour nos soirées, nous déculpabilisait de nos conneries d'ados ... elle est au top ! Je suis venu ici tellement de fois, j'ai passé tellement de temps avec Mel' que ce soit en cours ou en dehors, forcément, je suis plus à l'aise.



N : "ça fait un moment que je ne t'avais pas croisé" dit-elle en nettoyant le plan de travail, mettant les épluchures à la poubelle et en commençant à sortir les ingrédients pour confectionner les gâteaux.

E : "bah oui je suis plus trop dans le coin, je suis parti pour les études alors je passe moins mais je reviens quand même fréquemment pour revoir tout le monde !"

N : "pareil pour Mel' elle ne reste jamais beaucoup à la maison ... (elle sourit) ... Elle a mieux à faire que rester avec sa maman, vous préférez rester entre jeunes !"

Je souris mais réplique aussitôt :

E : "vous êtes dure ! On vous a souvent vu avec nous, de même que vous nous avez couvert pour des sorties etc" dis-je en me reculant un peu, laissant Nathalie finir son ménage et sa préparation.

N : "quel flatteur !" dit-elle en passant sa main sur mon épaule "là je me mets aux desserts ! attention, je tente des gâteaux ... faut pas avoir peur de se faire empoisonner !" puis s'esclaffe avec son sourire si particulier.



Nathalie sort alors un batteur, des œufs, farine, le chocolat, le beurre, des décorations pour les gâteaux ... je la regarde faire.

N : "oui je sais ... mais moi je fais les gâteaux comme ça ! Suis une maman après tout, j'ai toujours raison !" dit-elle avec un clin d'œil "et toi ? Dis-moi que tu as fait quelques choses pour ta mère, hein ?"

Nathalie taquine toujours, seulement cela me gêne car elle me rappelle que je n’ai pas acheté une bricole.

E : "euh bah j'avoue qu’enfin ... J'ai acheté quelque chose !" Dis-je presque fièrement.

N : "faire les choses avec ses mains c'est aussi bien tu sais ! Bon, s'il reste un peu, on fera un gâteau en plus ... ou si c'est trop mauvais, je te donnerai le gâteau" dit-elle avec sa taquinerie habituelle

Nathalie explose de rire et s'agite en voyant l'heure. Elle ouvre le livre de cuisine, attrape le tablier sur le côté. Prenant quelques secondes en lisant, puis prépare les ingrédients, tout en commentant à haute voix. Je reste en retrait, observant la scène assez amusé de la voir s'agiter dans la cuisine. Elle tape alors dans ses mains en disant que c'est parti. Une vraie tornade, assurée, elle prépare les différents moules, concasse le chocolat et fait les doses à l'avance.

N : "tiens rends toi utile ... donne un coup de main !"

Je m'avance, pose les mains sur le plan de travail. Pendant ce temps Nathalie fait fondre le chocolat au bain marie, tout en me demandant de casser les œufs, mettre la farine et le reste dans le grand saladier sur la table. Je lui obéis sans sourciller. Chacun de notre côté nous avançons dans la recette lorsqu'un minuteur se met à sonner.

N : "ah ça ... C'est pour ce soir !" Dit-elle en arrêtant le four.



La mère de famille enfile les gants et se place face à la vitre. En se penchant, je vois sa robe légère se relever, remonter sur ses cuisses. C'est à ce moment-là qu'un frisson me parcourt. Nathalie est cambrée, ouvrant le four tout en me frôlant. C'est la première fois que des pensées coquines me traversent. La mère d'une de mes meilleures d'enfance, pour la première fois je la vois en tant que femme, une femme désirable, belle et envoûtante. Je m'arrête quelques instants alors qu'elle retire le plat du four, fermant la porte avec le pied et me demandant de me pousser d'un coup de hanche pour ne pas se brûler. Sa jupe recouvre à nouveau ses cuisses mais quel plaisir d'avoir aperçu un petit bout de son corps, d'avoir éveillé cette curiosité qui ne m'avait jamais effleuré l'esprit auparavant. Mais je me sens gêné, j'ai chaud ! Mon regard voudrait se fixer sur d'autres parties de son corps. Nathalie est très sportive, si marrante et toujours avenante. Je me dis surtout que je ne devrai pas penser à tout cela mais maintenant, je sens son parfum, je remarque jusqu'au moindre détail quand je la regarde faire. Je me remémore les fois où je l'ai vu plus dénudée, en short, en top ou en maillot, je me souviens de ses tatouages, j'en suis même à deviner ce qu'elle porte ... La chaleur me monte à la tête lorsqu'elle me sort de mes pensées.



N : "hé ho jeune homme !" avec son large sourire "on se concentre, c'est si dur que ça de préparer une pâte ?"

E : "je euh non je ... Je rêvassais ! Pardon !"

N : "canaille ..." Dit-elle en mangeant quelques carreaux de chocolat et vérifiant que le reste fond bien dans la casserole, remuant avec la cuillère en bois "je prévois aussi de faire une crème anglaise, elle est au frigo mais il me reste les blancs à monter ... Tu sais séparer les blancs des jaunes ?"

E : "alors là je euh je n’ai jamais essayé ..."

La préparation est faite, prête à se transformer en pâte à gâteau. Nathalie sort les œufs du frigo, je ne peux m'empêcher de reluquer à nouveau ses fesses, cette robe qui remonte presque jusqu'à son intimité. Me demandant ? string, culotte ou peut être rien ? je transpire et j'ai chaud. Je sens même une érection naissante. Pour éviter que cela se voit, et en attendant que cela passe, je me colle bien à la table. Puis elle revient a côté de moi. De manière assurée elle me montre pour le premier œuf, me parlant calmement, en me souriant. Elle me laisse ensuite faire tout en frôlant mes mains.

N : "voilà ... Doucement doucement voilà ! Oui tu t'en sors bien ... quel doigté ! C'est fou que tu ne fasses pas de la cuisine" me confie-t-elle avec un clin d'œil "allez, et cette pâte ?"

E : "bah j'ai suivi les instructions ... Faut passer ça avec un robot ou ..."

N : "pffff un robot ! Et tes 10 doigts ?" Dit-elle en prenant mes doigts et les mettant dans le saladier, me montrant comment faire. Pétrissant avec moi la pâte. Je glousse ... Je suis gêné ... Je rougis ... Le temps semble s'arrêter.


N : "voilà comme ça ... Voilà ... Tu sens ? Tu sens que ça durcit ?" questionna-t-elle innocemment.

E : "euh oui oui oui" dis-je sérieusement mais tres rouge

N : "allez allez faut que cela devienne une belle pâte à gâteau ... Tu as bien tout mis ?"



J'opine de la tête tout en essayant de rester concentré. Voyant que je donne de la motivation à ce que je fais, elle retire ses mains pleines de pâte, elle lèche le bout de ses doigts.

N: "hum ça semble très bon ! Moi je dis toujours à ma fille ... Il faut goûter !"

E : "euh oui certainement je n’ai pas beaucoup l'habitude de cuisiner vous savez !"

N : "eh bien tu diras à ta mère que tu as le coup de main ! Moi je t'embauche quand tu veux mon grand et ca m'avance bien !"

E : "oh je vous en prie Madame" dis-je avec le sourire cherchant toujours à contenir mon excitation.

N : "peut-être un peu épaisse mais on va y ajouter de la crème ..."

Elle s'essuie alors les mains sur le tablier sort des éléments de décoration pour gâteau puis Range un peu tout en me demandant de passer les blancs au batteur. Nathalie sort la machine et me tend le saladier. Je la sens s'approcher de moi et tout en prenant ma main, elle me montre le geste, collée à moi. Ma plus grande peur étant qu'elle découvre cette érection, ce dard qui ne faiblit pas, qui bande pour elle. Son contact ne m'aide guère, j'ai de plus en plus chaud. Alors que la machine fait du bruit je devine qu'elle me demande si je peux continuer seul. J'acquiesce mais au moment de tenir le batteur et le saladier, il m'échappe légèrement. Le mouvement de recule fait gicler du blanc d'œuf sur elle, au-dessus du tablier, son cou et sur sa joue. La maman pâtissière recule de surprise et renverse quelques ustensiles et de la farine.

N : "oh quelle cruche ! Roh !"

E : "je euh non c'est moi qui ..."

N : "Ne t'arrête pas, fais monter les blancs ..."

Elle retire le tablier et se baisse alors pour ramasser le sachet de farine. Mais tout en se baissant, ses fesses se colle à mon entre jambes. Plus de doute selon moi, j'ai bien senti que ma queue a frotté contre ses fesses mais je ne sens aucune crispation de sa part, je me fige. Le batteur continuant son vacarme. Mais Nathalie s'affaire à nettoyer le plus gros de la farine qui est tombé, elle se retourne même face à moi. Je suis tétanisé de sa réaction alors qu'elle est accroupie, sa tête à hauteur de mon sexe tendu.

N : "ça monte alors ?

E : "je ... pardon ?!" Demandais-je en arrêtant le batteur et craignant ce silence.

N : "les blancs ..." Dit-elle en se relevant et mettant un doigt dans le saladier "eh bien parfait !" puis elle se recule.

N : "mais quel chantier ! Ça ne m'avance pas du tout ça ..."

Je pose alors tout sur le plan de travail et veut nettoyer mais elle me dit qu'elle va s'en charger. Elle constate également les dégâts sur sa petite robe. Il y a du blanc d'œuf de la farine, des petits sucres pailletés, de la crème etc

N : "tiens sois sympa et beurre bien les moules, ajoute un peu de crème à la pâte, moi je vais me changer et je reviens.

Encore tout gêné, j'ai du mal à ne pas rougir. Je reprends quand même mes esprits mais je m'interroge toujours, car quand même, j'ai une érection depuis un moment, que je n'arrive pas à calmer, elle a certainement dû la voir, mes bégaiements ... Cela dit, elle aurait réagi ou dit quelque chose ! Rien ! Mais je ne sais pas quoi faire : dois-je m'excuser, ne rien dire ... Je m'interroge tout en poursuivant mécaniquement de ranger le plan de travail. Je suis tellement dans mes pensées que je classe les ingrédients presque comme un TOC sur cette table de cuisine lorsque j'entends en un claquement de mains.

N : "allez on y retourne moi je veux aller me détendre par cette chaleur ..."

Toujours active, elle s'agite à nouveau, sortant la pâte à cookies, vérifiant que j'avais bien fais mes tâches en attendant.

N : "bon ça c'est bon, ça c'est ok, les petits machins en sucre pour décorer le gâteau, la crème. Blancs ... Bien bien ... Ah le chocolat !"

Nathalie se dirige vers la casserole. Je suis toujours derrière la table, sûrement perdu dans mes pensées, ne sachant pas si je dois interagir ou laisser faire.

Elle trempe le doigt dans le chocolat qui a refroidit mais qui est encore pâteux et lâche un soupir de satisfaction. Mais c'est surtout à ce moment-là que je la vois de dos, ne portant que son tablier. Je vois son dos nu, ses fesses nues. Je glousse et cligne des yeux plusieurs fois pour bien me rendre à l'évidence. La mère de Mel' est nue sous le tablier !

Ce n’est pas vrai me dis-je. Je me frotte à nouveau les yeux, encore. Pas de doute, Nathalie est nue sous le tablier, me montrant un cul ferme, rond et dessiné, galbé. Le temps s'arrête. Elle tourne la cuillère tout en me disant que c'est prêt à être travaillé. Je ne cesse d'avoir chaud, d'avoir du mal à avaler ma salive.

N : "allez fais de la place, j'arrive"

Elle se retourne et apporte le chocolat qu'elle dépose devant moi.

N : "eh bien ?! Les gâteaux ne vont pas se faire seuls ... On a deux gâteaux, et les cookies à faire, je ne vais pas me taper tout le boulot !" Sourit-elle avec un clin d'œil.

Je souris mécaniquement, abasourdi par ce que je vois. Me demandant je rêve ou pas.

N : «ça ne va pas ? Tu es un peu pâle ... Ce n'est pas ma cuisine en tout cas, car tu n'y a pas encore goûté"

E : "je euh ça doit être la chaleur !" Dis-je balbutiant

N : "oui ... surement ... ton cerveau est moins alimenté en sang ? Hein ?" blague-t-elle

Mais elle le fait exprès ou quoi ?! Avec ses allusions, d'ailleurs, c'est voulu ou pas ? Je souris de manière crispée.

N : "Bon allez ... je vais te montrer comment faire tous ces gâteaux ... En piste, l'heure tourne ..."

Nathalie fait le tour de la table, puis vient se coller à moi, mais elle a l'air si calme. Elle prend le premier plat et verse la pâte à gâteau, puis le second. Elle incorpore ensuite le chocolat tout en raclant le fond avec une spatule qu'elle porte à ses lèvres pour lécher sans que j'en perde une miette.

N : "voilà ... Deux gâteaux, pour dimanche ... Et pour ta mère, qu'elle voit quel gentil garçon tu es !"

E : "Merci Madame c'est vraiment très gentil ..."

N : "il reste même du chocolat ... J'adore ! tu veux lécher le fond ?" Dit-elle en souriant et tendant la spatule.

Je n'ose répondre mais elle ne se prive pas pour la lécher à nouveau, langue sortie, de bas en haut tout en soupirant de plaisir

N : "hummm j'adore !"

Je ne sais pas si c'est moi qui délire encore, si elle joue, en tout cas c'est pas la spatule que je lui ferai lécher ainsi. J’ai les idées mal placées ? toujours est-il que je ne vois que des allusions dans ce qu'elle fait, d'autant que les images de ses fesses nues sous ce tablier reviennent en boucle. Elle me sort de mes réflexions lorsqu’elle se saisit de la pâte a cookies.

N : "je ne suis pas une Maman gâteau en général mais comme tu ne sembles pas bien doué dans ce domaine pour prendre des initiatives ... je vais te donner un coup de main !"

Elle sort alors du papier sulfurisé et l'étale sur le plan de travail. Elle se penche légèrement et son tablier découvre ses fesses. Je rougis mais prend bien garde à rester contre la table.

N : "allez c'est parti, une petite leçon de cuisine jeune homme ? Tout est prêt ?" Dit elle d'une voix douce et avec un regard attendri.

E : "je ... oui oui je suis prêt !" Voulant me donner du courage pour ne pas craquer face à elle.

N : "alors ... on prend la pâte et on fait qq boules, que l'on aplatit ... À toi, fais-en même temps ... Voilà comme ceci"

Je m'exécute en même temps qu'elle en me focalisant sur la pâte, mais avec une envie irrésistible de la regarder.

N : "un peu de farine pour pas que ça colle pendant la cuisson ... Voilà ... La pâte et on aplatit ... voilà ... Bah c'est très bien ! On ajoute quelques éclats de chocolat ... Et voilà ! Et on recommence ..."

Je dois me faire des idées. La maman Gâteau fait en même temps que moi, et ne semble pas le moins du monde perturbée. Bon certes, je la côtoie depuis un moment mais quand même. Je dois être trop porté sur la chose

N : "hé ho jeune homme ! On se concentre, ce n’est pas bon là ... Tes premiers étaient plutôt réussis, regarde celui-là ..."

E : "euh pardon ... Pourtant je fais comme au début je ..."

N : "je te montre ... Il faut bien apprendre" dit-elle sur un ton plus ferme.

Elle se colle à moi puis se met même devant moi tout en se justifiant.

N : "ce sera plus simple pour voir ... et tu peux voir par-dessus mon épaule, sois attentif"

Je suis crispé, tendu car là je suis aux premières loges. Je peux son dos nu, sentir son parfum, admirer sa peau bronzée, regarder son tatouage à peine couvert ... Je deviens tout rouge, je respire fort. Je n'arrive pas à contrôler cette érection qui est de plus en plus forte que les précédentes du début d'après-midi. Comme pour en rajouter, elle se cambre en avant un peu plus.

N : "tu suis hein ?!" Dit-elle incisive "on prend la pâte, on la pétrit, on la met en boule et on étale ... Avec fermeté pour faire un joli cookie, tu vois ?"

E : "parfaitement oui !"

N : "bien ... On continue ... On travaille la pâte puis on étale et on décore avec du chocolat, ce n’est pas compliqué ! je te laisse faire ? Ou tu as encore besoin de moi ?"

E : "je euh ... oui oui je peux le faire !" Dis-je en balbutiant.

Mais en me montrant à nouveau, j'ai l'impression que ses fesses frottent contre moi, je délire encore ?! Je bande comme un âne et mon sexe dur passe contre sa raie, le frôlement est significatif, je n'ose rien dire ou faire ... mais ... Elle ne s'aperçoit pas que je bande comme un âne contre son petit cul ?!!



Puis calmement, elle se met sur le côté, me regardant faire mes quelques cookies. Avec son sourire, croquant quelques éclats de chocolat, elle contrôle mon travail. Je l'écoute, elle se met à me parler du travail, de son ressenti.

N : "moi je le vois ... les jeunes aujourd’hui, ça ne sait plus se servir de ses doigts " Posant un coude contre la table, le tablier dévoilant légèrement ses fesses qui sont nues "il faut tout leur expliquer, leur apprendre ... Même plus d'initiatives ... ça se voit en cuisine par exemple"



Je reste silencieux, rouge, presque transpirant mais je l'écoute



N : "On ne sait pas faire lever une pâte, on n'a pas le savoir-faire ou on manque d'idées ... Mais bon sang, vous savez faire des trucs, regardes toi c'était compliqué à faire ? non !"

E : "non Mme mais il faut du temps ... les recettes et ..."

N : "ça pour vous trouver des excuses ... enfin ..."



La maman Pâtissière regarde l'heure et me regarde à nouveau en me disant "tu veux une vraie leçon de cuisine mon grand ?"

E : «vous n’aviez pas prévu d'aller à la piscine"



N : "de me détendre ... et la cuisine ... ça me détend !"

E : "ah bon ? Car vous semblez un peu agacée ..."

N : "agacée ? du tout ! mais de voir que tu as du mal à faire quelque chose d'aussi simple ... C'est toi qui semble tout tendu et crispé ?! Non ?"

E : "euh non non ... Je ..."



N : "allons ... Ce n’est pas grave, il me reste du temps et puis si je peux t'apprendre quelques bricoles ..."

Finissant ces quelques mots, Nathalie s'avance un peu plus vers moi.

N : "je te résume, tout d'abord ... La pâte, il faut la travailler et la faire lever ..."

Nathalie passe alors la main directement sur mon pantalon et croise mon regard, je n'ose répondre car cela me surprend mais je sens surtout une chaleur m'envahir d'un coup. C'est bien la preuve que je ne rêvais pas, je ne suis pas fou.

N : "les ingrédients sont très importants déjà ... ensuite, on malaxe, on la travaille"

Sa main passe sur mon pantalon. Je respire fort, je me crispe. Mon érection est plus que palpable et surtout visible. Je me tiens au plan de travail, lâchant la pâte a cookie que j'ai dans la main. Nathalie passe entre moi et la table, face à moi, puis tout en me souriant elle descend la braguette. Elle défait délicatement la ceinture et laisse tomber le pantalon à mes chevilles.

N : "chuuuuuut la suite de la leçon arrive ... canaille !"

Elle me fait retirer le jeans et même le boxer. Ma queue se dresse bien droite, déjà dure, veinée ... le gland est bien gonflé, rose et luisant.

N : "voyons ça ... hummmm ça a bien levé dis-moi !"

E : "oh je Nathalie ... madame je ..."

N : "jeune homme ... on refuserait une leçon particulière ?!" Dit-elle un peu espiègle et alors que ses doigts enserrent mon sexe.

Je glousse mais je suis partagé entre l'excitation et aussi le fait que ... Bah c'est quand même la mère de ma pote ! celle qui nous a couvert lors des sorties, nous emmenait à gauche à droite etc mais c'est si fort et intense. Je bredouille quelques mots mais n'arrive pas à dire non, et ça, elle le sait très bien vu comment elle me tient fermement.

E : "oh je euh euh Madame je ... Enfin voilà c'est enfin vous voyez quoi je"

N : "oui parfaitement ! Comme je te disais ... vous avez besoin d'être guidé !"

Je n'oppose aucune objections lorsque je vois sa langue sortir et lécher le bout de mon gland. La sensation me fait trembler et lâcher un gémissement de plaisir qui lui colle un sourire sur le coin des lèvres. Elle commence alors à me tenir avec poigne. Me serre entre ses mains. Fermement, elle fait quelques mouvements de bas en haut, tout en tournant le poignet.

N : "voilà ! Hummmm ça lève bien ... Au moins les jeunes n’ont pas besoin de mettre des heures ... Bon point ça !"

Je me laisse faire, expirant comme je peux. Je ressens de la gêne mais pas autant que de l'excitation. Et quand je vois Nathalie me branler, dans sa propre cuisine, là où j'ai déjà mangé, bu des verres ... Oh la la, il n'y a plus d'hésitations au fil des secondes. Je me vois déjà en train de la baiser sur le carrelage ou la démonter sur le plan de travail. J'ai envie de la fesser, de la lécher de partout, de la recouvrir de crème ... Oh la la si Mel' savait à ce moment-là. Mais Nathalie me sort rapidement de mes doutes.

N : "alors ? La pâte est levée ... Pétrie ... Que fait-on ?"

Me prenant au jeu j'esquisse un sourire

E : "on goûte ?!"

N : "ah je vois que l'on retient les leçons ... Effectivement ! On goûte !"

Nathalie s'accroupit alors. Le tablier s'écarte et maintenant son joli petit cul est largement visible ... je sens son souffle au niveau de mon sexe, elle me masturbe énergiquement. Nos regards se croisent, le moment tant attendu arrive, le point de non-retour. Je me délecte de ce moment.

N : "allons canaille ! Tu ne vas pas me faire croire que j'avais pas remarqué ton manège ?"

Je rougis, et tente de me justifier.

E : "mais je euh ... Enfin non pas du tout"

Elle rigole en collant mon gland contre sa joue

N : "tu penses que je n'avais pas senti ... ce sexe qui se dresse fièrement ? Je t'avoue que ... Je n'y avais pas songé ni même calculé mais ... Une telle flatterie, qui plus est pour une vieille comme moi" puis elle éclate de rire "fallait bien que je donne un cours puisque la cuisine te passionne tant"

E : "oh vous n’êtes pas vieille Madame ! Moi je vous trouve même très jeune dans voire tête ... Et je"

N : "je ne pense pas que ce soit ma tête à laquelle tu songeais depuis quelques minutes"

Je rougis à nouveau.

E : "euh oui oui c'est vrai !"

N : "et puis c'est la fête des mères après tout ... J'ai bien droit à un cadeau ? Mon petit commis de cuisine !"

E : "et moi à une leçon de pâtisserie ..." Dis-je en rigolant

N : "exact ! D'ailleurs on reprend car sinon ça va retomber !" Dit-elle avec un clin d'œil, tout en léchant de toute sa langue la verge et le bout du gland.

Je me sens plus à l'aise désormais et sûr de la situation, ce qui me fait bander encore plus fort.

N : "donc on goûte ..."

Fini les mots elle me regarde dans les yeux et gobe le gland, le tête quelques instants.

N : "Smouack !"

Elle fait de petits bruits de bouche, puis m'astique à nouveau avec conviction. Je ne me suis jamais fait sucer si fort.

N : "excellent ! Ferme ! Dur ! Assez souple ... Ça va être une bonne fournée !" Dit-elle en agitant ma queue sur son visage, le haut de sa poitrine.

On distingue ses tétons qui pointent sous le tablier, elle est accroupie les jambes bien écartées.

N : "un bon cookie c'est une bonne matière à la base" elle reprend mon sexe en bouche "bien la lever gloups gloups ... Et ensuite ?!"

E : "je euh ... ah hummmm ... Si je suis la recette ... Les pépites de chocolat ?!"

N : "le gourmand ! Mais on peut faire quelques variantes ..."

Elle se saisit de la chantilly et secoué la bombe pour ensuite faire une petite boule sur le gland qu'elle aspire aussitôt.

N : "désolé Slurp Slurp moi j'adore la pâtisserie"

Elle remet ça, plus abondamment. Trace une ligne de chantilly sur la verge. Sa main cherche, sur le plan de travail, le petit bol d'éclats de chocolat et en parsemé sur la chantilly. Elle me plaque en arrière pour me cambrer, je me tiens alors fermement à la table la laissant mener son cours.

N : "hummm un joli cookie !" Dit-elle en levant les yeux au ciel

La mère de famille ouvre grand la bouche, sans me quitter du regard. Je frémis et émet un râle assez rauque en sentant sa bouche serrer mon sexe. La maman Pâtissière a de la crème et des éclats de chocolat sur les lèvres, le bout du nez, le bord des joues ... Elle recommence jusqu'à nettoyer mon sexe, avec insistance mais délicatesse. Après quelques vas et viens dont les derniers sont plus intenses, ma queue brille sous ses coups de langue. Je n'en reviens pas de cette situation. Puis elle finit de lécher la chantilly sur ses lèvres, finissant le travail avec son tablier.



N : "hummm j'adore ! Ça me rend folle ... Le chocolat !" Me taquine t-elle avec un sourire "bon et maintenant ?! On met tout ça au four ?!" Dit-elle en se levant

E : "c'est vous la Chefe !"

La quadra se lève, se tourne et passe ses mains sur ses fesses. Elle prend ensuite les miennes pour me faire toucher.

N : "48 années et ... tu en penses quoi ?!"

E : "que le four doit encore très bien marcher !"

N : "oui mais attend ... Il est un peu fragile et sensible"

E : "on va y faire attention alors" dis-je avec un large sourire

Puis elle m'arrête alors que mes mains la caresse.

N : "dis dont avant de mettre au four ... Pour que cela ne colle pas ... On met ..."

Je la coupe presque aussitôt

E : "un peu de farine ?!"

Elle saisit une de mes mains ..et la trempe dans la farine. Mes mains moites collent, puis elle lève le genou sur le tabouret à côté et me fait comprendre ou mettre la farine en tendant son cul. Je la claque fermement ... CLAC ...

N : "oh ouiii hummm ... J'ai deux fesses, jeune homme ..."

Elle se cambre à nouveau et se tient à la table, je remets ma main dans la farine et lui claque l'autre fesse.

N : "Ah oui hummmmm"

On distingue parfaitement mes doigts sur chacune de ses fesses. Elle se dandine, inspirant fort comme si cela l'avait bien chauffé.

N : "tu sais au moins t'y prendre pour faire chauffer le four ! Canaille !"

Elle regarde alors la marque de mes mains sur chacune de ses fesses. Elle se cambre, dessinant sa raie, qui s'ouvre doucement, lentement. Elle passe une de ses mains entre ses cuisses et se masturbe, de l'autre elle se met à branler ma queue qui est si tendue, prête à exploser presque. Le gland bien gros et rose. Je me laisse alors aller, sentant une excitation mélangée à de la fatigue, cette impression irréelle quand Nathalie me sort de ce doux état de conscience.



N : "ça va redescendre jeune homme ..." guidant le gland entre ses jambes, il effleure ses fesses, sa raie, pour venir caresser délicatement ses lèvres.

J'ose alors poser mes mains encore pleines de farine sur ses hanches, elle garde toujours son petit tablier et se cambre, se baisse un peu plus et positionnant son vagin dans l'axe de ma queue.

N : "allez au four !"

Son injonction à peine terminée, elle met un coup de rein sec, assuré. Mon dard bien excité la pénètre. Je me cramponne fermement à ses hanches, me cambrant à mon tour et allant plus loin en elle.

E : "comme Hummm ca hummm madammmmmmme"

N : "ah ouh oui hummmmmm voilà à hummm temperatuuuuuuuure hummmm constaaaaaaaante ... Hummmm oh c'est bon oui hummmm"

Je me tiens bien à elle sentant mon sexe qui semble dilater son vagin. Il est chaud, délicieusement doux. Il enserre bien ma queue et les premiers vas et viens hésitants, laissent place à quelques coups de reins plus ferme, plus maitrisés, mais assez désordonnés par moment. Nous restons quelques instants concentrés, crispés. Moi, la voyant de dos, la voyant avancer et reculer, empalée sur ma queue, mon sexe disparaissant dans son intimité. Je tremble, et surtout je ne crois pas ce que je suis en train de vivre. Je baise la mère de famille que je connais depuis des années, là, devant ses fourneaux je lui ramone la chatte comme si je baisais un plan cul.


N : "alors ce hummm cours particulier canaille ? Hum humm ... Ça te plaît ? Hein ?"

E : «vous n’imaginez pas à quel point !" avec un si large sourire qu'elle ne peut douter de mon excitation.

Je décide alors de la prendre avec mes deux mains, que je place sous ses genoux. Elle s'avance sur le plan de travail, son tablier prenant la farine étalée un peu partout, Elle se cramponne aux bords

N : "Ouhla je sens que mon jeune pâtissier va ... Aaaaah"

A peine est-elle en train de finir sa phrase que mon excitation prend le dessus. Très excité j'accélère à tel point que Nathalie en est secouée, ses cheveux s'agitent dans tous les sens. Son corps ondule, ses fesses ... Je reste concentré, je grimace ... je gémis tout en essayant de me contenir lorsque soudain, je sens que mon excitation ne peut plus être contenue.

Nathalie, sentant les coups si désordonnés, et puissants se doute bien, de par son expérience que son jeune apprenti du jour ne peut tenir si longtemps à ce rythme. Elle pousse un peu les plats contenant les gâteaux et la plaque avec les cookies et monte en se mettant sur le flan tout en me freinant. Puis, sans retirer ma queue de sa petite chatte, elle lève la jambe et se tourne sur le dos. Face à moi, son regard dans le mien, se mordant les lèvres ... ce dernier mouvement sonne le glas de mon excitation.

Elle s'empresse de retirer ma queue et me branle sèchement.

N : "ça semble à point jeune homme pour ce premier essai ... concluant !"

Avec son large sourire et sa main ferme, elle me fait éjaculer sur son tablier plein de chocolat, de crème et de farine ...

E : "oh je aaaaaah madaaammmmme hummmmm je suis hummmm deso hummmmm aaaaaah"

N : "oui ouiiiiiiiiii encore Edouard ouiiiiiii sors moi ce gâteau tout chaud ouiiiiiiii lâches toi ... hummmmmmm c'est bon ça ... Canaille !"

Deux jets puissants s'écrasent sur le haut de son tablier alors qu'un autre plus abondant dégouline Au niveau du ventre, tâchant définitivement le bout de tissu. Je me sens vidé. Les quelques secondes de silence me paraissent une éternité. Je me tiens au plan de travail, épuisé. Mon sexe toujours dans ses mains puis je la regarde.

N : "joli premier essai mais le temps de cuisson est ... Un peu court jeune homme"

Elle passe le doigt sur mon sexe, puis le nettoie avec le tablier.

N : "bien ! Je vois que pour le premier essai ... Le tablier part déjà au sale !"

Elle se relève et se met nue devant moi, jetant le tablier souillé vers la porte de la cuisine.

N : "allez ... Ce n’est pas grave, il faut persévérer jeune homme ... En piste pour un second essai ..."

Elle se lèche les doigts, et range à nouveau le plan de travail pour la suite : Muffins et cookies. Entre temps, elle me jeté une serviette pour me nettoyer, et fait de même en allant chercher une grande serviette de bain. Revenant dans la cuisine toujours souriante, elle me prend la main, m'amène au centre de la cuisine.

N : "on refait un petit cas pratique ?!" Me suggéra-t-elle avec un clin d'œil.


FIN - Partie 1 (suite à venir …)
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Histoire de CharivariBrains

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