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Noémie

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Lue : 2174 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/05/2020

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Ça s'est passé quand j'étais étudiant à la fac, à la toute fin des années 1980. Il y avait dans mon groupe de TD/TP une fille qui au début ne m'attirait pas spécialement. Elle avait tendance à s'asseoir seule dans un coin et elle ne parlait à personne, même aux rares autres filles qu'il y avait dans le groupe (c'était une filière technologique que peu de filles suivaient). Elle était plutôt grande avec des cheveux longs, noirs et un peu frisés, pas spécialement bien coiffés. Sans être laid, son visage n'avait rien de spécial. Des yeux marrons avec des sourcils assez épais, et pas de maquillage. Elle s'habillait sans grâce, souvent avec un pantalon noir et un chandail gris et ample. Elle s'appelait Noémie. À la fin des cours, il nous arrivait de nous retrouver dans la même voiture du métro, sur la ligne 10. Je descendais à Javel pour prendre le RER C vers la banlieue ouest, elle continuait en direction de Boulogne. Habitait-elle les beaux quartiers ? Elle était si discrète et si mystérieuse... À l'époque, je m'intéressais à d'autres filles plus attirantes mais que j'avais du mal à draguer. Je me demandais si je ne devais pas tenter d'approcher Noémie. En même temps, je me jugeais un peu salaud de la considérer comme un "lot de consolation" pour combler de probables déboires. Que faire ?

Environ deux mois après la rentrée, les travaux pratiques d'informatique industrielle commencèrent. Il fallait se mettre par deux, en "binôme". Tous mes potes du groupe s'étaient déjà mis par deux ; il ne restait que deux types que je n'appréciais pas spécialement, et Noémie. Je n'hésitai pas et lui demandai si elle voulait bien qu'on soit en binôme. Elle accepta timidement. C'est ainsi que nous nous retrouvâmes côte à côte devant notre poste de travail (un ordinateur PC et un automate piloté par micro-contrôleur) plusieurs heures par semaine pendant quelques mois. Il fallait faire de la programmation en assembleur, tâche ardue mais que j'avais déjà pratiquée, ce qui me permit d'aider Noémie qui était une débutante dans ce domaine. Je lui expliquais calmement comment faire, elle m'écoutait, prenait des notes avec application. Nous utilisions l'ordinateur à tour de rôle pour écrire du code. Il y avait un gros projet à réaliser qui comptait beaucoup pour la note finale.

Nous avions une bonne relation, faite de respect, de calme et de douceur. Je crois que nous avions déjà bien sympathisé lorsque le dernier jour des travaux pratiques, alors que la date de remise du projet était proche, Noémie arriva dans la salle d'informatique en me faisant une forte impression. Elle portait une jupe beige moulante et un collant (ou des bas ?) noir et fin. Je m'aperçus qu'elle avait de très belles jambes, longues, fines sous le genoux avec des cuisses un peu grasses vers le haut et des hanches bien marquées par sa jupe. Elle était chaussée de bottines noires à talons carrés moyennement hauts. Elle portait un pull plus fin que d'habitude, un peu serré et qui soulignait sa poitrine. Elle avait un peu de maquillage: un rose léger sur ses lèvres et un peu de mascara sur les yeux. Ses cheveux semblaient mieux soignés que d'habitude, plus brillants. Comme d'habitude, nous étions assis côte à côte à notre poste de travail, et cette fois-ci j'avais du mal à me concentrer, jetant de temps à autre des coups d'œil furtifs aux jambes et aux pieds de Noémie quand celle-ci était concentrée sur l'écran de l'ordinateur. Je remarquai aussi qu'elle s'était agréablement parfumée. Je sentais que je devenais amoureux d'elle en même temps que j'éprouvais un vif désir: une érection gonflait mon pantalon. Je me ressaisis et parvins à ma calmer pour pouvoir continuer à travailler avec elle. Heureusement, car nous étions en train de tester le programme que nous avions écrit, et il fallait faire des corrections. L'assistant se montra compréhensif et nous laissa terminer à 19 heures (alors que nous terminions habituellement à 18 heures). Nous sortîmes de la salle un peu fatigués (surtout moi qui avait dû gérer à la fois le travail et une sorte de tempête intérieure). Nous continuions à parler du travail, du compte-rendu du projet que nous allions devoir rédiger. Je proposai à Noémie d'aller dîner au restaurant universitaire qui était ouvert le soir et moins fréquenté qu'à midi. Il faisait déjà nuit et sur le trajet, je ne pouvais m'empêcher de la contempler, ses cheveux et ses jambes reflétant la rare lumière des réverbères du chemin. J'étais charmé rien que par le son de ses bottines sur le trottoir.

Nous étions assis seuls à une grande table en train de manger un repas banal et nous parlions de nos vies. J'appris que Noémie avait vécu en province avant de venir étudier à Paris, et qu'elle logeait avec sa sœur dans un vieil appartement du 16ème. J'appris aussi qu'elle était seule, sans petit ami. En sortant, nous nous dirigeâmes vers la station de métro, et c'est juste avant d'entrer que je me lançai, nerveux et presque désespéré. Je dis à Noémie que j'avais de forts sentiments pour elle et lui demandai si elle voulait bien sortir avec moi, devenir ma petite amie. Elle sembla étonnée puis me répondit; "Oui, si tu veux". Je lui proposai alors de nous embrasser. Nous nous serrâmes dans les bras en nous embrassant, debout. Avec ses bottines, elle faisait exactement ma hauteur, ce qui était à la fois troublant et envoûtant. J'avais l'impression qu'elle était mon reflet dans une espèce de miroir à trois dimensions, à moins que ce soit moi qui était son reflet. Même si nous étions bien sûr physiquement différents, je me sentais tellement de points communs avec elle que je savais que notre relation serait très fusionnelle. Nous entrâmes main dans la main dans la rame du métro. Assis côte à côte sur une banquette, elle voulut encore des baisers sur la bouche. Elle me proposa d'aller chez elle, et je ne descendis pas à Javel cette fois-ci. Je n'avais jamais continué sur la ligne 10 au delà, et je découvris l'étrange parcours du métro sur la rive droite qui passe par d'étroits tunnels à sens unique. Nous descendîmes à la station Michel-Ange-Auteuil. Nous n'avions que quelques minutes à marcher pour atteindre l'immeuble où vivait Noémie: un escalier vétuste dans lequel elle se serra contre moi, tandis que je posai ma main sur sa hanche droite.

Arrivés au dernier étage, elle me fit entrer dans un appartement modeste (qui avait appartenu à sa grand-mère). Elle me dit que sa sœur était absente, qu'elle était chez son copain. Nous allâmes dans sa chambre. Une simple chambre d'étudiante avec un lit à une place, une armoire, un bureau, deux chaises, quelques photos et affiches sur les murs. Assis sur son lit, nous nous embrassâmes sur la bouche puis je me laissai "couler" lentement, embrassant son cou, plongeant mon visage dans son abondant chevelure, puis le frottant sur sa poitrine, sur son ventre, sur la plaine que formait sa jupe, passant mes mains entre la douce doublure de satin de la jupe et les cuisses de Noémie. "Mais où vas-tu ?" me demanda-t-elle avec un petit rire. Je posai ensuite mes lèvres et mes mains sur sur ses jambes gainées de nylon qui lui faisait comme une seconde peau incroyablement lisse. Arrivé à ses pieds, je me mis à lui ôter avec délicatesse ses adorables petites bottines et lui caressai les chevilles. Puis je me redressai, enlevai mon chandail et mon T-shirt, puis son pull à elle. Je découvris de beaux seins dans un joli soutien-gorge de dentelle noire. Ils n'étaient pas extraordinairement volumineux mais semblaient bien ronds. Je les contemplai et les caressai, puis descendis mes mains vers la taille, déboutonnant et tirant délicatement la fermeture de la jupe dont elle se libéra. Elle portait bien un collant (bien sûr, j'aurais préféré des bas, mais elle était quand même très désirable en collant) que je fis rouler sur ses hanches. Elle acheva de l'enlever. J'ôtai son soutien-gorge pour découvrir ses seins dans leur intégralité: bien ronds, fermes, avec des mamelons pointus. J'en léchai un puis le portai entièrement dans ma bouche, le tétant lentement. Elle gémit et de ses mains me pressa la tête contre cette mamelle. Je descendis ensuite vers son petit ventre pour le couvrir de baisers, puis plus bas, tirant sur sa culotte (de dentelle noire comme son soutien-gorge). Elle se dégagea pour l'enlever. Je retirai également les vêtements qui me restaient. Noémie tira la couverture du lit pour que nous puissions nous allonger tous les deux, nus. Ce lit était étroit et ce n'était pas très pratique. Noémie se mit sur le dos et je plongeai mon visage entre ses cuisses pour lui lécher la vulve. Elle soupira en disant "Oh, comme c'est merveilleux !", son sexe devenant de plus en plus humide. Au bout de quelques minutes, je recommençai à sucer goulûment un de ses lolos, ce qui me causa une très solide érection. Noémie avait été très passive depuis le début, mais je trouvais touchant cette manière de s'abandonner tendrement. Je me levai pour aller chercher des préservatifs dans mon sac (en ces années de sida, j'avais toujours des capotes au cas où). j'en enfila un et retourna m'allonger sur Noémie. Tandis que je la pénétrais, lentement, profondément, nous nous regardâmes dans les yeux, son regard implorant l'amour. Puis elle ferma les yeux en poussant un cri. Je continuai mes va-et-vient avant d'éjaculer dans une tempête de bonheur. Ensuite nous nous serrâmes l'un contre l'autre en pleurant de joie.

Peu après, toujours dans le lit, je jouais avec les cheveux de Noémie, les passant dans mes doigts, me recouvrant le visage avec. Elle était tout contre moi, et me dit:
- Tu m'aimes vraiment ?
- Evidemment que je t'aime.
- Pourtant je ne suis pas terrible.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Je suis une pauvre fille minable. Je suis gauche, je suis trop grande, je n'ai pas de charme. Je ne suis qu'une cruche.
- Ne dis pas ça, tu es très belle, très douce, très féminine. Tu as fait rayonner ta féminité aujourd'hui, je ne t'avais jamais vue comme ça.
- J'aime m'habiller "féminine" comme tu dis, mais souvent je n'ose pas sortir ensuite. Pourtant ce matin, je ne sais pourquoi, j'avais envie de le faire.
- Tu l'as fait pour moi ?
- Peut-être... Tu as été si gentil avec moi ces dernières semaines. Tu es le seul du groupe a avoir fait attention à moi.
- Je regrette de ne pas t'avoir proposé plus tôt d'être avec moi. C'est bête, il suffit à certaines filles de juste mettre une jupe ou une robe et des talons pour qu'elles deviennent irrésistiblement désirables. Je dois être un peu fétichiste.
- Mais est-ce que tu m'aimes vraiment ?
- Oui et je veux qu'on reste ensemble. Je ressens quelque chose de très fort avec toi. Ce n'est pas que ton corps qui m'attire. J'aperçois ton âme. Comment te dire... Je crois qu'on se ressemble toutes les deux.
- Tous les deux !
- Cette fois-ci je veux que ce soit le féminin, la féminité, qui l'emporte. Oh oui, emporte-moi vers le royaume de la féminité, de la douceur, de la sensualité, de la tendresse !
Et je plongeai mon visage dans son cou en la serrant très fort par la taille.
- Tu es complètement fou ! Me dit-elle en riant.

Nous nous endormîmes blottis l'un contre l'autre comme des petits chats alors que je continuais à goûter de mes mains la douce peau et la tendre chair de Noémie. Il faisait un peu froid et à un moment, en pleine nuit, elle me réveilla en se levant pour aller enfiler une chemise de nuit en satin. J'ouvris les yeux et la vis dans la pénombre revêtir cette chemise de nuit et revenir vers le lit. Je fermai les yeux et ne bougeai pas. Je la sentis s'allonger près de moi et passer ses bras autour de mon cou.

Le jour commença à se lever. La pluie frappait à la fenêtre de la chambre de Noémie. Nous nous réveillâmes en même temps et nous embrassâmes tendrement. Je me mis sur le dos, Noémie vint sur moi et je contemplai le décolleté de sa chemise de nuit. Je plongeai encore mon visage entre ses seins tout en caressant ses fesses à travers le satin. Ses doux cheveux noirs étaient éparpillés en rideau autour de moi, m'abritant comme dans un nid. Puis elle s'écarta pour s'allonger sur le ventre et je me redressai. Je glissai ma tête sous sa chemise de nuit, posant des petits baisers et mordillant ses fesses potelées. Elle murmura des mots incompréhensibles, serrant son oreiller contre sa joue. Elle ramena ses genoux en avant et je soulevai sa chemise pour découvrir son derrière. Je la pris alors en levrette en lui pétrissant ses fesses et ses seins. Elle s'abandonna en gémissant.

Il fallut bien que je m'en aille. Après qu'elle nous eut fait un petit-déjeuner, au moment de partir de chez elle, elle se serra contre moi, implorante, la tête sur mon épaule et me dit:
- On va rester ensemble ? S'il te plaît ?
- Mais évidemment ma chérie.
- Tu ne vas pas me quitter pour une autre fille ?
- Bien sûr que non. C'est toi que j'aime, c'est toi qui est ma femme. Oui, ma femme...

Notre relation se poursuivit, harmonieux équilibre fait de tendresse, de sensualité et de moments torrides. En même temps, nous continuions à étudier ensemble. Nous passâmes du temps à rédiger le compte-rendu de notre projet d'informatique et nous eûmes la meilleure note du groupe. Noémie prit confiance avec moi pour affirmer sa féminité. Elle hésitait moins à se mettre en jupe, et je la convainquis de laisser croître ses cheveux encore un peu plus long. Il m'arrivait même parfois de la coiffer ou de lui faire une natte si elle le désirait. Elle décora également sa chambre avec plus de soin, en faisant un petit nid d'amour dans lequel je venais souvent la rejoindre. Souvent je lui apportais des fleurs qu'elle mettait dans un vase sur son bureau. Les beaux jours arrivèrent et un dimanche matin de printemps, Noémie mit une très belle robe longue à fleurs avec un large décolleté. Elle chercha en bas de son armoire quelles chaussures porter. Parmi la dizaine de paires, je vis des escarpins de cuir violet assez classiques avec des talons aiguille d'environ dix centimètres.
- Mets-donc celles-ci, elles sont magnifiques.
- Je n'ose jamais les porter. En plus, si je les mets je vais être plus grande que toi, ça m'embête pour toi.
- Ça ne m'ennuie pas si tu me promets une chose ?
- Quoi ?
- Que si tu les mets tu resteras aussi douce et tendre ?
- Bah oui... Pourquoi je deviendrais méchante ?
Elle mit ses escarpins et je m'éloignai un peu pour la contempler, intimidé mais fasciné. Elle sembla gênée et se tourna vers la fenêtre. Je m'approchai derrière elle, embrassa son épaule droite et lui serra la taille. Ses cheveux caressaient ma joue gauche. Je lui murmurais:
- Ô ma reine, ma déesse, mon âme, mon amour... Enveloppe-moi entièrement de ton immense douceur. Je veux vivre le culte de la féminité avec toi, toi, toi...
Un désir immense me prit. Je tombai à genoux, soupirant et pressant ma tête sur son ventre qui ressemblait à un champ de fleurs. Elle me caressa les cheveux et me dit doucement:
- Non, ce n'est pas le moment, on doit sortir maintenant.
Je me ressaisis en me jurant de lui faire l'amour dans cette tenue. Nous sortîmes donc. Elle n'avait pas trop l'habitude de marcher avec des talons aussi hauts et me demanda de la tenir par la taille au cas où elle trébucherait. J'avoue que j'étais un peu gêné de m'afficher dans la rue en couple avec une femme qui me dépassait de quelques centimètres, mais les passants semblaient indifférents. Le temps était ensoleillé et il commençait à faire chaud. Sur le chemin du retour, après avoir fait nos courses à la boulangerie et au marché, Noémie montra de plus en plus coquine, se serrant plus près et me donnant des baisers. Arrivés chez elle, nous laissâmes tomber nos sacs et elle se pencha sur moi pour plaquer sa bouche sur la mienne en frottant son entrejambe contre moi. Nous courûmes dans sa chambre. Je baissai mon pantalon et mon slip, me mis derrière elle et soulevai sa robe. Je vis qu'elle n'avait pas mis de culotte. Elle se pencha en avant les mains sur le mur et cambra ses reins. Sur ses talons, elle était trop haute pour que je puisse la pénétrer véritablement. Alors mon sexe dur comme du fer chercha un chemin dans le bas de ses fesses, se tortilla dans cette large masse molle. Une main sur son ventre, l'autre pressant un de ses seins, je mordillais l'épaule de Noémie alors que mes mouvements de reins faisaient comme si toute ma conscience se concentrait dans ma verge: j'étais comme un petit animal s'agitant dans un terrier. Nous poussâmes ensemble un cri de plaisir. Mon sperme coulait le long des cuisses de Noémie. Elle tenait sa robe relevée jusqu'à la taille pour ne pas la tacher puis l'ôta. Nous dûmes faire un brin de toilette. Elle me dit plus tard:
- On a fait les sauvages, mais que c'était bon. Je ne pensais pas que ça m'exciterait autant.

Nous sommes restés quelques années ensemble. Nous eûmes de nombreux instants tendres et romantiques, d'autres très coquins, mais toujours avec une grande compréhension mutuelle, partageant nos fantasmes avec complicité. Rien n'était honteux entre nous car nous étions vraiment amoureux.
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