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Sa première Sodomie - Sa version (Lui)

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Lue : 1022 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2020

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Voilà quelques temps que Charlotte et moi partageons nos draps. Enfin, c'est surtout elle qui m'ouvre les siens. Je suis militaire, j'habite à l'intérieur du régiment et je ne peux pas faire entrer des personnes de l'extérieur.


Quand je l'ai connue elle habitait encore chez sa mère, ce qui nous forçait de profiter de la douceur du Sud de la France pour nos ébats. Pour joindre l'utile à l'agréable, elle m'a permis de trouver une justification à mon sport du matin. Bien que je déteste courir, le footing me permettait d'explorer les environs, les chemins accessibles, les coins tranquilles à noter dans un coin de ma tête, lorsque le prédateur qui sommeille en moi devrait se réveiller.


Un matin, un peu plus motivé qu'un autre, je décide de sortir de la route goudronnée pour rallonger un peu le parcours. Je prends un chemin de campagne relativement large, bordé de petits arbustes.

Il s'éloigne de la route sur une cinquantaine de mètres, fait un coude, puis passe sous un petit tunnel permettant aux voies du chemin de fer de traverser la forêt. Dans un coin de ma tête, je me dis que l'endroit pourrait se prêter à une visite nocturne... avant de penser à l'amplification des sons si jamais nous devions être plus bruyants que de raison.

Passé le tunnel, le chemin monte en pente douce jusque sur une petite place avec une ancienne citerne, laissant assez de place à une voiture pour facilement faire demi-tour. J'enregistre l'endroit, et je continue mon footing. Quelques centaines de mètres plus loin, le seul chemin parmi les broussailles est un vrai mur sur une centaine de mètres.


J'y ai à peine fait trois foulées que déjà j'ai l'impression de traîner deux jambes faites de pierre. Plus le choix, je ne vais pas me laisser abattre maintenant que je m'y suis engagé ! Une fois la montée franchie, en nage, je me dis que cet endroit me laissera des souvenirs longtemps...


Quelques temps plus tard, je me retrouve sur le parking en face de chez Charlotte. Cela fait un moment que je ne l'ai pas revue, je suis impatient. En l'attendant, je me repasse les moments agréables que j'ai déjà passé avec elle ici. Effectivement, un parking de quelques places à côté de la route, à l'angle de la caserne de pompiers, ce n'est pas ce qu'il y a de plus intime ni de plus calme. Mais il faut parfois se contenter de ce qu'on a !


À moitié perdu dans mes pensées, elle apparaît en bas de l'immeuble d'en face. Elle traverse la rue, en robe, la démarche légère, juste à l'heure prévue, et monte dans ma voiture, une vieille Mazda 323 tout juste bonne à m'emmener d'un point A à un point B. Je me retiens intérieurement, juste le temps de ne pas paraître impoli et de lui demander comment elle va et comment s'est passée sa journée, puis je l'embrasse langoureusement. Ses lèvres chaudes m'enivrent, et si je ne faisais que m'écouter, je pourrais profiter d'elle à cet instant précis, comme cela a déjà été le cas ici.


Je me reprends, m'éloigne doucement d'elle et mets le contact. Je roule en direction du chemin que j'avais découvert pendant mon footing. Vu comme j'en avais bavé, il était temps de remettre les pendules à zéro en y prenant ma dose de plaisir.


Le trajet n'est pas très long, une dizaine de minutes tout au plus, mais je ne veux pas perdre une miette d'elle. Tout en conduisant, je glisse une main le long de son cou, sur sa clavicule, un sein, que je malaxe... jusqu'à ce qu'elle repousse ma main, me disant de rester prudent en roulant. À moitié vexé par ce refus, j'élabore ma prochaine attaque.


Je tourne les choses à mon avantage en me disant que ce n'est pas le fait d'être prudent, mais plutôt le fait de voir depuis l'extérieur que j'ai ma main posée sur son sein. Convaincu, je réitère donc par une main sur sa cuisse nue. Pour sembler naturel, je lui tiens quelque peu la conversation sans la bouger, estimant le temps qu'il me faudrait pour que cela puisse avoir été fait innocemment.


Puis lentement, je laisse ma main remonter. Sans être trop rapide, par petites caresses, en faisant des pauses. Mais toujours un peu plus haut... Je ne sais pas si c'est vraiment réel ou si ce n'est que mon imagination, mais j'ai l'impression de sentir sa chaleur quand je m'approche du graal.


Quand je sens que je suis tout proche, je me rends à l'évidence: si j'ai pu remonter jusqu'ici sans protestation, je peux me permettre d'y aller franchement. Chose que je fais, en laissant passer la tranche de ma main entre ses cuisses. Elle me répète de me concentrer sur la route, mais sa voix et ses jambes qui restent écartées me crient de ne pas m'arrêter.


Étant d'un naturel plutôt influençable (encore une fois, je tourne les choses à mon avantage), je décide d'écouter son corps et j'appuie fermement ma main entre ses cuisses. La chaleur que je sentais se confirme, ses protestations se transforment en soupir, le cap est franchi. Je laisse mes doigts jouer entre ses cuisses, tantôt de la pointe, tantôt du plat de la main, en essayant de varier les plaisirs, selon ce que la route me permet.


S'approchant de notre destination, je retire doucement ma main, je rabaisse sa robe je repose ma main sur sa cuisse, sagement cette fois, en espérant bien que sa température ne redescende pas.


La lune n'est pas loin d'être pleine, la nuit est douce et claire, mais une fois arrivé au chemin qui quitte la route goudronnée, je dois me rendre à l'évidence: si en courant je peux y passer sans problèmes, il y a tout de même quelques gros cailloux. Bien que ma voiture soit près de la ruine, je ne voudrais pas gâcher la soirée en crevant un pneu et transformer mon plaisir en retour à pieds. Je m'arrête juste après le coude, pour être à l'abri des éventuels regards de la route.


Je coupe le contact, me tourne vers elle et l'embrasse à nouveau. Je l'informe que c'est ici que notre chemin s'arrête, que je n'ai pas trouvé mieux pour la soirée. Ma main se pose sur sa cuisse nue, la robe légère qu'elle a mise me laisse facilement accès à ce qui me plaît... Je resserre ma main doucement sur l'intérieur de sa cuisse, tout en haut, tout proche de l'effleurer, puis la relâche doucement.


Je pourrais y retourner directement, mais maintenant qu'elle y a déjà goûté, je préfère la faire languir un peu. Ma main remonte, passe sur ses seins. Ils ne sont pas sensibles, ce qui me permet de les serrer fermement dans mes mains, chose que je ne me prive pas de faire. Je me décide enfin de défaire ma ceinture de sécurité (preuve que je suis un conducteur prudent !), ce qui me permet de me retourner franchement et de prendre ses deux seins à pleines mains. Plus d'excuses cette fois, de toute manière je plaque mes lèvres aux siennes, elle pourra protester quand je la relâcherai...

Je reprends mes distances, je sors de la voiture et lui fais signe de me rejoindre à l'avant. Je l'embrasse en lui plaquant les hanches contre le capot, puis d'un geste je relève sa robe au dessus des hanches pour que ses fesses soient directement contre le métal froid. Elle est prise d'un frisson, et je la maintiens quelques secondes comme ça, petit plaisir sadique, avant de la laisser s'en éloigner et de poser mes mains chaudes sur ses fesses.


Elle soupire d'aise, et j'en profite pour attrapper ses lèvres au vol et les mordiller. Je la retourne et lui fais comprendre que je veux qu'elle pose ses mains sur le capot.


Je me colle contre ses fesses bien rebondies, elle doit déjà me sentir bien dur contre elle, elle sait parfaitement que j'ai un faible pour son cul. Elle ne broche pas et me laisse frotter ma queue contre son cul, lentement, à ma guise, comme si elle me montrait qu'elle m'appartenait et que je pouvais disposer d'elle. Elle n'a jamais été sodomisée, mais je l'ai habituée à prendre des caresses, un doigt légèrement, et de lui faire des anulingus auxquels elle n'a jamais rien trouvé à redire.


Ne tenant plus, je la retourne et l'embrasse à pleine bouche. Ses mains se posent sur mon torse et se frayent un chemin jusqu'à mon pantalon. La paume de sa main se pose sur ma queue qui la réclame depuis qu'elle est sortie de chez elle.

Me sentant fébrile, elle ne me fait pas languir plus longtemps et déboutonne mon jeans pour libérer ma queue. Elle baisse légèrement mon pantalon et plonge directement sa main dans mon caleçon. Cette caresse est déjà en soi une délivrance. Elle m'arrache un long soupir, mais ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle que déjà elle s'est mise à genoux.


Je sens sa langue d'enrouler autour de mon gland, la chaleur de sa bouche m'envahit, avant qu'elle ne ressorte ma queue pour que je sente l'air frais de la légère brise qui nous a rejoints me caresser. Elle embrasse lentement ma queue sur toute sa longueur, elle fait de même délicatement avec mes couilles, puis entreprend de remonter très lentement de la pointe de sa langue jusqu'au bout de mon gland, avant de l'enserrer de ses lèvres et de faire disparaître ma queue dans sa bouche.


Je pourrais la laisser me sucer pendant des heures, mais elle me donne furieusement envie d'elle. Je l'empoigne par la nuque, la fais se relever, l'embrasse au passage, la retourne et la penche sur le capot. Je relève sa robe pour pouvoir profiter d'elle comme il me plaît. À ce moment là, je remercie la pleine lune de me laisser la voir. Elle a beau me répéter qu'elle se sent "trop comme ci où trop comme ça", elle est tout à fait à mon goût.


Je prends ma queue en main, lui fais écarter les jambes un peu plus et je pose mon gland entre ses cuisses. Inutile de se poser plus de questions, elle est plus que prête à m'accueillir. Je rentre d'un coup en elle, lui arrachant un râle. Elle essaie de m'accompagner, mais je lui interdis de bouger.


C'est moi qui la prends, c'est moi qui donne le rythme. Je commence par faire de longs aller-retour en elle, laissant juste le gland en elle, puis en donnant un petit coup sec quand j'arrive au fond d'elle pour qu'elle entende mon bas-ventre claquer contre ses fesses. Puis j'accélère le mouvement, mes mains s'agrippant à ses seins, ses hanches, ce qui me tombe sous la main...

Je la fais pencher encore plus, jusqu'à ce qu'elle se retrouve couchée sur le capot, je prends ses mains et les pose sur ses fesses. Avec le temps, elle comprend immédiatement ce que je veux et elle s'applique à tenir ses fesses bien écartées. J'ai à nouveau une pensée pour la pleine lune, je ressors entièrement ma queue et je m'arrête quelques secondes pour la voir offerte ainsi...


Je crache sur mes doigts et, tout en continuant à la prendre, commence à lui caresser le cul de deux doigts, en faisant de petits cercles. Lentement, j'y entre un doigt. À ce moment là, je la sens très détendue, et ouverte. Au sens propre du terme. C'est à ce moment là que je prends ma décision.


Je me retire d'elle. Je pose mon gland contre son cul, et lentement elle m'accueille en elle. Je n'arrive pas à croire ce que je suis en train de faire. Pas parce que je ne l'ai jamais fait, mais par la facilité avec laquelle j'y parviens avec elle, comparé à d'autres.


Elle qui n'avait jamais été sodomisée est en train de me prendre dans son cul, sur le capot de ma voiture, sans lubrifiant ou quelque produit que ce soit. Mon esprit s'est complément brouillé. Le plaisir de lui faire découvrir, la situation, sa capacité à me prendre, mon envie de la prendre, simplement, mais aussi et surtout le besoin de lui faire sentir qu'elle est en sécurité et que rien n'est forcé...


Le temps que toutes ces images et ces idées me traversent la tête, elle m'avait pris jusqu'à la garde. Je pose mes mains sur les siennes, les caresse doucement tout en commençant à faire de petits va et viens en elle. Je l'entends respirer profondément, et malgré le fait que j'aie un gabarit plutôt au-dessus de la moyenne, je sens son cul se détendre autour de moi. Je me penche sur elle, lui glisse à l'oreille que je suis fier d'elle, tout en continuant mes mouvements lents en écoutant sa respiration.

Après quelques minutes, son esprit a accepté le fait que je sois en train de la sodomiser. Relâchée complètement, elle me permet de faire des aller-retour complets dans son cul, jusqu'à en faire claquer mes couilles entre ses cuisses. L'excitation de la découverte ne me laisse que peu de répit. Je lui prends les hanches et l'avertis que je vais jouir sous peu.

Loin de me retenir, elle m'encourage à me laisser aller en elle. Encore surpris de cette première fois qu'elle vient de m'offrir, je sens l'orgasme monter, rapide, puissant. Je retiens mon souffle en sentant les premières contraction de ma queue, puis me vide complètement dans son cul, encore vierge quelques minutes auparavant. Le souffle court, je reprends mes esprits avant de ressortir tout doucement d'elle, lui remets sa robe en place, la fais se redresser, tourner contre moi et serrer fort dans mes bras.

Depuis ce jour, ce chemin a été baptisé "chemin de la sodomie". Elle n'était ni calculée ni attendue, elle peut sans doute manquer de romantisme aux yeux de certaines pour une première fois, mais c'est à ce moment là qu'il fallait la faire. Charlotte était prête, réceptive, elle a été respectée, et elle non plus n'oubliera jamais le chemin de la sodomie.

J'avais raison pendant mon footing. Je me souviendrai longtemps de cet endroit.
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