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Notre location de vacance 3/4

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Lue : 7249 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 13/03/2017

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Aucun de nous n'était riche et quand nous nous sommes mariés, rien ne s'est arrangé, il n'y a que mon mari qui travaillait pour un salaire dérisoire, je faisais parfois des remplacements pour un salaire aussi dérisoire, mais très rarement, nous avons élevé un enfant et le peu d'économie, on le bouffait en se payant des vacances tous les deux ans, c'est d'ailleurs lors de vacances que nous avons rencontré le couple Annie avec qui nous avons sympathisé.

Et c'est d'ailleurs grâce à elle qui m'a fait rentrer pour les vacances, là ou elle travaillait, que nous avons pu partir l'année suivante et louer sur la cote, dans les terres, tout cela pour dire que l'habillement, cela n'a jamais été un poste de dépense, et actuellement, j'ai sur moi une tenue très inhabituelle que même mon mari n'est pas habitué.

Nous continuons notre grande ballade et nous rentrons, il nous propose la télé, si nous ne voulons pas aller nous coucher de suite, pourquoi pas dit-on, et on s'affale sur son canapé, mon mari au bord et moi forcement au milieu, le voisin s'installe sur un fauteuil en biais, mon mari lui dit, ha non, venez avec nous, vous êtes chez vous quand même.

Il nous dit qu'il ne veut pas nous déranger, mon mari insiste et il vient à côté de moi en disant, c'est vrai", mon mari lui dit, " méfiez-vous quand même, elle pourrait vous violer", avec humour, il répond, "je ne crains rien, je suis vacciné, et ça ne serait pas cela qui me tourmenterait le plus".

Le voisin nous propose un digestif, a mon mari surtout, mais il n'a rien, il pensait avoir, mais il n'a plus, lors de promenade, on avait acheté des cerises à l'eau-de-vie, pendant qu'il cherchait dans ses placards, mon mari me dit de me laisser tripoter, qu'il va voir comment il fait, il ne m'en dit pas plus.

Mon mari dit tout haut, attendez, on doit avoir des cerises à l'eau-de-vie, je suis collant avec la marche, je vais prendre une douche et revenir avec les cerises, il me fait un signe et s'en va, je dis au voisin, qu'il vienne à côté de moi et de faire celui qui me tripote, et je ferais celle qui ne se laisse pas trop faire.

Je suis empêtrée dans mes mensonges, mon mari ne sait pas que le voisin fait plus que me tripoter, et le voisin ne sait pas que mon mari sait qu'il me tripote soft, j'ai entendu la grille de notre maison, je dis au client à toute vitesse, "bon mon mari nous a surpris au début quand vous me tripotiez à la cuisine, ça l'a amusé et ça ne le dérange pas, ça l'excite même, et là, il est parti, mais il va faire comme vous, nous mater, comment je ne sais pas, alors vous allez jouer le coquin qui s'arrange pour me frôler".

Il me répond, "ha bon, il sait vraiment, il dit rien", je dis que non et de faire ce que j'ai dit, dans la salle, le seul endroit pour qu'il puisse mater dans la salle, c'est la porte-fenêtre à côté de l'entrée, il n'y a qu'un petit vantail qui n'est pas tiré pour laisse un petit courant d'air quand il n'est pas là et il ferme la porte quand il revient, pour les moustiques.

Mon mari n'est pas doué pour le camouflage, à l' occasion d'une image très blanche à la télé, comme je regardais l'endroit, j'ai pu entrevoir furtivement bouger, je dis au voisin, "aller, on commence, faites comme si c'était la première fois et ne regardez pas les fenêtres.

Je me lève, et je fais celle qui regarde des bibelots en posant des questions, il me met les mains aux fesses en disant, "il ne va rien dire", je dis non, il me pousse à me laisser faire même, il cherche à lever ma jupe et je me pousse en donnant un tortillement de cul pour me dégager.

Je répète plusieurs fois cela et je me mets sur le fauteuil où il était au début, celui-ci donne sur la porte-fenêtre, doucement pour pas que mon mari entende, qu'il pense juste qu'on discute, je lui dis de se mettre derrière moi et me toucher les épaules puis de se rapprocher des seins, quand il fait cela, je le repousse.

Je fais des gestes, et en même temps, je parle pour qu'il comprenne mes intentions, je me lève et le fais asseoir à ma place, je me mets hors de portée de main et je retire ma jupe, je me retourne plusieurs fois, puis je retire mon chemisier, je suis devant lui en sous-vêtement.

Après plusieurs tours sur moi-même, pour qu'il me voie sous toutes les coutures, je lui dis de faire celui qui se lève pour venir toucher, mais que je vais lui dire de rester assis, il se lève, avec ma main, je dis stop, il se rassoit, je viens mettre mon pied sur l'accoudoir, il me caresse la jambe à ma demande, je me pousse quand il remonte trop.

Venant prés de lui, je lui tends mes fesses, il me caresse les cuisses et remonte sur les fesses, je laisse faire 2 secondes, et me pousse pour qu'il arrête, je reviens ensuite, et il recommence, par contre, en me retournant, je vois que son short souffre, je dis ça suffit et me rhabille, mon mari comprend que c'est fini et va dans la maison chercher les cerises après s'être juste mouillé les cheveux pour faire croire à une douche.

Comme je n'étais pas sûr qu'il soit parti, nous avons attendu sagement devant la télé, nous avons terminé la soirée à discuter plus qu'à la regarder, de retour chez nous, mon mari avait bouffé du lion, il savait que je l'avais vu, c'est lui qui cette fois, me racontait ce qui s'est passé, me reprochant de me repousser trop tôt quand il était prés de mon sexe.

Qu'est-ce qu'il croit, que d'être tripotée, ça me laisse de glace, que s'il me tripote le minou, ça me fait pareil que s'il me touchait le sommet du crâne, je suis déjà très étonnée de sa soudaine envie candauliste, dont je connais la raison que depuis peu.

Mon mari voudrait que je me laisse tripotée, en restant un bout de bois, sans coucher avec mon peloteur, et que ce même peloteur se contente uniquement de cela, que mon mari soit excité de ce qui se passe, qu'il aime que je sois tripoté, j'en suis certaine, mais accepterait-il que je sois baisée, ça, je n'en sais rien.

Quand nous avons baisé, il me disait, "ça te faisait quoi sa main qui remontait sur ta cuisse, et quand tu t'es mise presque à poil devant lui, et qu'il te matait les fesses", je réponds que ça m'excitait bien sur, cela n'excitait pas que moi apparemment, mon mari part dans ses fantasmes, "tu ne vois pas qu'il t'aurait maintenue et doigtée, et qu'excitée, tu ne puisses te dégager", je lui dis, "j'espère que tu serais intervenue.

Surement pas dit-il, je t'aurais laissé jouir, j'aime bien quand tu jouis, imagine ses doigts qui te frottent le clito, et que tu te laisses faire tellement tu apprécies, ma femme jouir comme une salope, hein, tu le laisserais faire, excitée de ses paroles, je dis "oui", et en me disant salope, il jouit aussi, nous jouissons ensemble.

Le lendemain matin, nous allons nous balader tous les deux pour ne pas l'ennuyer, nous voyant partir, il nous demande si on revient à midi, mon mari dit oui, le voisin propose merguez et saucisse barbecue, mon mari dit oui.

Après la ballade repas avec lui, nous ne nous gênons plus maintenant, même rituel après le repas, sieste de mon mari pendant qu'on se baigne, la consigne, je me laisse tripoter et quand il va se balader, je le réveille pour raconter pendant qu'il me baise.

Dans ma tête, on m'a remplacé mon mari, ou alors il a eu un déclic, du genre, "Mr, occupez-vous d'exciter ma femme pendant que je me repose, qu'elle ait la pêche à mon réveil", m'exhiber comme la veille de cette manière, j'avais la gueule pendant un mois, voir même une menace de divorce, et là, je le déçois de pas en avoir fait assez.

Une fois qu'il s'est endormi, que les caisses soient déballées avec les jouets, que ma serviette est mise, le voisin sort de l'eau et revient avec un sac plastic, il me met nue, et me met sur la serviette, il me caresse, me doigte, me parle à voix basse disant, "alors il a aimé hier soir, il a aimé voir sa petite salope se faire mater et tripoter, il t'a bien baisé après".

Je réponds oui à chaque fois et il continue en demandant des détails, "il a dit quoi, que j'étais allé trop loin, pas assez loin, qu'est-ce qu'il aurait voulu voir de plus, aller dis moi tout", le plaisir monte, et il me dit, "à quatre pattes", j'obéis, et il continue à me masturber, il m'enduit de vaseline.

Du sac qu'il a amené, il sort un plug, voilà les achats qu'il a fait en plus, l'excuse pour sortir, il me le présente au bord de l'anus, pour que la vaseline s'étale aussi dessus et me le rentre lentement, il me le rentre en douceur en disant, je fais le passage avant de t'enculer salope, je ne voudrais pas t'éclater.

Je n'en reviens pas moi-même d'être là, dans cette position humiliante, à me faire sodomiser avec un objet par un inconnu, mais cela fait déjà plusieurs jours que j'ai laissé de côté ma fierté, et que seul le plaisir pris compte.

Le plug est coincé et à fond, il continue de me doigter et m'agacer le clito, je suis à l'entière merci du voisin, et cela, me plaît, je me fous complètement si mon mari venait à nous surprendre, je me l'imagine même arriver sans bruit et …, je n'ai même pas le temps d'imaginer quoi que se soit, l'image me fait jouir.

Après ce premier orgasme, prenant mon maillot, nous allons dans la cuisine, je garde le plug, comme toujours, assis sur la chaise, je me mets à genou et le suce, quand il le décide, il me retire le plug, et je m'assoie sur sa bite, que je m'enfile doucement, elle est tellement grosse, qu'une fois bien enfilée, pas besoin de bouger pour en profiter.

Il est assis sur la chaise, face à la fenêtre, avec vue sur mon mari, je suis assise dessus, bien emmanchée, et nous le regardons dormir, je suis le dos appuyé contre lui, il s'agrippe à mes seins, et une fois que je suis habituée a la taille de l'intrus, je commence à fléchir et tendre les jambes pour imprimer un mouvement d'allée et venue de ma chatte sur son membre.

Le contexte est excitant, il sait ce qui m'excite, les paroles, les mots, "regarde ton mari dormir, pendant que je baise sa salope, ou plutôt sa salope qui se trémousse sur ma bite comme la dernière des putes, il le sait que sa femme est une salope, il aime la voir, se faire tripoter le cul, il aimerait peut-être la voir, se faire défoncer".

Pendant que je me baise, il me parle du plaisir que mon mari a, à me faire tripoter par un autre, du plaisir que j'ai aussi à être maté par ces deux-là, moi, celle toujours effacée, celle qu'on ne regarde pas, mais qui actuellement est en train de se faire tromboner comme une salope, je parle fictivement à mon mari, seule le voisin entend.

Regarde ta femme, elle va bientôt jouir, et c'est un autre qui va la remplir, toi, tu passeras derrière, après lui, le voisin me dit, "ça te plaît salope que ton mari soit là, mais la prochaine fois, c'est dans ton cul que je vais jouir, tu veux que je t'encule, demande-le-moi".

Oui, encule-moi, encule-moi, je ferais tout ce que tu voudras, le voisin commence à m'embrasser le cou, je lui rappelle, pas de suçon, il me dit que je suis bonne, il veut que je jouisse, je ne veux pas qu'il se retire, je lui redemande pour le test passé il y a quelques années ou il me jure n'avoir jamais été avec une autre depuis.

Et je lui dis que s'il veut, il peut tout me lâcher dedans, il me demande si moi-même, je prends la pilule, je le rassure là-dessus, je vais te remplir la chatte salope dit-il, savoir qu'il va pouvoir tout me mettre l'excite davantage et il commence à jouir, je n'étais pas loin non plus, et de sentir le liquide chaud en moi, l'orgasme m'envahis.

Nous crions en essayant d'être discret tous les deux, les yeux rivés sur la chaise longue ou dort mon mari, quand je commence à sentir son engin qui se dégonfle, je me lève et j'emprunte sa salle de bains où je ferme la porte au cas où mon mari viendrait.

Je rejoins mon mari ensuite, qui me demande une pipe, je dis, "et moi", je t'expliquerais après dit-il, il est vrai que je ne suis pas délaissée en ce moment, je me demande juste ce qu'il a inventé, je lui ai dit que le voisin est parti à sa ballade, après être soulagé, il va lire un programme télé et en revenant, me demande ce que je pense qu'il aime comme émissions.

Je le vois venir, en fait, je vais choisir une émission, et mon mari va dire préférer lire à la maison, après le repas, c'est ce qui se passe, après que j'ai choisis, il dit, "et si notre voisin veut regarder autre chose", bien sûr, il dit comme moi, je prends une douche et mets les sous-vêtements sexy qu'il m'a offert, je reste en peignoir.

J'avais dit à mon mari, si tu vois qu'il va trop loin, ne rentre pas comme un malade, va plutôt faire du bruit avec le portail pour montrer que tu arrives, ça le stoppera, et évitera que tu te fâches avec pour quelque chose dont tu auras été responsable", ne t'inquiète pas avait-il répondu, il m'a également demande d'entre 'ouvrir légèrement la porte-fenêtre pour entendre aussi

Pendant qu'on est assis devant la télé, mon mari s'est mis en place, l'après-midi, il avait ouvert un peu plus le volet de la porte-fenêtre, je me rends compte que je suis complice avec le voisin, contre mon mari, mais pour son plaisir, celui-ci sait que mon mari nous regarde, je lui ai dit aussi qu'il nous entend, il me dit que lui aussi aime regarder, qu'il ne m'apprend rien.

Nous sommes sur le canapé, et se rapprochant, il me caresse les cuisses à travers le peignoir, je laisse faire quelques secondes et je retire sa main, il recommence, et cette fois, il remonte mon peignoir, je le repousse en disant que c'est un coquin, le voisin a bien comprit le jeu.

Il me dit, "j'ai vu que vous avez mis des bas, peut être aussi ces jolies dessous, aller montrez moi, je resterais sage", il redemande encore une fois et je cède en disant, "je montre, mais vous restez là", je me lève et me mets sur le côté, j'enlève mon peignoir, il me complimente, je me tourne de tous les côtés, mon mari me mate aussi, il aime me mater en même temps qu'un autre.

Après cela, il me demande de m'approcher juste pour me toucher la cheville, pour voir la douceur du bas, a chaque fois qu'il me demande quelque chose, je l'oblige à renouveler sa demande, je pose mon pied gauche sur son genou à sa demande, (mon mari est sur la droite), il me caresse la jambe de sa main droite, je lui dis, "vous n'aviez pas dit la cheville seulement".

C'est tellement doux dit-il, l'autre pied maintenant, je change, et cette fois, si sa main gauche, visible par mon mari me caresse, sa main droite cachée par ma jambe, remonte jusqu'à mon sexe, sa main visible est maintenant sur ma cuisse, je lui fais remarquer, il me dit, "oui, mais regardez, vous frissonnez, cela vous plaît, mais ne craignez rien, je n'irais pas là où vous ne voulez pas.

Me lâchant ensuite, il me dit, "vous voyez, je reste un gentleman, je vous admire, rien de plus, mettez-vous debout devant moi", j'obéis, tournez-vous dit-il, une fois de dos, je regarde vers la porte-fenêtre, mon mari pointe juste le bout du nez, de façon à n'être vu que par moi, je lui fais signe des yeux de regarder derrière ce qu'il me fait, afin de lui montrer que je risque.

Mais il lève son pouce en l'air, en hochant la tête, voulant dire ", c'est bien, continu", le voisin me triture la fesse de sa main droite hors de vue, il me caresse juste la cuise de l'autre, puis, s'enhardissant, sa main droite s'insinue entre mes cuisses, frôlant mon sexe, je sursaute de plaisir, je soupire de façon silencieuse, mais visible sur ma bouche.

Mon mari voit-il, je n'en suis pas certaine, alors je dis, "que faites vous avec votre main entre mes cuisses, pensant que mon mari va aller ouvrir le portillon qui grincera et stoppera tout, mais non, mon mari me fait signe de laisser, je fais la grimace indiquant que je vais avoir du mal à résister, mais cela a plutôt l'air de l'exciter davantage.

J'ai cru un moment, à une complicité entre eux deux, mais non, j'ai su par la suite, que vu qu'on ne le reverrait plus, il n'en sera pas jaloux, quant au voisin, il me dira plus tard, qu'il se doutait que mon mari avait envie de voir sa femme avec un autre, un autre qui ne lui piquera pas.

À cet instant, je ne savais rien de tout ça, je dis, "non, retirer votre main", tu n'aimes pas dit-il, ça m'étonnerait, tu es déjà toute trempée, entendant cela, mon mari ne peut que comprendre ce qu'il me fait, et celui-ci ne bouge pas, pouce en l'air toujours, et par moment, je devine ce qu'il se fait, le voisin continu son rôle d'acteur pour un seul spectateur.

Joignant la parole au geste ;
- tu aimes que je te caresse le sexe
- non
- menteuse, pourquoi tu restes
Je regarde mon mari qui ne fait rien pour arrêter, et m'encourage même, le voisin poursuit.
- Mais tu mouilles de plus en plus
- ho non, arrêtez

Il accélère son mouvement, s'interrompt et me baisse mon string, en regardant mon mari qui ne voit peut-être pas ce qu'il fait, je dis, "ho non, laissez-moi ma culotte", mon mari hoche la tête, là, j'ai compris qu'il voulait que j'aille encore plus loin, je laisse donc faire, le voisin poursuit.

Mais non, laisse-moi te la retirer, tu vas voir, ça va te plaire, regarde, tu te laisses faire, tu n'attends que ça
Se faisant, je lève mes pieds pour faciliter, et là, il me prend les lèvres intimes entre ses doigts.
- ho oui, ho non
- tu veux que j'arrête
- non, non
- non quoi

Je ne réponds pas, je regarde mon mari à nouveau, le savoir nous regarder décuple mon plaisir, le voisin repose sa question et je dis.
- continuez
- ha, tu vois, je savais que tu allais apprécier, tu vas voir là, tu le sens, mon pouce rentre tout seul
- ho non, pas ça
- tu veux que je le retire ou que je continue, ( ……….), tu ne réponds pas, donc ça signifie que tu veux que je continue, aller dis le, dis le
- oui, oui, continuez, je vais jouir

En disant cela, je regarde mon mari qui heureusement laisse faire, j'aurais été furieuse s'il m'avait laissé faire pour me frustrer, mais il ne bouge pas, il se délecte autant de ce qu'il voit que de ce qu'il entend, jamais je n'aurais cru cela possible, dans ma tête, pleine d'interrogation, mais qu'importe, le plaisir m'arrive et plus rien d'autre ne compte.

C'est la première fois que je jouis avec un autre homme devant mon mari, pendant que je jouis, il continue à me limer avec son pouce et ses autres doigts sur mon clito, après avoir récupéré un peu, je lui dis que je vais rentrer, mais il me dit, "et moi, je n'ai pas droit à une petite branlette".

Je regarde mon mari qui à chaque question ou interrogation, se montre à moi pour me dire quoi faire, je m'attendais à un non, mais c'est un oui de la tête qu'il me fait, faisant avec les yeux ronds, celle qui ne veut pas, il insiste plusieurs fois en hochant la tête et souriant de satisfaction.

Le voisin avait compris que mon mari m'offrait à lui, il ignorait jusqu'ou, d’où à chaque fois ses questions ou demandes, mon mari était le seul qui ne savait pas tout, le voisin retire son short, et l'énorme engin se présente à moi, attend dit-il, il se met à même le sol et me demande de venir mettre mon sexe sur sa bouche.

Bien évidemment, il se place les pieds vers la porte-fenêtre, mon mari se montre plus à moi, car je le cache de sa vue, il me fait signe qu'il est impressionné par l'engin que je tiens dans ma main, je le branle lentement, je veux profiter au maximum de l'outil, pendant ce temps, il me lèche la chatte, ce que j'apprécie fortement.

Roulant des yeux, je montre à mon mari que je ne suis pas insensible à la langue qui s'active, j'ouvre la bouche à plusieurs reprises, un deuxième orgasme se profile à l'horizon, excité, j'ai envie de sucer cet énorme sucre d'orge, je fais signe à mon mari avec ma langue, que j'ai envie de le sucer, il me fait non en fronçant les sourcils, je fais mon air déçu, mais il sourit en me faisant un oui, qu'il plaisantait.

L'autorisation qu'il me donne accompagné des coups de langue, accélère l'arrivée de mon orgasme, je l'engloutis d'un coup, à ce moment-là, je ne m'occupe plus de mon mari, je profite de l'instant présent, je le pompe et je jouis en l'abandonnant un instant.

J'enfourne à nouveau l'énorme engin, je lui branle la hampe et le pompe jusqu'à l'éjaculation, je prends tout en bouche, je n'avale pas, des qu'il a fini de jouir, je courre et recrache tout dans la salle de bains, quand je reviens, mon mari est parti.

Je quitte le voisin et je rejoins mon mari, non pas sans appréhension, c'est peu fière que je suis face à lui, mais son sourire me rassure, il me montre son sexe en disant, "maintenant que tu as passé ton poids lourd, il va falloir que tu passes le permis B, mais avant, la douche, brossage des dents et ne lésine pas sur le dentifrice.

Quand je l'ai rejoint dans la chambre, aller à moi dit-il, tout à l'heure, j'ai bien cru lui salir ses vitres, mon mari était super excité, cela se ressent, il ne m'a jamais embrassé ainsi, sauf au début de notre rencontre, il me dévore comme un amant, il me suce là ou un autre m'a sucé peu avant lui

Une fois que je suis excité, il me fait mettre à 4 pattes et me prend en levrette, se faisant, il me narre ce qu'il a vu, "tu as aimé qu'il t'enfile son doigt dans ta chatte, ça se voyait, je t'ai vu jouir comme une salope, ça t'excitait aussi que je te mate, hein ça t'excitait, et après quand tu l'as sucé, tu as vu ce mandrin, il s'est fait greffer celui d'un âne, tu le vois en train de te baiser, t'aimerais ça se trouve, hein dis-moi".

Je répondais oui à ses questions, et à la dernière, je dis, "et toi, tu aimerais qu'il me baise, dit, tu aimerais me voir avec sa grosse bite en moi, lui aussi, il aimerait, l'autre jour, en me parlant de ses examens, il m'a dit en passant qu'il n'avait pas le sida, tu crois qu'il me l'a dit pour ça".

Il me répond, "hum te voir baisée, c'est tentant, surtout qu'il est outillé, tu vas t'envoler là, et moi quand je vais te baiser, je vais nager dedans", je lui repose la question s'il aimerait, et il me répond, "et toi", l'excitation me donne du courage, et je tente un "oui", ha salope dit-il en changeant de rythme et jouissant, le sentant jouir, je viens à mon tour.

Une fois notre respiration reprise, nous allons nous rincer et dans le lit, nous discutons, il me demande si j'ai vraiment envie de me faire baiser, craignant que les paroles dites pendant notre excitation n'aient été dites que par jeux, je lui dis, que si ça me permet le soir, d'avoir un tigre dans mon lit, je veux bien tout ce que tu veux.

Il me répond la même chose, que si cela me donne autant de pêche, il ne va pas s'en priver, nous avons reparlé des derniers événements, je le sens tourner autour du pot, il me demande, "si tu en avais envie, comment tu ferais pour qu'il te baise devant la vitre, il va vouloir aller dans sa chambre", je n'en crois pas mes oreilles, mon mari qui me pousse à me faire baiser par un autre.

La seule chose qui le tourmente, c'est sa place de spectateur, t'inquiète lui dis-je, les hommes pour se dégourdir, on leur fait faire ce qu'on veut, et lui, à ce qu'il dit, ce n'est pas les occasions qui le bousculent, toi aussi tu en as envie dit-il, à ces mots, il m'avoue qu'il en a envie autant que moi.

Pendant qu'on s'endort, mon mari du moins, qui lui s'endort à la demande, je réfléchis à un plan, il se trouve que même si je trouve cela excitant d'être vue par mon mari, j'ai également envie d'intimité avec mon "amant", celui-ci, avec mon mari voyeur, n'a pas le même langage que lorsque nous sommes que tous les deux.

Le matin, j'attends que mon mari m'en parle, et je lui dis, "il faudrait que tu trouves une excuse pour aller en ville et que je l'excite toute la matinée, que je lui dise, que ce qui m'a plu, c'était le risque de faire cela alors que tu pouvais revenir à tous moment, je me laisserais faire quelques secondes et me pousserais, à force, il me demandera de lui-même si ce soir, il pourra recommencer.

En même temps que je parlais, mon mari excité par ce qui allait arriver, me tripote, et nous voilà partis à fantasmer sur la soirée qui s'annonce, me disant, "tu te positionneras bien pour que je te voie, hummm, te voir baiser devant moi là comme une salope, tu aimes ça aussi hein, et tu ne vois pas qu'il ait envie de te prendre le cul".

Joignant la pratique à la parole, il me retourne et me sodomise, s'il savait que c'est ce qui va surement m'arriver bientôt, pendant qu'il me lime, il me demande si j'aimerais, étonnée, je lui dis, "tu accepterais qu'il me fasse cela".

Il continue en me disant, "humm, imagine que c'est lui qui t'encule là, sa grosse bite dans ton petit trou, je suis sûr que ça te plairait ma petite salope, hein ça te plairait", je réponds, "et toi, tu aimerais qu'il me prenne par là, de le voir me sodomiser, avant qu'il me la rentre, ça va mettre du temps, tu as vu le morceau".

Il ne me répond pas, mais accélérant son mouvement, je sais qu'il va jouir, je fais tout pour en disant, "va-y lâche tout, imagine le, me bourrer et m'inonder le cul", je l'entends dire, "haaaa salope, tient prend ça, c'est moi qui te le remplie là", il me lâche tout, je n'ai pas joui, mais je suis super excitée.

Mon mari ne m'a pas encore répondu pour ce matin, je ne veux pas remettre ça sur le tapis, ses mots, on peut être été poussé par l'excitation, nous passons à la douche et allons voir notre voisin, après une bonne demi-heure de discussion, il dit, "vous n'avez pas envie de sardine au barbecue".

Le voisin nous dit toujours oui, je dis oui aussi, le voisin va pour y aller, mais mon mari dit, non, c'est moi cette fois-ci qui y va, il me fait un petit clin d'œil et je lui dis, "moi, je ne viens pas, je n'ai pas envie de m'habiller".

Je suis assez grand pour acheter des sardines qu'il me répond, le voisin lui demande s'il peut passer au centre commercial ramené du charbon de bois, qu'il ne lui en reste pas beaucoup, une fois parti, le voisin me demande de le suivre dans le petit cabanon, et là, je vois deux sacs neufs de charbon de bois d'avance ainsi que celui entamé où il reste suffisamment, il en met dans un vieux sac qu'il n'a pas encore brûle et ramène ce qui est en plus dans un autre endroit ou mon mari n'ira pas.

Viens maintenant, je vais m'occuper de toi ma petite salope, je le suis dans la chambre du bas, après qu'il ait fermé la porte de devant en me disant, il est vraiment parti là, je dis oui, il me retire mon maillot et ensuite son short et teeshirt, il s'assoit sur le lit et me dit, il m'a laissé sa petite pute pour que je m'en occupe, aller vient me sucer.

Je ne me fais pas prier, sa brioche m'effraie, mais ce qui est dessous me fascine, pendant que je suis affairée, il me pose plein de questions ou il répond à ma place, il en a dans la bedaine, mais il en a aussi dans le crâne, il a presque tout compris à quelques détails prés.

"Bien joué, les sardines, je suis sûr qu'il t'a laissé là pour que je m'occupe de toi, il sait que je te baise, non peut être pas, sinon hier soir, tu me l'aurais demandé, continu à me sucer, donc il sait que je te tripote, mais pas que je te baise, hier soir ça lui a plu, mais il aimerait encore plus, hein, c'est ça, suce, fait juste signe avec la tête".

Je lui fais signe oui, tu veux que je te baise devant lui, toi, tu en as envie, je refais un signe oui, elle te plaît ma bite petite salope, tu sais que l'autre jour, quand j'ai compris que c'était toi qui avais découvert mon vice et que tu n'as rien dit, je me suis dit, celle-là, je vais tout faire pour me la faire, et quand je t'ai vu t'exhiber pour moi, là, je me suis dit, que c'était dans la poche.

Met-toi à genou par terre face au lit dit-il, je m'exécute, le sucer m'avait excitée, il met sa main et dit, "c'est déjà prêt", il frotte son sexe sur mes lèvres intimes pour se l'humecter, une fois fait, il le présente au bord de ma chatte, et en plusieurs poussées, il le rentre tout entier, à chaque fois, je faisais des " hoooo, haaaa, honnn, houuuuu".

Pendant que je reprenais mon souffle, il resta immobile, c'est moi qui une fois habitué à l'intrus, qui petit à petit, commence à faire avec mon fessier, des aller venu, une fois le rythme donné, il prend le relai et me lime, quelque petite douleur au début, mais à force, l'excitation m'emporte et je gueule de plaisir, tu aimes ça ma salope, te faire défoncer par une grosse bite.

Tantôt, il accélère, tantôt, il est au ralenti, tu aimes ça petite pute, tu aimes ça la bite, répond dit-il en donnant un coup de rein plus fort, je réponds oui, j'aime ça, et la pensant que c'était pour pimenter le jeu, il me dit, "tu aimerais être ma putain pendant la dernière semaine", il me bourre et je réponds, "oui, j'aimerais, je ferais tout ce que tu veux".

C'est vrai petite pute, tu aimerais, tu en as envie, je dis oui, j'adorerais", à peine ma phrase finie, je pars dans un violant orgasme en gueulant, il accélère pour me monter plus haut encore, il ne s'arrête pas et continue encore, le plaisir dure, il lime au maximum et à son tour, il crache tout à l'intérieur, il se retire ensuite et me dit, viens me nettoyer.

Pendant que je le suce, il me tient la tête en disant, "j'étais sérieux tout à l'heure", je ne réalise pas, c'est en ayant fini le travail, que son sexe redevienne mou, en rejoignant la terrasse, qu'il m'en reparle, "j'ai une proposition, mais je voudrais que cela reste dans le contexte du jeu et non comme un manque de respect".

Curieuse, je demande ce que c'est, il me dit, "je voudrais que tu sois ma putain, 2 heures le matin et 3 heures le soir, de 21 h à minuit", je lui dis que mon mari va se douter de quelque chose, il me répond, "avec ce qu'il voudrait, cela n'est plus un secret, et en plus, il y aura un avantage, mais c'est là où j'ai peur que se soit mal interprété.

Il se lance avant que j'aie pu lui demander ce que c'est, "voilà, une putain, on peut lui demander tout ce qu'on a envie", je dis, "ça oui, je suis complètement d'accord, c'est d'ailleurs ce qui me plaît", il poursuit en disant, "mais une putain, ça se paie, et cela peut pimenter le jeu et aussi avoir un avantage, cela, bien sûr, restera entre nous trois".

Après plusieurs demandes d'explications, en clair, il voudrait que la dernière semaine, me payer pour que je sois à sa disposition complète aux heures dites, pour cela, il nous redonne tout ce qu'on lui a donné pour les 3 semaines de location, ce qui représente quand même une belle somme, il insiste à nouveau sur l'aspect jeu, et que l'argent n'est qu'un accessoire et dédommagement pour la compréhension de mon mari.

Il me rappelle qu'il respecte le fait que je n'embrasse pas sur la bouche, se levant, il me dit, aller à l'eau, une fois dans le bain, il me demande si je suis choquée, s'il n'a pas été maladroit, si j'ai bien compris le contexte de la situation, que je lui pose des questions si certaines choses ne sont pas bien perçues, qu'il nous respecte tous les deux, que dans une semaine, nous redeviendrons des inconnus, etc.

En moi-même, je me dis qu'il me baise déjà et gratis, que cela est loin de me déplaire, je dirais même que je suis fière qu'on me paie pour cela, et me retrouver matin et soir à faire la pute, l'idée ne me déplaît pas, l'aspect financier n'est pas négligeable non plus quoi qu'on se dise.

Il m'a présenté cela de la façon la plus correcte qui soit, toute à mes pensées pendant qu'il détaille ou répète ce qu'il a déjà dit, on se remet sur la terrasse, avant que je m'assoie, il me dit, "attend", il sort son sexe de son slip et dit, "à genou, vient me sucer, comme ça, tu auras un petit aperçu de ce qui t'attend".

J'obtempère immédiatement, je suis complètement à sa merci et j'y trouve un certain plaisir, j'arrive à redonner une forme à la bête, mais pas suffisamment pour une seconde pénétration, ha vieillesse ennemi, la journée se passe comme d'habitude, tripotage dans l'eau pendant la sieste de mon mari, le voisin se réserve pour le soir.

Il me rappelle sa proposition en me demandant si à moi, cela me plairait, en même temps, il m'embrasse dans le cou et me met sa main entre les cuisses, je lui réponds que oui et que je verrais ce soir avec mon mari, dans le lit.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Notre location de vacance 3/4

Le 15/03/2017 - 23:48 par vieuxmec
que vous dire de plus annie ..... je suis fan

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