ACCUEIL > Hétéro > Récit : Oh! Ma femme me trompe 3

Oh! Ma femme me trompe 3

+26

Lue : 3925 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/02/2014

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Marie sort le grand jeu.

Mettons-nous d’accord : toi, Marie, femme de vingt-six ans, mon épouse depuis 5 ans, tu me trompes depuis six mois environ, non pas occasionnellement, mais régulièrement avec notre ami Aloïs, logé dans un foyer de célibataires où il t’a fait embaucher en qualité de femme de service à mi-temps. Votre liaison a pris naissance à l’occasion d’une fête d’Halloween légèrement arrosée, après des danses avec des célibataires entreprenants qui t’ont chauffée. Au moment de votre rapport sexuel tu étais consciente, tu n’as pas été violée, mais tu t’es laissée progressivement échauffer par un partenaire qui se proclamait innocent. Prise de pitié tu lui as accordé des caresses enivrantes et tu as fini sous lui, possédée, conduite à l’orgasme par un membre viril de dimension impressionnante. Tu n’as pas appelé au secours pour échapper à son emprise.

Depuis lors, par commodité, deux ou trois fois par semaine vous vous retrouvez dans notre maison pendant que je suis au travail. Apparemment notre vie conjugale n’en a pas souffert, nous continuons à avoir des relations sexuelles satisfaisantes pour moi et dans lesquelles tu penses mettre plus d’ardeur du fait de l’éveil sexuel acquis par tes sens grâce à ton adultère. Par accident dû à ma distraction, ayant oublié ma carte d’abonnement au club de foot, je suis revenu à l’improviste à domicile hier soir et j’ai eu la révélation de ta trahison. En fait, prévenue par moi de l’addiction de notre ami Aloïs pour les filles de joie, tu avais exigé de lui une prise de sang. Celle-ci a révélé qu’il avait contracté une maladie sexuellement transmissible pour laquelle il subit un traitement médical. Vous n’avez donc pas eu de rapport hier, tu lui as soulagé les bourses par une simple masturbation. Ignorant ma présence tu as repoussé votre prochaine rencontre amoureuse au terme de sa guérison confirmée par un certificat médical. Ce qui implique ton intention de persévérer dans l’adultère.

Or en découvrant que je suis au courant de votre liaison, tu viens de me livrer un récit sans doute assez fidèle de ton infidélité. En mari trompé révolté je te propose une séparation et un divorce grâce auxquels tu pourras mettre de l’ordre dans ta vie, vivre avec l’homme de ton choix. Tu as mis tes salaires de côté, tu disposes d’une réserve d’argent, tu as des besoins sexuels que je ne saurais satisfaire : Je ne suis pas capable de faire l’amour chaque jour, alors que depuis six mois au moins tu fonctionnes à ce rythme en recourant aux attributs masculins de taille exceptionnelle de ton amant pour compléter mes prestations amoureuses. Tout nous sépare mais tu prétends que c’est moi, Pierre, ton mari trompé, que tu aimes. C’est un comble. Je voudrais comprendre comment cela est possible. N’est-ce pas tout simplement la perspective du projet de mariage de ton amant avec une héritière unique d’un important domaine agricole qui te pousse à une décision prudente destinée à assurer tes arrières. Tu continuerais de vivre avec le mari, que tu n’aimes plus selon mes critères, à la suite d’un froid calcul pour garantir tes lendemains. Comment pourrais-je ajouter foi à tes protestations d’amour après le cataclysme qui vient de m’écraser ?

-Mon chéri, je t’ai promis de faire tout le nécessaire pour mettre fin à ma relation coupable. Je chercherai un autre emploi, je ne recevrai plus Aloïs, je t’aimerai encore plus fort. Je n’ai jamais cessé de t’aimer. Quand Aloïs me faisait l’amour mon plaisir était toujours entaché de remords. Avec toi au contraire je me sens parfaitement heureuse, en paix avec ma conscience. C’est tellement plus satisfaisant. Rompre avec Aloïs sera un soulagement. Rompre avec toi serait un horrible déchirement. Je me suis mal conduite, je te jure de me repentir et de redevenir ta femme dévouée, aimante et fidèle. Je me soumettrai à ta décision, j’accepterai tes conditions, mais crois que je suis sincère.

-La situation m’accable. Je ne sais quelle décision prendre pour le moment. Il me faudra du temps pour trouver une solution. Finalement, pendant six mois je ne me suis aperçu de rien. Nous n’en sommes plus à quelques semaines près. Il s’agit de mettre en place de longues années. Je demande une période d’observation. Il serait peut-être sage d’agir comme si je n’avais pas oublié ma carte d’abonnement. Oui, continuons à vivre comme si rien ne s’était produit au cours des dernières quarante-huit heures. Mais organisons nous de façon à éviter une autre révélation.

-Que veux-tu dire ? Je n’ose pas deviner. Sois plus clair.

-Cocu aveugle, j’étais un homme comblé, je jouissais d’une vie paisible, soigné par mon épouse toujours disposée à m’aimer, n’attendant pas que je la sollicite pour m’ouvrir ses cuisses. Femme adultère tracassée par le remords tu étais plus heureuse dans les bras de ton mari que dévorée de remords sur l’engin volumineux et long de ton amant. Ménagère appliquée à la maison tu remplissais avec plaisir ton travail dans un foyer où tu régnais sur les cœurs. Aloïs, mon ami et ton amant, découvrait avec toi des joies plus pures qu’avec les putains et surveillait sa santé pour notre plus grand bien. Pourquoi mettre fin à cette sorte d’équilibre où chacun trouvait son bonheur ?

-Est-ce que je comprends ton étrange discours ? Tu suggères de continuer à faire comme avant. Maintenant que tu as découvert mon inconduite, comment pourrais-je persévérer dans mon erreur ? Comment pourrais-tu supporter de devoir faire semblant de tout ignorer ? Comment Aloïs réagirait-il en sachant que son ami accepte d’être cocu. Il te mépriserait trop, pourrait aussi trouver moins de charmes à une femme soumise aux décisions de deux hommes ?

-Voilà l’important à tes yeux : non pas mon regard mais celui d’Aloïs sur toi. Tu tiens tellement à ce qu’il ait une bonne opinion de toi. Tu te fais des illusions en croyant que tu pourrais te passer de ses enlacements, du contact de son corps ou des sensations formidables de son braquemart dans ton sexe. C’est pourquoi il serait vain d’imposer une rupture brutale qui serait vouée à l’échec. Tu viens de me conforter dans mon plan. Oui, nous allons poursuivre sans heurt notre train-train quotidien. Tu ne veux pas perdre l’estime de ton niqueur, ne lui révèle pas mon entrée dans le circuit. Il est inutile de lui rapporter les événements survenus depuis son renvoi. Ton silence sur ce point sera pour moi une preuve de ta préférence pour ton mari. Si tu crois utile de le renseigner tu sauras que c’est lui que tu aimes le plus. Au fond, reprendre le cours des choses sans rien changer nous éclairera sur nos véritables sentiments. Dans six mois nous serons en mesure de faire sincèrement le point. Il sera temps alors de trancher dans le vif. Veux-tu essayer ?

Après cette proposition, j’aurai déjà une précieuse indication par sa réponse. Marie peut refuser tout en bloc, parce qu’elle est sûre de son amour pour moi, parce qu’elle veut vraiment se détacher de son tringleur. Par contre en acceptant de se partager, elle montre que son aventure compte encore pour elle. Refuser serait me désobéir ? Si c’est son raisonnement, pourquoi m’a-t-elle trahi au risque de me fâcher bien plus fort ?

-Mon chéri cela m’ennuie beaucoup. Tu me mets mal à l’aise. Mais si c’est la condition pour que tu pardonnes et pour que nous nous retrouvions définitivement dans six mois, je me soumets à ta volonté.

Voilà ! Elle ne pouvait pas me faire plus mal. J’encaisse. Le coup est rude, je ne commente pas, je ne veux pas l’influencer outre mesure. Sous un faux air contrit elle ne cherche pas à me faire revenir sur ce projet diabolique. J’en conclus qu’elle y trouve avantage. Elle aura le beurre et l’argent du beurre pendant six mois. Je relance l’affaire :

-Eh ! Bien, prenons les dispositions pratiques adéquates. En premier il est important d’éviter les télescopages. Arrangeons-nous pour que je ne rencontre jamais Aloïs seul avec toi sous notre toit. Je t’accorde le lundi, le jeudi et le samedi pour vos galipettes. Pour ne pas me tromper sur les dates et les heures, tu le recevras entre dix-huit heures et dix-neuf heures, je ne serai pas à la maison, vous forniquerez à heure précise pendant mes loisirs. Une heure de partie de cul pour vous sera suffisante ou veux-tu plus de temps ?

-Ce sera assez. Il est fort, puissant, emporté mais un peu rapide de la gâchette. Evidemment je devrai écourter les préliminaires, ne pas prendre de douche avec lui à son arrivée et le bousculer un peu pour la douche en fin de séance. Un quart d’heure de plus serait appréciable.

-Tu rêves. Voici une autre exigence. Tu t’informeras sur le tarif pratiqué par ses putes, sur la durée d’une passe. Comme tu lui sers de vide-couilles, mais de proximité, et affectueusement dévoué, tu exigeras désormais qu’il te rémunère avant de passer à l’acte : au même tarif pour une prestation de même durée. Tu dois te mettre en tête que tu lui rends le même service qu’une putain, avec l’avantage et la grande satisfaction pour lui de me faire des cornes et d’être apprécié par toi. Car putain tu ne seras que pour lui, n’oublie pas de le lui rappeler dès son arrivée. Quand tu seras persuadée d’être sa putain, d’avoir affaire à ton client, ton attachement sentimental, que tu nies par ailleurs, déclinera et tu te prépareras à un retour plus sincère vers ton mari.

-Mais, Pierre, jamais Aloïs ne voudra payer et se limiter dans le temps. Il exigera de venir à ses heures, assez longtemps pour doubler si l’envie lui prend et gratuitement.

-Dans ce cas, il portera la responsabilité de la rupture et devra en souffrir. Il comparera, pèsera les avantages et les inconvénients : je serais étonné de le voir reculer devant la dépense. Il t’a conquise, il ne voudra pas lâcher sa proie. Je suis certain qu’il éprouve des sentiments pour toi. Ah ! J’oubliais, en raison de son passé récent, de sa maladie due à une fréquentation parallèle à la tienne des prostituées, tu refuseras toute pénétration orale, vaginale ou anale non protégée. Tu lui poseras toi-même un préservatif en mémoire de votre première fois.

-Tu me demandes l’impossible. Tu te trompes sur le caractère de ton copain. Je ne pourrai pas arriver à ce résultat. C’est humiliant pour lui, ce l’est encore plus pour moi.

-Donc tu t’es engagée à faire ce que je voudrais, mais dès le premier obstacle tu rechignes, tu te cabres, tu trouves mes mesures humiliantes. As-tu pensé une seule fois depuis hier soir à l’humiliation que vous m’avez infligée : le cocu c’est moi. Ce n’est pas un titre glorieux, surtout pas dans la bouche de ton amant, hier pendant votre conversation. D’ailleurs ton gaillard a-t-il le sens de l’honneur, lui qui te suppliait de lui donner le minimum à savoir ne serait-ce qu’une masturbation ? La conclusion n’est pas difficile à trouver : tu n’acceptes pas mes conditions. C’est un point acquis. Donc tu décides de te séparer de moi. Ne traînons pas. Tu me quittes sans tarder. Prépare des affaires et dis-moi où je dois te déposer ce soir, chez tes parents, chez des amis, au foyer des célibataires ou à l’hôtel. Je ferai suivre le reste.

-Pourquoi te mets-tu en colère. Je ne refuse pas, j’accepte parce que je t’aime. Mais je ne me sens pas capable d’imposer tout ça à Aloïs. Dis-moi comment je dois procéder. Aide-moi. Si tu m’aimes encore un peu.

-A son arrivée, par la petite fenêtre de la porte d’entrée tu exposeras ton changement d’attitude en t’appuyant sur ses mauvaises fréquentations. Tu n’ouvriras la porte qu’après avoir perçu ton dû et son engagement à t’écouter en tous points. C’est tout simple.

-Tu crois ? Il menacera de tout te dire. Et alors ?

-Qu’as-tu à redouter puisque je sais tout. Réponds-lui que cela est sans intérêt. Je serais étonné de le voir venir à confesse chez moi. Donc, joue l’indifférence et garde porte close.

-Il promettra tout pour obtenir l’entrée et après il n’agira qu’à sa tête. Je n’y pourrai rien, il est plus fort que moi.

-Ah ! Pour cette première fois je me cacherai. S’il use de la force et si tu refuses catégoriquement de te laisser violer, j’interviendrai. Evidemment il faudra tout reprendre à zéro. Ou tu décideras de partir avec lui ou tu le poursuivras en justice pour tentative de viol. Le scénario dépendra de toi. Je préfèrerais n’avoir pas à me montrer et vous laisser vous ébattre dans les règles de l’art.

-Mais tu vas assister à notre partie ? Je te saurai à l’écoute et je devrai m’accoupler, jouir ? Comment faire ? Je n’aurai pas le cœur à l’ouvrage.

-Les souteneurs ont certainement des moyens de surveiller leurs travailleuses. Les filles font pourtant leur boulot. Rassure-toi, si tout se passe convenablement, je serai discret. T’observer en pleine action, t’entendre gémir de plaisir pendant qu’il te défoncera avec son marteau piqueur me ferait trop mal. Je me boucherai les oreilles et je fermerai les yeux.

-Pauvre amour, tu vas souffrir. Il vaudrait mieux que tu partes au début. Parfois je crie quand il me fait jouir avec son gros machin. Je ne peux pas me retenir. A cause de mes réactions sonores nous n’avons pas pu rester au foyer pour faire l’amour.

-Qui fera respecter la durée de la passe, si je ne veille pas? Tu n’oublieras pas de régler le réveil. Au cas où Aloïs voudrait dépasser l’heure, il devrait s’acquitter à la sonnerie du réveil du prix d’une nouvelle passe. Encore des objections ? Non ? Parfait. Comment communiques-tu avec lui quand tu veux lui indiquer qu’il peut te rejoindre ?

-J’appelle sur son portable. Mais il est tard.

-Essaie. Je te suggère un plan. Tu vas l’interroger. Selon ses réponses j’improviserai les questions suivantes sur ces feuilles. Assieds-toi sur le canapé et appelle –le. Attends, mets-toi à l’aise, quitte ton tailleur, tes escarpins. Installe-toi confortablement, soulève-tes fesses pour que je puisse enlever ta petite culotte. Pendant que tu bavarderas avec ton chéri, je te ferai des câlins, mais évidemment il ne devra pas savoir que je suis présent. Use de ton imagination.
-Je compose le numéro. Je commence par quoi ?

-Tu me manques déjà ! Puis : « Je veux me séparer de Pierre et divorcer ; es-tu disposé à louer un petit appartement en ville pour nous deux, un nid d’amour et à m’épouser ensuite ?

-Ca sonne. Je dois vraiment dire ça ?

-Oui. Mets le son, appuie sur le bouton vert. Je veux entendre ses réponses. Courage. J’adore ta chatte, vas-y, parle.

-Comment Marie, tu me téléphones pour me dire que je te manque ? Oublies-tu que tu m’as banni il y a vingt-quatre heures « Aloïs tu reviendras avec un certificat de guérison » as-tu déclaré. Tu devras attendre ma prochaine analyse de sang.

Marie joue l’indifférence :

-D’accord. Oublie mon appel. Excuse le dérangement. J’avais pensé, je me suis trompée. Bonne nuit Aloïs, je me passerai de toi.

J’appuie ma langue sur son clitoris. Elle gémit. Aloïs rebondit à l’autre extrémité.

-Oh ! Marie ; que t’arrive-t-il ? Que fais-tu ?

-Je me fais du bien toute seule au son de ta voix, je me chatouille.

-Grosse cochonne. Veux-tu que je vienne ?

-Pas ce soir, Pierre est à la cave. Mais je voulais te fixer des rendez-vous. Tu ne me désires pas, tant pis.

-Non, attends. On pourrait se revoir bientôt. Tiens, je pourrais me couvrir, mettre des préservatifs. Tu ne risquerais rien.

-Tu refusais cette protection, changerais-tu d’avis ?

-Il n’y a que les imbéciles qui s’entêtent. Oui j’ai une réserve. Après tout, si tu es d’accord, raconte : quand devrai-je me présenter ?

-Ah ! Que je suis heureuse ! Mais réponds d’abord à cette question. M’épouserais-tu si je quittais Pierre demain dans le but de divorcer. Louerais-tu pour nous un nid d’amour ?

La réponse tarde. Aloïs se racle la gorge, déglutit. Enfin il avance l’excuse que j’attendais :

-Marie tu rêves. Tu connais mon projet de mariage avec Lucie. Je me suis engagé, nous sommes fiancés. Tu aurais dû te prononcer plus tôt. Je ne peux plus faire machine arrière. Mais je t’aimerai toujours et même marié je te rendrai visite.

-Je me doutais de ta réponse. Hélas ! J’ai une autre question. Quand tu me compares aux filles que tu allais voir, comment me classes-tu ? Suis-je moins bonne, suis-je égale ou suis-je meilleure ? Sois franc.

-Quelle question. Les professionnelles sont habiles, mais en amour tu les vaux largement et en plus tu sais « aimer » avec ton cœur. Tu es une amie et la comparaison joue en ta faveur. Tu es une super femme. Je ne pourrais me passer de toi. Vivement qu’on baise !

-Donc, pour toi je ne suis pas bonne à marier, mais la meilleure à baiser, sauf Lucie.

-Ne déforme pas mes paroles. Tu es meilleure que les putes et meilleure que Lucie ! Hélas j’ai donné ma parole.

-Comme je l’avais donnée à Pierre… Aïe !

-Tu jouis, salope ? Mais ce n’est pas pareil. Lucie m’apporte un sacré héritage. Tu disais que c’était formidable. On est en pleine discussion sur le contenu du contrat de mariage. La date sera fixée. Mais, je te jure de ne jamais t’oublier.

Le salaud ne sait comment se tirer du piège. Marie vient de comprendre où est sa place. Je n’ai pas besoin de souffler la suite. Elle frappe fort :

-Aloïs combien de temps dure une passe ?

-Environ vingt minutes. Tu es drôle, toi.

-Et combien paies-tu pour une passe de vingt minutes ?

-C’est variable. Mais je préfère donner 60 euros pour un bon service. En dessous on risque des déceptions sur le cadre ou sur l’activité. Mais pourquoi ces questions ?

-Réfléchis. Depuis des mois tu uses gratuitement de mon corps, mais tu reconnais que j’appartiens à la catégorie supérieure des filles que tu visites. Donc tu abuses de moi. Ecoute ma proposition. Pierre s’est inscrit à des activités sportives. Le lundi il fait de la musculation, le jeudi il va au judo et le samedi c’est entraînement en piscine. Ces jours-là il est absent entre 18 heures et 19 heures ou 19heures trente : parfois il s’arrête au bar ou prend une douche sur place.

-Ho ! Que c’est drôle. Il aurait dû s’inscrire à un cours de développement du pénis, tu en aurais profité.

Se serait-elle plainte de moi. Je lui mets un doigt et je mordille son clitoris. Elle chuinte et s’explique :

-Arrête, tu m’excites. .. Donc trois fois par semaine tu peux venir chez moi. Le cadre agréable semble te plaire, mon corps jeune et entretenu te fait jouir. Le lundi tu bénéficieras d’un tarif d’amie pour vingt-cinq minutes de délassement, le jeudi tu payeras ta deuxième passe 60 euros comme le lundi mais la troisième passe de la semaine te sera offerte par la maison si tu as payé les deux autres. Qu’en dis-tu ?

-Que tu es folle. Va te faire foutre avec tes idées à la con, espèce de pute.
Marie raccroche brutalement. Je lève la tête, le nez brillant de cyprine. Elle s’exclame :

-Je t’avais prévenu. Il ne voudra pas payer. C’était réglé comme du papier à musique. Tes conditions étaient faites pour casser notre relation. Tu as gagné.

-Encore bien ! Qu’est-ce que ce samedi gratuit ? S’il rappelle le samedi lui coûtera 50 euros, fais monter les enchères. Il prendra peur de devoir payer encore plus pour une passe descendue à vingt minutes.

Je n’ai pas terminé ma phrase que le téléphone sonne. Marie s’étonne et dit « allo »

-Ah ! C’est toi Aloïs ? Quoi ? Tu t’excuses ? Oui ma proposition est toujours valable, mais avec un petit changement pour t’apprendre la politesse. On ne me raccroche pas au nez. Donc le samedi tu paieras cinquante euros. Ton téléphone t’avait échappé ? A d’autres ! Si tu recommences, les passes seront raccourcies à vingt minutes. Alors ?... Non, je ne te permets pas … Tu viens demain à dix-huit heures. D’accord, n’oublie pas mon salaire en liquide et la capote anglaise. Pierre remonte, je suis obligée de couper.

-Quelle autorité Marie. Tu t’es débrouillée comme un chef. Tu aurais pu mettre le haut-parleur. Tu mérites la plus belle des récompenses, viens, terminons notre passe.

Pendant six mois ma femme, Marie, a réussi à me dissimuler qu’elle couchait avec notre ami Aloïs : dans notre salon. Le hasard d’un retour imprévisible m’a mis en face de cette sinistre réalité. Marie a tenté de désamorcer ma possible colère, m’a solennellement juré que sa liaison n’avait pas d’importance : à ses yeux, l’homme aimé c’était moi. Elle s’est dite prête à rompre immédiatement et de façon définitive.
Environ soixante-dix relations sexuelles avec l’autre, presque autant avec moi, cela dénote un appétit sexuel débridé. J’ai donc eu du mal à imaginer un arrêt brutal des rapports avec l’amant et un retour pur et simple à la normale dans notre couple. Mon premier mouvement me portait à la mettre à la porte. Elle a su m’apitoyer. Dans l’attente d’une solution satisfaisante je lui ai conseillé de continuer à se partager entre ses deux partenaires, sans avertir l’ « ami » du passage aux aveux de la femme confondue ou de sa repentance. Nous attendrons six mois pour lui laisser choisir l’homme auquel elle se liera. Mais je lui ai dicté des conditions sévères de fonctionnement (voir les chapitres précédents). J’espérais qu’elle se révolterait contre ma tyrannie, soit en refusant de prolonger ce qu’elle reconnaissait comme une conduite coupable et j’y aurais vu une preuve de son amour pour moi, soit en décidant elle-même de me quitter pour rejoindre son amant. Pourquoi rester avec un mari qu’on trompe énormément ? Ces deux solutions auraient clarifié la situation. Or à mon désappointement elle s’est pliée à mon plan.

Elle avait convoqué Aloïs en lui indiquant les règles du jeu par téléphone, sous mon contrôle. Contrarié, Aloïs avait fini par se plier aux volontés exprimées par sa maîtresse, après avoir fait valoir que son proche mariage avec Lucie ne lui permettrait pas d’héberger Marie ou de l’épouser malgré toute la passion qui les unissait. Elle s’était montrée habile face à un pervers retors et m’avait rassuré en partie : je m’étais laissé aller à lui faire l’amour.

Ce matin au réveil Marie est revenue sur ma décision d’assister, mais invisible, à la réception d’Aloïs, ce soir à dix-huit heures, alors que je serais sensé être au club de musculation. Elle se jugeait assez grande pour faire appliquer mes règles. Elle avait repris un argument déjà formulé : épouse elle ne pourrait pas se donner à un autre sous la surveillance de son mari. Aloïs verrait clair dans notre jeu si elle n’était pas bonne actrice, à l’aise dans son rôle de maîtresse rémunérée.

J’ai effectué un faux départ en voiture, j’ai garé mon véhicule dans une impasse, je suis revenu en catimini dans ma chaufferie. L’oreille collée à une porte j’ai pu entendre que l’accueil était conforme à mes prévisions : l’amant devenu le client a payé la femme qui se vendait à lui. Mais lorsque Marie a ouvert son cœur, j’ai connu un moment de panique :

-Tu dois comprendre Aloïs que tout ne dépend pas de moi. Pierre a tout vu et tout entendu de notre entretien de samedi. C’est sur son ordre et pour ne pas me retrouver à la rue que nous devons continuer à nous voir. Tu ne peux ni ne veux me loger, je suis forcée de me soumettre à ses ordres si je veux savoir où je coucherai demain ou après-demain. Réjouis-toi, il a cédé sur un point important, il a renoncé à nous surveiller.

-En es-tu certaine ? Je veux faire le tour de la maison afin d’être persuadé qu’il n’est pas caché pour nous épier.

Heureusement son inspection des lieux a oublié l’arrière de ma chaudière ! Il n’a oublié ni la buanderie, ni le garage. Il est entré dans la chaufferie. Par bonheur à ce moment Marie lui a rappelé que le temps pressait et que s’ils souhaitaient dépasser les vingt-cinq minutes prévue pour la passe payée 60 euros, ils auraient intérêt à se mettre à l’ouvrage. En quelques minutes elle contrevenait pour la deuxième fois à nos accords : l’amant savait que je savais et elle ferait durer la passe au-delà de la durée imposée. Aloïs réagit vivement :

-Que ce vocabulaire est déplaisant. Bon, je veux bien payer, cela ne fait pas de toi une putain puisque tu m’aimes. Donc cesse de parler de « passe », tu ne fais pas le trottoir. J’ai pour toi plus de respect que ton mari, ce souteneur qui t’oblige à encaisser avant d’ouvrir la porte. Si tes voisins m’ont vu passer les billets par la lucarne, que vont-ils penser de toi ? Cette obligation de me faire payer est avilissante. Quel est ton sentiment ?

-L’argent que tu me verses n’ira pas à tes prostituées : donc c’est une garantie sanitaire pour moi, du moins est-ce l’explication fournie par Pierre. Sans compter que selon lui : « Puisque vous êtes deux à me baiser », dit-il en parlant de lui et de toi, il ne voit pas pourquoi il serait seul à supporter tous les frais de mon entretien et à assurer pour moi un toit, les charges, l’alimentation, l’habillement ou les loisirs. Quand il se croyait seul à jouir de ma présence et de mon corps, mari sans concurrent, il assumait seul volontiers. Sachant que tu jouis des mêmes avantages sexuels que lui il se sent volé si tu ne participes pas à tous les frais inhérents à ma vie partagée entre toi et lui. Il l’a énoncé crûment : « Qui partage le cul partage le fric, Aloïs doit me rembourser et comme il ignore que je sais, tu serviras de percepteur ». C’est aussi, si j’ai compris son discours, pour t’obliger à m’enlever et à me garder pour toi tout seul. Le partage n’aura qu’un temps et dans six mois je devrai faire un choix. De là venait ma question sur un possible mariage entre toi et moi. Il a été terriblement déçu d’apprendre notre liaison et m’a promis de me laisser partir facilement. Je suis libre, tout dépend de toi.

-Allons, ma poule, je t’ai exposé mon problème, J’ai pris des engagements avec Lucie et devant ses parents. Je suis désolé, reste avec lui, il a l’esprit large quand il n’est pas aveugle. Je ne suis pas sûr que tu puisses trouver un autre cocu d’aussi bonne composition.

-Ne me fâche pas avec tes prétextes à deux balles. J’ai compris, tu ne veux que mon cul. Tu es dégueulasse, tu m’as foutu dans la merde et tu t’en laves les mains : je connais la chanson de Joe Dassin :
« Il y a des filles dont on rêve
Et celles avec qui l'on dort
Il y a des filles qu'on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a des filles que l'on aime
Et celles qu'on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme
Qu'on attendait »
Tu couches avec moi et tu rêves de l’autre. Mais qu’est-ce qu’elle a de plus que moi ta paysanne ? Bon, elle est plus jeune, mais je suis plus expérimentée non ? Tu as toujours proclamé ma supériorité pour le plaisir. Ah ! Tu penses à son héritage. Il fallait me foutre la paix. Tu es un égoïste.

-Ça suffit. Je ne suis pas venu me faire engueuler. Fais ce pourquoi je te paie. Baisse mon pantalon, habille ma queue avec ce préservatif parfumé à la fraise et suce moi. A genoux, poupée, c’est l’heure de la pipe. Et puis, Non ! Je m’allonge sur le dos, tu me grimpes dessus, tu me suces et je te rends le même service, je te suce et je te lèche le con. Laisse un pied à terre, écarte bien tes cuisses. J’adore l’odeur et la forme de ta figue. Tiens, si je te plantais un doigt dans le cul en même temps. Tes fesses m’inspirent.

-Non, tu sais bien ce n’est pas ma tasse de thé. Après la gratouille du petit trou tu voudras m’enculer : ce n’est pas naturel. Je ne veux pas commencer ça.

-Eh ! J’ai payé oui ou non ? Et puis il me vient une idée géniale. Ecoute ça. Un jour ou l’autre Pierre finira par nous tomber dessus. Ne serait-il pas formidable de faire l’amour à trois ? Je l’ai déjà verbalement préparé. Nous ne le ferions pas payer, il te danserait sur le ventre, je te bourrerais, je te prendrais par derrière et il te foutrait par devant. Tu découvrirais une jouissance décuplée, tu serais heureuse d’être prise en sandwich entre tes deux hommes. On formerait un trio formidable. Nous serions les « inséparables », il n’y aurait plus de jalousie, plus de complications de séparation ou de divorce, ce serait le paradis, tu vivrais de longues heures au septième ciel.

-Tu rêves de nouveau. Tu es incapable de m’accueillir, tu me mets en danger. Ne l’excite pas davantage... Lui proposer le ménage à trois le rendrait furieux. Il veut une situation claire : ou toi et moi ou lui et moi. Pierre cherche l’occasion de me larguer vite et bien, lui parler de sodomie serait le décider à me jeter. Il ne m’a jamais sodomisée

-Il a eu tort : tu ne l’aurais peut-être pas fait cocu s’il t’avait prise par tous les trous. Et pour conserver ton amour, je suis prêt à te faire connaître ce bonheur. Fais beau cul. Tire sur tes fesses vers les côtés. Attention, je mouille mon index, je le pointe sur ton anus. Mais ne saute pas comme un cabri, ça ne fait pas mal. Tu sens, la première phalange est dedans, le plus dur est passé. Je continue ?

Elle relève la tête et perd sa sucette de chair pour menacer :

-Oui, mais tu ne viendras pas te plaindre si tu n’as pas le temps de m’enfiler ta queue de taureau comme d’habitude. C’est dommage, vingt minutes se sont écoulées, mes mâchoires fatiguent sur tes dix-huit centimètres. Comment veux-tu me prendre ?

-Attends, je réfléchis. Il a pensé à tout. Là où il me bluffe, c’est quand il nous accorde trois parties de jambes en l’air par semaine ! Donc à l’avenir je peux te culbuter parce que je paie. Sa tolérance m’étonne et m’inquiète. A quoi joue-t-il ? Il nous prépare un coup tordu ?

-Mon mari, un coup tordu ? Tu le connais mal. C’est une bonne pâte. A sa place tout autre m’aurait rossée samedi ou foutue à la porte.

-Nous nous méfierons de l’eau qui dort. On y va ou j’aurai payé pour du bavardage. Assez de vent. Alors viens, tirons notre crampe ma belle. Tu m’aimes toujours ?

-Tu en doutes, gros nounours ? Viens vite au salon, le canapé nous attend, je suis pressée de m’unir à toi; sors ta capote.

-Tu y tiens vraiment ou c’est encore une idée imbécile de Pierre pour te punir, pour contrarier notre jouissance ou retarder tes orgasmes ? Je te le répète, il n’est pas clair, méfiance.

-Ah ! Non, la capote c’est mon idée. Je veux rester en bonne santé. Que dis-tu de ma tenue, j’ai acheté cet ensemble rouge dans un sexe shop pour toi uniquement.

-C’est joli ces deux tétins curieux et effrontés qui débordent des bonnets. La ficelle de ton string ne va pas me gêner si tu exiges de le garder pendant la baise. Tu es magnifique. Embrasse-moi.

Suit un long silence. Je sors de ma cachette. Je monte l’escalier sur mes chaussettes. Dans l’entrebâillement de la porte du salon, du côté des gonds entre porte et huisserie, je jette un œil sur les tourtereaux enlacés. Le hasard les a placés de profil, debout près du canapé. Aloïs est penché sur ma femme, il la serre avec un bras et lui roule une interminable pelle. Marie se tend vers lui, sur la pointe des pieds, s’accroche à son cou, et laisse l’autre main de l’homme, plongée sous la mince bande du string, chatouiller sa vulve. Les doigts invisibles qui s’introduisent dans son vagin la soulèvent comme par magie vers la bouche collée à la sienne pour une galoche d’anthologie. Que Marie ne me dise plus jamais qu’elle ne l’aime pas. Ses jambes forment un angle ouvert pour laisser progresser les fouineurs, son ventre remonte sous la poussée du majeur et de l’annulaire bagué d’une alliance épaisse et de mauvais goût lorsqu’on se rend chez la concurrente de la fiancée officielle dans l’intention de la besogner. Cette alliance pourrait l’écorcher, rendre l’accouplement impossible.Ca me ferait plaisir.

C’est une véritable prise en main. Marie ne subit pas, elle projette son corps vers le mouvement rapide qui met le feu dans son ventre. Le soutien-gorge minuscule glisse entre les deux corps. J’aurai à faire une mise au point. Aloïs m’avait expliqué en détail que les prostituées embrassent rarement leurs clients et ne dévoilent pas leurs seins : Marie a tout faux, Aloïs doit aimer cette différence de comportement. D’ailleurs lorsqu’il interrompt le baiser c’est pour plonger bouche ouverte sur le sein dénudé le plus proche, tandis que ses doigts pistonnent à toute allure avec un bruit humide la fente abandonnée à leur pénétration brutale. La respiration de Marie ressemble à une suffocation, son visage grimace et elle demande grâce :

-Aloïs, n’oublie pas que le temps passe vite. Ta verge est pleine de sang et palpite d’impatience. Libère ma bouche et bouche moi le con.

-Descends du canapé, couche ta tête sur le coussin du milieu et cale tes épaules contre le dossier. Sépare tes pieds, encore un peu. J’adore te prendre l’abricot gonflé par derrière. C’est bouleversant à voir ces chairs rondes fendues en deux au milieu des poils. Lève ton cul, mon gland a trouvé sa route. Ranh !

L’union est consommée. Marie y tenait. Je n’ai plus rien à espérer d’elle, son appétit sexuel est démesuré, elle encaisse les coups de bite avec une joie évidente et avec des cris auxquels moi, son mari, je n’ai pas eu droit. Aloïs la bouscule, elle se tait, souffle coupé, tête enfoncée dans le cuir. Il lui saisit un mollet et pousse le pied sur le canapé. Marie est en déséquilibre, ouverte en grand et reçoit un membre effectivement long , épais et bronzé que j’aperçois sous sa cuisse levée et claire, à chaque retrait. Parfois Aloïs sort entièrement son pieu et enfourne aussitôt avec rage dans l’orifice noir, trop rapidement défoncé à nouveau pour avoir le temps de se refermer. Il pousse de bas en haut et fait bondir la croupe : Ses jambes produisent un effort vers le haut, son pubis bat les fesses tendres, claque sèchement. Chaque choc arrache un « Oh » sonore à ma femme, un grognement de satisfaction au pourfendeur et me fend le cœur. Brusquement il se retire, le préservatif pendouille mais ni lui ni Marie ne le remarque. Il s’est assis et appelle :

-Marie chevauche-moi. Pose tes pieds sur le bord du siège, contre mes genoux, baisse ta croupe et empale-toi sur ma verge.

-Je préfère voir ton visage. Je peux faire demi-tour ?

-Qui paie ? Qui préfère ? Fais comme je dis. Tu n’es pas là pour me contrarier. Tu as déjà trop de règles stupides, n’en rajoute pas ou tu ne me verras plus. Tu pleureras : « Tu me manques ». Tu veux de la belle bite, alors au boulot.

Elle prend la pose, descend sur le gland et engloutit la barre turgescente : ses grandes lèvres encadrent des nymphes enflées, rougies par les frottements agressifs d’un engin imposant. Une main contourne sa hanche, un index astique le clitoris. Elle se tortille sur les couilles, hampe complètement enfouie en elle. Ils ont oublié la notion de l’heure. La face rubiconde de ma femme transpire, les traits de son visage se contractent en grimaces, elle se remet à chanter son plaisir et après quelques secondes d’immobilité elle proteste :

-Aloïs, salaud, lâche-moi. Tu éjacules en moi…Je sens les jets chauds de ton sperme…ça coule… Qu’as-tu fait du préservatif ?

-Il doit être resté en toi. Ah ! Non, il est tombé sur le tapis. Excuse-moi, c’est de ta faute, tu l’avais mal installé. Bof, ton mari pourrait bien devenir enfin père. Il lui faudra un lot de consolation s’il veut se remettre d’être cocu.

C’en est trop pour moi, le mari cocu. J’abandonne mon poste d’observation, je vais chercher ma voiture, je la range dans mon garage. A ce moment la porte d’entrée claque : L’amant déguerpit par cette autre porte. Je retrouve Marie assise sur le bidet, canule en main, tige enfoncée dans le sexe crachant eau et spermicide sans doute.

-Alors, ma chérie, tout s’est bien passé. Il t’a payée ? J’espère que tu as limité tes ardeurs. Au moins, tu as fait comme les putes, tu as gardé ton soutien-gorge et tu ne l’as pas embrassé sur les lèvres ? C’est un client, il n’a pas droit aux privilèges d’un mari ou d’un amant amoureux et prêt à t’épouser.

-Effectivement. Il a râlé, mais j’ai été ferme, tu sais. Je ne l’aime pas et il a compris ma volonté d’agir comme ses fréquentations passées. Aussi longtemps que tu me l’ordonneras il sera mon client.

-Mais pourquoi, Marie, lui as-tu révélé que je vous avais surpris samedi soir ? Pourquoi ressens-tu le besoin pressant de te rincer le vagin : il a oublié sa capote anglaise et t’a ensemencée ? Tu ne veux pas être grosse de lui ? Tu as manqué à tes obligations ?

-Oh ! Non, ne me dis pas que… Nous avions pourtant regardé partout. Tu étais là et tu as tout entendu, ce n’est pas possible !

-Oui, j’ai tout entendu et j’ai également vu ton dévouement à la cause d’Aloïs. Notre séparation prochaine se précise, tu tiens à accélérer ton départ. Tu coupes avec persévérance le lien qui nous unissait. Continue à trahir tes promesses, montre-toi encore aussi ardente et tu auras gagné ton billet de départ. Ne t’avise plus de me chercher partout dans la maison avant de passer à la besogne, sinon tu prendras la porte sur le champ.

Ses sanglots redoublent. Vrais ou feints ?

J’attends que sèchent ses larmes pour lui rappeler toutes les règles à respecter et faire les mises au point nécessaires, compte tenu de mes observations durant leur relation.
A SUIVRE.
26 vote(s)


Histoire de Veilleur

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Oh! Ma femme me trompe 3


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :