On piege le prof de tennis version cyril

À quarante-sept ans, je savais depuis longtemps que mon plaisir ne ressemblait à celui des autres. Minah, ma femme, trente ans, métisse malgache, belle comme un lever de soleil, portait en elle une sensualité qui me consumait. J’aimais voir les regards se poser sur elle, sentir le désir des autres hommes l’envelopper, nourrir le feu qui brûlait entre nous. Ce n’était pas de la jalousie, mais une vérité profonde : son pouvoir érotique était ma drogue, et je savourais chaque instant où elle l’exerçait.
Tout a commencé sur ce court de tennis. Adam, le professeur, grand, blond, athlétique, ne pouvait cacher son trouble face à Minah. Je voyais ses mains s’attarder sur ses hanches, ses yeux s’égarer sur ses courbes. Le soir, dans notre lit, Minah me racontait tout, son rire vibrant comme une promesse. « Il me désire », murmurait-elle, et mon sexe durcissait à l’idée. « Laisse-le mijoter », lui dis-je, ma voix rauque, déjà excité par le jeu. Nos ébats, ce soir-là, étaient électriques, sa chatte humide accueillant mon membre avec une urgence décuplée par l’idée d’Adam, là, quelque part, rêvant d’elle.
Quand Minah a proposé ce dîner, j’ai su que nous franchissions un cap. Le Saint-Joseph coulait dans les verres, l’odeur du plat malgache emplissait la maison, et Minah, dans sa robe légère, était une déesse. Laetitia, la femme d’Adam, grande brune au regard noir, apportait une sensualité brute qui complétait le tableau. La musique malgache s’éleva, et Minah dansa, ses hanhes ondulant, son corps appelant tous les regards. Laetitia la rejoignit, leurs silhouettes se frôlant dans une danse qui me fit bander instantanément. Je les observais, maître de ce jeu, mon sexe pulsant sous la table, excité par l’idée que Minah ensorcelait Adam, et que Laetitia, peut-être, me désirait aussi.
Quand Minah entraîna Adam dans la cuisine, je retins Laetitia avec une conversation anodine, mon cœur battant à l’idée de ce qui se passait à quelques mètres. Je savais que Minah le pousserait à bout, et quand ils revinrent – Adam rougi, Minah avec ce sourire de triomphe – je sentis une vague de chaleur envahir mon bas-ventre. Plus tard, elle me raconta tout : la fellation rapide, son sexe dur dans sa bouche, son orgasme précipité. Mon corps s’embrasa, et je la pris sur-le-champ, ma langue explorant sa chatte encore chargée de l’odeur de son audace, son corps s’arc-boutant sous mes coups de reins, nos gémissements emplissant la nuit.
Au gîte, l’atmosphère était un brasier. La maison de campagne semblait faite pour nos désirs. Cette nuit-là, je descendis chercher un verre d’eau, et Laetitia apparut, en nuisette, ses seins pointant sous le tissu. Nos regards s’accrochèrent, et je sus qu’elle était prête. Son baiser, vorace, me fit durcir instantanément. Quand elle s’agenouilla, sa bouche chaude engloutissant mon sexe, je grognai de plaisir, mes mains dans ses cheveux noirs, guidant ses lèvres avec une autorité possessive. Son talent, sa langue dansante, me fit jouir dans un spasme qui me laissa tremblant. En remontant, je racontai tout à Minah, et ses yeux s’illuminèrent. Elle me tira contre elle, sa chatte mouillée réclamant ma langue, puis mon sexe, ses cris volontairement bruyants, comme un défi au gîte entier.
Dans la clairière, le jeu atteignit son paroxysme. Minah, plongeant dans le bassin, était une vision érotique, son corps luisant, ses courbes appelant le désir. Quand elle taquina Laetitia sur l’érection d’Adam, je sentis mon sexe durcir, excité par son audace. Laetitia, riant, avoua avoir entendu Adam se masturber en pensant à Minah, et cette confession fit pulser mon membre. Sur l’herbe chaude, je pris Laetitia, mes mains écartant ses cuisses, son sexe humide m’accueillant avec une chaleur qui me fit grogner. Minah, chevauchant Adam, était une reine, sa chatte glissant sur son membre avec une maîtrise qui me rendait fou. Quand elle embrassa Laetitia, leurs lèvres fusionnant dans un ballet sensuel, je sentis une nouvelle vague de désir m’envahir, mon sexe plus dur que jamais.
La nuit au gîte fut une orgie de chair et de feu. Sur les coussins du salon, nos corps se mêlèrent dans une frénésie débridée. Je pris Minah en levrette, sa chatte trempée claquant contre moi, ses gémissements résonnant comme une symphonie. Laetitia, agenouillée devant elle, léchait son clitoris avec une ferveur qui me fit frémir. Je passai à Laetitia, mon sexe la pénétrant avec force, ses cris se mêlant à ceux de Minah. Adam, succombant à Minah, était un spectacle qui décuplait mon plaisir. Je sentis Minah m’attirer, sa bouche s’emparant de mon membre encore humide de Laetitia, tandis que Laetitia, audacieuse, suçait Adam à quelques centimètres. Nos corps s’entrelacèrent, nos gémissements emplissant l’air, une danse érotique où chaque caresse, chaque pénétration, chaque orgasme était partagé. Je jouis, mon corps secoué, enchevêtré avec Minah, Laetitia et Adam, dans une communion où plus rien n’avait de limites.
Le lendemain, au petit-déjeuner, l’air vibrait encore de nos plaisirs. Laetitia parla, son aveu confirmant ce que je savais : nous avions ouvert une porte. Minah posa sa main sur la sienne, et je sentis une fierté brûlante pour ma femme, reine de ce jeu que j’avais toujours voulu. En quittant le gîte, je pris la main de Minah, nos doigts entrelacés, notre lien renforcé par ce secret incandescent. Je savais que nous avions allumé un feu qui ne s’éteindrait jamais.