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On s'était dis rendez-vous dans dix ans

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Lue : 1194 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/01/2021

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Il est cinq heures du matin, ce vendredi, quand, Guy, mon amant, quitte la villa. En effet, Rémi, mon époux rentre d’une réunion sur Paris, d’ici une heure. Vaut mieux qu’il ne le trouve pas au lit en train de baiser sa femme.
Guy est le principal rival de mon mari, en affaires. Il l’est aussi au lit. C’est un vrai phénomène, contrairement à mon époux, qui s’installe déjà, dans la routine de vieux couples.
La première fois que j’ai croisé Guy, c’est lors d’une réception. Mon mari m’avait averti.

«Fais attention à lui. Son jeu favori est de piquer la femme des autres.»
«Allons mon chérie, tu peux dormir sur tes deux oreilles. C’est pas du tout mon genre. Et puis je suis mariée, et fidèle.»

Ce qui n’empêche, que je trouve Guy très séduisant, et plein d’humour.
La seconde rencontre, c’est lors d’une inauguration, à laquelle mon mari n’avait voulu participé. Ce soir là, Guy s’était rapproché de moi. On avait parlé de choses et d’autres, puis, vers vingt heures, il m’avait invité à prendre un verre chez lui. Sans voir le mal, j’avais accepté. On avait fini dans son lit, à faire l’amour. Cela fait maintenant deux ans qu’on est amant.
Bon, mais le but de mon récit, n’est pas là.

Ce vendredi, j’ai un rendez-vous, important.
Je finis de boucler ma valise, quand Rémi, mon époux, me prend par la taille, m’embrasse dans le cou.

-Tu es sure de vouloir y aller, Mélanie, tu peux rester là tu sais.
-Mon amour...ça fait dix ans qu’on s’est donné rendez-vous. Imagines si j’y allait pas. Je rentre samedi, dans la journée.
-D’accord, ma chérie, je t’emmène à la gare.

Après un long baiser sur le quai, je monte dans le train.
Pendant tout le trajet, je me remémore mes années de lycée. On avait dix huit ans quand on s’est quittés. J’en ai vingt huit aujourd’hui, avec un homme qua j’adore. Nous avons un petit garçon de trois ans.
A cet époque, j’étais accro au sexe. Quel lycéen ne m’a pas baisée. J’ai même eu une relation lesbienne.

Retrouver mes anciens copains du lycée, me fait très plaisir, réveille d’excellents souvenirs. Dont certains, assez torrides. En effet, à cet époque, une seule chose comptait pour moi...le sexe.
Je faisais le mur pour rejoindre le dortoir des garçons. Une bonne partie de la nuit, je me faisais baiser par deux ou trois mecs. Les autres formaient un cercle, attendaient leur tour. Ils encourageaient leur copains qui me prenaient par tout les trous. Je me souviens de Lucas, un italien beau comme un dieu. Lui, il prenait plaisir à m’enculer.

Je regagnais le dortoir des filles, ou m’attendait Judith, ma meilleure copine. Elle aime beaucoup les filles.
Elle surveillait le couloir quand je prenais ma douche. Au bout d’un moment, je l’appelais pour m’essuyer le dos. Elle en profitait pour me caresser, jouer avec mon clito, jusqu’à me faire jouir. C’était sa récompense. Si mon mari savait tout ça.
Par contre, le proviseur l’a su. Un jour, il m’a convoqué à son bureau, pour me coller. J’ai du jouer de mes charmes pour qu’il soit plus clément. J’ai même du passer sous le bureau pour lui tailler une pipe. J’ai tout avalé.
La directrice, elle, était plus méchante, plus vicieuse. Elle me demandait de quitter ma culotte, et de l’allonger sur ses genoux. Puis, elle me donnait la fessée. Mais elle allait plus loin que ça...elle s’amusait avec mon clitoris, me branler la chatte, jusqu’à ce que je jouisse. Et j’y prenais beaucoup de plaisir.

Je me souvient du bal de clôture du lycée. Ce soir là, j’avais du me faire tirer trois ou quatre fois. J’étais chaude.
Je me déhanchais sur la piste de danse, qu’en survint une pane de courant.
Aussitôt, je sentis des main se faufiler ente mes jambes, quitter ma culotte. Puis ce sont deux doigts qui pénètrent ma chatte. Je me souviens avoir écarté les jambes, pour mieux me faire branler. J’allais atteindre l’orgasme, quand tout se ralluma. D’un coup, les doigts se retirèrent, me laissant la chatte toute mouillée. Je me retournais pour voir l’intrus qui m’avait donné tant de plaisir...personne.
Cette nuit là, j’ai du me contenter d’un petit coup de queue, sur le siège arrière d’une voiture.

Le lendemain, quand on s’est quitté, on s’était promis de se revoir dans dix ans. Avec le temps, j’espère qu’ils n’ont pas oublié.

Le contrôleur annonce le prochain arrêt. C’est le mien. En descendant sur le quai, Hugo est là, planté devant moi. On tombe dans les bras l’un de l’autre.

-T’as pu te libérer, me dit-il.
-J’aurais manqué ça, pour rien au monde.
-Allez, viens, tu vas être surprise.

En effet, ils sont une trentaine à être venus. Un vrai exploit.
Chacun présente sa situation, le boulot, la famille, les gosses.
Dans le lot, seul Kevin est célibataire. Je retrouve aussi Judith, ma copine, avec qui je suis toujours resté en contact.
Du reste, la dernière fois qu’elle est venu chez moi, nous avons une virée entre filles. Je l’ai emmenée dans une boite branchée, ou l’on a dansé, bu, baisé toute la nuit. La coquine aime les femmes, mais les hommes aussi.

On est tous en rond autour d’un verre, quand chacun raconte la sienne, concernant nôtre dernier bal.
«Ouah, dit l’un, ce soir là, je me suis tapé une gonzesse, putain, comme elle était affamée.»
«Moi, pareil, poursuit un autre, pendant que je branlais la chatte d’une, l’autre me taillait une pipe. Elle a tout avalé.
«Et moi, poursuit Kevin, quand il y a eu la coupure de courant, j’ai descendu la culotte d’une fille, et avec mes doigts, je lui ai gratté le clitoris, et lui est branlé la chatte. Manque de pot, le lumière est revenu. J’ai été obligé d’arrêter. Putain, comme elle mouillait, et comme elle bougeait son cul la salope. Je sentais, qu’elle allait jouir. Dommage.
Je baissais la tête, me reconnaissant dans ce récit.

-Et vous les filles, dit Hugo, vous n’avez rien à nous raconter, pas d’anecdote...allez, n’ayez pas honte, on est entre potes.
-Si, moi, dis-je. Kevin...la salope que tu as branlée quand le courant est parti, tu sais, celle qui avait la chatte mouillée, qui bougeait son cul...ben, c’était moi. J’ai pris beaucoup de plaisir. Dommage que tu ne m’es pas finie. J’avais tellement envie.
-Mais, vous pouvez finir ce qu’on a commencer, ironise Hugo.
-Hey, je suis mariée maintenant.
-Allez, cri Hugo...musique.

C’est Kevin qui m’invite à danser. Il s’excuse pour le soirée, dit qu’il me connaissait pour être la salope du Lycée, que nombreux étudiant m’avait baisée. Il n’a pas tort. A cette époque, j’étais portée sur le sexe. Je le suis toujours d’ailleurs. Mais un mari, un amant, ça suffit amplement.

-C’est pas le tout, dis-je, mais Hugo a complètement oublié de réserver une chambre, est tout est complet.
-A bon...je peux t’héberger si tu veux...sans arrière pensées.
Par contre, il y a qu’un lit...t’inquiètes, je prendrais le fauteuil.
-Pourquoi, y a pas de la place pour deux dans ton lit.
-Si, mais...je voudrais pas que tu crois que…
-Tu veuilles me baiser...c’est ça. Mais au fait, j’y pense. Je me suis faites choper par tout les lycéens du campus, sauf toi.
-Je sais...je ne te plaisais certainement pas.
-Bon, allez, j’accepte ta proposition.

Arrivé dans la chambre, j’ôte mes vêtements. Je me retrouve entièrement nue, devant les yeux ébahis de Kevin.

-Ouah...putain, qu’est-ce que t’es belle…quel canon.
-Tu trouves...ou tu me dragues.
-!!!! je vais mettre mon pyjama.
-A bon, tu mets un pyjama? Moi, je couche toute nue.

Ca en est trop pour lui. Je fille prendre une douche, laissant Kevin perdu dans ses pensées érotiques. Je reviens dix minutes après, enveloppé dans une serviette.

-Il doit bien avoir à boire dans le petit top.
-Bien sur...bière, vodka, soda…
-Bière s’il te plaît. Alors comme ça, c’est toi le coquin qui à branlé ma petite chatte, et qui m’a laissée sur ma faim.
-Désolé, dit Kevin, j’aurais bien aimé te finir tu sais. D’autant que tu venais bien.
-C’est vrai que je venais. J’allais jouir salaud.
-Que de regrets...bon, on se couche...t’as un côté.
-N’importe, dis-je.

On s’allonge, essayant de garder nos distances. Kevin se montre très correct. Dans la nuit, en me tournant, je passe une main par dessus Kevin. Involontairement, elle atterrit sur sa queue...et quelle queue...oh le bougre. A force de légère caresse, voila quelle commence à bander, pour atteindre des proportions très intéressantes. Ce serait dommage de ne pas en profiter. Je le saisit par les hanches, et le retourne. Il a le sommeil lourd. Une fois en place, je me penche, et prend sa queue en bouche, excite le gland avec ma langue. Kevin sursaute.

-Mais...Mélanie, que fais-tu…
-Chut, laisses toi faire...t’aimes pas.

Une fois sa queue en totale érection, je le chevauche, et m’y empale dessus. Je sens ses couilles frotter contre mes fesses.

-Vas-y, et fais pas comme il y a dix ans, fais moi jouir cette fois.
-T’oublies pas toi...petit salope. Tu la sens ma queue dans ta chatte…
-Oh oui je la sens...putain qu’elle est bonne...hum...hum…
-Ta réputation de salope du lycée, était vrai...t’aime la bite...tu sais quoi, je vais bien t’enculer maintenant.

C’est Kevin qui dirige les ébats. C’est un super coup au lit. Dans un dernier coup de rein, j’atteins un orgasme terrible. Kevin me tient par les hanches, le sourire vainqueur. Il m’attire à lui, me donne un sauvage baiser.
La nuit continue sur ce rythme. Je me fais prendre indifféremment par le chatte, le petit trou. Je lui taille des pipes, pendant qu’il me bouffe la chatte. On passe une nuit extraordinaire.

-Tu vois que tu m’as baiser...vaut mieux tard que jamais.
-T’es tellement belle, j’aurai du te choper avant…
-Comme quoi...tout vient à point à qui sait attendre.
-Allez, reposons-nous un peu.

Au matin, on se réveille, enlacés. Kevin me demande de rester le week-end. J’y réfléchit en prenant la douche. Finalement, je décide d’accepter sa proposition.
Assise sur le canapé, enveloppé dans une serviette. Je téléphone à mon mari, pour lui dire que je ne rentrerais pas avant mardi. Kevin profite que je suis occupée, pour faire glisser la serviette au sol, puis enfouie son visage entre mes cuisses.
Il commence à lécher ma chatte, aspire mon clitoris. Au bout du fil, mon mari me demande pourquoi ma respiration s’accélère. Je réponds que c’est le café qui est trop chaud. Puis je raccroche.

-Tu es fou, dis-je à bout de souffle...mon mari se demandai ce qu’il m’arrivait...arrêtes, tu vas me faire jouir...salaud...hum...
-Vas-y, trésor...laisses toi aller...jouis dans ma bouche.

Je me cambre sur mes pieds, offre ma chatte à la bouche gourmande de Kevin. Il se relève, me prend la bouche.

-Dis moi, pourquoi tu as dis à ton mari que tu rentrais mardi.
-Parce que lundi, je veux passer chez mon amant.
-A bon...t’as un mec. Et ton mari est au courant.
-Ben non, s’il savait...c’est son principal rival en affaires.
-Petite salope...allons au lit, j’ai envie de te baiser.
-Salaud...moi aussi j’ai envie.

La journée est forte sexuellement. Kevin assure grave. Il me baise, m’encule dans toutes les positions. Je le suce, avale sa semence inépuisable. Je jouis...jouis...jouis encore.
Nôtre relation se poursuit le samedi, et le dimanche. Kevin est un phénomène.

C’est avec regret qu’on se quitte sur le quai de la gare, après un interminable baiser.

-Allez ma chérie...on se dit rendez-vous dans dix ans?
-Quoi...ça m’étonnerait. Je t’appelle bientôt.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : On s'était dis rendez-vous dans dix ans

Le 10/11/2023 - 15:56 par Bigben0308
Récit très excitant... réel ou imaginaire ?

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