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P'tite chienne

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 28/04/2023

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P'TITE CHIENNE

PARTIE 1

Je suis arrivé à l'appart sur le coup de vingt heures. Une journée bien remplie, et la mauvaise surprise de découvrir en fin de soirée que j'étais attendu le lendemain matin à la première heure dans le bureau du DRH, Jean-Luc C... Ce n'était pas bon signe. Quand on était convoqué dans son bureau c'était généralement qu'on avait fait quelque chose de mal. Le problème, c'était de savoir quoi. En ce qui me concernait, je ne voyais pas quelle faute j'avais pu commettre. J'étais un des employés les plus actifs de cette boite de recrutement. Mais je savais aussi que la rationalité ne faisait pas forcément partie de son monde. Une légende courait sur lui et sur ses fameux emportements face à des employés qui avaient soi-disant fauté, même si je n'avais jamais entendu de témoignage direct.
On verrait bien.
J'ai aussitôt compris, quand j'ai poussé la porte, qu'il y avait quelqu'un dans l'appartement. La lumière, la sensation d'une présence, et une bonne odeur de cuisine. Et je savais qui c'était. Ma queue s'est aussitôt gorgée de sang. Ca faisait une semaine que je n'avais pas vu Priscilla et j'étais heureux qu'elle soit revenue. Elle passait sans prévenir, pour un moment plus ou moins long. Je lui avais proposé qu'on s'installe ensemble, mais elle m'avait dit qu'elle ne se sentait pas prête.
J'ai avancé vers la cuisine. Elle était là, magnifique comme à l'accoutumée. Une robe noire, courte et collante, qui dégageait ses jambes magnifiques, des bottes blanches, de cuir plissé, qui montaient jusqu'au genou, une longue chevelure blonde...Difficile de ne pas éprouver du désir pour elle.
Je me suis avancé. Elle s'est tournée vers moi et m'a souri.
--Je te préparais le repas. Poulet aux ananas.
Ce qui cuisait dans la poele avait l'air appétissant. Comme elle. Nos bouches se sont accrochées et nos langues sont venues en contact pour une caresse prolongée. Avec Priscilla, c'était toujours très chaud et il y avait du plaisir quasi immédiatement. Elle s'est tournée encore de manière à me faire face, et je suis venu glisser mes mains sous sa robe, trouvant ses fesses nues. J'ai senti le cordon d'un string entre ses fesses, et j'ai massé doucement celles-ci pendant qu'on continuait à s'embrasser. Ses seins, ronds et durs, se sont écrasés contre mon torse.
Il y avait eu pas mal de filles dans ma vie, mais c'était sans doute la première fois que le désir me submergeait ainsi, aussi fort. Il y avait quelque chose entre nous qui passait par la sexualité, vraiment intense. Mais ce n'était pas un biais moins important que les autres. Plutôt un tremplin qui nous permettait de vivre une réelle complicité.
Avec ces gestes habiles qui étaient l'une de ses nombreuses qualités, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, pendant que nos deux bouches s'accrochaient encore. Elle m'a trouvé bien dur, je ne l'étais sans doute jamais autant qu'avec elle, ni aussi rapidement,et elle m'a sorti de mon pantalon, pour me masturber doucement. Aller avec elle m'avait appris la maitrise. La première fois où elle m'avait caressé comme ça, on venait juste de se rencontrer, j'avais été incapable de me maitriser, et j'avais balancé un flot de sperme sur sa main en jouissant. Mais elle m'excitait tellement, et j'étais tellement en manque à l'époque que ça n'avait eu aucune conséquence sur ce qui avait pu se passer par la suite. J'étais resté bien dur et apte à d'autres plaisirs.
--Tu es très dur, dis donc.
--Tu sais très bien que tu me mets dans tous mes états.
--Tu veux qu'on mange d'abord ?
--Le poulet peut attendre, non ?
--Je le sors du feu...
Elle s'était écartée sans lacher ma queue, pour, de la main gauche, écarter le poulet et couper le feu.
Quand elle s'était replacée face à moi, parce que j'avais envie et que je ne me lassais pas de son corps, j'avais retroussé sa robe. Dessous elle avait des bas stay-up et un string, la partie face était entièrement transparente. Et pas forcément ce qu'on aurait pu s'attendre à trouver dedans. Il y avait pas l'ouverture d'un sexe féminin, une fente totalement close ou dont auraient émergé des lèvres, mais une queue en pleine érection, elle était aussi excitée et pleine d'envie que moi, même si elle jouait à ne pas l'admettre, longue et épaisse, qui dépassait du string, collait à son ventre, avec un méat dont suppurait son désir. Incapable de résister, mais elle ne m'a pas repoussé, je me suis penché sur elle pour la caresser de ma langue, la faisant gémir. Le goût de son liquide pré-sécrétif a rempli ma bouche. Elle s'est reculée pour s'appuyer contre le buffet, se livrant à ma caresse. Ma queue était à présent trop loin de sa main, je me suis caressé moi-même pour me donner du plaisir et soulager la tension qui m'habitait. Quand j'étais avec elle, j'étais constamment sur le fil, proche de la jouissance, mais faisant tout pour m'en écarter, m'efforçant de ne pas me laisser aller. Je ne connaissais ça qu'avec elle.
On s'était rencontrés d'une manière banale. Ca avait été la suite qui l'était moins. Le vendredi soir, comme pas mal de monde, j'aimais sortir. J'avais essayé un nouveau bar, une ambiance cosy, tamisée, feutrée, on était quelques uns de tous âges, et il était difficile de ne pas la remarquer. Elle était installée au bar. Une chevelure blonde, soyeuse et lisse, qui descendait bas, une silhouette qui s'était déployée quand elle était descendue du tabouret pour aller aux toilettes et revenir, me donnant l'occasion de la regarder pleinement. Elle était très grande, plus que moi, encore grandie par les talons aiguille de ses cuissardes, avec une silhouette impeccable. Une robe noire courte et collante, qui degageait des jambes gainées de nylon noir,et un visage aux traits fins. Difficile de ne pas la désirer.
Je n'avais pourtant pas forcément envie d'aller vers elle. J'étais célibataire depuis trois mois après une série de relations douloureuses, et je n'avais pas le désir d'aller vers une femme. Elle avait tout changé.
C'était sans doute le bon moment pour la rencontrer.
De retour des toilettes, elle était revenue à sa place, mais, au lieu de s'y asseoir, elle avait attrapé son verre et elle était venue me rejoindre.
--J'ai senti ton regard sur moi, m'at-elle déclaré en guise d'introduction, me tutoyant immédiatement. J'ai envie de compagnie. Je peux m'asseoir ?
--Je serais mal inspiré de dire non.
Elle s'est posée face à moi, sa présence m'envahissant et me prenant. L'odeur d'un parfum fruité, irrésistible, l'épaisseur de son corps, son sourire...Je n'avais pas forcément imaginé une soirée avec quelqu'un...Un net changement de perspective.
On a discuté un moment. On a parlé de nos métiers respectifs, avec un plutôt bon feeling. Jusqu'à ce qu'elle me dise :
--J'ai envie d'une soirée de sexe. Sans promesses inutiles...On verra si on peut s'entendre. Ca te dit ?
--Je n'ai pas eu de copines depuis quelques mois et je suis partant. On va chez moi ou chez toi ?
--Je te ramène.
On a quitté le bar. Elle était garée un peu plus loin. Dans la voiture, tout naturellement, d'une manière fluide, on s'est penchés l'un vers l'autre, mus par une envie commune pour échanger le premier de ce qui devait être une longue série de baisers, des baisers qui, dès le premier, ont été profonds et sensuels. Le simple fait d'embrasser dit déjà beaucoup. Baisers prolongés, au goût de caresses, langue qui fouille la bouche de l'autre, frotte sa langue d'une manière irrésistible. On s'est embrassés un moment. Elle a fini par me dire :
--Je vais quand même te dire tout...Que tu ne te sentes pas trompé par la marchandise...
Elle s'est basculée en arrière sur le siège et elle a retroussé sa robe. Dessous elle n'avait pas de culotte, juste ses bas. Ce n'était pas le plus surprenant. Non, ce qui l'était, c'était que je n'avais pas sous les yeux le dessin classique d'un sexe féminin, mais une queue en pleine érection, plus longue et plus dure que la mienne sans doute, collée contre son ventre.
Ce qui m'a énormément troublé, et emporté ma décision, sans doute, ça a été que cette queue bien raide, signe de désir, était alliée à une féminité totale, sans aucune trace de masculinité. Et une fille avec une queue au lieu d'une chatte, c'était quelque chose de décalé qui me plaisait énormément, comme tout ce qui était décalé. Pour lui faire clairement comprendre que je ne la rejetterais pas, mais aussi parce que j'en avais très envie, je me suis penché sur elle et j'ai fait glisser sa queue dans ma bouche, me remplissant de sa dureté et du jus qui s'est mis à couler de son méat. Je suis allé et venu dessus, ma main venant en même temps caresser ses grosses couilles frémissantes. J'ai été un rien surpris quand le premier jet de sperme a jailli dans ma bouche, mais je l'ai laissé couler dans ma gorge, comme les suivants. Sa queue est restée pourtant bien dure, qu'elle a disssimulé sous sa robe avant de démarrer. Pendant qu'elle conduisait, j'ai fourré ma main sous la robe, poussé par une envie irrésistible, j'ai enveloppé sa queue de ma main, moins pour la masturber, même si c'est ce que j'ai fait, que pour la sentir dure et chaude, au creux de ma main.
Je suis revenu au présent.
--Viens, on va sur le lit, ce sera mieux,elle m'a proposé.
On s'est retrouvés dans ma chambre. Le poulet attendrait. J'ai fait passer sa robe par dessus ses épaules, la laissant nue avec son soutien-gorge rouge qui enveloppait une poitrine très volumineuse, qui devait à la chirurgie esthétique, évidemment, ses bas stay-up et ses bottes blanches froissées. On a glissé sur le lit pour se placer tête-beche, avec une envie intense de l'autre. Ces moments, je les vivais très souvent, j'aurais voulu les vivre encore plus souvent. Priscilla a baladé sa langue sur ma queue dilatée, alors que j'attaquais sur quelque chose de différent. Je suis venu appuyer ma langue, comme je l'avais déjà fait souvent sur les plissements de son anus. J'ai senti son corps se tendre de plaisir, et j'ai ajouté à ma caresse des effleurements de ma main sur ses couilles gonflées et cette queue gonflée de désir à ma portée. Des moments qui donnaient un sens à la vie. Du plaisir, un plaisir intense. Ceux qui passent à côté ne savent pas ce qu'ils perdent.
J'avais appris beaucoup de choses au contact de Priscilla. Par exemple que l'anus et la zone péri-anale étaient ultra-sensibles et procuraient un très grand plaisir. Qu'on pouvait en dire autant des couilles, souvent négligées...Je m'étais rendu compte, moi qui avais eu pas mal de copines, qui avais vécu avec elles plus ou moins longtemps, que c'était souvent du sexe maladroit et rapide. Rien à voir avec ce qui se passait avec elle.
Pendant que je caressais ses couilles, un jet de sperme copieux est sorti de sa queue. Elle avait une capacité incroyable à jouir, là il s'agissait juste d'un mini-orgasme, jouir plusieurs fois mais garder la queue bien dure pour avoir encore du plaisir. Notre relation m'avait appris en tout cas à me contrôler, pour ne pas tout gaspiller rapidement. Je n'avais pas ses capacités.
Je me suis dégagé et j'ai attrapé un préservatif pour m'en gainer. Mon rêve, je ne savais pas ce qu'elle voulait, c'était de rentrer en elle sans protection, et de la remplir de semence, mais aussi qu'elle me rende la pareille, mais je n'étais pas prêt à prendre le risque car j'avais la certitude que Priscilla vivait des relations avec d'autres hommes, voire des femmes. Je la sentais très libre.
La queue gainée de latex, je me suis laissé aller en arrière. Elle connaissait une de mes positions favorites. J'aimais la voir au-dessus de moi. Mon plaisir passait aussi par le regard. Elle s'est redressée, et, attrapant ma queue, elle l'a amenée contre la zone que je caressais encore quelques secondes plus tôt. J'ai glissé en elle comme je l'avais déjà fait si souvent, et comme j'espérais le faire encore si souvent.
Bien sûr, je rentrais en elle sans mal. Avec le plaisir, unique, de sentir autour de moi la gaine serrée de son rectum comme une caresse sublime.
Un autre de mes plaisirs, c'était de la voir et de profiter d'elle du regard. Elle était sublime, dans cette féminité différente, avec le plaisir sur son visage, ses seins lourds que je venais caresser et cette queue, gorgée de sang et palpitante collée à son ventre, qui se dilatait encore pendant que je la fouillais.
On finissait souvent de la même manière, dans un geste qui, à mon sens, était la marque de notre complicité. Elle ou moi, on enveloppait nos deux queues d'un seul geste. Il y avait déjà le plaisir de sentir la queue de l'autre contre la sienne, chaude et frémissante. Et celui de cette main qui entamait une caresse qui nous conduisait vers ce moment de plaisir ultime, que nous retardions aussi longtemps que possible, la tension montant en nous et entre nous, jusqu'à ce que la jouissance explose entre nous et que nos spermes, qui n'en finissaient pas de jaillir, se mélangent.
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Histoire de JamesB

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