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P'tite chienne partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/04/2023

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P'TITE CHIENNE
PARTIE 2
Je suis arrivé pile à huit heures cinquante à l'un des trois étages des dirigeants. Je venais très rarement par là. Je n'étais pas spécialement anxieux, je me demandais plutôt pourquoi j'étais convoqué, car je ne pensais pas avoir quoi que ce soit à me reprocher.
A cet étage comme plus bas, il n'y avait pas vraiment de portes, plutôt des espaces successifs, qui se connectaient ou pas, et ceux qui étaient isolés l'étaient pas des sortes de paravents...
J'avais en tête le numéro du bureau, après avoir jeté un œil sur l'organigramme. 14. Je me suis avancé vers la gauche.
Je n'oublierai pas le moment que j'ai surpris, et qui m'a mis en feu. Il y avait une ravissante blonde, appuyée contre le rebord d'un grand bureau, dans une robe collante qui soulignait une silhouette impeccable, et devant elle une rousse, aussi grande et élancée qu'elle, elle aussi avec une jolie robe qui soulignait sa silhouette.
Depuis que j'avais rencontré Priscilla, je ne savais pas pourquoi, je rencontrais constamment des femmes dépourvues de la moindre masculinité, mais pourvues de belles bites. Cétait bien le cas de la rousse, qui arborait une féminité aussi flamboyante que sa chevelure, mais qui offrait à mon regard une bite longue et dure, gorgée de sang par l'excitation. La blonde, avec du plaisir et de l'application sur le visage, donnait de bons coups de langue sur la queue roide, descendant jusqu'aux couilles. Elle était habile. La rousse était en tout cas en pleine extase.
Ca a duré un moment, et j'en ai pris plein les mirettes. J'aurais voulu prendre la rousse dans ma bouche, mais j'autrais aussi voulu sentir celle de la blonde sur moi. Etre simple voyeur me permettait d'établir un juste équilibre, et de me projeter dans l'une et l'autre.
La fille rousse, proche de la jouissance, a commencé à frémir. La blonde a arrêté les coups de langue pour resserrer sa bouche sur sa queue, en avalant la moitié. J'ai clairement vu la queue aller et venir, agitée de soubresauts, mais la blonde tenait bon...La rousse, se tordant, et se retenant à grand peine de gémir ou de crier crachait son sperme dans la cavité buccale de la blonde qui voulait tout avaler. Un filet de sperme, blanc, est apparu à la commissure de ses lèvres, et a coulé le long de la queue. Quand les jaillissements de sperme ont été calmés, elle a encore gardé la queue dans sa bouche, pour boire le sperme jusqu'à la dernière goutte, et, se dégageant enfin, elle a léché la coulure blanche le long, avant que la rousse ne reglisse sa queue qui n'avait pas vraiment débandé dans son string, et ne redescende sa robe.
La bouche encore pleine de semence, la blonde quadra a repris place derrière le bureau, déglutissant pour avaler ce qui était encore dans sa bouche.
Je me suis reculé. La rousse est sortie, partant dans l'autre direction sans même me voir.
Je me suis présenté à la nlonde.
--J'ai rendez vous avec monsieur C...
--Il va vous recevoir. Il est avec quelqu'un. Vous aviez rendez-vous à neuf heures ? Je pense qu'il vous prendra en retard.
Je me suis installé sur un siège, face au bureau.
Sans l'avoir voulu, j'étais pile en face d'elle.
Quand elle s'était assise, la robe, courte, s'était retroussée. Dessous, elle n'avait pas de slip, et j'avais sous les yeux deux couilles gonflées, et une queue en pleine érection, tendue par l'excitation du moment de plaisir avec la rousse, longue et dure.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'envie, tout simplement.
--Vous avez donné du plaisir à la belle rousse, je pourrais m'occuper de vous en donner, si on a un peu de temps. Ma fiancée est un trans.
Elle m'a regardé, un rien surprise. Et, sans hésitation, avec l'envie évidente de sauter sur l'occasion dans le peu de temps qui nous était donné, elle a bondi du fauteuil pour venir vers moi. La robe est retombée, le tissu déformé par l'érection. Je l'ai soulevé et sans hésiter, j'ai englouti un tiers de la queue, en même temps que je caressais doucement ses couilles. J'ai fait aller et venir ma bouche sur elle. Elle s'est cambrée, incapable de retenir un gémissement.
--Ta copine doit être heureuse ;..Tu te débrouilles bien....
On avait conscience qu'on avait très peu de temps, c'est sans doute pour ça qu'elle n'a pas cherché à retenir sa jouissance. Ca a peut-être duré une minute avant que son sperme ne commence à jaillir, que j'ai laissé couler dans ma gorge. Nos attitudes n'étaient pas si différentes au final. Je l'ai gardée en moi après qu'elle se voit vidée en plusieurs spasmes, lapant ce qui coulait encore après. Elle souriait, ravie, quand, rabaissant sa robe, elle est repartie s'asseoir.
--Il faudrait monter me voir plus souvent...C'était bon....Tu sais bien sucer une queue
Elle a soulevé sa robe.
--Regarde, je suis encore bien dure...Quand tu sortiras, si tu as envie...On pourrait aller un peu plus loin.
--Je ne dirai pas non, je lui ai répondu.
Et c'était vrai que je la trouvais attirante. J'étais vraiment accro aux filles avec une queue.
Poussant le paravent sur le côté, C... a fait son apparition sur le seuil. Grand, blond, un corps que l'on devinait, sous le costume, entretenu par l'exercise. Il ne souriait pas. Il ne souriait jamais. En tout cas, chaque fois que je l'avais croisé, il avait un visage froid et neutre.
--Entrez.
Pas un bonjour. Ca n'augurait rien de bon. Pourtant, j'étais étrangement serein. Et puis le moment de plaisir que je venais d'avoir m'aidait et m'aiderait à relativiser les choses.
Une pièce grande et lumineuse, une table de travail immense, avec juste un ordinateur posé dessus. Il m'a fait signe de m'asseoir.
--Je vais aller droit au but. Je vous ai remarqué il y a quelques mois et depuis, je vous ai surveillé.
Je suis bon pour trouver une autre entreprise, j'ai pensé en mon for intérieur.
--J'ai besoin de quelqu'un de très compétent pour remplacer mon second. Je me charge de diverses tâches, la gestion du personnel, mais aussi le recrutement de personnes à un plus haut niveau que le votre. Je vous propose le poste.
Je l'ai regardé, sidéré.
Il n'a bien sûr pas souri.
--Je suis effectivement intéressé, je lui ai répondu.
--Très bien, j'ai préparé un contrat, je vais le chercher.
Il s'est levé, et il est passé dans une pièce attenante, puis encore dans une autre.
Je me suis retrouvé seul.
Le mur derrière lui et donc devant moi était parfaitement lisse, et l'écran de son ordinateur s'y reflétait parfaitement. Il y avait un fonds d'écran tout ce qu'il y avait de plus classique, celui, standard de Microsoft. Mais tout a été soudain bouleversé. Il devait avoir sa messagerie ouverte, car une image à fait irruption sur l'écran. Un panneau noir avec écrit Salut p'tite chienne...Un montage photo et vidéo de tes exploits de la semaine dernière.
S'ensuivait effectivement un montage, des moments très courts, et d'autres plus longs, mais chaque seconde est restée gravée en moi pour longtemps. J'ai compris très vite que le montage incluait différents moments, différents jours, différentes semaines. Le seul point commun, c'était le plaisir et la jouissance, et des moments vraiment troublants, qui sont restés sur ma rétine et dans ma mémoire même si je ne les ai vus qu'une fois. On voyait une queue, molle, reposant sur une paire de couilles. Une main surgissait dans le champ, main féminine, on pouvait le penser car elle avait des ongles peints. Elle s'emparait de cette queue et elle commençait à la masturber. La queue se gorgeait de sang très rapidement et se redressait, saccade après saccade. Un tableau troublant, filmé dans les premières secondes au rythme normal, puis, dans un accéléré, brisé de temps en temps par une pause, une main qui masturbait une queue qui se dilatait de plus en plus. Dans un dernier temps, on retrouvait le rythme normal, la main masturbait la queue dilatée à l'extrême. Le sperme commençait à jaillir, des jets puissants et copieux.
Ensuite il y avait des séquences rapides. On voyait clairement celui dont je devais être l'adjoint sucer une queue. Une bite bien longue et bien dure sur laquelle sa bouche allait et venait, jusqu'à ce qu'il se fige, et que des filets de sperme sortent, parce que ce devait être une éjaculation copieuse, et qu'il ne pouvait pas tout avaler.
Une autre scène sympathique, abrégée aussi, une sorte de digest, on le voyait nu, la queue en pleine érection collée contre le ventre, Il y avait un type derrière lui et sous lui, dont on n'apercevait que la silhouette, les jambes, et une queue dressée, bien longue et bien roide. Il descendait dessus. Son gland appuyait contre la muqueuse anale, avant de rentrer en lui sans problème aucun. Il l'absorbait totalement, pour se retrouver assis sur les couilles de son partenaire, la queue, si volumineuse soit-elle, totalement en lui. C'était troublant au possible. Tout autant que de voir une fille venir sur sa queue, qui avait réduit de quelques centimètres, le plaisir ayant basculé sur la zone anale, caressant sa queue de la langue pour le faire durcir à nouveau...Le gars sur lequel il était empalé le soulevait par les hanches pour le faire monter et descendre sur le membre, le sexe apparaissant et disparaissant, pendant que la fille s'accrochait à la queue, sans relâcher la pression, même si le mouvement la gênait. 'P'tite chienne' gémissait de plaisir et se tordait sous l'effet de la double caresse. Il éjaculait au moment où le gars qui était en lui sortait sa queue, et crachait son sperme sur le membre, tandis que son sperme à lui atterrissait sur son ventre.
La troisième séquence, elle aussi courte et montée le montrait avec plusieurs queues devant lui. Il allait de l'une à l'autre, et ouvrait la bouche devant celle qui allait jouir, la bouche et la gorge inondées de sperme. Son palais était finalement saturé de tous les spermes additionnées. Il avalait le mélange final.
La vidéo se terminait sur un message sur fond noir 'Tu mérites bien ton surnom, P'TITE CHIENNE.
Elle a disparu, comme happée par l'écran. Je me suis demandé si je n'avais pas rêvé.
Il est revenu, avec une liasse de papiers à la main.
Il me l'a tendue.
--Je vous laisse le lire et le signer à tête reposée. Vous démarrez lundi prochain. Votre salaire sera revu à la hausse.
C'était fini. Je suis sorti de son bureau avec la liasse à la main. Troublé par les images que j'avais pu voir. C'était curieux comme ma sexualité avait pu se décaler et évoluer au fil du temps, au point que la norme que je considérais comme un commandement absolu était devenue au fil du temps anecdotique et je me sentais poussé vers de nouveaux champs d'exploration.
La secrétaire m'a jeté un regard interrogateur. Elle a compris à mon expression que j'étais prêt à partir vers un moment avec elle. Elle m'a fait un clin d'oeil, s'est redressée, m'a attrapé par la main et entrainé d'une pièce à l'autre. On s'est retrouvés dans un local désert. Souriante, elle m'a défait et mis à nu. M'a trouvé dur, autant d'envie d'elle que du trouble des vidéos que j'avais pu voir.
--Une belle queue...Exactement ce qu'il me faut pour bien commencer la journée. Je crois que je suis trop addict au sexe...
Mais c'est sans remords qu'elle s'est pliée en deux pour venir prendre ma queue dans sa bouche et la faire coulisser dessus. Elle avait un indéniable savoir-faire, me caressant de la langue en même temps, et je devais me retenir pour ne pas exploser. Heureusement que mes rapports avec Priscilla m'avaient appris à me contrôler.
Elle a soulevé sa robe et exhibé une queue bien dure, comme si elle n'avait pas joui quelques minutes plus tôt. Elle a entrepris une caresse dont m'avait déjà fait profiter Priscilla, et qui me plaisait énormément, venant me caresser avec son gland ultra-gorgé de sang. Le long de ma queue, sur mes couilles, gland contre gland, nos jus pré-sécrétifs se mêlant. C'était un moment de tension, sur la crête, où on se retenait l'un comme l'autre de ne pas jouir, pour bien profiter de cet apex. Elle a eu finalement une sorte de minique, en me disant :
--Je suis entrain de jouir !
Et ça a été un rien particulier, parce que pour moi l'éjaculation était sinon simultanée, dumoins elle intervenait quelques moments avant la jouissance, et là c'était l'inverse. Elle a été transfigurée par la jouissance, et un réel plaisir, intense, se lisait sur son visage. Le sperme est donc sorti en décalage, la substance crémeuse jaillissant en traits copieux, qui sont venus maculer ma queue, ma chair, au-delà...Ce qui m'a fait jouir moi ? Un mélange, sans aucun doute, le fait qu'elle soit extrêmement troublante, le plaisir que m'avait donné sa caresse, le fait de la voir jouir, et aussi de sentir le sperme chaud jaillir contre moi. Le mien a jailli aussi, et nous nous sommes arrosés mutuellement, nous maculant de semence.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : P'tite chienne partie 2

Le 29/04/2023 - 10:53 par Sexty53
Trop bon et trop excitant

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