ACCUEIL > Gays > Récit : P'tite chienne partie 3

P'tite chienne partie 3

+6

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/05/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :


P'TITE CHIENNE
PARTIE 3
Quand j'ai quitté la secrétaire, elle m'a dit qu'elle avait envie d'autres moments avec moi. Je lui ai répondu que ce serait tout sauf un problème, vu que j'allais intégrer, mais elle le savait sans doute déjà, un nouvel emploi pas loin d'elle. Je suis parti avec de fantasmes plein la tête, en me demandant si, sous la robe, sa queue était encore roide où si elle avait finalement débandé. J'imaginais son gland suppurant , à mi-chemin entre plaisir et excitation. Avec aussi des images plein la tête, celles que contenait la vidéo qui avait jailli sur l'écran.
Elles ont tourné dans ma tête toute la journée.
Ce sont elles qui m'ont poussé à faire ce que je n'aurais sans doute jamais fait sinon.
Dans une entreprise, quelle qu'elle soit, les informations circulent, dans un flux continu et sans cesse renouvelé.
Je savais qu'il partait tous les jours sur le coup de 17 heures 30, et aussi qu'il partait à pied à travers la ville, ce qui n'avait pas manqué de surprendre certaines personnes, qui l'auraient vu plutôt arriver et repartir dans une voiture de luxe. On disait, et c'était sans doute vrai, qu'il menait une vie frugale, se consacrant uniquement à l'entreprise.
Je suis resté jusqu'à 17 heures, avant de me caler à l'extérieur, dans l'ombre.
Pour la première fois de ma vie, j'allais faire une filature. Je trouvais ça drôle et excitant.
Surtout j'avais envie d'en savoir plus sur lui. Certaines hypothèses se dessinaient en moi, dont j'avais envie de savoir si elles étaient justes.
Les rumeurs ne mentaient pas. Il est sorti de l'immeuble pile sur le coup de 17 heures 30. Silhouette fine, allure déliée, il s'est fondu dans la foule. Je n'avais jamais encore suivi personne, mais j'avais à peu près l'idée de ce que je devais faire. Rester à distance. J'étais bien convaincu qu'il était capable de me repérer.
C'est comme ça qu'on est arrivés, un quart d'heure plus tard, sur les quais de la ville. Il était quand même vigilant en avançant. Redoutait-il d'être surveillé ? Je restais loin, décalé...
La ville bénéficiait d'autant de quais qui étaient comme des cellules. Pour accéder à l'une ou à l'autre, on pouvait passer par les escaliers qui y conduisaient, mais il y avait aussi d'étroits passages entre chaque alvéole, coupée des autres par des murs, de la végétation...
Il est descendu sur l'un des quais. Celui-ci était désert. Je suis resté au niveau des escaliers. Il l'a traversé. Il ne cherchait rien sur celui-ci, sinon sans aucun doute, à vérifier s'il était suivi. J'ai attendu un moment après qu'il soit passé, car je craignais qu'il ne surveille encore pour prendre ses précautions, puis, en restant contre la haute paroi sur la droite, je me suis avancé jusqu'au quai suivant. J'ai été très prudent, et en me glissant sur l'étroit passage, j'ai compris qu'il y avait un rideau de végétation dans lequel je me suis tapi.
Je n'ai pas été déçu par le spectacle qui s'offrait à moi. Il était dans la droite ligne des moments qui figuraient, amputés et condensés, sur la vidéo. C... avait trouvé un équilibre entre le souci obsessionnel pour son travail et la recherche de plaisir, l'un étant compensé par l'autre. Le moment auquel j'assistais aura pu en tout cas et du être filmé pour figurer dans l'anthologie de ses meilleurs moments de sexe.
Il était tombé à genoux, et autour de lui il y avait une demi-douzaine de jeunes, qui avaient pour point commun de lui offrir leur queue, à des stades divers de l'érection. Il avait, quand mon regard s'est posé sur la scène, deux queues dans la main. Il en branlait une d'un mouvement vif, alors que l'autre subissait un mouvement plutôt lent. C'est pourtant celle-là qui a craché la première des jets de sperme qu'il a accueilli en ouvrant la bouche. Le gars, essoré, a laissé la place à un autre type. 'P'tite chienne' est venu faire coulisser sa bouche sur la verge offerte, tout en continuant de caresser le membre de la main, cette queue qui est devenue le fil rouge des minutes qui ont suivi. Elle enflait, grossissait, mais ne se décidait pas à jouir. Le gars qui avait sa queue dans la bouche de C... a joui, se figeant et crachant sa semence dans la cavité buccale de 'P'tite chienne' qui gardait la bouche obstinément fermée pour ne pas perdre une goutte de semence. Tout s'est enchainé, avec des variations à chaque fois. Il a léché la queue suivante, s'est acharné sur les couilles et le gland qu'il a finalement avalé, sans faire rentrer la queue plus loin, massant les couilles pour faire jaillir la semence. Les deux queues suivantes, il les a frottées l'une contre l'autre, une queue caressant l'autre, puis en faisant se frotter les glands l'un contre l'autre. C'était vraiment excitant, et les gars n'ont évidemment pas tenu longtemps. Il a orienté les queues vers son visage, et ils l'ont maculé de semence. Je regrettais de ne pas être plus près pour voir son visage se couvrir de sperme. La scène m'excitait terriblement.
Il restait cette ultime queue, qui ne voulait pas jouir. Longue et dure, et qui semblait destiner à rester longue et dure, sans jamais cracher sa semence. C... s'charnait sur elle, mais ça ne venait pas. Il a finalement choisi de poser sa main sur sa queue et de la faire bouger dessus dans un mouvement de va-et-vient. Deux aller-retours ont suffi pour qu'un torrent de sperme jaillisse. 'P'tite chienne' a ouvert la bouche pour que le sperme coule dans sa gorge.
La scène s'est dissoute quelques secondes plus tard, à croire qu'elle n'avait jamais existé. Le jeune type est parti pendant que C... restait là quelques secondes, sortait un tissu de sa poche, épongeait la semence qui avait souillé son visage avant de s'éloigner lui aussi, passant sur le quai suivant.
Je suis reparti avec le feu au ventre et l'envie d'un partenaire, quelqu'il soit. A moins d'un coup de chance, et vu son rythme habituellement irrégulier, Priscilla ne serait sans doute pas là quand je rentrerais...
Parfois, on a la chance de son côté. Une bonne surprise quand elle arrive. Je venais juste d'arriver devant chez moi, je l'ai vue se glisser dans l'entrée de l'immeuble. Je l'ai rattrapée avant qu'elle ne referme la porte d'entrée.
--Je ne pensais pas te voir deux soirs d'affilée ?
--J'ai envie qu'on soit ensemble plus souvent.
Elle portait une robe en cuir qui lui arrivait à mi-cuisses, avec des bottes lacées sous le genou, exactement de la même couleur. Elle s'est avancée et nos bouches se sont accrochées. Son corps collé à moi, elle a aussitôt remarqué que ma queue était dure.
--Tu as envie de sexe dis donc ?
--Je pensais à toi.
Ce n'était qu'un demi-mensonge. J'avais bien pensé à elle, mais uniquement comme un pis-aller, un moyen de me soulager. Pas très fier de ces pensées et de ces paroles, dont je me demandais d'ailleurs si elle était dupe...
Mais je sentais aussi contre mon ventre sa queue à elle, sans doute aussi roide, ou presque, que la mienne. Elle était aussi passée pour du plaisir. Après tout, c'était ce qui nous unissait.
J'ai soulevé sa robe. C'était toujours un moment que j'aimais. Découvrir comment elle était en dessous, et l'état de son désir...Une culotte blanche et une queue aussi roide que la veille qui dépassait.
--J'ai envie que tu me baises !, je lui ai dit.
Je me suis laissé aller contre le mur. Rester ainsi dans l'entrée c'était prendre le risque d'être surpris par les voisins qui arrivaient, mais la prise de risque était excitante. Une fois, j'avais son sexe dans ma bouche, et elle jouissait, son sperme coulant dans mon gosier quand j'avais vu une silhouette se dessiner devant la porte, et enfoncer la clef dans la serrure. Je voulais profiter jusqu'au bout de sa semence. Ca s'était joué à quelques secondes, je m'étais redressé, la bouche pleine de sperme, et Priscilla avait redescendu sa jupe, masquant une queue roide, et dont suintait encore du sperme. La jeune femme qui arrivait nous avait souri, et je m'étais dit qu'il ne fallait surtout pas que je parle pour éviter que le sperme qui était encore dans ma bouche et n'avait pas coulé dans mon gosier sorte.
--Bonne soirée.
Je me suis demandé par la suite si elle n'avait pas plus ou moins deviné ce qui s'était passé. Sans forcément être sur l'acte lui-même, mais simplement qu'on venait de prendre du plaisir.
--J'ai envie que tu me fouilles, je lui ai dit.
Et c'était vrai que j'avais envie de sentir un sexe en moi. Le sien, mais sans doute que je pensais à celui de C... sans vraiment me l'avouer.
Priscilla a attrapé un préservatif dans son sac et elle en a gainé sa queue frémissante. On se retrouvait toujours sur le plaisir et le désir...Je me suis défait.J'étais dur d'envie et de frustration. Elle a rapproché sa queue de la mienne, et elle nous a enveloppés de sa main pour nous branler, dans un mouvement lent. Je devais me retenir pour ne pas jouir. Un enjeu et un plaisir.
Elle est venue appuyer son gland contre ma muqueuse anale. C'était Priscilla qui m'avait fait découvrir le plaisir anal, et comprendre la force de celui-ci. Dire que la plupart des hommes passaient à côté toute leur vie, sans réaliser que la jouissance que leur donnait leur queue n'était rien à côté de celle que pouvait leur procurer leur zone anale.
Elle a glissé en moi, et j'étais déjà au bord de l'orgasme. Comme j'en avais envie, elle m'a entièrement rempli de sa queue bien dure, sans pouvoir enfoncer un milimètre de plus en moi. Priscilla est venue prendre ma bouche, en même temps qu'elle me masturbait. Elle a commencé, coups de bassin, à bouger en moi, caressant mes chairs intimes les plus sensibles qui soient. Outre le frottement de sa bite contre mes muqueuses, ce qui me plaisait par dessus tout, c'était cette impression que j'avais qu'elle forait mes chairs, jusqu'à m'envahir totalement. Ce n'était qu'un fantasme, mais il revenait régulièrement et me donnait du plaisir. C'était au final bien un faisceau de plaisirs qui se rejoignaient et me faisaient jouir. Le physique et l'imaginaire emmelés.
Un autre plaisir, c'était, preuve de complicité, de jouir en décalé. Elle avait ses plaisirs, j'avais les miens. Moi, c'était de sentir son sperme jaillir en moi, trait après trait, et de venir taper contre mes chairs ultra-sensibles, elle d'envelopper ma bouche et d'accueillir ma jouissance, trait après trait aussi. S'y rajoutait pour moi le bonus de recueillir le préservatif, de le rouler le long de sa queue, et de venir laper la semence qui avait garni le réservoir, toujours copieuse.
--Tu restes ce soir ?, je lui ai demandé.
--J'ai envie que tu me rendes la pareille. Que ta bite me fouille longtemps.
On est partis pour mon appartement, nos queues encore roides de désir alors même qu'on venait de jouir.
6 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : P'tite chienne partie 3


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :