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P'tite chienne partie 5

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/05/2023

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P'TITE CHIENNE
PARTIE 5
Ludivine est arrivée dans le bureau avec un paquet de documents.
--Il faut que tu jettes un coup d'oeil à ces dossiers. Ce sont les candidatures pour le poste de webdesigner.
Elle s'est approchée, et a posé le carton à ramettes sur mon bureau. Ca faisait un mois que j'occupais ce poste, et je ne chômais pas. On se voyait deux fois par jour avec C... pour faire le point. Il n'avait jamais fait le moindre commentaire positif, mais il semblait satisfait de mon travail, puisque, lui qu'on disait d'une dureté implacable n'avait jamais esquissé le moindre commentaire.
Ludivine était en tailleur aujourd'hui. Ses jambes gainées de nylon, avec des escarpins aux talons très fins, au moins une dizaine de centimètres, qui la cambraient. Je suis venu poser la main sur sa croupe, qui tendait le tissu, ultra-cambrée par les talons, avant de descendre cette même main au niveau de son genou, pour sentir au creux de ma paume la chaleur de son corps mariée à la matière, douce et électrique, du nylon...Je suis remonté plus haut. Elle a poussé un petit soupir. Cela faisait plusieurs semaines que j'avais des moments de plaisir avec elle, mais aussi avec sa copine rousse, et il y avait une plénitude dans de tels moments qui nous satisfaisaient tous les trois. Selon nos envies, on allait l'un vers l'autre. Ludivine avait toujours envie de sexe, et je trouvais toujours sa queue roide, ou semi-roide.
J'ai attrapé l'ourlet de sa jupe, et je l'ai roulée, dévoilant une paire de bas stay-up, des cuisses nues, et, plus haut, une queue sans doute déjà dure, mais que mes caresses avaient contribué à allonger et apaissir. Son liquide pré-sécrétif suintait de son méat, faisant luire ses chairs. Elle a gémi quand ma bouche est venue envelopper sa chair pour la caresser. Son goût a coulé dans ma bouche puis dans ma gorge. De tels moments étaient précieux pour moi...Vivre sans sexe...Ca m'aurait été impossible, et le sort me lotissait bien, qui me mettait des partenaires qui avaient la même obsession que moi pour le plaisir.
J'ai lâché sa queue et je suis descendu envelopper ses couilles de ma bouche. Ma langue s'est baladée dessus...Contre ma joue, je sentais sa queue se dilater, et s'humidifier, arrosée par un liquide pré-sécrétif toujours plus abondant. Je suis remonté sur son gland, avalant sa queue sur un tiers, la calant bien dans ma bouche, et massant ses couilles, jusqu'à ce que sa queue soit agitée de spasmes et que le sperme commence à sortir, jet après jet, dont le goût a rempli ma bouche.
Quand elle a eu fini de jouir, et que j'ai bien essoré son gland pour ne pas laisser perdre la moindre goutte du précieux nectar, sa queue encore raide, qui semblait ne jamais devoir dégonfler, elle s'est penchée sur moi, a sorti ma queue de mon pantalon. J'étais aussi raide qu'elle, car elle me troublait énormément.
--Mais voilà une queue toute raide...Je vais te faire jouir, sinon tu ne pourras pas te concentrer sur ton travail.
Elle s'est mise à me masturber. Lentement, puis dans un geste plus rapide, avant de revenir sur une caresse lente, dans laquelle ma jouissance est montée. Elle a plongé sa bouche sur moi juste avant que mon premier jet de sperme ne sorte, et l'a gardée obstinément fermée sur moi pour boire mon sperme.
Ca s'est produit plus tard dans la journée. J'allais sortir de ma seconde réunion avec C...quand il m'a dit :
--Si on partait ensemble ce soir, au lieu que tu me suives comme tu le fais habituellement. On pourrait partager un moment de plaisir. Ce soir et d'autres soirs ?
J'ai compris que rien ne lui échappait. Il n'avait pourtant pas l'air fâché. Au contraire. Je me suis demandé à cet instant si la vidéo était vraiment arrivée au mauvais moment sur son écran...Mais il a toujours laissé ce moment, les suivants, et ses intentions dans le flou.
Et effectivement, le soir même, sur le coup de 17 heures, alors que je bouclais des dossiers, il est venu me chercher dans mon bureau.
--Il est temps de passer à autre chose.
Nous nous sommes engagés ensemble dans les rues de la ville.
--Tout ce que tu as pu voir t'a séduit ?
--Sans aucun doute.
J'ai bien compris que dans ce TOUT, étaient inclus les spectacles qui s'étaient offerts à moi lors de mes filatures, mais aussi la vidéo.
Il m'a emmené devant une grande demeure. Il connaissait bien les lieux apparemment, mais je voulais bien croire qu'il connaissait toute la ville en détail, car il a poussé le lourd battant, qui n'était pas clos, pour se glisser à l'intérieur. Un long couloir, une porte sur la droite, qu'il a poussée. Un salon, dont les murs et le mobilier déclinaient des teintes de jaune. Les deux jeunes femmes qui se trouvaient là étaient l'une comme l'autre somptueuses, une brune aux cheveux coupés très courts, et une blonde qui a l'inverse, avait une crinière épaisse qui coulait sur ses épaules et descendait bas. L'une comme l'autre, elles avaient de belles robes, coûteuses sans doute, qui enveloppaient leur corps et donnaient irrésistiblement envie de soulever le tissu pour découvrir ce qu'il y avait dessous.
--Bonjour, messieurs. On vous attendait.
Elles étaient chaleureuses l'une comme l'autre. La brune a désigné la bouteille de champagne dans le seau à glace, les deux flûtes déjà servies, et celles qui, encore vides, étaient évidemment pour nous.
On s'est calés tous les deux, lui à la gauche de la brune, moi à la droite de la blonde. On a discuté quelques instants de lieux communs, avant de basculer. Difficile de ne pas avoir envie, et on savait de toute façon qu'elles étaient là pour servir notre désir et nous donner du paisir. J'ai cédé à mes envies, touchant la chevelure blonde épaisse, faisant glisser mes doigts dans son épaisseur, en venant en même temps chercher sa bouche, qu'elle m'a donné, répondant à mon baiser en venant chercher ma langue, même si on disait que les catins ne se laissaient pas embrasser. La robe tenait par de simples épaulettes laissant ses épaules nues, je l'ai baissée pour découvrir une paire de seins impeccablement galbée, et qui ne devait sans doute pas grand chose à la nature. J'ai posé ma bouche sur un téton, puis l'autre, et la fille a gémi de plaisir.
Pendant que je jouais avec ses seins, elle est venue caresser ma queue dans mon pantalon, qu'elle a trouvée bien dure. Le désir pour ces deux filles, mais aussi le trouble que m'inspirait 'P'tite chienne'...Je repensais à la vidéo, à toutes les scènes que j'avais surprises, et j'avais des envies qui s'inscrivaient nettement dans ma tête, sans aucun tabou.
Elle m'a massé à travers le tissu avant de me libérer.
--Tu es bien dur, dis donc. Tu as envie.
Oui, j'avais envie de pas mal de choses. Et j'ai cédé à mes envies, à commencer par soulever la robe et voir ce qu'il y avait en dessous. Sans surprise, une verge en pleine érection, de belles dimensions, longue, épaisse et bien décalottée, dont le gland suintait de désir.
Un coup d'oeil sur le couple voisin m'a fait comprendre que C... et moi nous en étions au même point. Il bouffait la queue de sa partenaire, celle-ci aussi bien pourvue que la mienne.
Avec une envie contre laquelle rien n'aurait pu aller, je suis venu caresser la queue de la langue, tournant dessus. Elle s'est cambrée et mise à gémir. Elle n'avait pas lâché ma queue, et la caressait doucement. J'ai tourné sur sa tige, descendant et remontant le long de la colonne de chair, venant sur les couilles gonflées et frémissantes...Elle m'a averti :
--Je crois que je vais jouir...
Je suis remonté sur le gland, et j'ai resserré ma bouche sur le haut de sa queue pour boire son sperme un micron de seconde avant que le premier jet de sperme ne jaillisse. Elle n'en finissait pas de jouir, me remplissant la bouche de son sperme qui a coulé dans ma gorge, un goût sucré...J'ai failli jouir moi aussi, mais je me suis bloqué. J'avais envie de plus.
--Viens sur moi, je lui ai proposé.
Elle a roulé sa robe à sa taille, avant de venir se caler sur mes genoux. Elle n'avait pas débandé d'un iota, Et je suis venu frotter sa queue avec la mienne, la faisant gémir.
Du coin de l'oeil, j'observais l'autre couple. La brune avait mis la queue de 'P'tite chienne' a nu et lui administrait une belle fellation, tout en se masturbant en même temps, la robe retroussée, exhibant un sexe bien dur. Ca m'a fait tout drôle d'avoir la queue de C... tout proche de moi, à quelques centimètres seulement, après l'avoir vue sous tous les angles, tant dans la vidéo que lorsque je le suivais.
--Viens dedans, m'a proposé ma partenaire.
J'ai attrapé un préservatif, il y en avait une boite à disposition sur une table prés du canapé, et je me suis gainé de latex.
Elle s'est soulevée, et a amené ma queue contre sa muqueuse anale, avant de se laisser descendre sur moi. La sensation unique de son rectum autour de moi, me prenant et me gainant, m'a procuré un plaisir immense, qui, je le savais, ne s'épuiserait jamais. Ma partenaire ne faisait pas semblant en tout cas. Elle s'est pamée en sentant ma queue glisser en elle, et sa queue roide, bien raide contre son ventre, a craché deux jets de sperme copieux, maculant la robe, sans qu'elle débande pour autant.
C'étaient des moments uniques. Ma queue entièrement enfoncée en elle, sentant son corps autour de moi, sa chaleur, je suis venu attraper sa queue, et la masturber. Elle a crié.
'P'tite chienne' et moi on se retrouvait dans la même position. Sa partenaire avait aussi roulé sa robe à sa taille, et elle s'était empalée sur son membre, sa queue aussi roide que celle de la blonde magnifique.
J'ai attrapé ma partenaire par les hanches, et je l'ai faite bouger sur moi. Le plaisir de sentir ma queue la caresser a été apparemment très fort, et elle s'est mise à jouir, sa queue agitée de spasmes, crachant autant de jets de sperme qui ont complété les deux premiers, dans un processus qui ne semblait pas devoir s'arrêter, et sans casser son érection. C'était comme si on avait ouvert un robinet. Elle se pinçait les tétons en même temps, et son visage exprimait une félicité sans bornes.
C... et sa partenaire semblaient eux aussi expérimenter du plaisir. La fille se faisait bouger sur sa queue, tout en se masturbant. Elle a joui elle aussi, crachant un sperme copieux.
Ce qui s'est passé par la suite, j'aurais du l'anticiper. D'autant que c'était totalement logique.
Les deux filles ont joué un moment avec nous, puis elles se sont dégagées, nous laissant avec nos queues raides, et sans avoir joui. Elles se sont calées au bout du canapé, et la brune, tout en se masturbant, a pris la blonde dans la bouche pour la sucer. Je me suis dit que leurs queues allaient rester obstinément dures, et qu'elles pourraient jouir dix fois, elles ne débanderaient jamais. Des androides, pas des êtres humains, programmées pour le plaisir et pour en donner.
'P'tite chienne' s'est redressé et il s'est approché de moi. On savait tous les deux que ce moment devait avoir lieu, et on en avait envie l'un comme l'autre. Moi depuis que j'avais vu la vidéo, et lui...Sans doute avant...J'en étais arrivé même à demander quelle était la raison réelle de mon recrutement.
Mais mon envie à tout balayé sur mon passage. J'ai enveloppé sa queue de la main et je l'ai caressée. Elle était chaude et dure. Son gland suppurait, et un liquide gras a trempé ma paume. Je me suis redressé de telle manière à ce que ma main empaume sa queue et la mienne et je nous ai caressés de concert...Valait-il mieux jouir maintenant ou attendre...On ne s'est pas posés la question, et on a laissé éclater un premier orgasme qui nous a fait mélanger nos spermes.
Les deux filles étaient calées l'une à côité de l'autre, et elles se masturbaient mutuellement en gémissant et en s'embrassant. Dans ce climat de désir et d'excitation extrême et dans l'envie qui nous habitait l'un et l'autre depuis un moment, c'est tout naturellement que je me suis laissé aller en arrière, glissant sur le canapé, et qu'il est venu me pénétrer. Sa queue m'a envahi, et elle m'a procuré une félicité sans bornes. Il a bougé en moi, me caressant. Ce qui me procurait du plaisir, c'était en partie qu'il me fouille, mais aussi l'évidence que nous aurions encore de tels moments. J'en avais envie et lui aussi apparemment.
Il s'est dégagé et est venu se poser sur moi, guidant mon sexe en lui pour que je lui rende la pareille. Il a bougé sur ma queue, se faisant monter et descendre.
Tous les quatre, on a joui quasiment en même temps. Heureux hasard sans doute plus que signe du Destin...Les deux filles ont crié leur dernière jouissance, crachant leurs dernières réserves de semence, tandis que lui et moi qui n'avions pas encore joui, nous explosions, moi en lui, lui en m'arrosant d'un sperme copieux.
On s'est séparés quelques minutes plus tard sans un mot. Nous avions envie l'un de l'autre, et s'il ne se passerait rien au bureau, à l'extérieur, tout serait possible.
Je suis reparti pour chez moi, en me demandant si Priscilla m'attendait.




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Histoire de JamesB

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