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Paris-bangkok

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Lue : 3536 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/09/2019

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Pour mes 25 ans, mes parents m'ont offert des vacances tout compris à Phuket en Thaïlande. Ma mère se joindrait à moi pour découvrir ce beau pays. Billets d'avion réservés, j'attendais avec impatience ce voyage dont je rêvais depuis longtemps. Seule préoccupation pour moi, la durée importante du vol qui m'angoissait un peu.

Le jour J, après le passage aux différents contrôles, nous prîmes enfin place dans l'avion, un airbus A380 de la Thaï Airways. Nous avions deux places côte à côte dans la rangée centrale et maman prit la place côté couloir. Je chargeais nos petits bagages dans les coffres tandis que deux garçons d'à peu près mon âge s'installait aux deux autres sièges de la rangée. Je le remarquais car il n'avait pas manqué de bien me détailler. Il faut dire que les bras levés pour atteindre le fond du coffre à bagages, je dévoilais un peu mon ventre et le piercing que je porte au nombril. Je n'avais pas vraiment fait d'effet de style, préférant voyager confortable qu'esthétique. Je portais un bas de jogging, un tee shirt col v plutôt près du corps et un sweat zippé que j'avais pour le moment laissé grand ouvert. Je vis bien que mes deux voisins avaient jeté un oeil sur ma poitrine moulé dans le tee-shirt.
J'ai l'habitude de ce genre de regards à cause de ma poitrine plutôt développée, je fais un 85D...
Bref, je rangeais les derniers vêtements et m'installais entre ma mère et mon voisin qui me salua avec un grand sourire.
Le décollage se passa très bien, même si je dus rassurer ma mère qui est très anxieuse en avion. Elle attendait avec impatience le dîner pour pouvoir prendre son somnifère. Quelle que soit la destination, elle faisait toujours cela, afin de dormir durant tout le vol. Cette fois ci son médecin lui avait prescrit quelque chose de fort pour qu'elle soit tranquille.

On nous servit le dîner, plutôt bon que je dégustais un peu coincée tout de même. Mon voisin s'excusait sans arrêt, ses coudes venant souvent butter sur les miens. Sitôt le repas terminé et les plateaux débarrassés par le personnel de bord, les lumières furent baisser et l'ensemble des hublots masqués par les stores. Ma mère prit son cachet et ne tarda pas à s'endormir sous la petite couverture fournie. Mes voisins regardaient un film sur l'écran du siège face à eux, casque sur les oreilles. Je fis de même mais je décidais finalement de dormir un peu. Je posais ma tête sur l'épaule de ma mère qui ronflait gentiment et m'endormis.

Des turbulences me réveillèrent après je ne sais combien de temps, j'ouvris doucement les yeux et me rendis compte que j'avais complètement changé de position pour me retrouver sur l'épaule de mon voisin. Je me redressais,un peu gênée et m'excusais auprès de ce dernier. Il regardait toujours son film et me fit signe qu'il n'y avait pas de soucis. J'avais dormi une petite heure et je me replongeais au fond de mon fauteuil pour somnoler un peu; Je me penchais sur le côté vers ma mère mais du coup mon bassin glissait vers mon voisin de droite et mes fesses se retrouvaient collées à sa cuisse. Il n'avait pas l'air de s'en plaindre donc je restais comme cela.
Je somnolais et sentis qu'il venait de relever l'accoudoir entre nous deux, du coup je glissais encore un peu plus sur le côté m'écrasant carrément contre lui. Je me redressais, ne voulant pas prendre trop mes aises tout de même. Je me rassis bien droite, et en profitais pour me mettre de la musique sur les oreilles. Après quelques minutes de jazz, je m'endormis de nouveau.
Comme souvent en avion, c'est très difficile de bien dormir et je dus me réveiller quelques minutes plus tard. J'avais une nouvelle fois glissé vers mon voisin de droite et ma tête était à quelques centimètres de son épaule. Après tout ça n'avait pas eu l'air de le déranger tout à l'heure alors je décidais d'en profiter. Je déposais ma tête contre lui. Cette fois l'accoudoir n'était plus une barrière et je sentis son bras tout contre moi. C'était agréable et troublant. Ce type était plutôt mignon et avait un physique d'athlète. En plus il sentait bon et même si je ne me faisais pas de film, je trouvais cela agréable d'être contre lui.
Je faisais mine de dormir et pour tester sa réaction, je laissais ma main glisser de ma jambe vers le siège. Mes doigts touchèrent les siens. Il ne fit rien dans un premier temps puis presque imperceptiblement, j'eus l'impression que ses doigts bougeaient, non pas pour se retirer mais au contraire c'était comme une petite caresse.
Je le laissais faire, c'était très agréable, ses doigts glissaient doucement sur le dessus de ma main. C'était à la fois décontractant et excitant. Ce petit manège dura un moment puis sa main glissa de ma main à ma cuisse.
Curieuse de voir où cela nous mènerait, je le laissais faire, me concentrant sur la chaleur qui naissait au creux de mes reins. Du bout des doigts, il frottait le dessus de ma cuisse.
Les yeux à moitié fermé, la tête baissée faisant toujours mine de dormir, je le regardais faire. La pénombre me permettait tout de même de voir sa main aller et venir, glissant parfois à l'intérieur de mes cuisses ce qui me procurait de délicieux frissons.
Il continua un long moment, attendant sûrement un geste ou une réaction de ma part. Je lui fis ce plaisir, en desserrant mes jambes et en lui laissant la possibilité d'aller plus loin. Sa réaction fut inverse à ce que j'espérais, il retira sa main immédiatement. Je ne bougeais pas, surprise par sa réaction.
Je le vis alors déplier sa couverture et l'étaler sur ses cuisses mais également sur les miennes. Sa main se glissa ensuite dessous et il reprit où il en était mais cette fois certain que personne ne verrait quoi que ce soit.

Il me caressait l'intérieur de la cuisse remontant lentement mais sûrement vers mon entrejambe. Au moment où ses doigts entrèrent en contact avec mon sexe au travers de mes vêtements, je pris panique et resserrai mes jambes.
Il laissa sa main coincée, j'hésitais mais mon désir était plus fort que tout et j'ecartais de nouveau mes cuisses, lui confirmant ainsi mon total consentement.
Il commença adroitement à me caresser au travers du tissu, me faisant mouiller comme rarement. Je me redressais un peu lui facilitant les choses. Sa main remonta alors et tenta de se glisser sous mes vêtements mais la position ne le permettait pas. Je décidais alors de faire une chose complètement folle. Je me soulevait légèrement et en un mouvement, je tirais mon pantalon et ma culotte jusqu'à mi-cuisses.
Je sentis alors le contact de ses doigts sur ma peau nue puis sur mes lèvres trempées. Il ne tarda à enfoncer son index puis son majeur en moi.
J'avais l'impression que j'allais tremper mon siège tellement je mouillais.
Il jouait en moi avec beaucoup de dextérité et me procurait un plaisir incroyable.
En seulement quelques minutes, à force de titiller mon clitoris, il me procura un orgasme délicieux. Je me mordis les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir. J'ouvrais les yeux, regardant à droite et à gauche si quelqu'un s'était rendu compte de quelque chose mais soulagée, je vis que la plupart des gens dormait.

Je tournais la tête vers mon voisin et lui fis un grand sourire. Il retira sa main et la porta à son nez, humant le parfum de mon plaisir.
Je partis à mon tour à la découverte de son entrejambe toujours cachée par la couverture.
Je sentis une bosse prometteuse étouffée dans son jean. Je l'encourageais à faire comme moi et quelques instants plus tard, au prix d'une petite contorsion, je pus toucher son sexe brûlant.
Ma main s'enroula autour. Je le devinais gros et relativement long, avec un gland gonflé.
J'aurais aimé me pencher dessus et le prendre dans ma bouche mais là situation était trop risquée. Je me mis alors à le caresser, lentement, langoureusement, variant la pression de mes doigts.

Je me collais le plus possible à lui faisant semblant de dormir, ma tête posée au creux de son épaule, mais sous la couverture ma main s'agitait à un rythme régulier faisant encore grossir son membre.
Je le sentais sur le point d'exploser, je ralentissais alors, tirant bien sur la peau. Son sexe se mit à être secouer de spasmes et son sperme chaud se mit à couler sur ma main. Il jouissait abondamment et je n'eus pas d'autre solution que de retirer ma main et de le laisser s'essuyer avec la couverture.
J'avais du sperme plein les doigts et je les portais à la bouche, léchant consciencieusement chaque partie sous son regard amusé.

La situation était terriblement excitante et s'il n'y avait pas eu tout ce monde autour de nous, je crois que je lui aurais sauté dessus.

Il semblait être dans le même état d'esprit car je sentis de nouveau sa main contre moi, glissant sous mon tee-shirt et remontant vers mes seins. Il s'était tourné et me faisait presque face, ce qui lui permettait davantage de fantaisie.
Je lui demandais un instant et dégrafais mon soutien-gorge. Tant bien que mal je réussis à le retirer et je le fourrais dans mon sac à mes pieds. Il pouvait désormais me peloter sans gêne, ce dont il ne se priva pas.
Il me malaxait les seins et excitait mes tétons.

Ce type dont je ne connaissais même pas le nom, me rendait fou.
Je n'en pouvais plus, je remis de l'ordre dans ma tenue et me levais, l'invitant à me rejoindre aux toilettes.
Il se leva quelques instants après moi, remettant lui aussi de l'ordre dans sa tenue.
Tous le monde ou presque dormait dans l'avion et je pense que personne ne le vit entrer dans les toilettes après moi.

L'espace exiguë ne nous permettrait pas beaucoup de fantaisie mais l'excitation était trop forte pour laisser passer une telle occasion.

Il me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes fougueusement. Il m'aida à retirer mon tee-shirt et se jeta sur mes seins, les embrassant avec amour.
Il baissa son pantalon et je p'us voir ce si beau sexe que j'avais eu en main.
Je me retournais et pris appuis sur la parois de la cabine. Il tira mon pantalon vers le bas puis ma culotte.
Je tendais les fesses vers lui et sentis ses mains se saisir de mes hanches.

Son sexe entra comme dans du beurre en moi. Il commença alors de lents vas et viens.

J'ai joui très vite sous ses coups de reins tellement mon excitation était forte. Il ne résista pas longtemps et je sentis les spasmes de sa verge. Sa semence coulait en moi par saccades et j'eus alors un second orgasme qui me laissa chancelante.
Il s'écroula sur moi, lui aussi tétanisé par le plaisir et nous mîmes un long moment à retrouver nos esprits.

On regagna nos fauteuils tout aussi discrètement et je me suis endormie, épuisée par cette expérience incroyable.

Après l'atterrissage, au moment de quitter l'avion, il a réussi à se coller derrière moi. Un dernier baiser dans le cou et son numéro glissé dans ma poche, ce sont les dernières choses qu'il me reste de lui.
Je ne l'ai pas recontacté, j'avais trop peur que d'autres moments avec lui gâchent cet instant magique vécu durant ce vol.
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Histoire de LN78

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