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Parking des rives 1

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Lue : 10 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/04/2022

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PARKING DES RIVES
partie 1
On était en début de soirée, et mon regard glissait sur le parking des Rives. Je me demandais si j'allais descendre ou pas. J'avais envie de sexe, en ce jeudi soir. Et sans doute de ce moment de sexe particulier qui n'était pas inscrit dans une relation dans la durée, mais bien quelque chose de court, d'intense, uniquement axé sur du plaisir partagé, avec quelqu'un qu'on ne connaissait pas, avec qui on n'échangeait que les quelques paroles qu'imposaient la relation, il n'y avait pas de fioritures, et une grande partie de l'excitation, du plaisir, venait justement de cette absence de codes sociaux. Du sexe cru, nu, sans plus.
L'immeuble de trois étages où j'habitais, avec la chance d'être au dernier, ce qui me permettait une vue plongeante sur les lieux, était au dessus de la cuvette dans laquelle le parking avait été construit dans les années 80. C'était un vallonnement naturel, et sur les pentes autour, il y avait eu des jardins maraîchers. Aujourd'hui, la ville, dans son harmonie totalement artificielle avait pris la place d'un lieu agricole. Il y avait donc ces places de parking tracées sur plusieurs espaces, et puis ce qui allait autour. La volonté de l'architecte de faire de cet endroit un lieu bucolique, en conséquence il y avait énormément d'arbres, de buissons, et plusieurs chemins pour accéder à ce lieu qui offrait des places de parking gratuites, mais qui était devenu un endroit de rencontres, tout en restant l'un ces endroits en ville où l'on pouvait se garer facilement.
Ce qui me fascinait le plus, sans aucun doute, c'était que deux mondes cohabitaient le jour. Et la manière dont ils cohabitaient. Il y avait ceux qui se garaient là parce qu'il cherchaient une place de parking sans contraintes, étant sûrs de toujours trouver une place, de laisser la voiture pour un moment plus ou moins long et ensuite de la retrouver, et ceux qui venaient pour un moment de sexe, pas forcément en voiture d'ailleurs. Deux mondes qui étaient à quelques centimètres l'un de l'autre, mais qui s'ignoraient totalement, comme si l'univers parallèle n'avait pas existé, alors qu'il était bien visible. C'était une grande partie du charme de ces lieux. D'ailleurs aucune censure policière, municipale, gouvernementale n'était venue mettre un terme à ces rapprochements aussi intimes qu'évidents pour le regard. Considérait-on que c'était une manière de garder le calme dans une petite ville de province ?
Il y avait moins de voitures en soirée. Ceux qui se garaient pour la nuit, et ceux qui venaient chercher du sexe. Sur le parking le plus proche, une fille venait d'arriver. Vu la distance, je ne voyais pas si nettement que cela, mais il y avait quand même des détails que je distinguais. Un manteau noir, long, et une chevelure blonde, lisse. Elle était grande, avec des chaussures avec des talons très hauts qui rehaussaient encore sa silhouette.
Elle s'était adossée contre un muret et elle avait allumé une cigarette.
Ce n'était pas la première fois que je la voyais et je connaissais plus ou moins son petit jeu. Qui n'en était pas vraiment un à vrai dire, mais plutôt l'expression d'une solitude, comme pour tous ceux qui parcouraient le parking à longueur de soirée, la quête d'un moment de plaisir qui leur permette d'oublier leur vie, leurs tracas, la banalité de leur existence...J'avais été plus près d'elle, déjà, et je l'avais vue accomplir ce qu'elle devait encore accomplir à ce moment, défaire l'imperméable, le long manteau qu'elle portait, et en écarter les pans pour révéler partiellement sa nudité. A vrai dire sa nudité n'était jamais totale, car elle aimait gainer ses jambes de bas, et parfois des cuissardes les prenaient aussi haut, mais le reste de son corps était offert. Je le connaissais bien à présent à force de l'avoir vue plusieurs fois nue. Des seins pas très gros, mais hauts perchés, et bien dressés, à l'image de leurs tétons. Un ventre plat, des hanches larges, et une toison pubienne aussi blonde que ses cheveux, qui prouvait qu'elle était une vraie blonde. C'était un appel irrésistible, même si je n'avais jamais eu l'occasion d'y succomber. Ce n'était d'ailleurs pas que je n'en avais pas envie, mais quand je débarquais sur cette zone où tout était possible, il y avait toujours un homme, une femme qui était près d'elle.
Son corps, bien sûr, me séduisait, mais, au-delà, ce qui m'attirait le plus, c'était sans doute le contraste qui pouvait exister entre son visage, maussade quand elle arrivait, et la manière dont il pouvait s'éclairer, avec quelque chose de vraiment radieux dans son expression, quand un homme ou une femme venait sur elle, et laissait glisser sa bouche, ses mains, son sexe, sur sa chair.
Là c'était une femme qui était arrivée, et qui était venue se positionner devant elle, pour, apparemment, plonger sur ses seins. C'était vrai qu'ils étaient appétissants. Moi aussi j'aurais bien plongé dessus.
C'était curieux comme ce qui excitait était souvent lié à des détails, différents pour chacun. Par exemple, ce qui me troublait, quand je la voyais, aux prises avec un partenaire d'un moment, c'était de ne rien pouvoir distinguer de ce qui se passait, puisque le partenaire masquait l'action. Mais imaginer, c'était aussi très bien.
Ca m'a vraiment mis en appétit, et j'ai eu envie de descendre. La chaleur dans mon ventre et dans ma queue engourdie. C'étaient de tels moments qui donnaient du sens à l'existence. A la mienne certainement. Mais je n'étais pas le seul à le penser.
J'ai passé une veste et je suis descendu. La journée avait été douce. La soirée l'était aussi.
J'ai descendue la rue, en arc de cercle, pour arriver sur le vaste espace. Un de ses charmes, et ils étaient nombreux, c'était que les architectes avaient laissé les nombreux arbres qui le peuplaient, et y avaient rajouté des bancs. Ca faisait des sortes d’alcôves propices à des rapprochements. Les partenaires qui s'accouplaient se fondaient dans la végétation, on ne les distinguait pas immédiatement. Ici, la discrétion était le cadet des soucis des personnes présentes, mais j'aimais ce camouflage. Ne rien voir dans les premières minutes, Puis se rendre compte qu'une femme était installée sur un homme, et qu'elle se faisait aller et venir sur son sexe. Qu'une autre femme était assise sur un banc, et qu'elle se masturbait en attendant un partenaire.
J'ai avancé en suivant le parcours labyrinthique. En quelques minutes les choses avaient évolué. Des visages familiers, d'autres inconnus, des rapprochements qui se mettaient en place rapidement. Tout se passait en quelques secondes, en fonction d'une attirance qui avait quelque chose d'instinctif. On était sûr en traversant le parking qu'on trouverait forcément quelqu'un qui vous plairait, et réciproquement. Il ne s'agissait pas de passer sa vie ensemble, mais juste d'un bon moment de sexe.
Une fille installée sur un banc, avec une jupe en jean hyper-courte qui était remontée très haut, dévoilant des jambes gainées de nylon grandes ouvertes, une partenaire calée entre ses cuisses pour un cunni qui la faisait vibrer de désir, un homme près d'elle dont elle caressait la queue bandée, une jeune femme pliée en deux contre un arbre, sa robe retroussée, une autre fille qui allait et venait en elle, équipée avec un gode ceinture conséquent, fouillant ses chairs les plus intimes...Installée à la portière ouverte d'une voiture, assise sur un homme, une femme se faisant monter et descendre sur le sexe sur lequel elle était empalée, tandis qu'elle masturbait une queue qu'un homme lui offrait, qui se tenait debout devant elle... Autant de tableaux excitants...Certains se contentaient d'ailleurs de jouer les voyeurs et d'y trouver du plaisir...
Et puis je l'ai vue arriver. Elle est descendue des parties les plus hautes de la ville en suivant un des chemins goudronnés. Je crois bien qu'elle a attiré tous les regards, même ceux des hommes et femmes qui avaient déjà un partenaire et prenaient du plaisir. Je ne l'avais jamais vue avant et j'ai été ébloui. Elle était brune, grande et fine, vêtue simplement, sans apprêt, un jean, un T-shirt avec un perfecto, sans désir de séduction, mais cela ne faisait paradoxalement que renforcer son charme. Elle avait un physique avenant, mais ce qu'elle dégageait était sans doute ce qui frappait en premier, qui venait en fait vous percuter de plein fouet. Il y avait en elle une appétence évidence pour le sexe. On sentait bien, en tout cas ceux qui partageaient ce goût, que, si pour certaines femmes, le sexe était quelque chose de quasiment tabou, elle au contraire, avait découvert un jour quel plaisir intense c'était et qu'elle n'avait de cesse de parcourir l'infinité de chemins possibles de ce pays magique. Elle avait sans doute entendu parler de ce parking et elle venait tester.
Je m'étais figé pour l'observer. Elle me faisait envie. Ca ne signifiait pas que quelque chose se passerait avec nous.
Elle s'est arrêtée devant deux gars qui discutaient, encore engagés dans nulle relation, et elle s'est laissée glisser à genoux devant eux. Je la voyais de trois-quarts. Les fesses posées sur les talons, calée sur le sol, elle a tendu ses mains aux ongles peints d'un rouge classique vers le pantalon du premier, et elle a mis sa queue à nu, l'a massée doucement, amorçant un processus qui a fait que le sang a afflué pour remplir les cavités caverneuses de la queue, la faire gonfler et s'allonger. Elle a glissé sur l'autre membre, l'a extirpée des tissus qui l'emprisonnaient. Elle était déjà plus rigide.
Assez naïvement, je pensais qu'elle allait s'engager sur une fellation, masturbant l'autre queue, allant de l'une à l'autre.
J'avais tout faux. Elle s'est mise à caresser les deux queues, d'une manière qui laissait clairement penser que les pratiques sexuelles ne lui étaient pas inconnues. Des mouvements rapides, d'autres plus lents.C'était sans aucun doute très bon à en juger par l'expression des deux gars, et leurs queues, qui avaient quasiment doublé de volume, le disaient aussi clairement.
Elle avait en tout cas une sorte d'instinct, un instinct qui l'a conduite à se tourner vers l'une des queues et à ouvrir la bouche. Le sperme a jailli dans les secondes qui ont suivi, jet après jet, partant dans sa bouche, ou se perdant autour de celle-ci, sur la commissure de ses lèvres et de ses joues, sperme qu'elle est venue ramasser du bout des doigts quand la queue a eu fini de cracher. Elle a fait tourner sa langue dessus, lapant les ultimes coulées sorties du méat.
Ca a été une sorte de signal. Un autre type, qui venait d'arriver, s'est rapproché d'elle mettant sa queue à nu. Moi aussi, tenté par sa silhouette, ce qu'elle dégageait de très fort, mais sans doute aussi par sa manière de faire, à l'opposé de ce que j'avais pu voir en ces mêmes lieux, où des filles, au contraire, suçaient avec ardeur la queue d'un homme, mais n'avaient pas le moins du monde envie de boire leur sperme, qu'elles laissaient s'éparpiller dans les airs. C'était troublant de voir une fille qui avait envie de sperme, de l'avaler, de s'en repaître.
Le gars qui avait joui s'est écarté, la queue frémissante. On était trois, en arc-de-cercle autour d'elle. Deux mains, trois queues, mais elle allait de l'un à l'autre avec vivacité. Je la voyais à présent sous un autre angle, son visage redressé vers nous, elle souriait, radieuse elle aussi dans ce moment de sexe. Elle allait d'une queue à l'autre. Sa main quand elle s'est posée sur moi, était douce et chaude, extrêmement caressante, et, si j'avais pu regretter d'être descendu, ce qui n'était pas le cas, mes regrets se seraient dissous.
Le gars qui l'avait rejointe en même temps que moi n'a pas tenu très longtemps, alors que celui qui était associé au premier restait figé dans sa rigidité. Sous un autre angle que quand j'étais hors du cercle, cette fois en prise directe, j'ai vu la queue à quelques centimètres de sa bouche ouverte, son palais tout rose qui s'est saturé de blanc quand le premier jet de sperme est sorti, au bout de sa queue, le jaillissement du sperme qu'elle a accueilli sans ciller, jet après jet, sa bouche se saturant de semence avant que d'un mouvement de gosier, elle n'avale la semence, puis vienne faire tourner sa langue sur le gland encore tout gonflé.
Elle avait encore deux queues à disposition. Le gars ne jouissait pas, mais moi, je me sentais monter vers le plaisir. La situation m'excitait trop. Sa main tournait sur nous, un moment de pause, avant de reprendre cette caresse dans laquelle je me sentais me dissoudre petit à petit.
L'effet de surprise a été bien réel, quand elle a cassé le rythme qu'elle me semblait avoir donné, en partant sur d'autres choix. Elle a frotté la queue du gars de sa main resserrée plus vivement, pour parachever sa jouissance. Je m'attendais à ce qu'elle ouvre la bouche, mais il n'en a rien été. Le premier jet de semence a jailli, propulsé dans la même dynamique que le cri qui est sorti de son ventre, et il est venu s'étaler en travers de ses cheveux. Elle a préféré fermer les yeux, tenant la queue bien dirigée vers son visage, se maculant volontairement. Les traits de semence se sont éparpillés de manière aléatoire, le crémeux épais du sperme la maculant, pour cette première occurrence, en travers des joues, des lèvres, sur le front, et deux fois dans les cheveux. La voir ainsi m'avait amené vers un point de non-retour, alors que, sans aucun doute, sans cela, j'aurais tenu encore quelques minutes. Elle l'a bien senti, se tournant vers moi avec vivacité. Une question de secondes...Le premier trait de sperme a jailli alors qu'elle venait juste de se caler devant moi. Il est venu en travers des lèvres pulpeuses, descendant sur le menton et remontant jusqu'aux narines...Le reste s'est éparpillé. Deux éjaculations qui lui faisaient un masque partiel, qui a été complété dans les minutes qui ont suivi par les jaillissements d'autres hommes.
J'étais hors jeu, mais j'avais envie de voir la suite des événements. Je me suis retiré, laissant la place à deux autres gars à la queue dure. Je me suis rendu compte en reculant, qu'il y avait deux cercles autour d'elle. Le premier, c'étaient les hommes qui venaient lui offrir leur queue, le deuxième, ceux qui regardaient, et n'iraient sans doute pas plus loin, s'adonnant à un simple plaisir voyeur, certains neutres, regardant simplement, d'autres se caressant jusqu'à se faire jouir, d'autres encore attendant pour s'approcher d'elle. La plupart, une fois qu'ils avaient joui, s'écartaient, et j'étais l'un des rares qui après avoir joui, restait. C'était qu'elle me troublait, et que le spectacle qu'elle offrait me remuait aussi, et je voulais en profiter, alors que le jour s'effaçait, et que des lumières artificielles prenaient le relais, des lampadaires installés un peu partout, suffisamment puissants pour que l'on puisse en tout cas voir nettement ce qui se passait.
Je n'ai été privé d'aucun détail. Elle ne semblait pas lassée, dotée d'un appétit sans limites, alors que le cycle s'éternisait, des queues se présentant devant elle, qu'elle caressait pour en faire jaillir la substance qu'elle recevait en alternant les modèles, ouvrant la bouche pour laisser le sperme couler dans son gosier, ou bien la faisant cracher sur son visage. A force, les traits de sperme s'étaient mêlés, faisant une sorte de masque dont la substance avait glissé le long de son visage pour se perdre dans son cou et sur son T-shirt.
Je ne m'attendais pas à ce qui se produisit enfin quand le dernier de ses partenaires fut parti. Il y avait toujours un moment où le parking se vidait. Il s'agissait sans doute de quelque chose de progressif, les gens ne partaient pas tous d'un seul coup, mais à chaque fois, c'était la même chose, je le voyais encore rempli, et il y avait un moment, une étape où je me rendais compte qu'il n'y avait plus personne. Ceux qui venaient d'ailleurs ne partaient pas uniquement après avoir joui. Il y avait ceux qui cherchaient un autre partenaire, ceux qui aimaient simplement regarder, et se déplaçaient de scène en scène, ceux qui encore venaient ici pour briser leur solitude, qu'elle soit affective ou sexuelle, et avaient du mal à partir...Il n'en demeurait pas moins qu'il y avait un moment où, enfin, le parking était quasiment vide.
Elle s'est tournée vers moi et elle s'est approchée. Sans un mot, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon. J'avais déjà joui une fois, mais je n'avais pas vraiment débandé, et elle a retrouvé un membre encore bien dur, que quelques caresses ont dilaté plus. C'était l'ultime queue qu'elle devait s'accorder dans la soirée. Devais-je y voir une faveur ? Pour moi c'était plutôt une manière de conclure. J'ai été en tout cas le seul à qui elle a accordé le privilège de me faire jouir deux fois et de deux manières différentes, sur son visage et dans sa bouche.
Le dernier trait de sperme avalé, elle s'est redressée et elle est partie par où elle était venue, ses talons tapant contre le macadam, sa silhouette fine visible à certains moments, quand elle était proche des lampadaires, se dissolvant dans la nuit à d'autres, jusqu'à finalement disparaître.
Je suis rentré chez moi satisfait. J'avais été moins seul pendant un moment, j'avais éprouvé du plaisir, j'avais eu une sorte de privilège, et ça me ferait de bons souvenirs. C'était peu et beaucoup à la fois. Il fallait que je dorme maintenant. Une longue journée de travail m'attendait le lendemain, qui commencerait tôt et finirait tard.
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Histoire de JamesB

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