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Pas sage

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Lue : 10319 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2009

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Apres 6h de train, j’étais fatiguée ; je n’avais qu’une chose en tête me doucher et me coucher !

Sur le quai, je le vis : lui
Lui avec qui j’avais passé des moments exquis, des moments de folies, des moments de baise intense ….

Nous nous étions séparés quelques mois auparavant sans prononcer le mot stop.
Il avait gardé en mémoire ma venue à Bordeaux pour un festival de bandes dessinées.

En l’espace d’une seconde mon cœur explosa entre bonheur excitation je ne savais plus où j’étais.
Cette rencontre je l’avais imaginé sans jamais la croire possible …

Il était là fidèle à lui-même, cheveux en bataille les yeux pétillants ; il s’approcha de moi sans un mot, il m’embrassa fougueusement.
Ma tête tournait de milles et milles sensations une bouffe de chaleur intense pris possession de mon corps.
Il me baisait la bouche comme je la lui baiser comme deux amants que le temps n’atteint pas.

Apres le souffle coupait par nos baisers j’avais du mal à revenir sur terre !

- « tu es à quel hôtel ma chérie ?»
- « celui où tu m’avais emmené pour ma première venue à Bordeaux …chambre »

Sourires aux lèvres nous voilà dans sa voiture je calais ma tête sur mon épaule pendant que d’une main il me caressait le visage

Ma main effleura son torse pour descendre sur sa braguette de pantalon
Je lui frôlai doucement son membre qui durcissait à chacune de mes pressions

De mes doigts curieux j’entrepris de glisser à l’intérieur de son pantalon
Il n’avait pas mis de caleçon … (hummm toi je t’assure !!!)

Mes doigts caressaient son gland humide lentement j’entrepris un massage délicat du bout de sa queue que je sentais très dure, coincée dans le pantalon …
Je lui malaxais les couilles à travers les tissus …
Je défis la ceinture pour libérer complètement sa queue raide et me pencha comme une vicieuse en mal de sexe pour le sucer.

Je lui léchais juste le bout pour avaler la goutte qui sortait du gland
Le bout de ma langue s’imitait dans le petit trou et je m’appliquais à bien saliver son gland
Sous mes assauts mon amant se raidissait essayant de se concentrer sur sa conduite
Alors que je le suçais avide de son membre qui bandait pour moi

Il se cambrait comme il le pouvait coinçé entre le volant et le siège
Il se cambrait pour m’offrir sa queue qui n’en pouvait plus
Je le sentais à la limite de tout lâcher

Je ralentissais mes coups de langue pour juste le branler
Pour qu’il souffre de cette attente de cette absence qu’il savoure ma bouche ma langue suceuse baiseuse de sa queue

Il roulait bien plus doucement que la normale
Nombreuses voitures nous doublaient
Et aux sons des bruits du moteurs des camions je devinais que certains ralentissaient plus que nécessaire pour mater ce qui se passer dans cette voiture
Où ils devaient voir ma tête faire des va-et-vient douteux … !
Peu importe ça m’excitait, ça l’existait je le savais
Je continuais mon activité de petite salope.
Je le serrais fort entre mes joues je l’aspirais en moi sans faire mal
Sa main se crispa dans mes cheveux et dans un souffle me dit :

- « je jouis espèce de salope »

Je le laissais jouir sur lui, ma main comprimant sa queue se vidant.

Apres quelques minutes sans un mot ou remarque nous n’avions pas beaucoup parlé depuis le quai de la gare !! Je refermais son pantalon et raccrochait sa ceinture.

Je mis mes doigts pleins de sperme dans ma bouche que je léchais un à un
Il se tourna vers moi

-« t’es une vraie salope … tu m’as manqué » dit-il

Sans un mot je lui donnais juste un sourire, mais à l’intérieur de moi c’était un ouragan une tempête un feu brûlant mes entrailles.
Lui aussi m’avait tellement manqué combien de nuits où seule je repensais à nous combien de fois mon ventre m’avais tordu de douleur de lui …
J’étais à coté de lui maintenant … sa main sur ma cuisse rien n’avait changé entre nous comme si nous nous étions séparés la veille.

Apres quelques minutes de route dans un silence quasi religieux où juste nos mains parlaient pour nous le parking de l’hôtel était là.

A l’accueil j’allais chercher mon passe de ma chambre, de notre chambre !

A peine la porte fermait, il me plaqua au mur violemment nous nous embrassâmes comme si c’était notre premier, notre dernier baiser
Nos langues nos bouches n’en finissaient pas d’être collées.
Sa barbe m’irritait profondément le menton mais pas grave j’aimais cette sensation
Comme si de nos baisers nous voulions pénétrer l’autre aller en lui plus loin plus fort
S’en faire mal à s’embrasser comme deux amants interdits.

Dans un élan nous nous retrouvâmes nus tous les deux à se toucher s’embrasser se regarder se sourire

Allongés juste à nous effleurer les yeux mi clos
Je savourais
Savourer ce bonheur
Après ces mois d’absence chaque jour je me suis dis je veux l’oublier, oublier sa peau, son odeur, sa voix sexy. Oublier car j’ai mal de son absence ….
Je l’aime car je sais que cet interdit est fragile
Je l’aime passionnément car je sais que demain tout peut s’arrêter
Alors je veux t’aimer là maintenant.

« -baises moi lui dis je
-baises moi violemment passionnément comme jamais
-baises moi à m’en faire mal
- baises moi comme tu me détestes »

Un doigt vint sur ma bouche pour me faire taire.
Ce doigt du silence parcouru mon corps chaude et bouillant mon corps meurtri de désir
D’envie, de toutes les envies de lui, avec lui, pour lui, en lui.

Il me pinça le téton très fort, je me mordis les lèvres et fermé les yeux pour me concentrer sur cette chaleur que me donnait son geste, quand il me dit :

« - regardes moi ! »

Son visage était collé au mien. Je sentais son souffle fort et court dans ma bouche.
Il me titillait le téton et alterner les pincements.
Il se régalait de me voir ainsi soumise, objet entre ses mains.
Et moi j’aimais çà.

Quand soudain sa pression se fit beaucoup plus forte; Il me tira le téton très fort comme si il voulait me faire décoller du lit …. Mon corps se cambra instinctivement pour accompagner son mouvement.
Ma bouche ouverte par cette douleur, son regard changea d’un coup.
Et sa bouche s’approcha de la mienne
Je pensais qu’il allait m’embrasser doucement pour contraster avec le fait qu’il malmène mon téton mais non;

Il me cracha dans la bouche !

Ses doigts tiraient moins mon téton très dur, très douloureux, brûlant.
Mes yeux fixaient les siens.

J’avalais sa salive au fond de ma gorge
Pendant un instant nos respirations se firent moins fortes.

Je savais que son cerveau et que le mien était à l’unisson que cela nous « explosaient » la tête à tous les deux ….

Et d’un coup telle une tempête imprévisible, un orage d’été, la pression le désir remonta dans nos corps plus fort plus intense

Furieusement, nos bouches, nos langues s’unirent à s’en faire mal.
Son corps se pressait contre le mien
Son torse écrasait ma poitrine
Mes tétons pointaient sur sa peau comme deux épines
On se brûlait on s’aimait on se détestait
Mon corps assoiffé de son corps
Le sentir le toucher le mordre
Notre folie nous emmenait au plus profond de nous
Au jardin du sans limite
Aux portes de notre liberté
Au chemin que nous nous étions tracés tous les deux dans les méandres de nos idées nos envies les plus perverses les plus dégueulasses.

Sans même m’en rendre compte, je me retrouvais à quatre pattes.
Il me cracha dans l’anus
Et ses mains attrapèrent mes hanches.
Sa queue raide comme un chien en chaleur entra dans mon petit trou.
Sans aucune difficulté il s’enfonça au fond de moi.
Et sans bouger un instant je savourais de l’avoir en moi ;
Rien qu’à moi pour moi
Il était à moi
Comme j’étais à lui.
Comme des amants terribles nos corps s’emboîtaient merveilleusement bien
Ils ne s’emboîtaient pas seulement physiquement mais nos esprits
Notre cérébralité nous unissait à jamais.

Ses coups de reins se déchaînaient.
Ses mains tiraient mes cheveux en arrière.
Je sentais ses couilles tapaient contre ma croupe de chienne.

Je criais à chacun de ses assauts.
Il était violent et j’en voulais encore
De la violence dans un acte d’amour …

Encore, encore, encore

Je lui soufflais entre deux cris :

-« défonces moi chéri, defonnnn …ceeee moi enc.encooooooreeee … ouiiiiii chéri
Viens, viennnnnnns »

Il éjacula une première fois au fond de mon cul.
Et en sortant sa queue il se branla en gémissant comme si il souffrait, sur mes fesses
il éjacula de nouveau.
C’était chaud, son sperme coulait sur mes fesses, entre mes cuisses.

Il étala son sperme sur moi
Il entra un doigt dans mon cul encore ouvert.

Je restais sans bouger
Incapable de faire un mouvement de dire quelque chose de gémir de soupirer
Je vivais chaque geste intensément.

Mes jambes étaient tétanisées.
Je frissonnais.
Apres cette éruption volcanique dans mon corps et dans ma tête, j’avais l’impression de pénétrer dans l’ère glaciaire.

De m’enfoncer dans un océan gris, de plonger dans un gouffre froid.

-« prends moi dans tes bras, sers moi fort mon cœur »

….

Le festival de la bande dessinée de bordeaux démarrait très fort ….

-« tu m’as dis que j’étais trop sage non ?! ….gares à toi mon chéri
Ma sagesse est peut être à la hauteur de ta diablerie, le passage est mince entre les deux …. »
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