ACCUEIL > Hétéro > Récit : Perdu dans les bois 2

Perdu dans les bois 2

+4

Lue : 3236 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/11/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Après un début de nuit aussi mouvementé, le sommeil nous a frappé de plein fouet. Cependant, carrière d’homme de bois l’exige, la nuit fut de courte durée. Mon homme devait se lever dès 4h00 pour débuter sa journée. Exceptionnellement, la nuit a été prolongée jusqu’à 5h00 du matin. Cependant, nous nous devions de retrouver ma voiture, de trouver quel en était le problème, et de le régler pour que je puisse rentrer chez-moi.

Dans mon souvenir, ma course folle complètement nue dans les bois avait été plus longue. Étonnamment, ma voiture n’était pas tellement loin de l’abri. Arrivé à celle-ci, j’ai essayé à nouveau de la faire démarrer. Toujours rien, aucun son, aucun effort. Mon homme a ouvert de capot pour essayer de trouver la source de ce silence. Un peu en retrait, je l’observais. Son corps, penché vers l’avant, son regard, si bleu, si profond, complètement absorbé par la tâche. Ses mains, puissantes, si habiles, étaient en train de se salir de graisse. Malgré le peu d’énergie qu’il me restait, j’étais totalement allumée.

Pendant que sa tête était occupée ailleurs, j’en ai profité pour retirer mes vêtements (du moins, ceux qu’il m’avait prêtés compte tenu que mon chandail avait littéralement été broyé). Je me suis glissé silencieusement sur le toit de ma voiture, attendant le bon moment. Après quelques minutes de recherches intensives et de profonds soupirs de découragement, je l’ai entendu me dire qu’il n’avait absolument aucune idée d’où pouvait provenir la panne. Après quelques secondes de réflexion, mon homme s’est aperçu de mon absence dans les alentours. Il a regardé à droite, à gauche de la voiture. Comme s’il avait senti ma présence, il s’est glissé sur la pointe des pieds pour regarder par-dessus le capot de la voiture. Je ne pourrais décrire ce qui a allumé son regard à cet instant. La surprise, l’excitation, l’envie. C’est ce regard, et ce léger sourire en coin qui me fait craquer à chaque fois.

Il s’est dépêché pour fermer le capot et j’ai ainsi pu glisser contre le pare-brise pour atterrir sur celui-ci. Son corps est venu se poser entre mes deux jambes. Il a commencé à m’embrasser le front, le cou. Il est descendu jusqu’à ma poitrine, et s’est attardé à lécher chacun des mamelons, qui pointaient durement à cause du froid. Je sentais, contre mes cuisses, l’érection naissante à l’intérieur de son jeans. Je me devais de libérer la bête de son étroite cage donc je me suis empressée d’ouvrir son pantalon et de saisir son membre fièrement dressé. Les mains de mon partenaire s’attardaient à me masser les seins. Son corps était couvert de graisse, provoquant une lubrification de tous ses gestes. La verge que je tenais fermement me suppliait silencieusement de la branler. Mes mouvements de va-et-vient se firent de plus en plus insistants. J’entendais son souffle s’accélérer et son bassin ne pouvait s’empêcher de bouger au rythme de mes mouvements. Ma main guida sa queue jusqu’à ma chatte humide, qui ne demandait qu’à se joindre de la partie. Il me pénétra en un seul coup. J’écartai les jambes et lui encerclai la taille afin de faciliter ses mouvements. Je me serrai contre lui, ce qui sembla l’exciter d’avantage. Ses coups de bassin se firent de plus en plus violents. J’étais brûlante de désir. L’excitation montait en moi. Je me refusais de jouir si rapidement.

Comme s’il avait senti mon excitation, il se retira, me prit par la taille pour me retourner illico. Je me retrouvai donc à plat ventre sur le capot de la voiture, la froideur de la ferraille stimulant encore plus mes mamelons. En moins de deux, il me pénétra à nouveau, comme si sa queue connaissait maintenant le chemin par cœur. Je sentais ses testicules me battre les cuisses chaque fois qu’il me pilonnait. Il s’agrippait solidement à mes hanches, afin de fournir encore plus de force à ses mouvements. Mes plaintes devenaient de plus en plus profondes, ne sachant trop si elles étaient dues à mon excitation ou à la force des fessées qu’il m’offrait.

Après quelques minutes, ses grognements m’annonçaient qu’il n’allait pas tarder à décharger. Je me retirai à mon tour, pour me retourner, tête en bas, afin de lui offrir ma bouche. Je n’eus pas à faire beaucoup d’effort pour le faire jouir puisqu’il me défonçait l’intérieur de la bouche à coup de bassin. Pendant ce temps, il en profitait pour me titiller le clitoris à une vitesse surprenante. J’ai usé de beaucoup de force pour retenir mon orgasme jusqu’à ce qu’il explose. J’avais de la difficulté à accueillir chaque jet de sperme puisque mon corps était lui-même parcouru de spasme de jouissance. Malgré la froideur nocturne, nos corps étaient emplis de chaleur. Quelques secondes après s’être remis de nos émotions, il m’annonça que la solution à notre problème, était d’appeler la dépanneuse !
4 vote(s)


Histoire de lulus1983

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Perdu dans les bois 2


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :