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Perte de libido (suite)

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Lue : 2124 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2016

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Suite à cette soirée mémorable sur bien des aspects, nous en reparlâmes sous la couette. Nous fîmes plus l'amour au cours de la semaine qu'au cours des 6 derniers mois.

La veille de son rendez-vous chez son thérapeute, je lui dis sur le ton de la plaisanterie qu'elle n'avait plus besoin de ses « conseils » et qu'elle était en très bonne voie de guérison !!

A ma grande surprise, elle m'avoua qu'elle souhaitait continuer sa thérapie et qu'elle en avait besoin de le revoir.

Je ravalais ma fierté et acquiesçai mais malgré tout, je partis au boulot la boule au ventre, curieux et inquiet de ce qu'il allai se passer entre eux. Elle m'avait promis de ne rien me cacher sauf si je ne souhaitais pas savoir.

Le soir de retour à la maison, elle était entrain de coucher les enfants. Elle me rejoint ensuite dans le salon et m'embrassa. Elle commença alors à me raconter son entrevue avec l'homme.
Elle me raconta, qu'il lui avait fait des remontrances pour m'avoir avoué ce qu'il s'était passé entre eux. Il trouvait également que c'était une mauvaise idée de faire trop souvent l'amour, qu'elle n'était pas prête encore à vivre pleinement sa sexualité et qu'elle risquait de rechuter aussi vite.
Il souhaitait désormais qu'elle obéisse à ses demandes.
Son thérapeute lui donna une sorte de contrat qu'elle ramena à la maison. Elle m'avoua qu'il ne s'était rien passé de plus. Il voulait qu'on lise ensemble de document et qu'on le paraphe l'un et l'autre si nous étions d'accord. Si nous voulions poursuivre l'expérience, elle reprendrait rendez-vous avec lui.
Ma femme me dit qu'elle avait déjà lu le document en m'attendant et qu'elle l'avait signé. Je me mis donc à lire ce qui n'était ni plus ni moins qu'un contrat entre notre couple et le thérapeute. Il stipulait que ma femme s'engageait à expérimenter et à obéir à toutes les demandes de son thérapeute sans aucune restriction. Que moi, son mari ne m'opposait à rien. Que ma femme devrait être en mesure de se libérer pour quelques soirées ou week-ends de « formation », ...

Ce contrat était établi de façon très conventionnel et à sa lecture, je fus surpris que ma femme ait pu le signer sans hésitation. Me voyant par contre hésiter, elle me supplia d'accepter, que notre couple ne pouvait qu'en sortir grandi.

Le contrat était fixé pour une durée de 30 jours minimum.

Résigné et en même temps curieux et excité, j'apposais ma signature au bas de chaque page.

Ma femme me sauta dans les bras et nous fîmes l'amour fougueusement.

Dès le lendemain, elle prit rendez-vous avec l'homme et en milieu d'après-midi se rendit à son cabinet. Elle m'appela sur les coups de 19 heures me disant qu'elle n'était pas allé chercher les enfants et qu'il fallait que je passe les récupérer chez ses parents.
Je n'eus pas plus d'explications.

Elle arriva finalement vers 21 heures à la maison.

Elle partit directement sous la douche. Je terminais de coucher les enfants et la rejoins dans la salle de bain. Je fus tout de suite frappé par les traces rouges qu'elle avait sur les fesses et les hanches. Je lui demandais des explications pour son retard et ses marques.
Elle se sécha et me demanda de la retrouver dans notre chambre. Enveloppée dans une serviette, elle me demanda de m’asseoir à ses côtés.

Elle commença alors le récit de sa journée. Elle était arrivée à l'heure convenue au cabinet de Monsieur Simon, son thérapeute. Une fois le contrat remis, il le signa à son tour. Il lui demanda de se lever et il tourna autour d'elle. Elle frissonnait d'excitation.

Il lui demanda de se déshabiller entièrement et il lui tendit d'autres vêtements. Elle enfila alors des sous-vêtements noirs, string, soutien-gorge, porte-jarretelles et bas assortis puis un ensemble jupe et veste de la même couleur. La veste était très échancrée et laissait apparaître le sous-vêtement au moindre de ses gestes.

Il lui demanda alors de s'asseoir sur une chaise à côté du bureau. Il quitta la pièce un cours instant et revint avec un homme. Il la présenta comme son assistante.
L'homme la salua timidement et s'assit à son tour. Le thérapeute commença comme si de rien était sa consultation. Le patient était là à la demande de sa femme. Celle-ci trouvait qu'il était un obsédé
et elle l'avait surpris plusieurs fois sur des sites pornographiques. L'homme était un peu gêné de dire toute cela devant ma femme mais ne manquait pas de se rincer l'oeil en jetant des regards pleins d'envie sur le décolleté ou les jambes de mon épouse.

Le thérapeute l'invita à parler de ses envies et fantasmes. Timidement, il avoua que sa femme très prude lui refusait fellation, sodomie ou tout autre chose sortant du classique missionnaire et que cela le frustrait énormément.

Le spécialiste lui demanda s'il avait déjà imaginer faire appel aux services d'une professionnelle. L'homme gêné, dit qu'il y avait pensé mais qu'il n'avait jamais franchi le pas.
Monsieur Simon demanda alors à mon épouse de se lever et demanda à son patient ce qu'il aimerait faire avec une femme telle que celle-ci.
L'homme surpris et décontenancé, bafouilla quelques paroles incompréhensibles. Le thérapeute voyant son embarras, demanda à ma femme de dégrafer sa veste. Elle le fit tout naturellement sans aucune hésitation, excitée par cette situation.
L'homme écarquilla de grands yeux en n'en ratant pas une miette.

Le thérapeute lui reposa alors la question. Se ressaisissant et s'essuyant le front, il lui dit qu'il aimerait lui faire la totale !

Monsieur Simon rigola. Il invita mon épouse à quitter le bas. L'homme face à elle n'en revenait pas et il découvrit les jambes et les fesses de ma femme.

Il trépignait sur sa chaise mais n'osait toucher.

Le thérapeute se leva et demanda à l'homme de faire de même. Il lui dit qu'il devait assouvir ses besoins et désirs avec d'autres femmes, que le problème ne venait pas de lui mais de sa femme. Il lui conseilla de faire appel à des professionnelles avec lesquelles il pourrait assouvir ses fantasmes.

L'homme écoutait ses paroles mais ne pouvait détacher ses yeux du corps de ma femme. Le thérapeute le voyait bien et proposa de commencer son « traitement » dès maintenant, que son assistante allait s'occuper de soulager ses pulsions.
L'homme le regarda avec un air surpris et lui demanda de répéter.
Pour simple réponse, il le poussa vers ma femme. Il fixait sa poitrine et la regarda ensuite de la tête au pied, il tourna autour d'elle et finit par poser ses mains sur les hanches de mon épouse. Elle eut un frisson dans tout le corps. Elle sentait le souffle de l'homme dans son dos. Il se saisit de ses fesses et les tritura. Il l'embrassa fougueusement dans le cou et se mit à la peloter sans ménagement. Elle sentit alors un bosse cogner contre ses fesses. Il lui saisit les seins et les tritura, les faisant jaillir du soutien-gorge.

Il la poussa vers le fauteuil et elle prit appuis dessus, tendant sa croupe vers cet inconnu. Il était surexcité et elle sentit rapidement son sexe se frotter au mince tissu du string. Monsieur Simon lui tendit un préservatif qu'il s'empressa d'enfiler. Mon épouse sentit alors le petit sous-vêtement s'écarter et le sexe de l'homme la pénétrer. Il n'eut aucun mal à entrer tellement elle était excitée.

Il la prit sans se soucier de son plaisir, il voulait juste profiter de ce corps. Il s'agita un court instant et se crispa soudain, se vidant au fond du préservatif.

Il se rhabilla tandis que ma femme tentait de remettre de l'ordre dans sa tenue.
Le thérapeute lui proposa un autre rendez-vous la semaine prochaine et majora sa consultation de 30 euros supplémentaires. L'homme était aux anges.
Monsieur Simon félicita mon épouse pour cette première expérience très positive.

C'était son dernier patient de la journée et il proposa à mon épouse de l'accompagner. Elle prit quelques minutes pour appeler ses parents afin qu'ils aillent récupérer les enfants à l'école puis suivie aveuglément l'homme. Il la fit monter dans sa luxueuse voiture et il prit la route.
Chaque jeudi, il prenait l'apéro avec des amis, c'était un rituel et il souhaitait ce jour là la présenter.

Quelques instants plus tard, ils arrivèrent dans un pub. Leur entrée fut remarquée par un groupe de 4 hommes assis dans un coin de la salle. Monsieur Simon emmena ma femme vers eux, il la présenta au groupe et les compliments fusèrent alors.
Le patron du lieu vint prendre les commandes tandis que les hommes firent une place à mon épouse au milieu d'eux. Ils semblaient tous très bien se connaître et être habitués des lieux. Ma femme m'avoua ne pas s'être sentie très à l'aise au milieu de tous ces hommes.

Monsieur Simon leur dit qu'il s'agissait de sa « nouvelle assistante » et qu'elle était très dévouée et professionnelle.
Les hommes autour d'elle la reluquaient sans gêne avec des yeux pleins de convoitise et d'envie.

Ils burent un puis deux verres avant que Monsieur Simon propose un petit pari entre eux. Celui qui devinerait l'âge du prochain client entrant dans le bar aurait droit au faveur de son assistante !
Ma femme ne réagissait pas, elle se sentait complètement sous la coupe de son thérapeute.

Un client entra dans le bar et chacun y alla de son pari. Ma femme dut se lever et aller aborder l'homme pour connaître son age. Le pauvre fut très troublé par cette jolie blonde qui était venue l'accoster.

Elle revint vers la table et chuchota à l'oreille de Monsieur Simon la précieuse information. Elle était restée debout à côté de lui et il avait posé sa main sur ses fesses. Il annonça le nom du vainqueur qui tout content, se leva immédiatement. Philippe, l'heureux gagnant vint enlacer ma femme sous les regards envieux des autres hommes.

Il fit signe au patron des lieux qui lui indiqua une porte au fond de la salle. Ma femme suivi l'homme et ils entrèrent dans une réserve. Immédiatement, l'homme se jeta sur la bouche de ma femme, sa langue s'enroula autour de la sienne, ses mains parcoururent son corps. Elle ne resta pas inactive et dégrafa son pantalon. Son sexe en jaillit. Elle le prit en main et le caressa doucement. Il se recula légèrement et ouvrit les pans de sa veste. Il embrassa ses seins ainsi dévoilés.
La veste rejoignit le sol suivi rapidement du soutien-gorge. Elle était nue devant cet homme qu'elle ne connaissait pas 15 minutes avant.
Il la poussa vers une table installée là. Il la souleva et elle s'assit dessus. Il était installé entre ses cuisses, son sexe prêt à la pénétrer. Il décida de la faire languir et s'agenouilla devant elle. Elle sentit sa langue s'immiscer en elle et il la lécha tant et si bien qu'elle jouit rapidement sous ses coups de langue.
Il se releva alors et présenta son sexe à l'entrée de sa chatte trempée. Il s'enfonça lentement en elle, lui faisant apprécier chaque centimètre de sa queue.

Elle jouit une nouvelle fois sous les coups de reins de l'homme. Après 10 bonnes minutes de vas-et-viens, il sortit son sexe et aspergea le ventre de ma femme de sa semence laiteuse.

Il la laissa se rhabiller et alla rejoindre ses compères.

De retour dans la salle, un peu honteuse, elle fut applaudi par les 5 hommes sous les yeux interrogateurs des autres clients.

Monsieur Simon lui proposa de la ramener. Elle quitta ce lieu qui pour elle aura été de débauche et s'engouffra dans la voiture. Son maître, puisque c'est désormais ainsi qu'il se présentait, roula quelques minutes. Il s'arrêta à la sortie de la ville et la fit descendre de la voiture. Elle l'avait énormément excité aujourd'hui et il n'était pas décidé à la laisser rentrer sans en profiter à son tour.
Il a ouvert la porte arrière de la voiture et lui a demandé de s'y mettre à quatre pattes. Il lui a relevé la jupe et sans autre préliminaire, il la pénétré d'un coup sec. Il lui tenait fermement les hanches, triturant ses fesses, lui donnant parfois de petites claques, augmentant ainsi son excitation.

Il lui a arraché des cris de plaisirs avant de se vider en puissants jets au fond de son vagin. Il a repris le volant et l'a laisser reprendre ses esprits jusque devant notre domicile.

Ma femme s'était faite sauter par trois hommes différents dans la journée et à ce récit, je ne pouvais m'empêcher de bander comme un fou. Je me suis jeté sur elle et l'ai baisé comme la salope qu'elle était devenue...

A suivre !
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