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Phantasme réalisé

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Lue : 29281 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 29/06/2009

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Je m’appelle Caroline, j’ai 40 ans, mariée depuis 10 ans avec mon époux François qui a 47 ans. Nous avons trois enfants et nous habitons la petite commune des Trois-Ilets en Martinique. Nous sommes un couple d’européen ayant quitté notre Alsace natal pour venir vivre sous le soleil des Antilles.

En ce mercredi soir, mon mari et moi étions allongés sur le lit. Soudain, il prit la parole.
- Tu sais chérie, je crois que nous devrions réaliser ton phantasme.
- Celui de me faire prendre par un black ?
- Ouais.

J’aime mon mari et je pense que c’est réciproque mais se lassant sexuellement l’un de l’autre après toutes ces années, nous avions décidé de vivre des expériences charnelles d’un commun accord.
Lui et moi avions déjà réalisés la plupart de nos phantasmes mais pour celui là, François tardait à me donner son accord.
En faite, il hésitait toujours car ayant une bite de taille moyenne, environ 17 cm en érection, il ne pouvait supporter qu’un mec possédant une plus grosse puisse me pénétrer.
- J’ai peut être pris du temps à approuver ton phantasme mais aujourd’hui, je pense que cela m’exciterais beaucoup qu’on le fasse.
- Le seul problème c’est que je ne connais pas de mec prêt à faire ce genre d’expérience, lui dis-je.
- Ne t’inquiète pas pour ça. Je connais un pote qui je pense te plaira. Une fois, pendant que nous pissions dans les toilettes au travail, j’ai jeté un coup d’œil sur sa queue. Et il n’en avait pas une petite, crois moi.
- OK. Je te fais confiance.
- Je lui parlerai et je pense qu’il acceptera.

Satisfaite de cette discussion, je me suis rapprochée de François pour l’embrasser langoureusement avant de nous endormir.
La veille du week-end, alors que je servais le dîner aux enfants, mon époux me demanda de venir au salon.
- Oui chéri ?! dis-je en me rapprochant de lui.
- C’est OK, mon pote a accepté. En faite, ne l’ayant pas aperçu au travail hier, je n’ai pu lui en parler qu’aujourd’hui et il m’a dit que l’on pouvait venir chez lui samedi soir vers minuit.
J’étais déjà excitée rien qu’à l’idée de me faire prendre par ce black. Qu’il soit beau ou pas, cela m’était égal, tous ce qui m’intéressait, c’était qu’il soit bien membré.

Ce soir là, les enfants étaient restés à la maison sous la responsabilité de mon aîné de 17 ans.
J’étais vêtue d’une jupe courte et d’un haut noir mettant en valeur mes seins, je portais une culotte et un soutien du même colories, mes cheveux blonds bouclés et ma peau sentaient la noix de coco et bien sûre tous ceci par-dessus des talons hauts. Je me plaisais beaucoup et je trouvais que pour mon âge, j’étais quand même bien sexy et bien foutue.

Une fois arrivés, un homme à la peau marron foncée et juste habillé d’un pantalon de toile gris nous a accueilli. Même si il faisait du ventre, il était quand même assez musclé avec de gros pectoraux poilus surmontés de gros tétons. Il avait aussi de grosses mains bien viriles, une belle bouche charnue et un regard sérieux qui semblait exprimer la sauvagerie et la brutalité.
Néanmoins, quand nous fûmes présenté, je m’aperçu qu’il était très galant et poli.
La première chose qui attira mon attention c’était ça grosse bite d’où l’on voyait la forme à travers le vêtement. Il ne portait aucun sous vêtement car pendant qu’il marchait, je voyais son pénis se balançait de gauche à droite.
Et ce n’est que qu’en nous fûmes rentrés dans la maison et qu’il nous invita à nous asseoir sur son divan et lui sur le fauteuil d’en face, que je constatais plus encore la taille de sa queue dont la longueur était accentuée par le tissu tiré dû à sa position assise, les jambes écartées. La protubérance qu’il avait dans son entre jambe laissait apparaître une grosse barre qui descendait au niveau de sa cuisse.
Autant vous dire que je mouillais déjà.
- Alors François, je peux ?
- Vas-y et prend ton pied.

Alfred, le copain à mon mari se leva de son assis et s’approcha de moi. Il me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre suivi de mon époux. Puis il me demanda de m’asseoir sur son grand lit et François se plaça dans un fauteuil en rotin juste en face de nous.
Je n’avais qu’une envie c’était de me faire défoncer par ce black.
De suite, il m’allongea sur le lit, écarta mes jambes et fourra son gros nez dans sur ma chatte couverte de ma culotte toute trempée, puis il y passa sa grosse langue rose afin de prendre le goût de ma mouille sur mon sous-vêtement pour ensuite me retirer tous mes habits.
Il me caressait le cou, le ventre et les seins qu’il purgeait avec ses mains fermes, et soudain, il m’écarta les jambes et les ramena jusqu’à mon visage mettant ainsi en évidence l’épaisseur de ma moule bien rasée et dévoilant ainsi mon orifice, mes lèvres vaginale et mon clitoris.
Sans tarder, il commença à lécher mon vagin. Il lapait, mordait carrément mon « clito », aspirait mes lèvres, crachait et buvait mon liquide intime. Il me bouffait littéralement la chatte. Je n’avais jamais vécu ça. Je gémissais comme un folle jusqu’à râler et crier de plaisir. Je mouillais si abondamment. C’était incroyable.
Brusquement, il m’embrocha directement avec sa grosse queue qui devait bien faire 24 cm. J’ai hurlée comme une folle complètement surprise par cette action. Il débuta par de lent va-et-vient puis accéléra le mouvement.
Bientôt ses grosses boules cognèrent avec violence contre mon cul.
Je criais littéralement de plaisir, lui disant :
- Baise-moi. Continue. Défonce-moi. Encore, encore...Aaaaaahhh !

J’aperçu mon mari entrain de se masturber passant sa langue sur ses lèvres. Cela montrait sans hésitation que la scène l’excitait à mort.
Pendant qu’il me pilonnait, Alfred se pencha sur mes seins pour pouvoir les sucer quand subitement il se redressa et sans sortir de mon sexe, il contempla sa verge qui glissait de ma chatte avec sensualité.
Puis, il sortit son pénis et tapota mon pubis avec. Il était long, épais et tout brillant de ma mouille.
Il le faisait rentrée dans mon vagin et ressortir puis il renouvela au moins 6 fois l’opération avant de le faire rentrer plus en profondeur.
J’adorais ça.

Son membre me remplissait et me faisait mouiller abondamment. Si bien que sous la sauvagerie de ses coups de reins, de l’écume se forma et coulait énormément de ma chatte. Cette mixture épaisse et visqueuse débordait de mon vagin et se déversait sur le lit.
Ensuite, il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit, puis avec sa main, il appuya sur ma nuque pour que je puisse me baisser de l’avant tout en laissant mes fesses en évidence bien remontés vers le haut.
Il se positionna par-dessus mon derrière et me pénétra à nouveau avec son gros membre. Cette position permettait donc à mon mari de bien voire.
Car la verge de son pote en moi et mon vagin couvert de mousse blanche coulant à volonté le faisait bander plus encore.

Puis avec surprise, François arriva vers moi entièrement nu. Alfred se retira de mon intimité tout en continuant à maintenir la rigidité de sa queue en se masturbant.
Je me suis mise à quatre pattes car mon mari voulait être en dessous de moi en position 69. Aussi, il me demanda de me rapprocher vers le rebord du lit. Mon visage était donc au dessus de sa queue et lui la tête sous mon vagin.
Il me caressa la chatte et demanda à Alfred de s’approcher. Il était debout pieds sur le sol, sa matraque au dessus du visage de François.
Mon mari prit la queue de son pote avec sa main droite et avec son gros gland rose foncé, il joua dans l’entrée de ma moule. Caressant mon clitoris et mes lèvres. J’adorais.
Il fît à ensuite entrer la bite de son copain dans ma chatte qui reprit ses mouvement de va et vient.

Entendant les râlements grave et sauvage d’Alfred, j’ai vite compris qu’il allait jouir. Il se retira, resserra sa queue au niveau de la base du gland pour ne pas laisser son foutre s’échapper et déversa une grande quantité de sperme épais dans la bouche grande ouverte et langue tirée de mon mari.
Le gland de son camarade lui remplissait la bouche.
Mon époux purgea alors sa grosse bite pour lui extraire les dernières gouttes de sperme qu’il avala entièrement.
Toujours au dessus de lui, il me demanda de le sucer et quelques minutes plus tard, il éjacula. J’ai tous bu.
Toujours en 69, il me lécha vigoureusement le vagin en prenant soin de tous prendre à savoir ma mouille et l’écume.
Allongé tous les deux sur le lit, on s’embrassait.
Il demanda à son ami de se rapprocher. Sa queue avait perdu de sa vigueur mais la regarder pendre devant lui toute luisante de ma mouille, m’excitais.
Il se positionna près de mon visage et mon mari prit sa queue. Et en la mettant près de ma bouche, il me dit :
- Je voulais être le premier à le sucer, maintenant, c’est à ton tour.
A ce moment, je me suis dis que l’un de mes phantasmes était sans doute réalisé mais peut être que l’un ses tiens aussi.

Steeblack
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Commentaires du récit : Phantasme réalisé

Le 05/09/2009 - 15:53 par lechene
humm, ma femme à adorée cette histoire, : < d'ailleurs elle m'a dit: Je suis toute mouillée, vas y baise , j'en ai trop envie, avant de réaliser ce phantasme

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