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Plombier amateur

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Lue : 31523 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/04/2008

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J’étais dans un magasin de chaussures, dans le centre commercial situé tout près de chez moi. Je ne cherchais rien de particulier, mes chaussures prenaient de l’âge et je devais bien les remplacer un jour ou l’autre. Mes yeux balayaient l’espace et soudain ils se sont fixés…sur une paire de jambes! Une jeune femme enfilait des bottes, sa jupe était remontée. Le spectacle me plaisait et je constatai que la jupe se retroussait un peu plus alors qu’elle les retirait, et je pus admirer une petite culotte blanche. Comme prévenue par un sixième sens, la jeune femme relève brusquement la tête et me fixe droit dans les yeux. Je détourne rapidement mon regard, mais je me trouve très embarrassé. La cliente, qui a compris que je la matais, était ma voisine de l’étage du dessous. Je file hors du magasin, certes très gêné mais ravi par la vision que j’avais eue.

Deux jours plus tard, par coïncidence, je la retrouve dans l’ascenseur qui la conduit au 7ème, et moi au 8ème. Petit bonjour, je la regarde, elle est quand même sexy et bien foutue, vêtue d’une jupe courte noire, d’un chemisier blanc, et d’une paire de bottes. Ah ça doit être les bottes du magasin quand j’ai vu sa petite culotte, pensais-je en moi même. Comme si elle lisait dans mon cerveau, elle me lance, "vous regardez souvent les jambes des filles dans les magasins de chaussures, dans les ascenseurs ?" Très embarrassé, je rougis d’un coup sec et bredouille pour me défendre : "non, mais c’est vrai que vous avez de jolies jambes." Elle me fusille du regard, je bredouille encore plus bas – "excusez-moi, je ne voulais pas vous offenser…" Nous arrivons au 7ème, elle quitte l’ascenseur sans un mot et je me retrouve comme un idiot.

Toute la soirée, j’ai ruminé ma sottise, j’aurais dû dire que je ne comprenais rien à ses propos, ou m’excuser plus clairement. Finalement, il était 19h15, je me décide à courir chez le fleuriste du coin, j’achète un bouquet, et je sonne chez la voisine. Je lis sur sa sonnette Nathalie N.. Ainsi elle s’appelle Nathalie. Elle m’ouvre. Je lui offre les fleurs et m’excuse à nouveau. Elle me sourit et me propose, si vous voulez vous faire pardonner, pouvez-vous m’aider à réparer une petite fuite d’eau dans la cuisine? J’accepte et la suis. Elle me montre sous son évier la bassine qu’elle a posée pour récupérer les gouttelettes d’eau qui s’échappent de son tuyau d’évacuation. On convient que je revienne samedi matin, avec mes outils.

Le samedi, comme prévu je sonne à sa porte vers 10h. Après quelques minutes d’attente, elle m’ouvre la porte, elle était encore à moitié endormie. Elle m’attendait pour plus tard. Elle me conduit dans la cuisine, je la regarde dans sa légère chemise de nuit, oh qu’elle est belle ! Je m’installe sous l’évier, elle reste dans la cuisine, fait du café, discute avec moi. Je traîne dans mes opérations. De ma position, je ne vois pas son visage, donc elle ne peut pas voir que je ne fais que regarder ses jambes, avec une assez belle vue en contre-plongée. Après quelques instants, elle s’accroupie et me demande si tout va bien. Je m’affaire à dévisser le siphon, mais mon regard fuit vers ses cuisses si proches de moi. Ca y est, je commence à bander, heureusement mon pantalon est assez large et ça ne se voit pas trop. Je change le joint et je revisse le tout, elle reste accroupie devant moi. Elle doit avoir remarqué que je n’arrête pas de lancer des coups d’œil vers son entrejambe.

Le travail terminé, je décide de me relever ... mince, dans le changement de position j’ai effleuré par mégarde le tissu doux et soyeux de sa chemise de nuit au-dessus de la cambrure de ses reins. L’érection devient totale et visible. Je me lave les mains à l’évier en collant mon membre contre le rebord, en espérant une accalmie. Hélas, en vain. Tant pis il va falloir assumer. Je me retourne vers elle et lui demande si elle n’a besoin de rien d’autre, sinon je peux m’en aller.

Elle m’invite à m’asseoir pour partager son café. Je remarque que son regard est resté scotché à ma bosse. Pas de commentaire. Elle s’assoit à son tour autour de la petite table, son genou frôle le mien et reste en contact. On bavarde de banalités, mais mon esprit reste concentré ailleurs. Par un jeu subtil, je parviens à emprisonner son genou entre les deux miens. Elle continue son bavardage comme si rien ne se passait. Je pose ma main sur son genou, aucune réaction, je commence à douter de moi. Je remonte doucement ma main le long de sa cuisse, c’est alors qu’elle écarte légèrement les jambes. Je comprends cela comme une invitation à continuer mes caresses, je déplace ma chaise, et je l’embrasse. Elle répond et m’enlace. Ma main continue son exploration et s’aventure plus haut, jusqu'à trouver un rempart de tissu. Le baiser continue avec fougue, mon doigt devine sa fente à travers le tissu. Je caresse le sillon, doucement, ses jambes s’écartent totalement. Je m’enhardis alors à glisser mon doigt sous l’élastique, dans sa toison, je recherche sa source, je découvre qu’elle est trempée, mes doigts glissent aisément sur sa peau intime. Elle se lève, me prend par la main et me conduit dans sa chambre. Nous nous embrassons ardemment, mes mains parcourent son corps. Ses seins sont malaxés, je joue avec le téton, je réintroduis ma main dans sa culotte, elle gémit; mes doigts sont lubrifiés par son excitation. Ma bouche glisse vers son cou, nous basculons sur son lit. Sa respiration s’accélère. Ma bouche glisse, je dégage son sein droit, ma langue tourne autour du téton, elle tressaillit. Dans sa culotte, ma main s’affaire, elle est trempée.

Je la déshabille et commence à lui manger sa chatte. Ma langue monte et descend le long de sa raie, son goût est sucré. Elle gémit, je suce son clitoris, elle gémit. Ma main gauche pince son téton droit, ma main droite caresse son minou, je continue à lui bouffer la chatte. Elle se tortille. Mes doigts glissent sur sa peau trempée. Elle sursaute presque, je lui suce le clitoris et mes doigts lui chatouillent l’entrée de son œillet. Elle est prise de sursauts puis me chuchote viens, en me tendant un préservatif. Je la prends en levrette, je bande comme un âne. La vision de ses fesses m’excite davantage, elle pousse des petits cris, je lui laboure la chatte. J'attrape ses nichons à pleines mains, cela m’excite davantage, ses cris me libèrent, je me laisse aller dans un râle de fauve.

Finalement on a passé le week-end à baiser, je ne suis remonté à mon appart que le lundi matin, pour me préparer à aller bosser.
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Histoire de luis

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Commentaires du récit : Plombier amateur

Le 01/08/2008 - 00:27 par embellie33
belle histoire

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