Présentation de Marie et Claude

Pour ce premier récit, nous allons planter le décors.
Cette histoire est réelle, seuls les prénoms ont été changés.
Je préciserai pour chaque texte si l’histoire est réelle, s’il s’agit d’un fantasme non encore assouvi ou d’un rêve érotique.

Marie est une femme dans la cinquantaine, mariée à Claude, et le couple a 2 enfants qui finissent leurs études et n’habitent plus dans la grande maison familiale, ce qui la laissait seule quand son mari part en déplacement professionnel. Même si cela n’arrive plus très souvent depuis le Covid, car il est la majorité de son temps en télétravail.

Marie a un physique agréable et plus d’un homme la regarde sur le lieu de son travail ou quand ils flânent en ville.
Il faut dire que sa poitrine, bien pleine, n’avait pas trop subie les assauts du temps, sûrement parce que ses seins avaient pris 2 ou 3 tailles supplémentaires depuis ses deux grossesses.
Claude continuait à les regarder avec envie, et lui demandait souvent qu’elle laisse ceux-ci libres sous ses vêtements, même si cela la gênait toujours un peu, son 105C attirant toujours les regards.
Elle n’était pas trop petite, et son 1m68 auquel elle aimait ajouter des talons d’une dizaine de centimètres lui faisait de belles fesses bien rondes qui attiraient toujours le regard et la main de son mari.

Cependant, comme dans beaucoup de couple, une certaine routine s’était installée depuis de nombreuses années, et ils arrivait assez souvent qu’ils ne fassent l’amour qu’une fois par mois.

Il y avait bien dans un tiroir quelques jouets érotiques (1 vibro, 1 gode, quelques accessoires) qu’il lui achetait régulièrement, mais ils prenait plutôt la poussière.
Plusieurs jouets que Claude avait acheté pour tenter de pimenter leurs ébats avaient fini à la poubelle. Pas la bonne couleur, pas excitant, trop gros ou trop petits, rien ne convenait.
Les quelques jouets qui avaient survécu étaient : un lot de 3 plugs, un vibromasseur violet de type wand, des pinces à seins.

Mais l’année dernière, au grand étonnement de Marie, Claude manifesta un intérêt croissant et pressant pour ses fesses, et plus particulièrement pour son petit trou.
Il lui avoua que c’était devenu son obsession, et que ce fantasme était présent depuis de nombreuses années, peut-être même depuis qu’ils s’étaient connu, étudiants, 30 ans auparavant.
Jusqu’à là, elle n’avait que très rarement accepté la queue de Claude dans cet orifice, et avait toujours grimacée quand il y glissait un doigt lors de leurs ébats.

Elle accepta finalement par se laisser enculer, et, sans avoir si c’était dû à la qualité et la quantité du lubrifiant, ou à une certaine excitation qu’elle n’exprima pas, elle avait pris la queue de Claude au fond de son cul sans trop de douleur. Et aidée de son vibro, son excitation monta rapidement et elle eut un orgasme particulièrement intense qui avait précipité la jouissance de Claude qui finit aussitôt au fond de son cul étroit, ses spasmes longs montrant son plaisir intense.
Depuis ce jour, Claude insiste pour systématiquement finir leurs ébats dans son conduit étroit, et même si elle le refuse quelquefois, il finit dans son cul au moins une fois par semaine, le plus souvent le week-end.

La découverte tardive de cette obsession de Claude, qui avait selon lui rongé son frein depuis plus de trente ans, avait relancé leur activité sexuelle. Après un premier orgasme vaginal, et aidée de son vibro, elle avait un second orgasme pendant qu’il lui prenait le cul, alors qu’il y a deux ans ils ne faisaient l’amour que 2 ou 3 fois par trimestre.
Elle avait également commencé à le prendre dans sa bouche comme préliminaire, et Claude profitait toujours de ce moment pour lui glisser un doigt lubrifié dans cet orifice qu’il convoitait tellement.

Claude se sentait revivre depuis un an, son principal fantasme s’étant réalisé (pas assez souvent à son gout).
Il profite maintenant de ce changement pour s’exprimer de façon plus un peu plus crue, et il adore lui rappeler qu’elle atteint toujours l’orgasme quand il lui prend le cul, qu’il est même arrivé plusieurs fois qu’elle enchaîne deux orgasmes avant qu’il ne finisse.
Il lui disait souvent qu’elle était sa petite cochonne annale. Il avait bien essayé d’être plus cru, de lui dire qu’elle était sas salope, mais elle n’aimait apparemment pas ces mots crus.
Claude n’en pensait pas moins. Son imagination s’était réveillée après des années d’hibernation et il imaginait de plus en plus de situation torrides avec sa femme, et faisait régulièrement des rêves érotiques.

Marie, de son coté, s’était également bien ‘décoincée’. Après ses premières expériences anales, elle n’hésitait plus, quand elle avait envie de le ‘chauffer’, à surfer sur des sites de photos pornographiques pour les envoyer à son compagnon.
Régulièrement, quand il finissait un travail dans son bureau, ou même quand ils étaient presque côte à côte dans le salon, devant un programme de télévision sans intérêt, elle lui envoyait des photos d’actrice qui exposaient leur fesses ou leur anus dilaté, une éjaculation bien visible sur les fesses. Claude répondait avec des gros plans de seins avec des pinces, de fesses avec un plug, ou d’une queue épaisse plantée dans un cul.
Marie, qui n’appréciait visiblement pas les expressions vulgaires, se servait des SMS pour annoncer qu’il se pourrait qu’il finisse dans son cul un peu plus tard.

Voici pour la présentation, et si celle-ci vous a plu, je vous dit à bientôt pour un nouveau récit

Claude