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Seconde chance partie 2

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Lue : 422 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/09/2021

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Comme je réservais, évidemment, la semaine suivante, elle m’attendait quand j’étais arrivé.
Et depuis…Ces deux jours étaient partiellement à nous. Dans une relation particulière, limitée à un lieu, relation pourtant plus intense et passionnelle que tout ce que j’avais pu vivre jusqu’à présent. On avait le même goût l’un et l’autre pour le sexe, un sexe intense et varié, mais aussi conscience qu’il existait entre nous un accord, quelque chose d’inexplicable, sans doute, comme peut l’être une relation, quelle qu’elle soit, amicale ou amoureuse…Nous ne l’aurions peut-être pas admis, mais nous attendions l’autre, j’étais convaincu que c’était son cas comme c’était mon cas, ces moments où nous nous retrouvions. Quelque chose qui donnait du goût et de l’intensité à notre existence.
Je suis arrivé sur le coup de seize heures. Elle était à la réception. Satisfaits sans doute de son travail, ses patrons lui avaient donné de nouvelles responsabilités. Elle ne nettoyait plus, était passée à la réception pour une partie de la journée, mais elle servait aussi le soir. On a joué une comédie qu’on aimait bien jouer tous les deux, la réceptionniste et le client. La marque, sans doute d’une réelle complicité entre nous.
En six mois, elle avait radicalement changé. Elle avait un éclat qu’elle n’avait pas avant. Terne autrefois, elle irradiait à présent. Et puis elle prenait plus soin d’elle, et de se mettre en valeur, même si elle était déjà sexy avant. C’était quelque chose à présent de plus volontaire, plus affirmé. Et elle soulignait ses charmes avec des touches de maquillage qui soulignaient sa beauté. Ses yeux, sa bouche, la forme de son visage.
Elle m’a souri.
—Vous avez réservé, monsieur?
—J’ai appelé hier soir.
—Vous voulez me rappeler votre nom?
Ce que j’ai fait.
Elle portait une jolie robe, bleue, longue, avec le haut serré, le bas évasé qui la mettait en valeur.
—Vous êtes sûr que vous avez réservé? Je ne trouve pas votre nom…Vous ne vous êtes pas trompé d’hôtel?
Elle a fait semblant de chercher sur les fichiers.
—Ah, j’ai trouvé…Oui, vous avez la chambre numéro 20…Il va par contre falloir que je vérifie si elle a été faite par la femme de ménage. J’appelle une collègue et je vous accompagne.
Je me demandais toujours si les autres employés étaient dupes. Mais je crois qu’on s’en fichait. Ce qui comptait pour nous, c’était d’être ensemble, et de prendre du plaisir ensemble.
On est partis ensemble dans le couloir vers la droite. Ces lieux que je connaissais par coeur, marqués de sa présence, mais aussi de la mienne sans doute.
Pendant qu’on avançait dans le couloir, elle devant moi, elle a soulevé la robe, pour me montrer ses deux fesses rondes, sans défaut, moulées par son collant sous lequel elle était nue. Parfois on se lasse de quelqu’un. Pour moi c’était l’exact contraire. Plus je la regardais, plus j’avais envie d’elle.
Elle a laissé retomber la robe. On est arrivés devant la porte.
—Je vais inspecter les lieux voir si tout a été bien mis en place par nos équipes.
Elle est passée la première. J’ai refermé la porte derrière nous. Elle s’est retournée et on s’est embrassés fébrilement pendant que je glissais mes mains sous la robe.
—C’est long une semaine sans se voir, elle a soupiré pendant que je glissais mes mains sous le collant, et que je venais empaumer ses fesses.
—Mais c’est bon quand on se retrouve, j’ai dit.
Je ne m’étais pas posé la question de savoir si on pouvait envisager de se voir à un autre moment. Pour moi, mais je me trompais peut-être, elle ne souhaitait pas que nos relations aient lieu dans un autre temps et un autre lieu… Et puis c’est vrai que je travaillais, mais on aurait pu se rejoindre un soir… Je ne savais même pas où elle habitait. Mais je prenais les choses comme elles venaient. Deux jours de bonheur, c’était déjà bien.
—Elles te plaisent…?, elle a demandé, dans cette sorte d’inquiétude qui la caractérisait.
—Tu es parfaite pour moi.
—J’aurais souhaité que tous mes partenaires en pensent autant.
—L’important c’est qu’il y ait une personne qui le pense. Une seule c’est suffisant.
—Viens, j’ai envie de sexe.
Elle a tiré de son décolleté, logé dans son soutien-gorge, un préservatif, avant de se poser sur le lit et de me défaire.
—Hé ben dis donc, tu avais envie, elle m’a dit en me trouvant en pleine érection.
—En roulant je pense à ce qui s’est passé avant et je rêve de ce qui se passera maintenant et après.
—Ta queue m’est indispensable, elle a dit en la parcourant de sa langue. Si tu savais le nombre de fois où je me touche en pensant à toi dans la semaine, je suis comme toi, je pense à ce qu’on à fait, et à ce qu’on pourrait faire.
Elle m’a gainé de latex avant de glisser sur le lit, en se mettant à quatre pattes. Elle m’a laissé attraper le bord de la robe et le relever. Ses jambes fines, son cul bombé, ouvert dans cette position sur sa muqueuse anale, le gros bourrelet de sa chatte entre ses cuisses déjà bien ouvert d’excitation, qui coulait avec suffisamment d’abondance pour rendre luisant le nylon du collant…Elle avait la tête tournée vers moi, me souriant, son regard accroché à moi.
Quand j’ai descendu le collant, une odeur forte est montée jusqu’à moi, celle de ses sécrétions vaginales. Une odeur animale, celle de l’excitation et du plaisir. Je me suis approché d’elle, et je suis venu appuyer la tête de ma queue contre ses lèvres. Elle a poussé un petit cri.
—Mets-là dedans et laisse-la pour l’éternité.
J’aurais pu objecter que ce n’était pas vraiment réaliste, mais on n’était pas dans le réalisme, mais dans le fantasme et le désir. J’ai commencé à rentrer en elle, et c’est sans doute autant son sexe qui a pris le mien que le mien qui a pris sa vulve. J’ai glissé en elle jusqu’à être totalement en elle, ma tête appuyée contre son utérus. Puis je me suis mis à bouger en elle, lui donnant du plaisir et en prenant autant. Sentir sa chaleur contre ma queue, sentir la délicatesse de sa muqueuse…J’attendais ça toute la semaine, comme elle attendait que ma queue vienne en elle pour la caresser.
J’ai été surpris quand j’ai senti sa main glisser sur ma queue pour me sortir de son vagin. Généralement, elle laissait sa main sur son clitoris pour le frotter fébrilement. Je me suis demandé pourquoi mais j’ai eu la réponse alors qu’elle remontait ma queue dilatée quelques centimètres plus haut.
—J’ai envie que tu me sodomises…Tu n’es jamais venu par là…
Contre mon gland, j’ai senti le dessin de son anus, les plissements qui le composaient. L’espace d’un instant j’ai eu peur de lui faire mal, mais elle a appuyé fermement ma queue contre elle, et j’ai senti que j’entrais dans le conduit plus serré de quelques millimètres. Suffisamment pour ne plus avoir de crainte, et une seule envie, me glisser plus loin en elle. J’ai appuyé pour rentrer plus loin. C’était tout ce qu’elle attendait apparemment. Elle a lâché un gémissement:
—Oh, c’est bon…ne t’arrête pas, va aussi loin que tu peux.
Je suis rentré en elle quasiment jusqu’à la racine de ma queue, me figeant. Elle ne le savait pas, mais c’était la première fois que je sodomisais une femme. J’ai apprécié ce que cela pouvait faire comme sensation différente, avant de partir en arrière…J’ai remarqué qu’elle avait, comme à son habitude, amené sa main contre son clitoris, pour le frotter, mais aussi que son sexe était grand ouvert sur son intérieur, à croire que ça lui plaisait vraiment que je la sodomise, et qu’elle coulait abondamment, se répandant sur ses chairs, mais aussi sur le couvre-lit.
On a joui tous les deux à quelques secondes l’un de l’autre, dans cette harmonie qui se répétait chaque fois que nous prenions l’un et l’autre du plaisir, et qui signifiait beaucoup pour moi.
—Je te rejoins plus tard.
Tout était habitude pour moi dans ces moments. Finalement, ce qui comptait à présent le plus ce n’était pas tellement la préparation de l’examen que le fait d’être avec elle, et de retrouver ces routines familières, ma promenade du mercredi, le diner le soir servi par elle, les moments ensemble au coeur de la nuit.
Et à côté de cette routine, il y avait le sexe à deux, et les innovations constantes dont elle me faisait profiter. Toujours quelque chose de nouveau.
Se profitait pourtant la fin, une fin proche. Deux mois ça passe vite. Je voulais essayer d’évoquer le sujet, mais on restait bloqués l’un comme l’autre sur ces moments passés ensemble.
C’est le soir, au moment du diner, elle servait, qu’elle a eu cette initiative qui marquait son imagination, et les moments hors normes qu’on passait ensemble. Elle venait de m’apporter mon dessert, des profiteroles. Elle a regardé autour d’elle. La salle était quasi déserte, il était dix heures du soir, il y avait juste un vieux couple, ils étaient l’un comme l’autre centrés l’un sur l’autre, sans prêter attention à ce qui se passait autour d’eux. Sans plus hésiter, elle a plongé sous la table. Deux secondes plus tard, je sentais deux mains venir me défaire et mettre mon sexe à nu. Elle prenait un risque énorme, et pourtant, c’était en même temps terriblement excitant. Elle m’a englouti dans sa bouche, juste après avoir soufflé:
—C’est un supplément de dessert.
Elle faisait monter et descendre son sexe sur ma bouche quand le patron est passé dans la salle.
—Vous avez vu Sonia?
—Je crois qu’elle est retournée à la réception, non?
J’étais partagé entre la crainte, l’envie de rire, la sentiment d’être dans une situation totalement décalée.
—Ah, sans doute. Je vais y retourner. Elle a du aller chercher le linge de table pour remplacer avant qu’on ferme.
Elle m’a amené à la jouissance, m’a laissé cracher ma semence dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte.
—La voie est libre.
Elle est sortie de sous la table, en gardant la bouche serrée. Elle a attrapé ma petite cuillère, j’avais interrompu la dégustation des profiteroles, je ne pouvais pas prendre du plaisir et manger en même temps, elle a cueilli une cuillère de chocolat l’a portée à sa bouche, avant de tout avaler.
—Le chocolat et le sperme, ça se marie bien. A tout de suite. Il est temps que je m’occupe effectivement de changer les nappes et les serviettes pour demain.
Le vieil homme m’a jeté un regard sans équivoque. Il n’était finalement pas tant que ça concentré sur ses discussions avec son épouse.
C’est plus tard dans la nuit que je lui ai parlé de ce qui me travaillait. Elle était allongée contre moi, sa chaleur me pénétrait comme mon sexe avait pénétré en elle quelques instants plus tôt, dans un moment de plaisir.
—Dans deux mois, je ne reviendrai plus ici. Ma formation sera terminée, et j’aurai passé mon examen.
—Il faut profiter du moment présent. Ce qui viendra après…On ne va pas faire des plans sur la comète…On aura eu six mois exceptionnels, pas vrai. C’est déjà beaucoup, et même plus que pas mal de personnes n’auront sans aucun doute dans toute leur vie. Il vaut mieux six mois exceptionnels que toute une vie fade, tu ne crois pas?
J’ai compris que le sujet était clos.
Les deux mois sont effectivement passés très vite. Chaque bloc de formation marquant une descente supplémentaire le long de l’échelle, jusqu’à ce que je sois tout en bas.
Le jeudi soir, elle s’est glissée dans ma voiture. Je venais de passer le dernier examen, c’était fini. J’allais rentrer chez moi, et reprendre ma semaine complète de travail.
Comme elle en avait l’habitude, un rituel qu’on appréciait l’un comme l’autre, elle s’est glissée dans la voiture. Elle a retroussé sa jupe. Dessous, elle avait juste des bas.
—Mets-moi tes doigts dans la chatte.
Elle était ouverte et mouillée.
—J’ai pas le coeur à ça. C’est la dernière fois qu’on se voit, et j’en suis trop chagriné.
Elle a souri.
—Tu sais, dans la vie, rien n’est jamais définitif.
—Il me semble que c’est bien le cas, pourtant.
Elle a redescendu sa jupe le long de ses jambes. Je me suis dit que c’était la dernière fois que je voyais son sexe, ses jambes…Mais il y a une fin à tout.
—Je peux quand même t’embrasser?
Elle s’est penchée sur moi, et on a échangé un dernier baiser. Fidèle à tous ces baisers qui avaient été les nôtres durant ces six mois, intense, passionné et excitant jusqu’à l’obscénité. Nos langues accrochées se caressant un long moment. Puis sans un mot, elle a quitté la voiture. J’ai regardé sa silhouette s’éloigner.
J’ai retrouvé ma vie d’avant. Elle m’avait semble simple et confortable, aujourd’hui, je la trouvais moche et étriquée. Mais on ne choisit pas, contrairement à ce que j’avais pu penser quand j’étais plus jeune. Notre latitude de décision est vraiment limitée. Ca je le comprenais maintenant.
On se raccroche toujours à tout et n’importe quoi, et on parvient à refaire surface. Le temps est à l’oeuvre, heureusement.
Il s’est passé un mois avant que ça ne se produise.
Je partais un matin, sur le coup de sept heures trente. Une voiture a ralenti et elle s’est arrêtée pile devant la maison que j’habitais depuis quatre ans. La portière avant, du côté du conducteur s’est ouverte.
La première chose que j’ai aperçue, ça a été une jambe, délicatement fine, bien dessinée, parce que le vêtement que portait la conductrice était remonté haut quand elle s’était installée, et elle n’avait pas jugé nécessaire de le redescendre. Jambe gainée du nylon d’un bas stay-up dont l’attache était bien visible. La personne qui conduisait a glissé en pivotant sa jambe sur le sol, puis a dégagé l’autre, et l’a ramenée près de la première sur le sol. L’espace d’un instant, quand les deux jambes ont été ouvertes en compas, j’ai pu apercevoir son absence de culotte, et, très brièvement son sexe.
Elle s’est redressée, et, un phénomène d’écho, la robe noire qu’elle portait, plus sophistiquée, m’a renvoyé à la première fois où mes yeux s’étaient posés sur elle, et qu’elle portait une robe plus simple, retroussée sur ses charmes intimes.
Elle m’a souri et elle a avancé vers moi.
—Est-ce que tu crois qu’on peut avoir une seconde chance?, elle m’a demandé en marchant vers moi.
—J’imagine que tu es là pour me prouver que c’est le cas.
—Les dernières fois où nous nous sommes vus, j’étais en train de négocier pour venir travaille à l’hôtel restaurant à huit kilomètres de chez toi. Il fait partie du même groupe que la chaine pour laquelle je travaillais. C’est une demi-douzaine de chaines différentes, mais toutes à l’intérieur du même bloc. Je ne voulais pas t’en parler, parce que je n’étais pas sûre que ça marche. Apparemment, c’est le cas. Tu pensais vraiment que j’allais renoncer à toi, à notre complicité, à ces moments de sexe intense que nous partageons? C’est trop précieux pour moi. Je commence ce matin. On pourra se voir plus souvent, tu ne crois pas?
Elle a soulevé sa robe et tourné sur elle-même, me rappelant ce corps que je n’avais pas vraiment oublié, mais qui n’avait plus de matérialité, une fantasmagorie qui tournait dans ma tête dans mes soirées.
—J’ai envie…Tu as deux minutes?
Je l’ai attrapée par la main, et c’est presque en courant qu’on est rentrés à l’intérieur. Elle a soulevé la robe et s’est pliée en deux au dessus de la table de la salle à manger. En même temps, elle a tiré un préservatif de son sac à main et me l’a tendu.
—Pour une fois, je te laisse faire.
J’ai déchiré l’emballage, extrait le préservatif et je l’ai glissé sur ma queue en pleine érection. C’était drôle de penser que c’était toujours elle qui m’avait gainé de latex, avec sa bouche ou ses mains. Mais, sans avoir son habileté, je m’en suis plutôt bien sorti. Deux secondes plus tard, je plongeais en elle.
Chaque homme, chaque femme est unique. Dans son esprit et dans son corps. Dans son sexe aussi. J’ai retrouvé des sensations que je croyais perdues à jamais. La gaine particulière du sexe de Sonia autour de ma queue. Sa chaleur, son humidité. C’était sans doute vrai dans l’autre sens, parce qu’elle m’a dit:
—Oh, ta queue…Elle m’a manqué.
Ca n’a pas duré très longtemps. On était trop en manque et trop excités pour tenir. On a joui dans cette quasi-synchronicité qui marquait nos rapports. Une manière de se retrouver. Et un orgasme quand même très fort.
—Tu finis à quelle heure ce soir?
—Normalement aujourd’hui en fin d’après-midi. J’ai des horaires différents d’une semaine sur l’autre.
J’ai récupéré un jeu de clefs dans un tiroir et je lui ai tendu.
—Si ça te dit de passer.
Elle n’a rien répondu mais ses yeux disaient clairement oui.
J’ai gagné ma voiture, elle a regagné la sienne. Je trouvais la journée nettement plus belle pour le coup.
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Histoire de JamesB

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