ACCUEIL > Divers > Récit : Punition ou récompense

Punition ou récompense

+209

Lue : 3542 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/06/2020

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Lorsque nous habitions la région parisienne avec mon deuxième mari (celui actuel), qui m'a poussé au libertinage, non pas que je ne voulais pas, mais surtout je n'osais pas, l'internet actuel n'existant pas encore, nous allions chercher dans les endroits secrets nos partenaires de jeu.

Ce ne sont pas les hommes seuls pour trio qui manquaient, il y a eu des bons, (peu), des moyens, (a peine plus) et des mauvais, mais là n'est pas l'histoire, il y a eu des couples aussi, très difficiles l'entente, soit mon mari ne plaisait pas, soit le mari de la femme ne me plaisait pas, soit la femme ne me plaisait pas ou même les deux ne me plaisaient pas, ou encore la femme ne plaisait pas à mon mari, cela a été très souvent le cas.

Ensuite, il y avait les femmes seules qui cherchaient principalement un couple, bien souvent des lesbiennes, qui autorisaient le mari de complaisance à regarder, ou alors des bi qui elles, voulaient vraiment le couple, mon mari étant très difficile, nous en avons loupés pas mal qui sans vraiment me plaire, étaient acceptables.

Et puis un soir, nous en apercevons une, une belle femme, bien évidement les hommes et couples présents virevoltaient autour d'elle comme c'était le cas autour de nous dans les début, mais comme elle cherchait un couple, lorsque nous sommes arrivés près d'elle, nous nous sommes regardées et nous avons eu un coup de foudre, nous nous sommes souri et ceux autour n'existaient plus.

Si bien souvent, tous étaient corrects, rarement on a vu des frustrés, et cette fois là bien sur, il y en a eu un qui s'en est pris à elle, l'attrapant par le bras et l'insultant, je la défends en retirant la main du type sur son bras, non pas que le type ne m'impressionne pas, mais étant avec mon mari, je sais qu'il va nous débarrasser du bourrin de base, le type cherchant à m'attraper aussi et commençant à dire "espèce de salope", n'a pas le temps de finir son invective qu'il se retrouve à terre en train d'essayer de reprendre sa respiration.

Mon mari nous dit, "si nous allions prendre un thé ou café, regardez, on a du mal a respirer ici", je saute sur l'occasion et l'invite aussi, elle nous suit, souriante, après avoir discutés pendant deux heures dans un bistro, nous avons passé la nuit dans un hôtel, nous n'invitons jamais nos libertins chez nous, la nuit fut chaude, un banal trio HFF, comme ils s'en racontent à "en veux-tu en voila".

Avec cette femme, nous sommes devenues copines, puis bonnes copines et ensuite très très bonnes copines, nous le sommes toujours aujourd'hui, elle nous a suivit en province, à cette époque donc, elle ne gardait pas longtemps ses amants, elle avait une préférence pour les très beaux mecs, qui eux ne se contentaient pas d'avoir une seule fille, aussi belle soit-elle.



Elle tient à préciser qu'elle était pareille, elle se lassait vite et quinze jours de vie commune, lui paraissait une éternité, il faut dire qu'elle nous en a présenté quelques un, qui n'hésitaient pas à me faire du pied sous la table ou m'appeler au boulot, des types fades, imbus de leur physique, agréable certes, mais creux à l'intérieur, voire pourrie pour certains dont l'un a réussis à ce qu'on se fâche avec cette copine, mais cela n'a pas tenue la semaine.


Dix ou quinze jours avec l'un, puis autant seule, ou elle était avec nous, mon mari n'avait rien de son critère de mec, mais contrairement à ceux là, il ne promettait rien et ne lui racontait pas d'histoire, elle trouvait en lui le réconfort moral et sexuel, ainsi que la tranquillité, car quand l'un de ses amants intérimaires devenaient trop agressif de se faire virer, c'était lui (mon mari), qui calmait leurs ardeurs, car si parfois elle se faisait jeter comme elle dit, elle ne se gênait pas non plus.

C'est aussi à la même époque qu'on a connu Henri et Marie (vengeance heureuse d'un cocu), elle est rentrée par la grande porte dans notre cercle d'amis, la seule fois ou elle était tombée amoureuse, et ou cela a durée anormalement, elle se fait virer, cela l'a rendue très malheureuse, elle est venue me voir, et cette fois là, je consolais déjà Henri, j'eu l'idée de les pousser dans les bras l'un de l'autre, et comme je dis, un clou chasse l'autre, la mission a réussi.

Cette copine coquine, est devenue aussi la copine coquine du couple Marie et Henri, passant de l'un à l'autre, et ne prenant parfois, que des amants journaliers, voir pour un WE, jusqu'à espacer de plus en plus, se contentant de nos deux couples ainsi que des coquins que nous fréquentions (vengeance heureuse d'un cocu et le client).

Si cette copine ne partage pas tous nos goûts spéciaux à Marie et moi, elle partage ceux plus commun, les trios HFF, pour le plus grand plaisir de nos maris et aussi de nous-mêmes, si dans nos vies de couple, nous avons eux des histoires coquines, dans sa vie de célibataire, elle en a eu un peu aussi.

Avec Marie, tout le monde il est beau et gentil, avec moi çà serait plutôt l'inverse, méfiante, vindicative, rancunière aussi, dans la juste mesure, avec Marie, j'ai ces qualités ou défauts pour elle qu'elle n'a pas, elle ne sort jamais seule sans l'une de nous . La copine elle, serait plutôt du genre "je m'en fout", tu ne veux pas, tant pis, je vais voir ailleurs, mis a part pour sa relation avec les hommes, elle ne se laisse pas avoir.

À savoir que je ne connais son histoire que depuis peu, et que je lui ai demandé si je pouvais l'écrire, travaillant dans un milieu dominé par les hommes, il lui est arrivé de coucher avec ses chefs comme de virer ceux avec qui elle ne voulait pas, elle se complaît à nous dire qu'elle est une salope, mais pas une pute, salope dans le sens sexuel s'entend.

Tout comme moi, elle a aussi la main leste, qui s'abattrait aussi bien sur un balayeur qu'un grand patron si ceux ci le méritent, dans son boulot, elle couchait avec les célibataires qui lui plaisait et quand elle l'avait décidé, et avec certains hommes mariés dont elle savait la femme infidèle, ces amants intérimaires comme elle les appelait, c'était pour l'hygiène, rien à voir avec ceux cités plus haut, elle annonçait la couleur avant de consommer.

Une fois l'un était tombé amoureux, elle lui a dit, "mon pauvre, me connaissant, tu ressemblerais à un cerf en moins d'une semaine, tu ne pourrais plus te promener dans les bois sans recevoir une décharge de plomb, il y a ceux avec qui on se mari et ceux avec qui on baise, un pour le plaisir et un pour payer les factures, et ce dernier, je n'en veux pas, pourquoi crois-tu que je suis toujours célibataire et fauchée".

Si la forme n'y est pas, les paroles sont claires, jeune infirmière, la copine à du supporter ceux à qui elle s'est refusée, cela ne se faisait pas au grand jour, ni devant témoin, mais certains signes ne trompent pas, entre les jours de repos changés à la dernière minute ou des bêtises faites collées sur le dos, son "j'm'enfoutisme" l'a bien aidé.

Suite à une "punition" pour motif fallacieux d'un responsable refoulé, un dimanche qui devait être de repos, elle se retrouve à faire la nuit, elles ne sont que deux à l'étage et le mythe de l'infirmière nue sous la blouse, n'est pas une invention, par contre celle nue dessous avec bas et porte jarretelles, cela relève du fantasme masculin.

Comme les autres histoires que j'ai écrite a la place de copines, je vais raconter la sienne en me mettant à sa place, je ne vais pas dire, un soir elle va .... Mais un soir, je me .......

Un soir, je me retrouve dans le service de nuit, la collègue, je la connais un peu, elle est cool, elle m'explique le fonctionnement du service, et ce qu'on aura à faire, se partageant les chambres, chacune son aile (couloir), je passe voir mes patients pour qu'il me voient et demander si quelqu'un a besoin de quelque chose, l'un à la jambe plâtrée demande qu'on lui retire sa table.

Son voisin, en mauvais état m'interpelle aussi, tout en lui répondant, je ne fais pas attention, j'ai la bouteille d'eau d'une main et de l'autre, je tire la table qui bute sur quelque chose, je me dis que c'est la roulette qui ne tourne pas, je force un peu et la table vient d'un coup, il n'avait pas manger sa soupe, le bol se renverse moitié dans le plateau et le reste sur lui.

Bien évidement ce n'est pas sur son épaule que sa tombe, mais entre la taille et l'entrejambe, je me confond en excuse, je me dis que la nuit commence bien, gentiment, il me dit que ce n'est pas grave, voulant me rattraper, je lui dis que je lui sors un autre bas de pyjama, il répond, oui le sac rouge dans le placard, j'y vais et je me trompe de sac.

Le rouge, le rouge dit-il, le rouge en question est caché sous un sac plastic et celui que je vois en premier est bordeaux, voila je l'ai dis-je, j'ouvre, et dedans, des bouquins qu'on ne trouvent qu'en sex-shop, je les sors pour tenter de trouver son pyjama, mais ne trouvant pas je lui demande, vous êtes sur.

Il me dit "oui tout au fond peut être", je lui dis qu'il n'y a rien que des revues, il répond, "heu non, rouge ce n'est pas bordeaux, y'a deux sacs", amusé plus que gêné, il me demande si je suis intéressé par de la lecture, qu'il peut m'en prêter, avec humour, je réponds que ce ne sont pas mes auteurs préférés et qu'il y a trop d'image.

Son voisin de chambre a les 2 jambes dans le plâtre et des cotes fêlées, il est un peu dans les vaps, il est dans sa douleur et non à ce qui se passe, quand je m'occupe de lui, pendant que mon malheureux patient se change, je sens un frôlement furtif sur mes fesses, je me retourne et c'est une revue qu'il a pris dans son chevet qui m'a touché, je ne dis rien, il est sympa malgré ma maladresse, enfin je pense.

De plus il est sympathique, il a de l'humour, il plaisante, je lui réponds, il pose des question, savoir que s'il sonne, est ce moi qui viendrait, je lui dis oui, mais que s'il en abuse, je viendrais avec un bol de soupe, mademoiselle, pour le plaisir de vous voir, vous pouvez même venir avec une soupière, comme je dois aller voir d'autres chambres, je pars en disant "bonne idée".

Le début de nuit passe, les télés s'éteignent, le silence s'installe et avec la collègue on s'occupe de ceux qui sonnent et visitons plus souvent ceux demandant plus de vigilance, quand il y en a, vers minuit nous faisons notre ronde, dans la chambre du lecteur de porno, je m'occupe du plus mal en point d'abord, j'entend chuchoter le coquin, "je vous attendais".

Joignant sa parole au geste, il me met sa main sur une fesse, héééé, que faites vous dis je en me dandinant sans secouer mon patient, gonflé, il me dit, chut et ne bougez pas, vous n'avez rien dessous, ce qui est faux, j'avais un string, je laisse ce que je fais et me retourne pour qu'il me lâche, sa main quitte ma fesse mais se retrouve sur l'intérieur des cuisses.

Vous n'êtes pas sympa dis-je en pivotant sur moi même et en quittant la chambre, je fini ma tournée et je dois noter la chambre, je rentre et passe coté fenêtre pour le patient mal en point, puis je vais pour partir, le coquin me dit, "et moi", je lui dis, "ça dépend de vous", je serais très sage qu'il dit, n'y croyant qu'a moitié, restant sur la défensive, je m'occupe de lui qui reste sage.

La nuit passe, rien ne se passe ensuite, je rentre chez moi pour dormir, je repense à ce type, je m'endort difficilement tellement j'y pense, je mentirais si je ne disais pas que plus j'y pensais et plus j'étais excitée, alors oui, je me suis soulagée pour trouver le sommeil.

Au réveil, je déjeune, la journée passe en ne pensant qu'à ma garde malgré moi, en fait, cela m'excitait, je vais au boulot et en mettant ma blouse, seule dans le vestiaire, je retire mon string discrètement au cas où la collègue arriverait.

Ce qui est drôle, c'est qu'un string ne représente rien au niveau tissus, mais de ne pas en avoir, on a l'impression que ça se voit par tous ceux autour, je fais fi de cette impression, excitée par la situation, je fais ma première tournée qui sera la même toute la semaine et dans la chambre en question, j'ai l'impression que mon patient me découvre nue, il me détaille, me sourit.

Rien ne se passe, à mon regret d'ailleurs, à la prochaine tournée dans la dite chambre, entre les deux lit, je prends les constantes de celui mal en point qui dort et contrairement à la veille, ou méfiante, je me positionnais sur la défensive, je me mets pareille que quant il m'avait tripoté, comme rien ne se passe, je prends mon temps.

L'a t-il remarqué, sa main frôle ma fesse, je fais "hééé" mais cette fois sans bouger, encouragé par ma passivité, il me tripote les fesses, quand sa main s'est posée, j'ai eu un petit soubresaut qu'il a du ressentir car il descend sa main sur le coté.

J'ai fini avec le patient mal en point, mais je reste sur place, je ne bouge pas, j'attends avec impatience les secondes qui vont suivre, une petite voix me dit, "mais tu es folle, ne laisse pas faire", mais une autre dit, "détend toi, tu vas voir, ça va être l'extase, tu en as envie, y'a pas de mal à avoir du bien".

Et en effet quand il arrive sur mes lèvres intimes, je sursaute, il découvre que je suis trempée et que je n'ai pas de dessous, j'ai honte, je quitte la chambre et poursuis mes visites, j'ai le cœur qui bar a toute vitesse, comment vais je retourner dans la chambre, que doit -il penser, je fais abstraction de mes pensées et me concentre sur mon travail.

Une petite heure plus tard, Il sonne, je m'y attendais un peu, mais j'espérais bêtement, j'avais pensé demander à ma collègue, mais je ne voulais pas m'afficher, devenir la risée, je prends sur moi et vais dans la chambre, en entrant il me dit avec un sourire malice, "vous n'avez pas pris mes constantes, je ne veux pas que vous vous fassiez disputer.

Chuchotant, je tente un, "pour tout à l'heure je ...", ne dites rien dit-il, approchez, je dis non, approchez (voix forte), chut dis-je, vous allez réveiller votre voisin, approchez alors dit-il à voix basse, juste pour parler, je m'approche hors de portée de main et il me dit, "tout à l'heure vous étiez nue dessous et vous êtes venue m'exciter.

Je vais pour dire quelque chose mais il me dit, "ne dites rien, je le sais, vous étiez toute humide comme moi je suis tout dur, laissez vous tenter", se doute t'il que mon entrecuisse est en train de fondre, je réponds, arrêtez de dire des bêtises je dois vous noter, j'approche et il m'attrape les fesses en disant, je ne fais rien de plus, et si ma collègue rentre dis-je.

Je redeviens sérieux qu'il répond, même là regardez, je ne fais rien de plus alors que je pourrais descendre ma main, joignant le geste a la parole, sa main descend, puis remonte puis redescend, sans le vouloir, j'ondule mon bassin et tout en parlant, il me dit, approchez vous je vais vous dire quelque chose à l'oreille


j'écarte les jambes au maximum, il me pénètre avec son pouce et me masturbe avec son index, je suis tellement excitée que je jouis rapidement.


Soulagée, je reprends conscience qu'il me reste des patients à contrôler, je lui dis que je dois partir, vous allez revenir dit-il, je lui dis oui sans réfléchir, je me dis que j'ai merdé, que je n'aurais pas du, je me cherche des excuses et des phrases toutes faites pour lui dire que je regrette ce qui s'est passé, une fois ma tournée fini, je discute avec la collègue et quant on la sonne, à mon tour je vais voir mon coquin, pour lui dire de pied ferme, que l'on a fait une bêtise.

Cette fois là, je vais sur son coté gauche, je cherche comment présenter la chose, "voila, il faut qu'on parle, tout à l'heure, je ne sais ce qui m'a pris, mais ça ne se reproduira pas", comment ça, et moi alors dit-il, je lui dis que je suis désolée, et que .......... pendant que je balbutie, il passe sa main sous ma blouse et m'attrape le fessier, je serre les cuisses, me retrouvant le sexe pressé sur son bras qu'il remue pour me masturber.

Mes résolutions ne durent pas longtemps, son bras mouillé l'encourage, je ne tiens plus, j'arrête de parler bêtement, il prend le relais, il n'y a plus que lui qui m'encourage à me laisser faire, il a même compris à qui il avait à faire, se disant, celle la, si je veux quelque chose c'est maintenant, il ne faut pas que je laisse ses remords l'emporter.

Je suis tellement excitée, que c'est moi qui me masturbe sur son avant-bras, le plaisir monte, met un pied sur le lit que je m'occupe bien de ton clito dit-il, il me le répète et je le fais, il me pénètre de son pouce et se tournant en plaçant son plâtre en arrière, son autre main me frotte le clito.

Je suis super excitée, est ce lui ou la peur d'être surprise, je veux te sucer dit-il, rien que me le dire, j'ai un soubresaut, aller vient, met toi à genou, ta chatte sur ma bouche, j'en ai tellement envie, qu'il ne me le répète pas, je me positionne et lui aussi, je retire mes chaussure et une fois sur lui, c'est l'extase.

Il me bouffe la chatte comme un affamé, sa main remonte jusqu’à mes seins qu'il attrape à travers le soutif, sa langue se déplace petit à petit vers l'anus, il lâche mes seins et sa main descend son pyjama, faisant jaillir son sexe comme un pantin de sa boite, j'avais envie de le prendre en bouche, mais on commençait à savoir déjà que le VIH n'était pas que pour les gay, je me suis penchée et je l'ai pris en main.

Je sens beaucoup mieux sa langue et nous commençons la compétition, à savoir, qui fera jouir l'autre le premier, je commence tout juste à le travailler, alors que lui, il a déjà fait les 3/4 du chemin, sucée et titillée la ou c'est sensible, je capitule, je joui, je peine a ne pas crier, il me boit, l'orgasme passé, je m'aperçois que j'avais arrêté mon ouvrage, je le reprends, mais il me dit de me mettre sur le coté, je lui dis ok mais je vais de l'autre coté, entre les deux lit.

Vous allez me planter dit-il, je lui dis que je suis droitière, il me lâche sans trop y croire, mais je me mets à sa droite, il m'attrape les seins, je passe mon soutif au dessus et je le masturbe pendant qu'il me les tripote et suce les bouts, sa respiration s'accélère et il ne tarde pas à tout lâcher, il en a plein le torse, j'en ai plein les mains, je le pompe jusqu'à le mettre à sec, je file au lavabo me laver les mains.

Je lui fais un petit coucou pour dire que je reprends mon service et avec une pointe d'humour, il me dit, "vous disiez quoi tout à l'heure en arrivant", rien dis-je en quittant la chambre, je me demande ce que je vais pouvoir dire à la collègue, mais elle ne me pose pas de question, elle aussi a été appelé plusieurs fois et elle a pensé que j'avais du l'être aussi.

Cette fois la, je sortais d'une relation éphémère, dont je n'ai plus souvenir lequel avait largué l'autre, je me fais avoir a chaque fois, je ne suis pas faites pour la vie de couple, quand je tombe sur un matcho, je ne me laisse pas faire et ça coince, et quand c'est un homme qui dit oui à tout, je ne le supporte pas.

Cette semaine là, ça faisait au moins cinq jours que je n'avais pas goûter au plaisir sexuel, autant dire une éternité, lors d'une séparation, je suis dégoûtée et je supporte l'abstinence jusqu’à ce qu'un clou chasse l'autre, j'aurais préféré que le clou vienne en dehors de mon activité professionnelle, mais bon, au moins celui la, je ne l'ai pas dans mes pattes.

Au petit matin, quand je suis retourné dans la chambre, il dormait, je ne l'ai pas réveillé, quand je rentre, une douche et au lit, je me lève pour le repas du midi et toute la journée, je ne pense qu'a cela, je me fais les questions réponses, arrêter, pour quoi faire, le mal est fait, alors un peu plus ou un peu moins, et quand je dis mal, ce mal là est plus que supportable.

Avec mes horaires à la con, je ne peux même pas en discuter avec Annie, ho et puis au diable, la vie est courte, qu'est ce que je risque, à part de faire des jaloux ou jalouse, ce soir, j'y retourne, ce disant, je passe au distributeur de gants MAPA à un seul doigt, il va se dire que j'ai tout prévue, mais tant pis, je sais qu'au moment crucial, je ne le regretterais pas.

Même routine que d'habitude et vers minuit, ou c'est calme, nous repassons prendre les constantes, chacune de nous a son secteur, je ne traîne pas trop et si avant je faisais les visites dans l'ordre, je fais la chambre en question en premier, pour prendre celui mal en point, ou plutôt celui qui l'était, car apparemment ça va mieux, il regarde la télé qu'il éteint à mon arrivée.

Mon coquin, quand c'est son tour me fait comprendre qu'il sonne quand il dort, je fais signe ok mais qu'avant je repasserais quand j'aurais fini, et je continue ma tournée, quand je repasse, le voisin dort depuis peu de ce que dit mon coquin, je m'en assure en lui prenant la tension, et comme il ne bouge pas, je chuchote que c'est bon.

Il devait être en position, la main prête à passer sous la blouse, je n'ai pas le temps de poser mon matériel que je suis déjà en main, il ne perd pas de temps et ça tombe bien, je n'en ai pas non plus, de plus, je n'ai pas besoin de jouer la sainte nitouche, autant passer aux choses sérieuses, les préliminaires commence, il se plait à me mettre dans un état second, et j'avoue que j'aime ça aussi.

Contrairement à la veille, il y va de bon cœur, oubliant par moment pourquoi il est là, sa jambes lui rappelle aussitôt, je lui dis de se mettre sur le dos, et lui montre le cadeau, la vue le ravi, il sait ce a quoi ça va servir, nous ne parlons presque pas, ou alors à voix très basse, la chambre n'est éclairée que par l'extérieur, ses mains n'ont pas besoin de lumière pour ce qu'elle font.

Maladroitement, j'enfile la chaussette étanche, il m'aide heureusement, l'outil est prêt à consommer, je m'empale dessus, comme c'est bon, être masturbé, c'est bon, mais rien ne vaut ce que dame nature a prévue, mes seins sont triturés, on entend la respiration de l'autre qui devient de plus en plus forte.

Nous ne sommes pas dans un endroit dédié, ou nous avons tout notre temps et ou nous pouvons crier à volonté, dans une certaine mesure s'entend, ici, nous n'avons ni le temps, ni le droit de crier, la lumière venant de la fenêtre, nous éblouie un peu, empêchant de bien détailler le patient à coté, entre deux souffles nous essayons de l'écouter, voir s'il ne se réveille pas, quelle honte pour moi.

Mais cela n'est pas ce qui nous tourmente pour le moment, je dirais même que ces contraintes et cette crainte, ca nous excite, notre mouvement alternatif qui était au ralenti au départ, commence a prendre un peu de vitesse, chaque coups est un plaisir, nous sommes avides, nous en voulons toujours plus, plus vite, plus fort, plus loin.

Et il advient ce qui arrive, notre abstinence de quelques jours n'aidant pas à tenir la distance, j'ai pu difficilement l'attendre pour jouir en même temps, nous n'avons pas crié mais notre souffle était fort, l'orgasme passé, nous nous en sommes rendu compte, notre premier réflexe, voir si nous n'avons pas réveillé le voisin de chambre, nous retenons notre respiration et surveillons le moindre mouvement de la partie de son visage qui reflète la lumière.

On ne l'entend même pas et le peu qu'on voit ne renseigne rien, par contre le peu ne bouge pas, ce qui signifie qu'il est dans les bras de Morphée, tout va donc pour le mieux, nous ne sommes pas en vacances, mon partenaire est en convalescence et moi au boulot, je me remets présentable avec une rapide remise en place de mes cheveux et je quitte la chambre, je me montre à la collègue en lui signalant que je vais aux toilettes.

Je me fais une toilette vite faite, car ca me coule entre les cuisses, et je remets une culotte, la collègue me demande juste s'il n'y a pas eu de problème, mon escapade est passé inaperçu, quand j'ai refais ma ronde, ça dormait, le mercredi se passe pareil, la routine en somme mais plaisante quand même, une chance que le voisin soit un dormeur.

Le jeudi, le voisin avait repris du poil de la bête, il était plus causant, souriant même, sympathique, nous avons fait plus attention à lui, mais mon coquin me disait qu'avant minuit, il lui disait, regardez encore la télé si vous voulez, moi je suis une bûche, et en effet, il me paraissait presque dans les vapes quand je venais quelques minutes après, il ne prenait pourtant pas de somnifères, de toute manière, cela nous arrangeait bien.

Le vendredi c'est pareil, notre affaire c'est bien déroulée, il n'y a que le samedi qu'on a vu qu'il avait bougé, nous avons arrêté notre va et vient pour écouter et le regarder, sans faire de bruit ni bouger, puis comme rien ne se passait , crescendo, nous avons repris notre besogne, j'avais l'esprit léger, jusque là, la collègue ne se doutait de rien, et pour ne pas aller aux toilettes à chaque fois que je revenais, j'avais demandé à mon coquin, de sonner pour justifier que je revienne et me rincer au lavabo.

Le dimanche et lundi étaient mes nuits de repos, mais le mardi, il était sorti.

À suivre.
209 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Punition ou récompense


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :