Rencontre avec Marianne

Bonjour, voici mon premier récit, histoire vraie, soyez indulgent, mais je suis ouvert à la critique constructive.

Rencontre avec Marianne

« Profitez de la vie monsieur, tant que vous le pouvez », je me souviens de ces paroles comme si c’était hier. Mais voilà, cela fait maintenant cinq ans que je suis sorti de ce cabinet et que cette neurologue me diagnostiquait une maladie neuro-dégénérative.

Durant deux ans, il m’était impossible de penser positivement. Dépression, déprime, angoisse suite à l’annonce de la maladie. Ma compagne ne m’a pas aidé, puisqu’elle a préféré quitter ce navire à la dérive quelques mois après.

Après avoir digéré ce terrible coup du sort, j’ai repris du poil de la bête. Bien décidé à croquer la vie et à assouvir, par ailleurs, mes désirs les plus fous.

Trente-trois ans, célibataire mais à mobilité réduite à présent, pas facile de retrouver quelqu’un pour partager sa vie. Mais voilà, outre le manque cruel d’affection et de tendresse de la part d’une femme, l’envie de sexe est beaucoup plus difficile à gérer. Ayant toujours eu une libido accrue, j’en avais marre de m’astiquer devant des vidéos. « Blowjob, handjob, amateur, etc. », j’en ai tellement fait le tour que j’en étais gavé.

Je décide donc un jour de feuilleter les petites annonces coquines sur le net afin de trouver un exutoire à ces désirs insatisfaits. De nature plutôt réservée, je n’eu pas facile à franchir le pas. Payer pour du sexe, inconcevable pour moi encore il y a peu, mais je devais me rendre à l’évidence, mon corps change, je n’attire plus les foules. C’est un milieu inconnu pour moi, je n’ai jamais eu recours à ce genre de pratique tarifée. Mais mes pensées et mes rêves les plus fous ont déjà imagé certains scénarios torrides avec une belle et mystérieuse inconnue.

J’envoie le même mail à plusieurs annonces, tout en ayant privilégié les annonces avec photos et sans (trop de) fautes d’orthographe. Autant jouer franc-jeu dès le départ, je mentionne mes problèmes de mobilité physique. Quelques jours passèrent, pas la moindre réponse, même négative. Le constat est clair, le handicap fait peur, je vais avoir du mal à trouver cette mystérieuse femme.

Je remarque, après une énième recherche, une annonce plutôt bien tournée, grammaticalement correcte et pas une faute d’orthographe. Pas de photos mais ça m’attire, j’envoie donc un mail sans attendre. A peine une heure écoulée que j’obtiens une réponse. Je m’empresse de l’ouvrir. Elle me dit que ma situation ne la dérange pas et qu’elle souhaite même en savoir plus sur le mal qui me touche. Ca y est, j’ai peut-être trouvé quelqu’un !

Durant une bonne quinzaine de jours, Marianne et moi échangeons un ou deux mails par jour. On parle de tout et de sexe, mais apparemment ça l’arrange autant qu’à moi que l’on apprennent à se connaître avant un éventuel rendez-vous. Elle comprend rapidement que je suis assez timide et que c’est la première fois pour moi que j’ai un contact avec une fille qui propose ce genre de service. Du coup, elle s’arrange toujours pour me mettre à l’aise. « L’idée de rencontrer un petit jeune et mignon de surcroît m’émoustille », me dit-elle.

J’apprends donc qu’elle a 42 ans, qu’elle est en couple et a trois enfants. Qu’elle a publié sa première annonce il y a seulement un an. Qu’elle avait envie de rencontrer des gens et de varier les plaisirs. Son homme et elle sont libertins. Ils préfèrent les soirées privées en comité restreint que les clubs échangistes. Bref, un univers opposé et inconnu à moi.

Elle m’a envoyé quelques photos d’elle… Et je dois bien avouer que je suis resté le cul, c’est La Femme ! La femme mature que j’ai toujours vu dans mes fantasmes les plus fous depuis mon adolescence. Une silhouette de rêve, des jambes musclées, une poitrine opulente, un visage avec des traits fins, une bouche aux lèvres généreuses et une longue crinière brune… je suis complètement sous le charme.

Je pris rendez-vous pour la rencontrer, une date a été fixée, c’était programmé un samedi. La veille, elle me demanda ce que je désire qu’elle porte comme tenue et comme sous-vêtements. Je ne m’y attendais pas à celle-là, je lui ai dit que j’adorais le style « secrétaire » et pour la lingerie je ne savais pas quoi dire tellement n’importe quoi me comblerait.

Samedi arrive, inutile de vous dire que je n’ai pas bien dormi. Mes pensées se chevauchent entre l’excitation du rendez-vous et la peur de ne pas assurer, pire, perdre mes moyens.

A quelques minutes de notre première rencontre, j’ai les jambes qui flageolent, le cœur qui palpite, c’est dingue j’angoisse à l’idée de rencontrer une bombe qui ne veut que me procurer du plaisir.

On a convenu d’un arrangement pour elle entrer, elle sonne à la façade et passe directement par le portail jouxtant la maison. Ça sonne !

Je la vois marcher vers moi à travers la baie vitrée, elle pénètre enfin dans la pièce : « bonjour Eric ! Marianne, heureuse de pouvoir enfin te rencontrer ». Je balbutie quelques mots en réponse, mais je doute franchement qu’elle ait pu comprendre quelque chose. Elle est plutôt à l’aise. Elle se retourne et pose sa veste sur le pouf, j’en profite pour admirer ses courbes affriolantes. Elle est ravissante. Elle porte un chemisier blanc cintré, les premiers boutons ne sont pas fait et laissent entrevoir l’intersection de ses seins gonflés. Une jupe noire enrobe son joli fessier et ses jambes sont habillées de bas résilles noires. Le tout monté sur des hauts talons noirs qui accentuent sa cambrure. Quel beau tableau.

Elle s’installe à mes côtés dans le canapé. Je retrouve peu à peu mes esprits au fil de notre conversation. Dans nos échanges par mail, je lui avais expliqué que je n’avais jamais fait l’amour avec une femme sans sentiment à son égard, que j’appréhendais ce moment où il fallait « passer à l’acte », là où deux amoureux vont se jeter spontanément l’un sur l’autre, nous, comment allions-nous faire ? c’est précisément cet instant tant redouté qui était en train de se dérouler.

« On s’installent sur le lit ? » me dit-elle. J’hoche la tête positivement, elle prend les commandes, je me laisse guider.

Je suis maintenant couché sur le dos, un coussin sous la nuque. Elle est assise au bord du lit, elle se penche vers moi et pose ses lèvres pulpeuses sur les miennes. Un long frisson se diffuse alors en moi dès ce premier contact. Elle se lève, et commence à s’effeuiller avec délicatesse. Je voudrais à ce moment avoir des yeux dans toute la pièce pour admirer ce spectacle sous tous les angles. Il ne lui reste déjà plus que sa lingerie intime, pour la première fois de ma vie je vois une femme en porte-jarretelles. Son 95C est parfaitement logé dans un soutien-gorge à moitié transparent, son tanga l’est tout autant, je commence à avoir très chaud…

Marianne se met à califourchon sur moi et nous reprenons nos baisers qui deviennent plus langoureux, plus profonds, nos langues se rencontrent, le tout avec une douceur déconcertante.

Ses mains parcourent mon torse et mon visage, je me retiens de lui « manger » un doigt frôlant ma bouche, pourquoi ? Je ne sais pas, sans doute un manque de confiance en moi. Elle se redresse, elle est assise sur mon membre gonflé et dur comme du marbre. Elle enlève son soutien-gorge, me prend les mains et les posent sur ses seins fermes et lourds. Je ne peux empêcher quelques soubresauts inopinés de ma queue sur son entre-jambes tellement mon excitation est forte. Elle se décale pour m’enlever mon pantalon en lin dont le bouton de fermeture est récalcitrant, j’en profite pour lui caresser les fesses. Une fois mes jambes à l’air libre, elle reprend sa position initiale tout en m’embrassant goulûment, j’ai l’impression qu’elle prend du plaisir à faire cela, ça me conforte. Elle approche à présent sa poitrine à mon visage, je m’empresse de lécher et sucer ses tétons déjà durcis. Même l’odeur de sa peau m’excite. Son entre-jambe se frotte sur ma queue bandée, ces va-et-vient m’enivrent.

Plusieurs fois mon esprit s’échappe pour réaliser que je suis avec une femme de dix ans mon aînée, je prends conscience que j’ai cette chance de pouvoir assouvir un fantasme que tous mecs de mon âge désirent connaître ! La femme mature, la « MILF » de mon adolescence !

Elle est maintenant sur mon côté et sa bouche excite mon téton tandis que sa main me branle à travers mon boxer. Je ne désire qu’une chose, c’est qu’elle m’enlève ce boxer et prenne ma queue à pleine main. Aussitôt pensé, voilà qu’il est ôté. J’ai faim d’elle et de tout son corps. Ses lèvres descendent sur mon pubis. Je sens à présent sa bouche se poser sur mon gland, elle l’enrobe et je sens sa chaleur buccale envahir la moitié de ma queue. Je penche la tête pour la voir exécuter ses va-et-vient, comme c’est excitant de voir ses lèvres se plisser à chaque descente sur ma hampe. Elle prend ma main, la pose sur sa chevelure et reprend ma queue pleine bouche. Comme c’est bon de se sentir aspirer de la sorte. Ma main caresse son cuir chevelu, j’aime faire glisser ses longs cheveux entre mes doigts.

Elle a pris ma jambe en otage entre les siennes et se frotte l’entre-jambes contre elle. Ca a le don de m’exciter davantage. Sa bouche quitte mon membre, il est reluisant de salive et tendu à son maximum. Elle enlève son tanga devenu clairement plus qu’inutile et s’assied sur moi.

Nos deux sexes se touchent, sa fente est toute humide. Ses belles lèvres de chattes se frottent sur ma queue encore humectée de salive. Lorsqu’elle glisse vers l’arrière, ça tire sur mon frein et ça gonfle encore plus mon gland de sang. Elle se touche le clito d’une main et se malaxe les seins de l’autre. Que c’est beau une femme qui se donne du bien.

Je remplace sa main et fais tournoyer son bouton tout rose avec mon pouce. Sa main quitte ses seins et vient par derrière son cul chercher ma verge en feu. Elle fait glisser mon gland sur sa vulve plusieurs fois avant de l’introduire doucement dans sa chatte, c’est tout bonnement divin. Ses mains se posent sur mon torse et le ballet incessant de va-et-vient commence. Heureusement, elle va très doucement sinon je pense que je ne tiendrais pas la minute. Elle se redresse et s’empale complètement sur ma queue, ce qui me fait sortir un soupir de contentement. Mes mains viennent épouser ses hanches et l’accompagner dans la chevauchée. Je caresse parfois son bouton d’or avec mes doigts, elle aime ça apparemment, quelle femme n’aime pas ça me direz-vous.

Contre toute attente, Marianne se retire et commence à me sucer à nouveau, sans doute s’est-elle souvenue via mes mails que c’est mon pêché mignon. Elle prend soin de mettre ses cheveux derrière son oreille afin que je puisse la regarder faire. Elle descend encore plus bas et serre davantage, ce qui me fait accélérer mon souffle, je ne tiendrai plus longtemps. Je sens et vois ses joues aspirer mon dard que je commence à ne plus pouvoir maîtriser. Sa bouche descend alors sur mes couilles et elle augmente la cadence de sa branlée et frictionne encore plus mon gland en ébullition.… je n’en peux plus… je pousse quelques cris rauques suivi d’un : « oh, oh, oh ouiii ! » et j’étale ma semence sur mon ventre et sa main. Elle continue à me masturber quelques secondes afin d’extirper tout le nectar. J’ai un peu la tête qui tourne, pas étonnant, ça fait des mois qu’une femme ne m’a pas touché.

Marianne se met à mes côtés, amorçant le retour au calme.

Y’a pas à dire, faire l’amour fait me sentir vivant !

J’espère la revoir très vite et pouvoir découvrir d’autres sensations.