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Regrets

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Lue : 5216 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/08/2009

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Je fais souvent ce même rêve : je suis la plage, où il n’y a pas âme qui vive, assise sur le sable chaud, me laissant bercer par le son des vagues, le regard rivé sur les volutes de fumée s’échappant de l’Etna, à l’horizon. C’est une belle journée printanière ; je suis bien, en paix. Soudain, une ombre vient se dessiner sur le sable. Je me retourne et, comme si cela était tout à fait naturel, je te vois devant moi. Dans un grand sourire faisant pétiller tes yeux noisette, tu me dis :
- Ciao, Stellina. Comment vas-tu ?

Ta voix résonne au plus profond de mon être ; je me sens soudainement envahie par un bonheur intense ; des larmes se mettent à couler. Tu t’approches alors de moi, m’aide à me relever et, d’une main légère, tu écartes ma petite mèche rebelle. Tu te souviens ? C’est une chose que tu faisais si souvent.
- Pourquoi pleures-tu Stellina ?
- Ce sont des larmes de joie… Mais, que fais-tu ici ? Comment…

D’un geste de la main, tu me fais signe qu’il ne faut pas se poser de questions et je comprends que ce moment n’a rien de normal, qu’il est extrêmement fragile, qu’un rien peut le faire disparaître.
- Tu es toujours aussi belle et sexy, ma Stellina. Tu me manques énormément.

Nos visages se rapprochent l’un de l’autre. Je ferme les yeux pour mieux sentir ton souffle. Nos lèvres finissent par se sceller en un long baiser qui achève de me faire fondre.

Nous nous allongeons sur le sable et, les yeux toujours fermés, je laisse mon âme se livrer entièrement à tes caresses, des caresses que je n’ai jamais pu oublier. Tu commences par jouer avec mes cheveux, comme si tu voulais les lisser, puis de descends doucement vers mon visage, suivant, d’un doigt, le moindre de ses contours. Mes lèvres s’entrouvrent, lorsque tu passes à leur portée, cherchant à aspirer ce doigt qui s’échappe inexorablement.

Les petits baisers sur ma nuque me font tressaillir ; une main vient se glisser sous ma jupe, jouant avec mes cuisses, tandis que l’autre dégrafe lentement mon chemisier. Mon corps commence à onduler tandis que tu te mets à jouer, du bout de la langue, avec la pointe de mes seins.

Sous ma jupe, ta main s’amuse à passer et repasser sur le fin tissu de mon string, sans jamais s’y attarder trop longtemps ; juste un effleurage qui achève de mettre tous mes sens en émoi. En même temps, tu te mets à couvrir mon ventre de petits baisers qui me donne la chair de poule, me faisant pousser quelques soupirs lorsque tu arrives au niveau de mon nombril. Je me cambre vers toi ; j’ai envie que tes baisers descendent encore plus bas.

Enfin, tu relève complètement ma jupe, retire mon string mouillé par le désir et ton souffle chaud vient flirter entre mes cuisses grandes ouvertes pour toi. N’y tenant plus, je te saisi par les cheveux pour que ton visage vienne se coller à mon vagin. Je pousse un râle en sentant la pointe de ta langue venir titiller mon clitoris, clitoris que je sens gonflé, au bord de l’explosion. Tu l’emprisonnes entre tes dents et ta langue experte joue de plus belle avec lui ; mes hanches se mettent à onduler de plus en plus vite tandis que je sens deux doigts me pénétrer, deux doigts se mettant à fouiller le moindre recoin de mon intimité, tournoyant, tantôt avec frénésie, tantôt avec une lenteur diabolique. Ma gorge s’assèche de plus en plus ; je sens arriver la vague qui va me submerger. Mais je ne veux pas prendre mon plaisir sans toi, alors je te repousse brusquement, t’oblige à t’allonger, dégrafe ton pantalon et sort ton membre de son écrin devenu beaucoup trop petit pour lui.

C’est à mon tour de jouer avec toi, de donner de petits coups de langue au prépuce, de te faire tressaillir. Puis je fini par le prendre à pleine bouche, me délectant de ce liquide d’excitation qui en dégouline. Quand je sens que tu en es au même stade que moi, je me mets au dessus de toi et, tout en plantant mon regard dans le tien, je viens m’empaler sur ton sexe, très lentement afin de mieux savourer cette prise de possession de ma grotte inondée.

Ton souffle devient de plus en plus court, tandis que je commence à danser sur toi, frottant mon clitoris contre ta peau, faisant tourner ton membre dans mon antre. A nouveau, je sens venir cette douce et grande vague libératrice. Je veux partir en même temps que toi ; je t’observe, écoute ton corps.

Tes mains se crispent brusquement sur mes fesses et je laisse la vague prendre possession de mon être tandis que je te sens te répandre en moi. Nos cris d’extases se mélangent à l’unisson et mon corps devient incontrôlable sous l’effet de la jouissance. Je cris ton nom ; je cris mon amour…

C’est toujours à ce moment que je me réveille, le corps en feu, le cœur en émoi et l’esprit torturé par les regrets, ceux d’avoir quitté la France, de t’avoir quitté, de n’avoir compris que trop tard à quel point je t’aime.

Arlequin
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Histoire de arlequin

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