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rencontre avec mon jeune voisin

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2022

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Il est treize heures quand je pars de chez mes parent. Le ciel est noir, le tonnerre gronde. Au bout de quelques kilomètres, je reçois un message de ma mère.
« Chloé, ma chérie, fais demi-tour, on passe en vigilance orange ».
Je lui réponds que je n’ai d’autres choix que de rentrer. Un mensonge bien sûr.
La pluie tombe drue sur le pare-brise de ma voiture, en cette après-midi de juin.
Un orage d’une violence inouï, comme il y en a lors des étés de canicule. Derrière mon volant, je devais porter toute mon attention sur la route rendue glissante par le déluge.
Aussi, c’est avec un immense soulagement, que je franchis le portail de mon pavillon. Stoppant mon véhicule devant le garage, je courus vers la porte d’entrée, l’ouvrit rapidement la, pour me mettre à l’abri.
Comme je m’apprêtais à fermer derrière moi, j’aperçus une silhouette qui tentait de s’abriter tant bien que mal, sous le porche de la maison en face la mienne.
Reconnaissant Didier, le fils des voisins, essayant d’échapper aux trombes d’eau, je l’interpellais afin qu’il vienne s’abriter.
Dégoulinant de le tête aux pieds, le jeune garçon ne se fit pas prier pour se précipiter vers l’abri que je lui proposais.
Sans me soucier des traces qu’il laissait sur le carrelage, je l’emmenais à la salle de bains, et lui demandais d’ôter ses vêtements..
Hésitant au début, Didier dut se rendre à l’évidence, il ne pouvait rester dans cet état. Il se décida à se dévêtir, ne gardant que son slip, épargné par la pluie.
Je ne sens pas Didier gêné plus que ça, de devoir se déshabiller devant moi.
Je lui dis qu’il peut rester ainsi, que je vais l’essuyer.
Tout en attrapant une serviette éponge, je ne peux m’empêcher de remarquer le corps parfait du jeune garçon.
Surprise, je ressentais une étrange attirance pour ce jeune corps, encore imberbe. Je dus prendre sur moi même, pour m’arracher à cette vision.
Attirant l’adolescent ruisselant à moi, j’entrepris de le frictionner vigoureusement.
Je lui demandais si il avait longtemps qu’il était dehors, si ses parente étaient là.
Il me répondit que non, mais que sa mère devrait être là.
Le pauvre, s’il savait que sa mère était avec son amant, en train de se faire baiser.
Tout en interrogeant le garçon, je m’activais à lui frotter la tête, le torse musclé, dépourvu de tout poils. Je m’agenouille ensuite, pour continuer mon essuyage. Je passais la serviette sur le ventre de Didier, debout devant moi.
Alors que je frictionnais énergiquement le bas ventre, voila que mon poignet vint par inadvertance, frôler son sexe, tapi dans son slip. Toute à mon activité, je ne me rendis pas compte que cet effleurement avait de vicieux. Troublé et certainement gêné de se trouver à moitié nu, Didier baissa son visage vers moi, agenouillée à ses pieds. Je vis son regard plonger directement dans mon corsage, légèrement échancré. Par l’ouverture, il devait certainement voir un sein, alors que pour la seconde fois, ma main heurtait involontairement son sexe. Je voyais sa jeune virilité se déployer par saccades dans son slip. Toute occupée à mon labeur, je fis mine d’ignorer le que j’avais involontairement provoqué, chez le jeune garçon.
Je laissais descendre la serviette le long de ses jambes.
Je me surpris à éprouver un certain plaisir, à palper cette jeune chair.
Un étrange sentiment m’envahit. Un sentiment dans lequel un insolite désir charnel prédominait. Depuis une semaine, je me retrouvais seule la nuit dans mon lit, mon mari ayant du se rendre dans un congrès.
J’éprouvais toujours un impérieux besoin de sexe. L’âge n’avait en rien diminué mon envie de me faire baiser. Et voila que ce temps orageux qui sévissait dans la région, avait un effet pervers sur mes sens. Et mon mari n’étant pas là pour calmer mes ardeurs. Aussi, le fait de sentir les peaux ferme de mon jeune voisin, rouler sous mes doigts, ne faisait qu’accentuer le trouble sexuel qui m’habitait depuis quelques jours.
Puis je réalisais que je pourrais être la mère de cet adolescent, qui me faisait fantasmer.
Alors que je m’apprêtais à me lever, mon regard accrocha la bosse qui déformait son boxer. Cette découverte me stupéfia. Le tissu humide dessinait avec une précision absolue, la forme de la jeune queue virile, raide et gonflée. J’étais tellement stupéfaite, que malgré moi, je tentais dans mon esprit, de comparer ce que je devinais, avec ce que je connaissais.
C’est à dire, la bite de mon mari.
Avec émoi, je dus admettre que le jeune garçon possédait une virilité impressionnante, à laquelle j’essayais. de me soustraire.
Je le fis se retourner, mon esprit encore emplit par ce que je venais de découvrir, je me mis à sécher le dos de Didier, mais de manière plus douce.
Toujours perturbée par ce que venais de découvrir, j’entrepris de frotter avec légèreté les rondeurs fermes et dures. Un certain plaisir sensuel m’envahit à sentir cette jeune chair sous mes doigts. Aussi je m’y attardais plus longtemps que je n’aurais dû, me laissant gagner par cette euphorie perverse. Je me rendis compte que j’étais en train de m’exciter sur le corps d’un garçon qui aurait pu être mon propre fils.
J’abandonnais avec regret mon séchage, et lui proposais une boisson.
Tandis que je lui proposais un chocolat chaud, je lui demandais de finir de se sécher et se donner un coup de peigne.
Tout en préparant le chocolat, je m’interrogeais sur l’inexplicable désir qui m’avait submergé lorsque je m’étais rendu compte que celui que je considérais comme un gamin, avait eu une véritable érection d’adulte.
Je me surpris à vouloir contempler cette jeune virilité, qui je devinais importante. Malgré les efforts que je faisais pour repousser cette tentation perverse, mon esprit y revenait sans cesse, avec une telle insistance, qu’une douce chaleur enflammait mon sexe, sans que je puisse empêcher ma chatte de devenir humide.
«Tu es folle, me dis-je, ce n’est qu’un gamin qui pourrait être ton fils »
Moi qui avais toujours été fidèle à mon mari, me voila attirée par cet adolescent.
Le chocolat prêt, je tentais de chasser de mon esprit, mes envies sordides.
Lorsque Didier pénétra dans la cuisine, je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil en direction de son entre jambe. La situation était la même, et je pouvais deviner le mal être du jeune garçon.
Didier s’empressa de s’installer autour de la table, tandis que je demeura un instant debout, je décidais de m’asseoir à côté de lui. Collant ma cuisse contre la sienne, je pris plaisir à sentir contre ma chair, la chair chaude et douce du garçon.
Tout à sa dégustation Didier ne s’aperçut pas immédiatement du contact de ma jambe contre la sienne. Je ne pus réprimer un frisson sensuel, qui me parcourut tout le corps, quand je posais ma main sur sa cuisse. Sous le contact de ma main, Didier eu un long frémissement.
Profitant de son état, j’entrepris de frotter d’une main énergique la cuisse de l’adolescent, et lui demandais d’ôter son boxer. Je le rassurais en lui disant que lui et mon mari, avaient la même taille.
Je sentais Didier affolé à l’idée de se séparer de son dernier vêtement et découvre ainsi son érection toujours aussi vivace.
Faisant la sourde oreille, mais ne voulant surtout pas abandonner mon projet, je continuais de masser la cuisse du jeune garçon, en un lent et sensuel va-et-vient, partant du genou remontant jusqu’à l’entrecuisse.
Immobile, transformé soudainement en statue, Didier appréciait la caresse, qui par moment, comme par inadvertance venait frôler la saillie que faisait sa bite prodigieusement développer.
Un long frisson me parcouru, lorsque mes doigts heurtèrent la raideur encore cachée par le slip.
Ne pouvant contenir plus longtemps le désir insidieux que j’éprouvais j’abandonnais toute retenue, referma mes doigts autour de la rigidité qui m’affolait de plus en plus.
Ravie par la tournure que prenaient les événements, dont le désir qui se faisait de plus en plus tenace m’empêchait de me contrôler, m’empressais de mener le débat à ma guise.
Toute heureuse d’avoir pu mener à bien mes désirs, je refermais mes doigts autour de sa queue qui déformait le slip. Le cœur battant j’entrepris alors de branler la jeune bite qui m’affolait tellement...
N’en revenant pas, Didier se tendit en avant, offrant généreusement son membre à la sensuelle masturbation. Même si le tissu de son slip formait un écran entre mes doigts qui le branlaient et sa jeune bite en érection, jamais il n’avait dû ressentir un plaisir aussi fort. Le lui demandais s’il appréciait.
Qu’aurait-il pu répondre ? Que c’était réellement plus voluptueux que lorsqu’il se branlait lui-même, pressé de se faire jouir.
Moi qui en plus de vingt ans de mariage n’avait jamais trompé mon mari, même en rêve, je prenais un réel plaisir à branler un adolescent d’à peine dix huit ans…
Fixant le visage extasié de mon jeune voisin, je continuais ma sensuelle masturbation, accélérant progressivement le mouvement de mon poignet, tout en suivant d’un œil la monté du plaisir sur les trait de Didier. Mais lors d’un mouvement plus incisif de ma main le long de la colonne de chair, le slip glissa légèrement, laissant apparaître à mes yeux ébahis le gland dilaté du jeune membre. Médusée devant cette apparition, j’arrêtais ma branlette pour fixer incrédule le gland, qui tel un diablotin farceur avait jailli des profondeurs du slip.
Je ressentis au plus profond de mon corps bouleversé, une folle envie de cette jeune virilité. Mes sens en effervescence la réclamaient ! Il me la fallait. Je voulait la sentir frémir au creux de ma main ! Vibrer entre mes lèvres, écarter les chairs intimes de ma chatte ! S’enfoncer au plus profond de moi. Sans plus réfléchir, je me redressais le souffle court, et saisissant Didier par la main je le forçais à me suivre.
Le tenant par la main, tel un gosse qu’on mène à l’école, je l’emmenais à ma chambre où je le poussais sur la couche conjugale. Didier s’écroula sur le dos et demeura immobile, attentif à ce qui allait suivre.
Impatiente de découvrir ce jeune membre viril qui m’affriolait tant, je
grimpais à mon tour sur le lit.
Ayant perdue toute retenue, toute pudeur, impatiente de découvrir la queue virile de jeune homme, qui m’avait paru d’une taille plus que respectable, je fis glisser le slip.
Je me plaçais promptement à genoux entre les jambes écartées de ma jeune proie, les fesses reposant sur mes talons.
Incapable de dominer mes sens en émoi, mon sexe déjà fort humide par le désir qui consumait mes entrailles, je me penchais entre ses cuisses.
Délicatement, je posais mes lèvres sur le gland décalotté, le picorais de tendres baisers, le mordillant délicieusement.
Sous ces baisers légers, mais terriblement excitants, Didier poussa un gémissement où le plaisir se mêlait à l’impatience. Subitement, il entreprit d’agiter ses hanches, avançant son pieux au devant de mes lèvres.
Découvrant soudainement à quelques centimètres de ses yeux, sa jeune virilité à la peau rose et lisse, je ne pus résister plus longtemps à l’envie que j’avais de contempler enfin cette jeune virilité aux dimensions étonnantes.
« Quel morceau... comment cela est-il possible ».
Extrêmement troublée par l’apparition de ce calibre aux mensurations surprenante, je m’empressais de refermer mes doigts autour. Tout en contemplant avec curiosité ce long pieu de chair, je le pressais fermement, faisant ainsi gonflé le gland dilaté par l’afflux de sang. Jamais je n’aurais imaginé qu’un garçon de cet âge, qui à mes yeux n’était encore qu’un gamin, puisse être pourvu d’un membre de cette taille. Serrant la jeune virilité que je sentais palpiter doucement dans ma paume, je tentais de la comparer à celle de son époux…je dus me rendre à l’évidence. Celle de mon mari était dans la normale, sans plus, tandis que celle de Didier était hors norme, plus longue, et plus épaisse. De ma main refermée dépassait largement le gland boursouflé, légèrement violacé par l’extrême désir qui le gonflait, et au centre duquel s’ouvrait le minuscule orifice du méat.
Admirative, je me demandais quel effet pouvait ressentir une femme lorsqu’un membre de cette taille venait lui enfiler la chatte. Un frisson sensuel me traversa à cette pensée. Lorsque mon mari, dont la bite était nettement moins longue que celle que je tenais en main, me pénétrait, il me semblait qu’il me comblait, qu’il me remplissait entièrement. Comment imaginer que ma chatte, pourrait absorber ce calibre à la longueur prodigieuse.
Le désir que je ressentais depuis le moment, s’accentuait un peu plus dans mes entrailles. Mais c’est surtout l’absence de tous poils pubiens du garçon qui m’excitaient le plus. Comme ce dernier avait les jambes largement écartées, je pouvais admirer les couilles pleines et lisses comme une peau de bébé.
Affolé par cette main féminine qui étreignait son sexe, mais qui demeurait par trop passive à son goût, Didier agita doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber lui même.
Comprenant l’impatience de mon jeune voisin, je me penchais alors sur le membre viril que je tenait en main, et le salivais abondamment. Alors seulement, je commençais à agiter ma main refermée, de bas en haut, en un mouvement alternatif. Recouvrant le gland dilaté à l’aide du prépuce mobile, je repoussais aussitôt celui-ci le plus loin possible sur la base de la queue, décalottant totalement l’extrémité arrondie de la bitte.
Le regard fixé sur le visage de mon jeune voisin, afin d’y guetter la monté du plaisir, j’agitais longuement ma main, en une lente mais sensuelle masturbation.
Ressentant une volupté insolite, mais terriblement émouvante à masturber cet adolescent, je continuais à faire longuement coulisser ma main le long de la bite qui se redressait de toute sa puissance. Par moment je me penchait sur mon œuvre, pour mouiller le gland, rendant ainsi la caresse plus fluide, plus sensuelle. Jamais je n’avait éprouvé ce genre de jouissance à branler mon mari. C’était comme si j’étais redevenue adolescente. Je retrouvait les mêmes émois qu’à l’époque où dans la pénombre d’un cinéma, je caressais la queue d’un de mes premiers flirts.
Aussi excitée que mon jeune voisin que je voyais se tordre et haleter sous l’affolante branlette que je prodiguais à son membre prêt à exploser, je fus prise soudain d’un incroyable désir.
Cette situation ne fit qu’aggraver encore le trouble érotique qui m’habitait et qui me chauffait les reins. Ma main se fit plus légère autour de la jeune bite extrêmement tendue, tandis que mes ongles griffaient délicatement les couilles pleines et durcies, que l’absence de tout poils rendait encore plus aguichantes.
Il est clair que j’étais la première à le caresser ainsi, et le plaisir que je lui apportais devenait de plus en plus intense. Je le calmais en lui disant que nous avions tout nôtre temps.
Et c’est vrai que du temps, j’en avais. Jacques mon mari étant en séminaire ne rentrerait que vendredi soir, idem pour René mon fils, qui interne dans un collège.
Suite à ces explications, Didier se crispa éperdument, tentant désespérément de retenir l’éjaculation qu’il sentait prête à jaillir de sa bite palpitante. Aidé par l’étranglement que je lui pratiquais à son gland dilaté, il réussit avec beaucoup d’efforts à refouler le jaillissement qu’il sentait imminent. Toujours agenouillée entre les jambes de mon jeune partenaire, je ne relâchais la pression autour du membre palpitant que lorsque je sentis Didier cessait de frémir entre mes doigts. C’est à ce moment que je lui demandais s’il voulait que je le suce. Bien évidemment, il accepta.
Oubliant mon état d’épouse fidèle, me refusant de voir en cet adolescent au sexe impressionnant, un gamin dont j’aurais pu être la mère. Je me penchais de nouveau sur le merveilleux membre dressé. Émue à l’idée que j’étais la première à prendre en bouche cette jeune queue, je l’aspirais lentement, goûtant avec ivresse ce moment magique. Du fait de la longueur extraordinaire de ce sexe, je ne réussis, malgré le désir que j’en avait, à en avaler qu’une partie. Mes lèvres atteignirent les trois quarts de la bitte dressée, lorsque que le gland vint me heurter la glotte, m’obligeant à stopper l’avancée dans ma bouche. Sentant ce fourreau chaud et humide lui enserrer la bite, Didier dut éprouver un tel plaisir qu’il se cambra, en laissant échapper un gémissement. Complètement affolé par la douceur de cette caresse nouvelle pour lui, il recommença à s’agiter, lançant de plus en plus furieusement son bassin en avant, à la rencontre de ma bouche, qui lui offrait un tel bien-être.
Surprise par la violence des coups de reins de mon fougueux partenaire, je dus lui saisir les hanches et le maintenir fermement sur le lit afin de pouvoir le sucer à mon aise. Mais sous la succion à laquelle j’apportais tout mon savoir, Didier, gémissant de plus en plus intensément, continua à s’agiter convulsivement. Si bien que je dus relâcher le membre viril qui venait me frapper violemment le palais. Je lui demandais s’il aimait.
A sa réponse, je lui demandais de me laisser faire, que le meilleurs restait à venir.
Didier allait enfin connaître les sensations que peut donner une bouche de femme autour d’une queue...sa queue. Que de fois il avait dû en rêver le soir, seul dans son lit, avant de s’endormir.
Replongeant mon visage sur la bite de mon jeune amant, je repris ma fellation. Dans un lent hochement de tête, j’entrepris de faire coulisser mes lèvres humides le long du calibre. Sachant pertinemment que ma jeune victime se trouvait au bord de la jouissance, et qu’une fellation par trop rapide allait irrémédiablement l’amener à l’orgasme final, je me mis à le sucer lentement afin qu’il ne décharge pas trop vite. Je désirait que l’adolescent connaisse pour sa première pipe, une extase qui le marquerait à vie.
Je savait combien cette caresse affolait l’homme qui en était victime.
Didier n’échappait pas à cette règle, qui le corps arqué tendait désespérément sa virilité à la rencontre de ma bouche.
Tout en m’activant avec dextérité sur le jeune membre dans une sensuelle fellation, Je m’évertuais à caresser d’une main habile les deux énormes couilles, à la douceur d’une peau de nouveau né, pinçant délicatement les noyaux durcis qui s’y cachaient.
Sous ces différentes caresses terriblement affolantes, Didier ne tarda pas à se tordre sur la couche conjugale.
Cependant, le fait de sucer ainsi ce jeune sexe à la peau si douce, ne tarda pas à accroître encore le désir qui m’habitait depuis que j’avais découvert la sexualité de mon jeune voisin.
Une véritable source avait pris naissance au plus secret de ma féminité et s’échappait de ma chatte, inondait l’entrejambe de ma légère culotte.
Didier, ne sachant qu’elle attitude adopter devant l’imminence de son orgasme, tenta de me prévenir de sa future éjaculation.
Comprenant le trouble que ma jeune victime pouvait ressentir, je resserrais vivement mes doigts autour de la partie du membre qui se trouvait hors de ma bouche et accélérais, et ma masturbation, et ma fellation, pressée d’amener enfin l’adolescent à l’ultime jouissance.
Prisonnier de ma bouche avide, incapable de résister à l’affolant plaisir qui lui crispait le ventre, Didier cessa de lutter. Et alors que tout son corps se tétanisait, il ne put retenir le jaillissement libérateur. Dans un long cri de volupté il lâcha sa semence virile en se tordant convulsivement sur le lit, tel un ver de terre coupé en deux.
Bien que m’attendant à recevoir les puissants jets que l’adolescent n’allait pas manquer de m’offrir, je demeurais sidérée par la force de l’éjaculation et par la quantité importante de sperme que chaque giclée m’envoyait dans la gorge. Comme l’énorme gland tressautant se trouvait niché au plus profond de mon gosier, je n’eus qu’à laisser le liquide séminal glisser dans ma gorge avant de l’avaler pour ne pas m’étrangler, et risquer de recracher le précieux nectar.
Didier, le corps arqué, pétrifié, jouit longuement par giclées répétitives. Jamais, lors de ses masturbations solitaires il n’avait dû lâcher une telle quantité de sperme.
Ingurgitant précipitamment les longues salves du délicieux nectar au goût âcre, je ne pus m’empêcher de songer que jamais je n’avais avalé une telle quantité de jus en une seule fois. Jamais mon mari ne m’avait ainsi abondamment abreuvé de sa semence intime.
Ce n’est qu’après de longues minutes que le débit diminua enfin. Le gland cracha encore quelques gouttes, puis la source se tarit totalement. Je n’en continuais pas moins de sucer et lécher tendrement la queue qui lentement perdait de sa raideur.
Soudain, mon téléphone se mit à vibrer...mon mari. Comment lui répondre avec ce que j’avais dans la bouche...je le rappellerais.
D’autant que l’abondance de sperme qui s’était répandu dans ma bouche et que j’avais du avaler avait déclenché à l’intérieur de mes entrailles un mini orgasme, qui m’empêchait de répondre. De ma chatte, un véritable torrent de cyprine avait jailli.
Le désir me travaillait toujours, malgré le furtif orgasme, au moment ou Didier a joui. Je m’allongeais sur le flanc à coté de lui.
Me penchant sur lui, j’entrepris de le regarder avec tendresse, lui caresser le visage, Il venait de s’assoupir.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : rencontre avec mon jeune voisin

Le 06/11/2022 - 17:55 par DBHB24
Très belle initiation au sexe avec cette fellation...
Le 02/11/2022 - 21:18 par OlgaT
Voilà une belle façon d'instruire la jeunesse!

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