Une mère et sa fille

C’est par une belle journée de Juillet que Morgane, une amie de longue date m’a invité dîner chez elle. Suite à une vie de couple chaotique, elle avait divorcé depuis pas mal d’années. Sa fille Emma, une jeune femme de 18 ans, un peu frivole, est restée vivre chez sa mère.
J’avais fait les 400 coups avec Morgane, inséparables comme les doigts de la main, je l’avais soutenue dans les blessures de sa vie d’épouse, souvent battue par son mari, souvent trompée, elle n’était pour lui qu’une vulgaire potiche à entretenir la maison. J’avais toujours entretenu des sentiments ambigüs pour elle, une brune aux cheveux longs, des yeux noirs profonds, maquillée juste ce qu’il faut pour faire ressortir son visage d’ange et ses lèvres pulpeuses. Aussi, quel était mon bonheur de partager un repas avec elle, libérée de toutes contraintes matrimoniales. Savoir qu’elle était libre comme l’air me rendait euphorique, esquissant un espoir de la conquérir.
J’arrivais donc chez Morgane avec une bouteille de vin et une autre de champagne à la main. Elle m’accueillait comme à son habitude, les bras ouverts, le sourire aux lèvres. Vêtue d’un tailleur bleu marine, une chemise en dentelle blanche légèrement ouverte, des talons aiguilles noires, elle était loin de me laisser indifférent. D ‘ailleurs mon regard promenant sur tout son corps exprimait mon trouble. Sa fille nageait dans la piscine. La table était déjà installée. Elle me présenta une chaise, me servit un verre et s’asseya à mes côtés. Je ne pus m’empêcher de planter mes yeux sur ses jambes si bien dessinées. Je ne sais pas si c’était la chaleur de cet été là, mais j’avais des sueurs qui coulaient sur mon front. Elle leva son verre pour trinquer avec moi et s’écria :
- A nous
J’en profitais pour l’informer que je la trouvais élégante, et irrésistible et que si je n’étais pas son ami, j’aurai envie de suivre mes chaudes pulsions.
Elle souriait et me rétorquait que depuis son divorce, elle s’était métamorphosée, et qu’elle n’était plus la petite fille candide et innocente de l’époque. Dispensée pendant tout son mariage de sexe car son époux préférait aller voir ailleurs, elle s’était rattrapée à présent. Et accompagné d’un clin d’œil, elle ajouta :
- Je te trouve charmant aussi avec tes yeux bleus expressifs qui me donnent des frissons, et si aujourd’hui tu oublies que tu es un ami, je ne t’en voudrais pas.
Puis elle appela sa fille pour venir trinquer avec nous.
Emma sortit de l’eau. Je découvris ses jolis petits seins en forme de poire dont les tétons pointaient et à mon regard stupéfait et admiratif, elle comprit qu’elle devait m’apprendre qu’elle aimait le monokini, et qu’elle faisait même du naturisme avec sa mère. C’était une surprise agréable pour moi qui n’aurait jamais pensé que Morgane était capable de cela. Et Morgane rajouta :
- Viens-là ma chérie. On va lui montrer qu’on se ressemble beaucoup.
Emma s’approcha de sa mère, plaça son visage à côté de celui de Morgane.
- Tu as vu, fit elle.
- C’est vrai répondis-je, vous avez les mêmes yeux, la même chevelure noire bouclée.
- Attends, tu n’as pas encore tout vu dit Morgane.
Elle dégrafa sa chemise pour l’enlever et je découvris alors une poitrine sans soutien-gorge, d’une dimension similaire à celle de sa fille.
Décontenancé mais ne voulant pas le paraître, j’avançais une petite remarque :
- C’est vrai que vos seins se ressemblent mais les tiens Morgane sont en forme de pommes.
- Oui, et tu crois que cela change ta sensation au toucher ?
- Ben…
Elle m’interrompit et saisit ma main pour la porter sur ses nichons.
- Allez caresse-les, après caresse ceux de ma fille et donne moi ton avis !
Quelque peu désemparé, mais néanmoins très satisfait de la tournure des évènements, j’en profitais, l’excitation gonflant mon entre jambe.
- Tu sais, je ne suis plus la Morgane que tu connaissais. Je crois que j’ai trop été privé avant, et maintenant, je veux me rattraper. Je sens en moi un appétit sexuel énorme et figure-toi que je suis prête à découvrir plein de nouvelles choses. Et entre autre, j’ai gouté à la bisexualité, et j’ai adoré. Je te donne en mille avec qui ?
- Ben…
je m’essuyais le front, déstabilisé, j’étais un peu perdu dans tout ce que Morgane m’apprenait. Cela faisait beaucoup en peu de temps.
- Je ne sais pas.
- Ne sois pas mal à l’aise, je t’en prie. On n’est que de passage. Suffit de s’embarrasser de principes, faut supprimer les tabous et se lâcher, et moi, je me suis lâché avec ma fille ! C’était dans un camp naturiste la première fois. Nous étions ensemble sous la douche. Je lui ai proposé de lui passer son gel douche. Quand mes mains promenaient sur tout son corps, j’avais des frissons. Je me suis aventuré vers son intimité car j’avais en moi une pulsion que je ne pouvais pas refouler. Au début, elle a été réticente. Mais elle n’ignorait pas le courant électrique qui parcourait sa peau au contact de mes mains. Elle a approché ses lèvres des miennes, les as déposé timidement dessus. J’ai ouvert ma bouche pour lui glisser ma langue et c’est à partir de ce moment-là que nous nous sommes laisser entrainer par notre vertige.
Elle alluma la musique et collée à sa fille, elle entama un slow des plus sensuels. Sur le rythme de la chanson, elle fit glisser le string de sa fille qui tomba au sol. J’aperçus une chatte entretenue qui s’exhiber devant moi pour mon plus grand plaisir. Il se traduisait par une forme arrondi entre mes cuisses qui appuyait fortement sur mon pantalon. Je décidais alors de l’enlever pendant qu’Emma détacha la jupe de sa mère m’offrant le spectacle de son intimité assez touffue.
De son index, Morgane m’invita à les rejoindre. Nu comme un vers, j’eus la chance de danser à trois dans une ronde érotique qui m’excitait. Nous nous caressions mutuellement, nous embrassions à pleine bouche à tour de rôle. Mon sexe raide plaqué contre leur corps, mon désir était à son paroxysme. Quand la musique stoppa, Morgane me convia à poursuivre nos échanges dans sa chambre. Je me laissais entraîner dans mes chaudes envies charnelles sans mot dire. Bien qu’entreprenant d’habitude, je m’en tenais qu’à suivre les demandes de Morgane qui me demanda de m’allonger sur le lit. J’avais le sexe au garde à vous. Elle me chevauchait et cambrait ses reins pour monter et descendre comme le ferait la plus chevronnée des cavalières. Sa fille vint se placer sur mon visage, prenant soin de poser sa chatte humide sur ma bouche. Pendant que je triturais les tétons durcis de Morgane, je mangeais la chatte mouillée d’Emma qui soupirait. Ma langue s’attardait sur son clitoris dur que j’aspirais. Je croyais faire un rêve lubrique tant cela me semblait incroyable. C’était aussi si merveilleux. Je n’avais jamais éprouvé un énivrement aussi intense. Quand au bord du supplice, le jus de mon extase allait surgir, Emma m’inonda la bouche de sa cyprine. Morgane stoppa net ses mouvements de hanches et s’allongea près de moi. Je me demandais pourquoi elle avait interrompu subitement mon plaisir qui allait jaillir. Elle me répondit qu’à présent, il fallait changer les rôles. Avec un sourire lubrique, elle écarta les cuisses à fond et demanda à sa fille de dévorer son bijou intime qui avait besoin d’une bonne langue. Emma ne se fit pas prier. Elle commença une dégustation passionnelle de la chatte trempée de sa mère dont les cris montaient au plafond. J’avais une vue d’ensemble des plus attrayantes. Le cul bombé d’Emma me narguait. C’est comme s’il me parlait. J’ai imbibé mon majeur de ma salive, l’ai introduit dans son anus. Puis, je l’ai prise en levrette pendant qu’elle taquinait le clitoris proéminent de sa mère.
C’est dans un final en chœur que nous avons abouti à un orgasme mutuel.
Morgane alors m’a fixé de son regard noir pour me demander si j’avais été comblé. Que lui répondre si ce n’est que je n’aurai jamais envisagé une telle métamorphose de sa part. S’apercevant de mon aphasie, elle insista. Je lui répondis que j’étais vraiment heureux qu’elle ait divorcé.