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Rencontre avec une cougar 2

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Lue : 1311 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/09/2015

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Presque aussitôt, la porte s'ouvre et une beauté sauvage apparaît devant moi. Maria est assez grande, presque ma taille (1m80). Elle est vêtue d'une robe bleue nuit très sexy, courte et s'arrêtant moins de 10 cm sous l'entrejambe allant de paire avec des talons aiguilles. Ses seins sont comme sur les photos : épais, lourds, désirables, largement visible avec le gros décolleté de la robe. Son visage est très harmonieux, avec de grandes prunelles noires, un sourire éclatant, des lèvres pulpeuses (que je ne peux m'empêcher d'imaginer sur mon sexe). Elle a de grandes boucles d'oreilles dorées en cercles, légèrement recouvertes par ses cheveux très noirs et un peu frisés. Elle est plutôt fortement maquillée, ce qui me dérange en général, mais dans une relation purement sexuelle, ça m'excite en donnant une touche de vulgarité.

Aussitôt, elle m'invite à entrer après m'avoir fait la bise en me caressant l'épaule. Elle referme la porte et tandis que je m'avance dans le vestibule, je sens sa main me peloter fermement les fesses. Un peu surpris, je rigole et dis : « Alors elles te plaisent ? » Elle part d'un rire franc et naturel et réponds avec son léger accent africain, tout en me matant de haut en bas : « J'adore les fesses fermes des petits jeunes mon coquin. Je sens qu'on va bien s'entendre toi et moi. »
Je suis mis en confiance et commence à m'accoutumer au lieu. C'est une maison propre et bien rangée, remplie de divers bibelots, venant sans doute de multiples voyages. Elle m'indique la salle à manger où la table a déjà été préparée.
Elle remplit deux coupes de vin blanc, nous trinquons et discutons de choses et d'autres. Le repas est une salade composée, qui est très bonne. Je la complimente et elle me réponds avec un regard appuyé et plein de confiance en elle : « Mieux vaut manger léger. C'est plus facile pour baiser comme des bêtes ». Je rigole bêtement et sens l'excitation grimper en moi. Une part de moi continue à se demander si tout ça est réel.
Une question me taraude depuis l'arrivée :  « Votre mari ne risque pas de rentrer ? »
- Aucun risque ! Quand bien même ça devait arriver, il est au courant ne t'en fais pas. Nous aimons tous les deux les jeunes et on baise aussi chacun de notre côté. Et je vais bien te baiser Simon, ne t'en fais pas... » En disant ses paroles, je sens son pied nu, délesté de sa chaussures, qui remonte le long de ma cuisse sous la table et vient malaxer mon pénis qui commence aussitôt à durcir sous le jean. Elle se penche en avant, m'offrant une vue incroyable sur ses deux gros seins et me susurre en me fixant dans les yeux : « Tu aimes la fellation petit cochon... ? » Je parviens à balbutier un « oui », le souffle coupé par l'excitation. Alors, lentement, elle repousse sa chaise, se glisse à 4 pattes sous la table et s'approche de moi. Je vois sa crinière entre mes cuisses. Elle commence par caresser très doucement mes cuisses, mes fesses, par dessus le pantalon. Puis ses mains se dirigent vers mon sexe, qui tend la toile du jean à la rompre. Elle me le touche en me regardant dans les yeux puis elle dit d'une petite voix innocente : « Il a l'air bien malheureux celui là, il faudrait le libérer qu'en dis tu ? ». Aussitôt, elle enlève lentement ma ceinture puis déboutonne un à un les boutons de ma braguette, et se retrouve face à face avec mon caleçon sous lequel une grosse bosse s'est formée. Elle se penche sur mon sexe et l'embrasse à travers le tissu, ce qui m'excite énormément. Elle m'embrasse même les couilles, les fesses. Je n'en peux plus. Je ne souhaite qu'une chose : qu'elle m'enlève ce caleçon et fourre ma bite dans sa bouche. Je lui dis, suppliant : « Suce moi s'il te plait... »
Elle rigole alors et abaisse mon caleçon jusqu'aux chevilles. Mon membre viril se dresse ; il est bien large et bien dur, mesurant presque 20 cm de hauteur. La nature m'a gâté.
Très doucement, elle embrasse mon gland. Je sens ses lèvres chaudes qui se pressent et sa langue qui commence à me titiller. Avec une infinie lenteur, elle commence à me lécher la bite de haut en bas, s'attarde sur mes couilles.
Tout en me caressant les fesses d'une main, Maria commence à me sucer proprement dit : mon pénis disparaît entre les rouleaux pulpeux de ses lèvres et la voilà qui commence à descendre de plus en plus rapidement de haut en bas. La caresse de sa langue jointe à ce mouvement m'envoie au 7ème ciel. Quelle experte ! Jamais je n'avais été sucé de cette façon. Sa langue tourbillonne sur mon gland, lèche mon frein. Elle pompe mon gland de toute ses forces comme si elle voulait que le sperme en jaillisse plus vite. Elle est toujours sous la table, ce qui est très excitant. Je sens sa salive dégouliner le long de ma bite, coulant sur mes couilles et rejoignant ma raie. Je caresse ses cheveux légèrement frisés et mes doigts s'agrippent à ses boucles tandis que je me laisse aller en arrière et ferme les yeux, gémissant doucement sous l'effet de cette bouche folle de sexe.
La voilà qui commence à gober mes couilles à présent, tandis que sa main branle ma hampe d'une façon énergique. Elle me lèche les fesses, remonte sur ma bite. Sa main s'aventure près de mon anus qu'elle titille doucement ; on ne m'avait jamais fait ce coup là ! Un peu gêné, j'essaie de m'écarter. Elle s'en aperçoit et me plaquant avec force, insiste au contraire. Et, tout en me suçant comme une reine, elle bave sur son index qu'elle enfonce fermement dans mon anus ce qui me surprend mais m'enivre d'une jouissance incomparable. Alors, elle continue sa fellation et me triture le cul en même temps. Je me laisse aller au plaisir : après tout, je suis venu pour découvrir de nouvelles choses de la part d'une experte non ?

Bientôt, je sens que la jouissance est proche. Je la tire doucement par les cheveux et ôte sa tête de mon membre dégoulinant de salive. Je l'emmène vers le salon, dont le sol est recouvert d'un épais tapis de fourrure. Là, je la plaque au sol, relève sa petite robe courte et découvre de beaux bas sous lesquels je peux voir son intimité, sans culotte, plaqué contre le sous vêtement. La salope... Pris d'une pulsion, je crache sur sa chatte à travers le fin tissu du bas, et je commence à la toucher, à l'embrasser, à la lécher même à travers le sous vêtement, ce qui lui tire des gémissements.
J'arrache ses bas, tirant dessus avec force, fou de désir. Je vois sa grosse chatte bien rasée, avec juste un peu de poil au dessus de son trou d'amour. Elle a de grosses lèvres, bien épaisses, qui scintillent déjà de mouille. Ses cuisses sont elles aussi épaisses mais ferme. Je me penche sur sa chatte, je l'écarte avec mes doigts et aussitôt je la lèche : ma langue pénètre son vagin, remonte jusqu'au clitoris, le triture avec fougue, le suce et le maltraite. Je fais des va-et-vient, en appuyant intensément. Maria s'agrippe à mes cheveux et au tapis tout en se tordant de plaisir. Elle lance des « bouffe moi la chatte » et des « lèche moi bien petit salaud » qui ne font que redoubler mon excitation.
J'écarte ses fesses en profitant du spectacle : une belle rondelle noire, nette et sans poil. Je suce mon index pour le lubrifier, le fais sucer à Maria et aussitôt l'introduit fermement dans son cul tout en continuant mon cunni sur sa chatte à présent bien dilatée qui jute sur tout son cul gras. Je me mets à pilonner son petit trou avec mon doigt, sans délicatesse, mais je sens qu'elle apprécie cette sauvagerie car elle se trémousse de plus en plus et pousse elle-même avec ses fesses pour enfoncer mon doigt dans son anus. Cela dure depuis 20 minutes ; je suis en train de sucer son clitoris quand ses longs ongles vernis s'agrippent à mes cheveux et qu'elle jouit puissamment, cambrée à l'extrême sur son tapis. Je sens son anus se refermer par saccade sur mon doigt. Pas peu fier de moi, une fois l'orgasme passé, je lui dis de se mettre en levrette, à genoux les seins posés sur le canapé. Elle s'exécute immédiatement. Je fais sortir ses gros seins de la robe qui les emprisonne. Ses gros tétons noirs pointent et ses miches sont très fermes.
Avec ma main, je cambre ses fesses et d'un coup, je m'enfonce dans sa chatte bien dilatée, ce qui lui tire un cri aigu de plaisir. Alors, sans relâche je la pilonne, tiraillant ses seins, maltraitant la pointe de ses tétons, tandis que mon membre s'enfonce profondément en elle et que la mouille dégouline sur ses cuisses. Je l'oblige à lécher mes doigts, tire ses cheveux en arrière, tandis que je la baise, cette belle femme de 43 ans, moi qui n'en ait que 20. Je crache sur son anus et très vite je réintroduit un doigt que je fais aller au même rythme que ma bite, l'enfonçant sans ménagement très profondément. Après quelques minutes, elle me repousse, me plaque à son tour sur le tapis et murmure : « Maintenant, je prend les choses en main jeune salaud».
Elle s'accroupit sur moi, ses gros seins pendant à quelques centimètres de mon visage. Son regard est de braise, sa respiration haletante. Elle empoigne mon pénis bien dur et commence à se titiller l'anus avec. Puis petit à petit, elle s'enfonce dessus, faisant entrer mon engin centimètre par centimètre, son visage levé au ciel, les yeux fermés par la concentration. Quel bonheur de sentir ma bite pénetrer ce petit trou ! C'est tellement serré mais si agréable ! Je vais l'enculer à fond, voilà ce que je me promet !
Pas besoin d'agir : en un rien de temps, la voilà qui a fait rentrer les 20 centimètres de mon membre dans sa rondelle. Elle se penche en avant sur mon torse et, avec cet art qu'ont seules les africaines, commence à ne bouger que son gros cul gras de haut en bas, faisant pénétrer lentement toute la longueur de ma bite dans ses entrailles. Tout en l'enculant, je mordille et torture ses gros tétons noirs avec ma bouche et mes mains. Je lui donne de méchantes fessées et lui tire les cheveux.
Je continue à la sodomiser sans ménagement pendant de longues minutes. Puis je sens que je vais bientôt éjaculer. Elle doit le sentir aussi, l'entendre à mes gémissements de bonheur car elle accentue encore la pression de son cul sur ma bite, et contracte même ses fesses pour augmenter le frottement. Je vois cette grosse cochonne se toucher la chatte en même temps avec ses doigts bien vernis, les yeux fermés par le plaisir.
Soudain, je m'agrippe à ses miches, pinçant fortement ses tétons, et enfonce ma bite dans son cul jusqu'à mes couilles : j'éjacule avec force, inondant ses entrailles de mon sperme, tandis que Maria jouit en tressautant sur mon sexe très dur. Après cette éjaculation, elle se retire, se met à quatre pattes et me tourne le dos, le cul bien levé. Elle tire sur ses fesses de chaque côté avec ses mains, dégageant sa rondelle bien visible. « Regarde moi tout ce sperme, me dit elle. Tu ne m'as raté gros cochon !!». C'est très excitant de voir ma semence couler lentement de son anus dilaté, se répandant sur ses cuisses et sa chatte rose ouverte.
« Bien maintenant, il faut se nettoyer mon petit. Approche donc par ici ». Obligeamment, je tend mon sexe encore dur, luisant de mouille et de sperme. Elle le prend doucement en bouche, et, de ses grosses lèvres, prend soin de le nettoyer, aspirant chaque goutte de semence avec application.

Je suis encore sous le choc de cette expérience incroyable. Nous nous rhabillons tranquillement, pendant qu'elle commente cette baise « C'était vraiment très bien Simon », « Tu m'as sacrément ramoné les trous, ça soulage ».
Je lui dis qu'elle est vraiment très bonne à baiser et que me taper une femme plus vieille, ça n'a pas de prix. Elle rigole de ma fougue et me dit que ses trous accueilleront encore ma bite avec plaisir.

Nous buvons un dernier café, entièrement rhabillés et détendus. Puis elle me raccompagne à la porte et me dit : « Si ça t'as plu, j'ai d'autres projets pour toi mon coquin. Il serait égoïste de ma part de te garder pour moi toute seule.... »
Sur ces énigmatiques paroles, elle m'embrasse et me laisse m'en aller, plein d'envie pour la suite.
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Histoire de Ehros

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