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Rencontre imprévue

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Lue : 5365 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/03/2017

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Ce jour-là, en montant dans le tram, je repère une place assise, face à une jeune femme qui a la tête baissée. Je m’assois et, alors que le tram démarre, je l’entends sangloter. Je ne peux m’empêcher de lui adresser la parole, lui demandant si elle a besoin d’aide. Est-ce ma voix, sont ton ou sont-ce mes mots ? Toujours est-il qu’elle relève la tête et, entre deux sanglots, me dit qu’elle n’a pas besoin d’aide mais qu’elle en a marre des cons. Je me penche vers elle pour mieux l’entendre et ne pas avoir à parler fort dans un lieu public.
• « Quels cons ? Vous a-t-on fait du mal ?
• Un garçon. Un de plus…
• Que vous a-t-il fait ?
• Ce que font tous les autres.
• Et que font-ils ?
• Ils font les gentils, ils vous disent qu’ils vous aiment mais, en fait, ce qu’ils veulent c’est coucher avec vous. Et si je dis non, c’est non ! »
Nous avons poursuivi sur ce ton mais elle avait arrêté de pleurer. Quand je me suis levé pour descendre, elle s’est aussi levée. Je lui ai alors proposé de lui offrir une boisson en terrasse pour profiter du soleil et discuter. Ce fut son premier sourire. Assis ensemble, elle m’a confié qu’elle venait de quitter son copain pace qu’il voulait coucher avec elle sans s’engager. Cette jeune femme de 22 ans (18 ans de moins que moi), Aurore, ne voulait pas de relation sexuelle non sérieuse ; en fait elle en avait peur et ne connaissait rien en la matière. Terrasse en ville, soleil de printemps et chocolat chaud lui permirent de repartir ½ h plus tard rassérénée et souriante ; j’ai même eu le droit à un bisou non demandé. Cet intermède m’avait bien retardé mais aussi rendu heureux : quel plaisir de faire sourire une jolie jeune fille.

Quelques jours plus tard, sur la même ligne mais dans l’autre sens (je rentrais chez moi), alors que j’étais assis concentré sur une partie de sudoku, un gentil bonjour m’interrompt ; je lève la tête et découvre, assise à côté de moi, Aurore pimpante et souriante : tee-shirt rose pâle pas trop ample mais veste kaki plus cachante surmontant un jean délavé mais non déchiré, petites chaussures à talon bas mais existants. Tout de suite nous entamons la conversation et elle tient à me dire que je lui ai fait beaucoup de bien. Aussitôt dit, elle tourne la tête et me fait un bisou sur la joue. Elle me demande ce que je fais et je lui réponds que je rentre chez moi. Elle me dit qu’elle s’arrête à la station X (juste avant la mienne) car elle va s’acheter des vêtements. Puis, sans que je sache pourquoi, elle me demande si je ne veux pas l’accompagner pour lui donner mon avis. Je proteste mais elle insiste. N’ayant pas de projet précis, j’accepte.

Première boutique. Elle essaie des jeans que je trouve plutôt affligeants, usés avant d’être achetés et ne la mettant pas en valeur. Je finis par lui trouver un faux jean gris satiné et moulant qu’elle accepte essayer. Son corps ressort superbement. Pour lui en faire prendre conscience, je lui amène un haut noir brillant très flou mais au décolleté prononcé. Elle l’enfile sans refermer le rideau et je la découvre en soutien-gorge uni type coque ne mettant pas les seins en valeur sauf à leur donner un volume dont elle n’a pas forcément besoin. Elle a visiblement du mal à accepter son corps, à s’estimer belle. Je lui accorde que son soutien-gorge n’est pas adapté à ce haut mais que l’ensemble lui va superbement. Elle m’écoute et l’achète puis m’entraine vers une nouvelle boutique. En prenant un air mutin, elle me dit qu’elle va acheter des sous-vêtements.

Arrivés dans la boutique de sous-vêtements, elle commence par choisir un nouveau soutien-gorge coque et part en cabine l’essayer en me disant de la suivre. Personne n’étant dans les cabines, elle laisse le rideau ouvert et me tourne le dos pour changer de soutien-gorge. Le nouveau est joli, un peu plus échancré mais n’a rien de vraiment sexy ; je le lui dis et elle fait la moue. Retour dans les rayons. Elle veut 3 culottes pour aller avec le nouveau soutien-gorge ; elle commence par prendre la culotte classique ; je l’encourage à essayer tanga et string. Puis je lui montre un superbe soutien-gorge bleu pâle tout en dentelle qui devrait magnifiquement ressortir sur sa peau plutôt sombre mais non foncée et aller avec ses cheveux châtain clair. Elle fait la moue mais le prend ainsi que le string et les deux tangas que je lui tends. Retour en cabine, mais le rideau est fermé et je n’ai pas le droit de la voir. Elle achète le tout et me dit, en sortant, que c’est plus osé que ce qu’elle n’a jamais porté et qu’elle n’est pas certaine d’arriver à le mettre sans se sentir nue.
Comme nous sommes à deux pas de chez moi, je l’invite à prendre un thé. Nous voici donc installés. Elle sort ses achats et je l’aide à couper les étiquettes. Puis je lui dis qu’elle devrait mettre sa nouvelle tenue avec les sous-vêtements que je lui ai choisis. Je n’ai pas le temps de lui proposer d’aller se changer dans une chambre qu’elle est déjà en train de se déshabiller… Je la laisse faire et admire, de dos. Elle change de soutien-gorge et enfile le haut ; comme elle s’apprête à enfiler le pantalon, je lui dis qu’elle doit le porter avec le string assorti. Elle a un instant d’hésitation puis baisse sa culotte en me révélant un très joli postérieur ; elle enfile le string en faisant attention à ne pas trop écarter les jambes. Lorsqu’il est enfilé, je lui dis que ça lui fait de très jolies fesses. Elle ne répond rien et met le pantalon. Je lui fais alors remarquer qu’elle est vraiment superbe, que ce décolleté et ce soutien-gorge mettent sa silhouette en valeur et ne font pas ‘’femme nue’’ et je l’emmène devant une glace pour qu’elle s’admire. Là, elle me dit que c’est joli mais qu’elle ne pourra guère le mettre pour sortir de peur qu’un courant d’air ou le froid fassent pointer ses seins. Je lui assure qu’on ne le verra guère et que, pour le savoir, elle n’a qu’à se les faire durcir maintenant. Elle me regarde, l’air étonné et me dit qu’il ne fait pas froid chez moi. Voyant qu’elle ne sait pas se caresser, je me mets derrière elle et lui dit que je vais lui montrer que ses seins peuvent durcir quand il fait chaud. Elle est face à la glace, je passe mes mains sous son haut et les monte vers ses seins enfermés dans de la dentelle ; je les englobe de mes mains puis les caresse et saisi les tétons que je malaxe. Aussitôt ses seins se dressent et je la sens comme molle dans mes bras. Je retire mes mains et lui montre que sa tenue est décente. Elle acquiesce et nous allons prendre le thé. Nous reprenons le sujet de la décence et je finis par lui dire qu’elle ne serait indécente que si elle enlevait son haut ; elle rit et me prend au mot. Je la découvre face à moi et, pantois, je finis par lui dire que sa poitrine est superbe dans ce soutien-gorge. Je la sens étonnée d’avoir osé et la prend par la main pour l’emmener devant une glace où, toujours derrière elle, je lui caresse les seins en lui faisant remarquer comme elle est belle. Je malaxe à nouveau ses tétons et lui demande si c’est agréable. Nous retournons dans la pièce à vivre et je lui dis qu’elle peut être carrément indécente en retirant son jean tout en le déboutonnant et en ouvrant la fermeture. Elle me regarde, me sourit et me dit qu’elle n’a jamais fait ça mais qu’avec moi elle se sent prête et qu’elle aime la façon dont je la regarde. Je me baisse et lui enlève le pantalon. Le string tout en dentelle révèle un très joli pubis à peine plus sombre que sa chevelure ; j’écarte l’élastique et caresse du dos de la main les poils bouclés de son pubis en lui disant combien elle est belle ainsi. Je me relève, pose mes mains sur ses fesses que je malaxe doucement et lui demande si elle est prête à pousser l’indécence jusqu’à la nudité. Elle me regarde, me sourit et dégrafe son soutien-gorge qu’elle laisse tomber à terre. Je l’embrasse en lui caressant un sein, mon autre main ne quittant pas ses fesses. Elle s’écarte et me dit qu’elle préfèrerait être dans un lit. Nous partons vers ma chambre où je me déshabille après lui avoir enlevé son string. Elle s’abandonne à mes caresses ; mes lèvres parcourent son corps avec gourmandise jusqu’à découvrir sa vulve humide et ouverte où je bois à la source d’un jus sucré à nul autre pareil. Mes doigts s’aventurent dans ses grottes, grande et petite, je la dévore, la caresse, la titille ; elle a fermé les yeux et exprime fortement son plaisir. Alors qu’elle se cambre, sans la prévenir, je la pénètre et la déflore d’un seul coup tant elle est bien lubrifiée. Son vagin est serré autour de ma queue gonflée de désir. Quelques mouvements de va-et-vient suffisent à la faire partir dans un râle guttural. J’en profite pour accélérer le mouvement et ne tarde pas à me vider en elle.

Nous finissons dans la douche par de tendre caresses qui la font monter au ciel une nouvelle fois. Pour se rhabiller, elle met ses nouveaux dessous et vient m’embrasser ainsi en me disant merci pour mes conseils. Depuis, nous nous sommes revus une ou deux fois au hasard des rencontrer et avons discuté amicalement. Je la trouve maintenant épanouie et souriante.
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