Une rencontre insolite dans le métro 3

Pendant que jean et Vincent reprennent des forces, Blondine et Sandrine s'observent, leurs chattes visqueuses débordent. Les deux insatiables reprennent leur delire, elle se fouillent Mutuellement les entrailles. Les chattes dilatées gorgées de sperme laissent échapper le surplus de semence.
Jean ne cesse de regarder les deux jeunes filles qui s'agitent l'une sur l'autre comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Les deux chattes qui se frottent constamment provoque chez elles des gémissements bruyants. On peut constater que Sara est plus délurée que Charlotte, c'est elle qui prend l'initiative. Elle se place tête bêche sur Charlotte et lui dévore la chatte, Charlotte, n'a pas d'autre choix que de faire de même avec Sara.


Les deux bouches affamées aspirent le jus qui s'échappe des volcans, Charlotte croit défaillir. La langue
de Sara, s'insère entre les grandes lèvres, monte et descend plusieurs fois dans le sillon humide, Charlotte se cabre en grognant comme une bête malade. La langue agile titille la petite boule de chair qui
augmente de volume. Charlotte tremble de tous ses membres, c'est sa première relation lesbienne. Sara la dévore avec une telle ardeur que Charlotte a plusieurs orgasmes à la suite. Son papa la regarde avec de grands yeux, les deux jeunettes se brouter. Maintenant, c'est Charlotte qui se retrouve dessus Sara, elle veut faire jouir son amie comme elle a joui. La bouche avide de Charlotte, dévore avec rage la vulve en feu de Sara qui gémit de plaisir. Jean rebande comme un âne, Vincent lui dit :

-Jean, baise ta fille, elle doit est bien serrée la salope, vas-y !


Je trop excité, il balai d'un revers de la main la morale, il s'approche du duo,se place derriere sa fille, et appuie son gland contre la chatte degouliante. Charlotte se cambre pour bien s'offrir. La papa incestueux s'accroche à ses hanches, et pousse doucement, les grandes lèvres s'écartent, le gland boursouflé, s'engage dans le conduit étroit. Un long râle sort de la gorge de Charlotte pendant la pénétration. Le papa comme un expert commence un va-et-vient bien dosé, Charlotte geint à chaque enfoncement de la queue de son papa dans son ventre. La verge, large et épaisse,qui lui laboure les parois sensibles du vagin la fait geindre de plaisir. La queue paternelle coulisse de plus en plus aisément dans la gaine qui se lubrifie naturellement par l'abondante cyprine qu'elle produit. Charlotte gémit comme une possédée du démon, sa croupe s'agite, elle cesse de brouter Sara, elle redresse la tête, ses yeux sont écarquillés, un filet de salive s'écoule à la commissure de ses lèvres. Vincent crie :

-Plus fort Jean, elle vas jouir ta petite salope, défonce-lui la chatte, elle ne demande que cela !

Jean accélère, ses coups de reins deviennent violents, les râles de Charlotte ressemblent à ceux d'une bête blessée. Elle se Cabre en poussant un long cri et jouit affreusement fort. Son corps est parcouru de violents spasmes, son papa continu de la déglinguer avec férocité. Charlotte re-jouit en poussant des gémissements inhumains. Sandrine et Blondine cessent de se fouiller la chatte, elle s'approche pour voir Charlotte mourir de plaisir sous les assauts de son papa. Jean serre les dents, il pousse un rugissement et remplit la jeune chatte de sa semence brulante. Vincent dit :

-Comme elle est là, il lui en faut encore plus à ta salope Jean, qu'elle vienne s'empaler sur la queue, tu l'enculeras !

La proposition est tentante. Jean ne refléchit plus, c'est sa queue qui commande. Il libère sa fille et la dirige vers Vincent, elle l'enjambe, c'est Sandrine qui dirige la queue de Vincent vers la chatte dégoulinante de sperme. Lentement, Charlotte descend son corps fébrile et finit par s'empaler totalement sur le mat tendu de Vincent. Le bougre la plaque contre son torse. Jean crache sur l'anus de sa fille et l'enduit de salive, il place sa queue contre le muscle rectal et pousse. Charlotte croit que son corps va s'ouvrir en deux, elle serre les dents en soufflant comme un taureau, elle se cabre puis dit fortement :

-Ouah ça fait mal, tu va me déchirer papa arrête !

Sara murmure à l'oreille de Charlotte :

-C'est juste l'introduction qui est un peu douloureuse, mais cela va vite passer, tu vas prendre un pied d'enfer ma chérie, après cela va être mon tour !

Progressivement, la verge s'enfonce dans le rectum douloureux qui se dilate au fur et à mesure que la verge s'enfonce. Charlotte à l'impression que les deux queues sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare et fine. Enfin les couilles viennent en contacte avec ses fesses. Les deux hommes ne font plus aucun mouvement. Blondine regarde, Charlotte qui a la bouche grande ouverte. Elle pose ses doigts sur son clito et le branle doucement en disant :

-Cela va t'aider ma chérie !

En effet au file des minutes, Charlotte commence à gémir, c'est le signal pour les deux hommes d'entrer en action. Avec une alternance parfaite les deux baiseurs commence un très long va-et-vient. La vittesse augmente suivant les gémissements de Charlotte qui râle comme un damnée. Charlotte se raidit, pousse un cri monstrueux et jouit comme une fontaine, elle tremble comme une feuille. Les deux hommes s'acharne sur elle en lui donnant de violents coups de reins, à chaque enfoncement des bites dans ses entrailles, elle se cabre en géignant comme uen bête en rut. Vincent est le premier à lui remplir la chatte en grognant, le papa avant de jouir, se raidit et rugit comme un lion. Les deux amants continuent de demonter la soumise, les queux qui voyagent dans les orifices gorgés de sperme font un bruit étrange de succion. Charlotte n'est pas ménagée, les assauts incessants, la font jouir encore une fois attrocement. sa jouissance est si intense, qu'elle bascule sur le côté.