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Seconde chance partie 1

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Lue : 1068 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/09/2021

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Cela faisait six mois maintenant, et ce serait encore vrai pour les deux prochains mois, que je partais de chez moi le mercredi après-midi, pour me rendre à 80 kilomètres de chez moi à la métropole régionale, dans une zone tranquille, un rien isolée en milieu urbain. Je suivais une formation qui me permettrait de postuler pour un poste plus important que celui que j’occupais actuellement. Je travaillais dans la fonction publique territoriale, et j’avais envie d’occuper des fonctions plus importantes que celles qui étaient les miennes actuellement. Je suivais donc cette formation, pour passer un concours début octobre. En espérant le réussir. Je faisais tout pour en tout cas.
Tout en roulant, je pensais à elle. En début d’après-midi, elle m’avait envoyé plusieurs photos d’elle. La première c’étaient ses jambes, gainées de bas stay-up. Les bas les rehaussaient, leur donnaient du charme, mais elle n’en avait pas forcément besoin. Elle avait des jambes fines, vraiment bien dessinées. Qu’elle savait mettre en valeur, la plupart du temps avec des robes ou des jupes courtes. La deuxième, c’étaient ses jambes ouvertes, la robe remontée, avec le blanc éclatant d’une culotte blanche enveloppant son sexe. C’était troublant parce qu’elle avait, enfin c’était la photo qui le disait, un pubis et un sexe gonflés, et la manière de tendre le tissu me tordait le ventre quand je regardais le cliché. La troisième photo était la plus obscène des trois. Elle avait le sexe nu, et elle ne se contentait pas de tirer sur ses lèvres, elle avait les doigts glissés en elle, et elle s’ouvrait, laissant voir son intérieur, tout rose. Elle avait toujours le clitoris qui pointait, en haut de ses lèvres, il était décalotté et on en voyait le bout rond. Ce qui me plaisait aussi chez elle, détail parmi d’autres détails, c’était également le fait qu’elle avait choisi, à l’opposé de la tendance actuelle, de garder la quasi intégralité de sa toison, qui disait qu’elle était une vraie brune. J’aimais la toucher, la caresser, la parcourir de la pointe de mes doigts. J’aimais croire qu’elle aussi.
Sur le trajet, sur les 80 kilomètres de nationale, j’avais largement le temps de penser à elle. A vrai dire je pensais à elle tout le temps, mais alors que je rejoignais le petit hotel-restaurant où je restais deux nuits, mes souvenirs revenaient plus sur notre rencontre, tellement improbable.
J’avais décidé, après réflexion, de venir le mercredi soir et de réserver une chambre pour deux nuits. Je n’avais pas envie de partir le jeudi matin, très tôt, d’autant que les cours commençaient à huit heures. Je préférais arriver tranquillement, me détendre le soir, et partir suivre sept heures de cours plutôt prenantes dans de bonnes conditions. Le petit déjeuner tôt le matin, quatre heures de cours jusqu’à midi, la cantine du centre de formation, où on mangeait bien, l’après-midi trois heures, et, le cerveau essoré, passer une soirée de repos en attendant la deuxième journée à l’identique. Le problème, c’était que les chambres se louaient de midi à midi, mais le jeudi matin je chargeais la voiture, le patron était d’accord pour que je la laisse sur le parking, et je partais sur le coup de 17 heures.
J’étais venu en repérages un jour, j’avais d’abord tourné autour du centre, immense, avec des bâtiments bas à plusieurs branches, mais aussi un immense parc. On y accédait par une courte rue, à la sortie d’un rond point. Et à l’entrée de cette ruelle, un hôtel bon marché, très classique, sans originalité, mais quand même agréable. un bloc de bâtiments allongés, un parking, et un vaste espace de verdure avec des bancs en bonus. J’avais donc réservé pour la première fois il y avait six mois de cela.
J’étais arrivé sur le coup de quinze heures. J’aimais prendre mon temps.
Etait-ce pour cela que je l’avais surprise? Sans doute que oui, et c’était logique. Les chambres libérées pour le midi étaient nettoyées en début d’après-midi, et comme il n’y avait que deux personnes pour faire le ménage…Tout n’était pas bouclé sur le coup de 15 heures.
J’étais arrivé, je m’étais garé. Premier d’une série de séjours, qui devaient me conduire ici chaque mercredi. J’y avais pris ses habitudes, vite aussi été repéré par le personnel, il est vrai que c’est leur métier, avec à chaque fois un mot de sympathie, même si elle n’était que feinte.
Ce jour-là, jour fondateur, j’avais demandé sa clef, on m’avait expliqué où aller, de toute façon ce n’était pas compliqué, les chambres étaient numérotées, et il y avait le choix entre le couloir de gauche et le couloir de droite. J’étais parti sur la gauche.
En arrivant devant la chambre, j’avais remarqué que la porte n’était pas fermée. Un moment d’hésitation. Et je l’ai poussée.
La chambre était grande et lumineuse. Il y avait deux parties, une entrée, limitée sur la droite par une cloison qui mangeait les trois quarts de l’espace, avec une grande penderie sur la droite et la porte de la salle de bains, et juste après, la chambre elle-même.
J’ai remarqué un chariot de nettoyage sur la droite. Oui, la femme de ménage était bien là. Mais elle n’était pas occupée à faire la chambre. Elle avait sans doute ici.
J’ai d’abord aperçu une paire de jambes. Ces mêmes jambes fines qui tournaient dans ma tête depuis. Elles étaient gainées de nylon. Enfin, partiellement. En effet, le collant qui les enveloppait était descendu au niveau des genoux. De même je pouvais voir un slip blanc, posé sur le collant.
Je me suis décalé sur la droite pour tout voir. La cloison et l’ombre de l’entrée me rendaient invisible. Enfin…C’était ce que je pensais.
Je n’ai pas été déçu par le spectacle.
Allongée en arrière sur le lit, une ravissante petite brune, menue, se masturbait avec énergie. Elle portait une simple robe noire qu’elle avait remontée jusqu’à son nombril, dévoilant son sexe. Une toison brune, taillée mais encore bien fournie, au dessus d’une déchirure dans ses chairs intimes, une fente dont sortaient deux lèvres remarquablement fines et longues dont l’état disait à la fois qu’elle était excitée, et peut-être qu’elle se caressait depuis un moment. Ses chairs étaient luisantes des jus issus de son ventre, qui marquaient aussi ses doigts…
Elle avait adopté un mouvement classique, circulaire, dont la répétition était le gage d’une jouissance qui, je le sentais bien, approchait à grand bas. Pourtant, à ma grande surprise, elle a bifurqué vers autre chose, glissant deux doigts en elle et les faisant aller et venir comme elle aurait fait aller et venir une queue en elle. Elle a poussé une espèce de petit cri avant de se tendre et de rester immobile, bouche ouverte. Elle a éjaculé, comme le ferait un homme, plusieurs jets de liquide, un liquide qui n’avait rien à voir avec du sperme, translucide.
Elle est restée immobile quelques instants, reprenant ses esprits, avant de descendre ses bras jusqu’à son collant et son slip. Elle a d’abord remonté la culotte sur elle, le collant, puis redescendu la robe. après cette parenthèse intime, elle était de nouveau prête pour affronter le monde.
J’ai reculé précipitamment, revenant dans le couloir. Quelques pas en arrière, puis j’ai avancé vers la porte. Nous sommes tombés nez-à-nez. L’occasion pour moi de la voir de plus près, petite, silhouette fine, mais aussi de constater à quel point elle avait un joli visage, aux traits délicats. J’avais d’abord vu son sexe avant de pouvoir m’intéresser à ses traits.
—Vous allez là?, elle m’a demandé.
—J’ai réservé la chambre, en tout cas.
—Je viens de la finir.
—Merci.
—Bonne journée.
Il y a eu quelque chose dans son regard, une lueur, l’espace d’une seconde, qui m’a fait penser que…Oh et puis non, ce n’était pas possible…Elle n’avait pas du me remarquer…
Je me suis installé. Venant examiner de plus près, une curiosité organique et typiquement masculine le dessus de lit. J’avais repéré à peu près les points où ses jus avaient atterri. Il y avait quelques endroits sombres. J’ai enfoncé mon nez dans le couvre-lit, respirant l’odeur de sa cyprins.
C’est comme ça qu’elle m’a trouvé.
—Pardon, j’ai oublié un chiffon, je crois.
Je me suis redressé. Mais elle m’avait bien vu. Pourtant elle n’a rien dit, et rien laissé voir. Elle a simplement récupéré la pile de chiffons à la tête du lit et elle s’est éclipsée.
J’ai calé rapidement mes affaires dans le placard, en repensant à la jolie fille. Elle avait vraiment beaucoup de charme. Sans doute que le rêve de pas mal d’hommes, même s’ils n’y pensaient pas, et s’ils ne l’exprimaient pas vraiment, c’était de voir une fille se caresser devant eux. Un geste ultime tout autant qu’ intime, quelque chose qu’on fait rarement devant quelqu’un d’autre. Pour le surprendre, il fallait compter sur le porno, sur une copine un peu exhibe qui acceptait de se toucher devant son copain…Ou surprendre une fille…Sa copine…Ou une inconnue…
Le genre d’occasion qui n’arrive qu’une fois dans sa vie et qui ne se renouvelle jamais.
Ca m’avait troublé. J’avais le sexe gonflé. J’y repenserais sans doute dans les jours, et même les semaines à venir. Je n’avais pas de petite copine en ce moment, et une tendance très nette à me masturber en laissant des fantasmes tourner dans ma tête. Là, ce serait du vécu.
Je suis parti me promener. D’abord, j’ai été jeter un coup d’oeil au centre de formation, ensuite j’ai été faire quelques achats au centre commercial à côté. Je suis revenu sur le coup de dix-huit heures trente.
Je venais de me glisser dans ma chambre, lorsque j’ai senti que quelqu’un venait derrière moi. Je me suis retourné. C’était elle. La petite brune. Elle avait changé de tenue. Un débardeur rouge, tendu par des seins qui n’étaient pas énormes, mais bien fermes, un pantalon de vinyle ultra-collant, qui soulignait ses jolies jambes et de manière précise le dessin de ce sexe que j’avais vu nu, et une veste noire. J’ai pensé qu’elle allait sans doute servir.
—Je voulais vous dire merci.
Je l’ai regardée avec surprise. Et en l’admirant aussi. Elle était vraiment magnifique. Je ne savais d’ailleurs pas si elle était consciente de ses charmes.
—Mais pourquoi?
—Pour ne pas m’avoir balancée.
—Je n’avais pas de raison de vous balancer. Et vous balancer à propos de quoi?
—Vous m’avez surprise…Entrain de me caresser.
Elle m’avait bien perçu. Je n’avais pas été assez discret.
—Je ne vois pas très bien pourquoi j’aurais été vous dénoncer…Si vous aviez envie de vous caresser….C’est votre problème…
—Je ne suis pas supposée faire ça quand je travaille. Et en étant potentiellement visible par un client.
—Personne ne le saura.
Mais la curiosité me démangeait, et je n’ai pas pu m’empêcher de formuler une question:
—Je voudrais juste savoir une chose…Mais ne me répondez pas si vous n’en avez pas envie… Vous aviez envie de vous caresser?
Elle a rougi, mais elle a quand même répondu, pensant sans doute qu’elle devait en passer par là pour que je la couvre…
—Je ne sais pas comment l’expliquer…J’avais envie de sexe…Il y a des moments, comme ça, ça vous prend…Vous avez envie de vous donner du plaisir…Les hormones sans doute. Ou le manque…J’ai pas de petit copain en ce moment. Ou une manière de lutter contre le stress. J’ai des journées très remplies.
On en est restés là. Une heure plus tard, j’ai été manger. Elle est venue s’occuper de moi. Chaleureuse, souriante, plus détendue, sa crainte s’était envolée.
Je l’ai suivie du regard. Elle était extrêmement attirante. Une jolie silhouette, un joli corps, et puis on la sentait simple et chaleureuse. A son image entrain de servir, s’en superposaient d’autres, issues de l’après-midi, son ventre offert à ses propres caresses, sa jouissance, ses éjaculations…Elle était vraiment désirable, et sans aucun doute, je la désirais.
Au moment où je suis parti de la salle, elle m’a souhaité ‘Bonne soirée.’ Soirée qui a consisté pour moi à regarder un épisode de série à la télévision, puis à vérifier que mon ordinateur fonctionnait bien.
J’allais éteindre lorsqu’on a frappé à la porte. Je me suis levé pour aller ouvrir. C’était elle, encore en tenue.
—Je viens de finir mon service. Je voulais passer vous voir avant de rentrer. Je tiens à vous remercier pour votre silence.
Elle a avancé la main vers mon pantalon, et l’a posée au niveau de ma queue, à plat. J’ai senti sa chaleur, l’épaisseur de sa main, et j’ai eu une érection immédiate, d’autant plus forte sans doute que je n’avais pas de partenaire ces derniers temps, et qu’elle m’avait infiniment troublé l’après-midi.
—Vous n’êtes pas obligée. Vous ne me devez rien.
—J’ai envie de sexe, et aussi de vous dire merci. On peut bien s’amuser un peu, sans aller très loin.
Je me suis écarté pour la laisser entrer. Elle me plaisait, j’aurais été bien idiot de la repousser.
On est restés face à face. Elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon et elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon.
—Tu as une belle queue, elle a commenté.
Et c’est vrai que j’étais long et dur. Elle fixait ma queue avec un fascination et envie. Elle m’a masturbé doucement.
—J’ai envie qu’on se caresse mutuellement. Ca te conviendrait?
—C’est plus que je n’en aurais espéré.
Pendant qu’elle continuait de masturber ma queue, j’ai défait son pantalon de vinyle, et je l’ai tiré vers le bas. C’est venu tout seul, alors que je pensais que ça allait bloquer. Dessous, elle avait une culotte blanche, elle avait changé de slip depuis l’après-midi. Il y avait une large tache de mouille sur le coton. J’ai mis son sexe à nu. Il était mouillé et dilaté. Comme j’hésitais, elle a attrapé ma main et elle est venue l’appuyer contre ses lèvres, sorties de son sexe. A partir de ce moment, c’est venu tout seul. Je me suis mis à la caresser, tournant sur ses lèvres, pendant qu’elle faisait aller et venir sa main sur ma queue.
—Rapproche-toi, elle m’a proposé. Je sais ce qu’on va faire.
C’était elle la maitresse du jeu. A présent, nos deux sexes étaient proches, sans encore se toucher. Elle a amené mon gland contre ses lèvres, et elle a gémi quand le premier contact s’est fait. Il y avait de l’électricité et de la chaleur qui montaient dans mon corps, mais apparemment ça lui faisait aussi beaucoup de bien. La tête en arrière, elle a gémi.
—C’est bon de sentir ton gland contre mes lèvres.
On était là tous les deux, cristallisés par notre plaisir. Et puis la jouissance est venue sur moi, me surprenant. Elle a éclaté en moi, et j’ai craché de multiples traits de sperme sur son sexe et le pourtour de celui-ci. Ejaculation qui l’a précipitée dans le plaisir.
On est restés figés comme ça, face à face, en reprenant nos esprits.
—Je vais vous laisser.
Elle avait repris le vouvoiement, comme une distance.
Elle s’est rapidement rajustée, avant de s’éclipser.
Je me suis couché, avec un sentiment de béatitude après ce moment de plaisir. Ca avait été très bon. Une manière de casser la monotonie des jours et l’absence de femme. Heureusement la vie n’était pas totalement moche. Il y avait de petits moments de scintillement.
C’est le lendemain matin, au réveil, que j’ai trouvé le mot sous ma porte.
Je commence à 13 heures aujourd’hui. J’ai envie qu’on fasse l’amour de manière plus poussée. Si ça vous dit, je vous mets mon numéro de portable, faites moi un SMS.
Le SMS, je l’ai envoyé à l’heure de la pause à 10 heures. Oui j’aimerais qu’on se revoie. Comment on fait?
13 heures, chambre 7.
Après le déjeuner tout le monde partait à droite ou à gauche, en ne restant pas forcément au centre, avant de reprendre les cours. Je suis revenu à l’hôtel.
Je devais bien le reconnaitre, j’étais partagé entre l’émotion, la tension et l’envie de sexe, quelque chose que je n’aurais pas connu si elle ne m’avait pas plu autant.
Je me suis engagé dans le couloir. Jusqu’à la porte 7. Elle était entrouverte. J’ai pensé qu’il s’agissait autant d’un signe que d’une référence à la veille. J’ai poussé la porte.
Elle était bien là, occupée à passer l’aspirateur. Elle avait une blouse bleue, boutonnée sur le devant. Quand elle a senti ma présence, elle a relevé la tête, m’a souri, et a coupé l’aspirateur en posant le pied sur l’interrupteur. J’ai avancé vers elle. Le premier contact a été plus chaleureux que la veille, plus intense aussi. Elle s’est collée contre moi, et nos bouches se sont rejointes. J’ai senti contre moi le poids de son corps, sa chaleur. Elle était plus petite que moi, mais on est arrivés à s’équilibrer, moi me penchant, elle se hissant sur la pointe des pieds. J’ai remarqué par la suite qu’elle portait toujours des talons pour se grandir, mais pour faire le ménage évidemment, elle préférait des chaussons. Elle m’a contourné, a été bloquer la porte.
Elle m’a attrapé par la main et tiré vers le lit:
—Viens, on n’a pas trop de temps…J’ai plein de chambres à faire. Heureusement, les patrons ne passent pas contrôler…
Elle m’a fait glisser sur le lit, restant debout.
—Regarde, il y a des boutons…Défais-les…Dans la poche de gauche, il y a un préservatif…J’ai envie de te sentir dans mon ventre. Dans celle de droite, il y a ma culotte. Je l’ai enlevée pour t’attendre.
C’est avec des mains fébriles que j’ai défait bouton après bouton, pendant qu’elle me regardait faire, avec un sourire épanoui sur le visage. Elle avait gardé son soutien-gorge, qui enveloppait ses petits seins ronds, mais la seconde partie de sa parure avait disparu…J’ai continué à défaire les boutons, découvrant le ventre plat, et son sexe nu.
Esquissant des gestes qui sont devenus par la suite une habitude, mais dont je ne me suis jamais lassé, j’ai caressé son ventre. Elle a gémi. Par un effet ricochet, j’ai vu du liquide sortir d’elle et mouiller ses chairs autour. Je suis venue sur sa toison. J’ai pensé à cet instant, une pensée qui ne m’a plus jamais quittée, que nous étions, elle et moi identiques. Deux solitaires, en manque d’affection et de sexe. Ayant trouvé, l’espace d’un instant un ou une partenaire pour nous rejoindre. Même si ça n’était que temporaire.
Je suis descendu sur son sexe. Avec, au contact de ma paume, la chaleur de son sexe, son humidité qui en coulait, le relief de ses lèvres, et même le bout de son clitoris, tout gonflé, qui saillait, dégagé de la peau qui le recouvrait au repos, bien charnu et bien épais, long quand elle était très excitée, un rien en décalage par rapport au reste de son corps, comme si la nature n’avait plus eu la pièce correspondante en l’assemblant, et lui avait greffé un clitoris trop gros. Plus je la caressais et plus de liquide sortait d’elle qui coulait sur la paume de ma main, mais en dégoulinait aussi.
—Viens, je veux sentir ta queue en moi, maintenant.
Moi aussi j’avais très envie de sentir son sexe autour du mien.
C’est elle qui a attrapé le préservatif dans la poche de sa blouse finalement. Il y avait dans notre relation un tâtonnement, un ajustement quelque chose qui disait que c’était la première fois. Je ne savais pas s’il y en aurait d’autres. Le préservatif était sans aucun doute issu d’une boite. Un emballage argent, avec le nom de la marque en travers. Elle l’a déchiré. Il y avait sur son visage une sorte de mélancolie que j’avais remarquée même quand elle se caressait, à présent totalement effacée dans le moment de cette relation. Mais on pouvait en dire autant de moi. Ca faisait un an que j’étais seul. Je faisais partie, et elle aussi, pour ce que je pouvais en juger, de cette cohorte de gens qui étaient seuls, parce qu’il est difficile de construire une relation, et encore plus de la faire durer.
Une fois l’aluminium déchiré, la rondelle de plastique gluante est apparue.
—Je vais te faire quelque chose que sans doute aucune fille ne t’a fait. Je suis une petite putain, et j’ai beaucoup d’imagination.
Et je me suis effectivement demandé où elle voulait en venir quand au lieu de garder la capote dans ses doigts, elle est venue la coller contre ses dents. Elle s’est penchée sur moi, et sa cavité buccale a enveloppé ma queue. Elle est descendue bas. Caresse brève, mais intense, sensation de chaleur, d’être enveloppé par une muqueuse délicate comme de la soie. Sa bouche n’est restée que quelques secondes sur moi. J’ai baissé les yeux sur ma queue, et je l’ai vue enveloppée de latex, quasiment jusqu’à sa racine.
—Tu as vue, je suis douée, non?
Il y avait en elle quelque chose d’enfantin, un besoin de reconnaissance.
—Maintenant, elle a dit, et elle est venue se positionner au dessus de moi. Elle a attrapé ma queue et elle l’a guidée vers mon sexe dilaté. Ma queue a d’abord ripé, elle a répété son geste en disant:
—On va y arriver…
Et cette fois a été la bonne…Ma queue a glissé en elle…Elle s’est laissée descendre sur moi, se cambrant aussitôt en gémissant. Les sensations ont envahi les deux frustrés que nous étions. La chaleur de son sexe autour de moi, ses liquides qui coulaient sur moi, la délicatesse de sa muqueuse qui me frottait…J’ai perdu pied, déconnecté des réalités, assailli par le plaisir de la sentir autour de moi, mais aussi de la voir, au dessus de moi, sa blouse ouverte sur son corps, s’abandonner, son corps frémir, se tordre…Mes mains ont glissé sur son torse, sont venues sur ses seins, ses hanches, ses fesses, une manière de prendre la mesure d’un corps que je devais à force connaître par coeur, mais que je ne m’étais pas encore lassé de toucher, de caresser, de parcourir…
Elle bougeait sur moi, dans un rythme tantôt lent, tantôt plus rapide…
—Je sens que je vais jouir…
Le premier orgasme en a enclenché d’autres, qui l’ont faite se tordre en gémissant. Il y avait quelque chose d’émouvant dans la manière dont elle s’abandonnait au plaisir. On aurait dit qu’elle attendait ça depuis un moment. Comme elle me l’a confié par la suite:
—Ca fait des mois que je me donne du plaisir seule. C’est bon, mais le plaisir à deux c’est bien aussi.
Je ne sais pas bien ce qui me bloquait. Son plaisir à elle, le fait que ce soit la première fois, que je n’aie pas fait l’amour depuis longtemps avec une femme? Difficile de savoir…Alors qu’elle errait dans les limbes, sur moi, je lui ai dit:
—Je crois que je ne vais pas jouir…
Elle a paru navrée. Sincèrement navrée.
—Ah zut…Attends, je vais m’occuper de toi.
Elle s’est arrachée à ma queue. Son sexe était très dilaté à présent, son clitoris gonflé, long et épais, et des sécrétions coulaient d’elle, pas encore taries. Le latex dégoulinait aussi de ses jus. Sans l’enlever, elle est venue envelopper ma queue de sa main, et elle s’est mise à me masturber. La chaleur a très vite envahi mon ventre.
—Je crois que je vais…
J’ai joui dans les secondes qui ont suivi, emporté par un orgasme qui était sans doute meilleur et plus fort parce que je l’avais atteint alors qu’on était deux, et pas dans ma solitude habituelle Je me suis vidé de mon sperme dans le réservoir du préservatif, avec l’impression que ça ne finirait jamais.
Elle a attendu que je me sois bien vidé avant de récupérer précautionneusement l’enveloppe de latex. Je me demandais où elle voulait en venir, je l’ai compris quand, gardant la capote penchée, elle l’a étirée au maximum pour venir laper la semence. Soigneuse et goulue, elle ne s’est arrêtée que quand le latex a été entièrement transparent, juste de la salive dessus, et plus rien de cette crème blanche dont elle avait semblé se délecter.
J’ai jeté un coup d’oeil à ma montre. J’aurais bien pris de rester avec elle, de partir sur une autre étreinte. Ma queue était encore dure. J’avais envie d’elle, et, plus important, je me sentais bien avec elle. J’ai jeté un coup d’oeil à ma montre. 13 heures 40…Il me semblait que cela ne faisait que cinq minutes qu’on était ensemble. Même si on avait voulu….Il était temps pour moi de retourner au centre de formation et pour elle de continuer à nettoyer.
—Tu pars à quelle heure?
—Je finis sur le coup de 17 heures, j’ai la voiture sur le parking chargée.
—A plus tard, elle m’a dit en se rajustant.
J’allais m’éloigner quand elle a glissé la main dans la poche de droite de sa blouse. Celle qui ne contenait pas de préservatif. Elle en a tiré une étoffe noire. Je me suis posé un instant la question, avant de me rappeler qu’elle avait enlevé sa culotte avant que j’arrive. Elle m’a jeté le tissu.
—Je me suis caressée en pensant à toi et en t’attendant. Je mouille beaucoup. Je pense que la culotte est bien mouillée, encore, mais que, même sèche, elle sentira encore mon odeur la plus intime. Si on ne se revoit pas, tu pourras te donner du plaisir en repensant à ces deux moments si forts.
Je l’ai examiné quelques instants. un slip de femme, fait d’un tissu élastiqué, qui le rendait souple et confortable. Sur le devant, il y avait une partie transparente. Je me suis dit que j’aurais aimé la voir avec, voir sa toison emprisonnée mais révélée par cette partie. Ca faisait un tiers de la culotte. Le reste enveloppait ses parties intimes. Une très large tâche humide, qui se prolongeait à l’arrière, disait clairement que oui, elle s’était bien caressée en la portant. J’ai collé mes narines dessus, et respirée cette odeur forte, enivrante,totalement additive que seules les sécrétions d’une femme peuvent porter.
—Je savais que ça te plairait, elle a souri.
Il fallait que je parte. Moins dix. J’ai roulé le slip en boule et je l’ai glissé dans la poche intérieure de mon blouson, en le fermant. Ca accompagnerait mes masturbations en attendant mon retour.
Je suis reparti suivre mes cours, avec, je l’avoue, la tête ailleurs. La culotte comme une présence contre moi qui me faisait me sentir moins seul. Et le moment de partir que tout le monde attendait, épuisé par deux jours d’attention constante est arrivé.
Ma voiture était calée sur le parking.
J’ai débloqué le système et je me suis glissé à l’intérieur.
Elle devait me guetter, car deux secondes plus tard, le temps de poser mes affaires sur le siège arrière, souple et silencieuse, elle s’est glissée à la place du mort. Elle avait encore son uniforme. Elle m’a souri.
—Je ne sais pas si on se reverra (Je ne lui avais pas dit que je revenais la semaine suivante.) mais je voulais te dire au revoir…
Sa manière de me dire au revoir, ça a été de se pencher sur mon pantalon, de me défaire et d’en tirer ma queue, qui a commencé de durcir au contact de sa main, chaude et caressante…Elle m’a masturbé doucement, mais j’ai été très vite en pleine érection. En même temps, elle s’est légèrement soulevée pour tirer sa blouse en arrière, même si le fait de s’asseoir avait fait reculer sur ses jambes magnifiques une tenue déjà courte. Elle avait retrouvé un slip, il était aussi noir. Elle l’a tiré dans son aine, dévoilant son sexe. Elle a fiché deux doigts dans son ouverture et elle n’a cessé de les faire aller et venir en elle pour se donner du plaisir tout le temps qu’elle m’en donnait. Quand elle a été satisfaite de la taille de ma queue, elle s’est penchée dessus de la bouche, et elle a baladé sa langue en arabesques infinies en souriant. Heureuse de ce moment comme elle l’avait été plus tôt à midi. Comme elle devait me dire plus tard, ‘Sans sexe, on ne vit pas.’ En même temps, elle se fouillait le sexe, son doigt tournant à l’intérieur d’elle, allant à la rencontre de ses parois intimes, caressant les aspérités au fond d’elle. Son sexe s’ouvrait, et du liquide s’est mis à couler d’elle. Elle me parcourait de la langue.
—Vivre sans queue c’est difficile. Se donner du plaisir, c’est très bon…Mais ça n’est pas forcément suffisant.
Elle a fini par me prendre dans sa bouche, et faire aller celle-ci sur ma chair, montant et descendant, avant de s’immobiliser, garder un tiers de ma queue dans sa bouche et de faire tourner sa langue sur ce tiers de queue, puis de remonter sur mon gland, et de le travailler. Il y a eu quelque chose qui a peut-être été un signe, on a joui ensemble à quelques secondes près… J’ai commencé à cracher mon sperme dans sa bouche, en même temps qu’elle jouissait en se tendant, et en faisant ce qu’elle n’avait pas fait précédemment, éjaculant des traits de liquide qui sont venus maculer ses bas.
Elle est parti rapidement, sans demander son reste, la bouche encore pleine de mon sperme, se glissant hors du véhicule pour éviter ce qu’elle pensait être un adieu, et qui ne devait être qu’un au revoir.
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