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Retrouvailles à l'hôtel

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Lue : 3227 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/08/2012

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Montpellier, Vendredi 3 Juillet,
17h34.
'' Désolé je n'ai rien sur moi ‘‘, comme d'habitude pour eux d'ailleurs, je n'en peux plus de tous ces mendiants, ces gens qui ne sont la que grâce au laisser aller du gouvernement… Un coup d'œil rapide a ma montre, elle est en retard. Cela ne lui arrive jamais, elle a du longtemps hésité a la tenue qu’elle porterait ce soir… Un frisson me parcourait le dos au moment ou je commençai à l'imaginer nue. Il faut que je me concentre.

Quand tout à coup, quelqu'un s'approche de moi sur le coté, je n'ai pas le temps de me retourné que déjà tes lèvres se posent sur ma joue. Ce genre de bisous que toi seule sais faire, ni sur la bouche ni sur la joue mais entre les deux. Tu es magnifique, une robe blanche qui met parfaitement tes formes en valeur, décolté plongeant, moulante sur ton ventre laissant apparaitre tes fesses plus jolies que jamais… A peine un petit bonjour suivit d'un : ''On y va ? '' Le tout sur un ton très sexy, je ne peux m'empêcher de me mordre les lèvres à la pensée de la nuit qui nous attends…

Tu as l'air pressée, mais je comprends vite, tu passe au soleil devant moi et je vois plus clair en ton jeu, tu ne porte rien en bas sous ta robe. Alors que je te rattrape tu m'explique que ta robe est trop transparente et que donc tu ne pouvais pas mettre de culotte ni string car c'était trop voyant… Tu me connais tellement par cœur, et sais à quel point ce genre de détail m'excite… Je sens mon pénis commencé à se gonflé dans mon boxer et suit bientôt à l'étroit dans mon jean.

A peine dix minutes plus tard nous voila arrivé à l'hôtel, assez classe car je sais que tu les aime comme cela, il est encore vide en cette heure. Tu ne peux t'empêcher de sourire au réceptionniste en mettant ta poitrine en avant, ce qu'il, ne manque pas de remarqué. Après m'être assuré qu'il n'y avait personne derrière nous je ne peux m'empêcher de passer ma main sous ta robe… Tu as chaud et cela m'excite, la courbe de tes fesses est tellement excitante, ma main se balade sur tes hanches ainsi que tes fesses pendant que tu règle les derniers détails. Nous repartons clefs en main vers les ascenseurs.

Les portes s'ouvrent, je te pousse délicatement à l'intérieur et t'emboite le pas. Les portes se referment et je t'attrape, quatre étages pour faire de toi ce que je veux, je t’embrasse langoureusement tandis que ma main empoigne ton 90D, tes seins sont tellement parfait que je m'attarde dessus mais déjà j’entends le signal et l’ascenseur s'immobilise. J'ai à peine le temps de retirer ma main qu'un homme entre dans l'ascenseur à notre place.

On parcourt le couloir d'un pas pressé jusqu'à arrivé au bout, tu tape le code de la chambre et valide avec la clef, la porte se déverrouille, tu la franchis et laisse tombé ta robe. Sans prévenir tu n'as eu juste qu'as faire tombé tes bretelles pour que la robe en entier suive. Tu me laisse apparaitre ses fesses que j'ai tellement désiré ses derniers temps… Tu traverse la chambre en détachant ton soutien gorge et va ouvrir les volets fermés, car tu aime que je te vois. Pendant ce temps la je me débarrasse de mon jean ainsi que mon T-shirt, je m'approche de toi et t'enlace, tu sens ma queue gonflée contre ton corps, tellement longtemps que tu n'as pas pu ressentir cela, mais à peine dans mes bras que tu t'esquive et te met sur les genoux. Tu saisi ma queue déjà gonflée et la met dans ta bouche, tu l'enfonce au plus profond pour commencer et j'adore voir que tu ne peut pas tout avalé, tu me fait une de ses fellations que j'adore, tu alterne les jeux avec ta langue , tes dents et tes joues, tout en faisant en sorte que ma queue soit trempée mais déjà je te relève et t'allonge sur le lit, âpres t'avoir embrassé les seins et joué avec tes tétons je descends le long de ton ventre… Tu craint toujours autant sur le ventre apparemment car tu ne cesse de t'agiter, quand enfin j'arrive à ton clitoris..

Déjà si chaud et si gonflé… Mes petits coups de langues comme tu les aime le fait encore doublé de volume, je ne t'ai jamais vu aussi excitée tandis que tu commence à gémir pendant que je titille ton entrejambe avec mes doigts. Je fais durer ce jeu aux cinq bonnes minutes car je sais à quel point tu aime mes cunnilingus, puis je remonte à ton niveau. Inutile de chercher, mon pénis dur comme jamais trouve le chemin tout seul et déjà je suis au fond de toi tandis que je saisis ton dos avec mains. Mes mouvements s'accélèrent tandis que tu crie de plus en plus fort, je prends un coussin que je te mets devant la bouche, mais cela t'excite encore plus… Tu mouille tellement que les draps se trouvent inondés et je peux sentir la mouille coulé jusqu'à ton anus… Je fais en sorte de te collé afin d'excité ton clitoris et déjà te voit venir… Tu atteins ton orgasme clitoridien, tu prends les choses en mains. Tu me demande à passer au dessus et m'exécute, j'adore m'allongé et te voir monté sur mon pénis comme ça, surtout quand tu me fais dos et que tes fesses se relèvent toutes seules en face de moi…

Tu me demande ensuite de te prendre en levrettes alors je m'exécute mais tu me dis que cela ne va pas, que ce n'est pas par ce trou que tu veux qu'on le fasse… Excité de plus belle, je fais en sorte de lubrifié ton petit anus, puis y rentre petit à petit.. Il s'écarte de plus en plus, j'accélère mes allers-retours, tu commence à crier, cela fait tellement que tu ne m'as pas sentie comme ça… Après 5 bonnes minutes de pénétration je décide de te faire jouir, je t'allonge sur le dos, te relève les jambes comme jamais et te pénètre, tu es encore trempée car tu as adoré la sodomie, mon sexe aborde un angle de pénétration pas souvent atteint, tes yeux se ferment, ton rythme s'accélère, et tu jouis sous mes yeux pleins de bonheurs, je n'ai pas pu me retenir et tu criais tellement fort que tu ne ma même pas entendu. Je me retire et tu fais couler délicatement le sperme sur mon ventre afin que tu aille chercher des mouchoirs. Mais en allant à la salle de bain tu te rends compte que ton sac avais empêché la porte de se fermer complètement et que le réceptionniste se tient sur le seuil de la porte…
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