ACCUEIL > Hétéro > Récit : Sa première sodomie - Sa version (Elle)
Lue : 1733 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2020
Histoire précèdente <<<
Sa première sodomie - Sa version (Elle)
+30
Lue : 1733 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2020
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Cette histoire vraie a été rédigée avec une double vision, la sienne (Lui) et la mienne (Elle), lors d’une de ses missions à l'étranger, quand le désir de revivre ces moments érotiques s’est avéré trop intense.
C'était il y a 5 ans, nos récits s'écartent un peu du fait de nos mémoires respectives mais ce fut très excitant de les revivre ensemble.
J’avais 23 ans et lui 30 à l’époque. Je venais d’entrer comme stagiaire au sein d’un régiment militaire pour quatre mois. À notre première rencontre, j’ai immédiatement su que j’allais me mettre en chasse. Il n’avait pas grand-chose d’une proie facile mais j’ai toujours aimé la difficulté. Sa façon de serrer la main, si fort qu’il me broyait les doigts chaque matin ; son corps, musclé et compact ; sa voix, grave et profonde ; et ce laconisme dans les quelques mots qu’il m’adressait, contredit par l’expression de ses yeux, amusée et coquine. J’ai tout de suite eu une puissante envie de le percer à jour et plus si affinités.
Après 4 mois de traque et un flirt poussé (et très érotique) au régiment, j’ai enfin réussi à l’attirer chez moi. Je résidais temporairement chez ma mère à l’époque et devais mettre tout le monde à la porte pour pouvoir vivre quelques moments d’intimité en sa compagnie. Ainsi, nous avons souvent choisi de vivre nos aventures en plein air. J’avais la surprise du lieu à chaque escapade et bien que l’air soit parfois frais, ces soirées étaient extraordinairement chaudes.
L’histoire que nous avons envie de vous raconter aujourd’hui est celle de ma première expérience de la sodomie, au naturel si je puis dire.
Comme toujours, il est venu me chercher dans sa Mazda verte, une vieille voiture sur laquelle nous plaisantions souvent et qui a vu de nombreuse fois sa queue disparaitre dans ma bouche ou ma chatte remplie de ses doigts, pour le plus grand plaisir des routiers croisés sur l’autoroute. Comme à son habitude, il n’a pas attendu d’être arrivé pour commencer à m’exciter. Ses doigts m’ont effleuré la cuisse, se rapprochant petit à petit de mon intimité en retroussant ma robe. J’ai toujours apprécié qu’il n’ait pas besoin de ses deux mains pour conduire…
Je le sens me caresser tout autour de mon tanga, sans jamais me toucher plus en avant, ce qui a le don de me rendre folle. J’écarte les cuisses et me presse sur sa main en me renversant dans le siège. Je pars alors à la conquête de sa queue et griffe sa cuisse avant de me rapprocher de sa virilité que je saisis par-dessus son jean en la massant doucement. Il bande déjà, j’ai envie de le gouter.
Avant d’avoir pu commencer à essayer de le déshabiller, nous arrivons. Il glisse subitement un doigt dans ma chatte trempée, c’est bon, mais c’est trop peu, j’ai envie de plus. Nous sortons de la voiture pour trouver un terrain de jeu plus pratique. Je découvre que nous sommes sur un sentier, à quelques dizaines de mètres d’une route peu fréquentée, plongée dans le noir. Discret, mais pas trop, cela m’excite.
Il m’embrasse et me plaque sur le capot, me saisissant les fesses. Ses lèvres courent sur mon cou, il mordille mon oreille et ma clavicule, je frissonne. J’aime ça. J’attrape ses lèvres avec les miennes et me plaque contre lui, ma poitrine contre son torse. Il met sa cuisse entre les mienne et j’en profite pour appuyer mon bassin dessus, fort, en bougeant doucement.
Cette caresse apaise un peu l’envie que j'ai qu’il me pénètre, de me sentir pleine, de sentir sa queue bouger en moi. Je n’ai jamais été patiente. Je mords son cou tandis qu’il attrape un de me seins, fermement, il ne le ménage pas et j’aime ça, je sens son désir grimper à l’identique du mien.
Trouvant cette robe trop encombrante, il me déshabille rapidement, me laissant avec mes sous-vêtements blancs et mes talons. Il sort un de mes seins de son écrin et prend mon téton dans sa bouche me faisant gémir. Il le suce ardemment en empoignant le deuxième où il joue avec ses doigts sur mon téton, le pinçant doucement. Je plaque sa tête sur ma poitrine et oriente ses lèvres vers mon second sein, avide d’y sentir sa langue.
Je dégrafe mon soutien-gorge pour ne pas le voir batailler avec, c’est amusant comme un homme si doué de ses doigts peut se compliquer la vie avec deux agrafes. Ma poitrine libérée, il s’en saisit tandis que je récupère sa bouche et mordille ses lèvres.
Je le repousse et commence à le déshabiller, après lui avoir ôté son tee-shirt je déboutonne son jean et sens son membre frémir sous la pression de mes doigts cherchant les boutons. Jo a une queue magnifique, 18.5cm, épaisse, lisse et douce. Il me remplit parfaitement malgré ma capacité d’accueil insoupçonnée.
Je plaque ma main sur son boxer en l’embrassant et saisis fermement sa queue en glissant ma main de haut en bas. Je la sens se dresser. Je décolle doucement l’élastique de son boxer et effleure son gland de mon pouce en y récupérant la goutte qui perle pour l’humidifier et en faire le tour.
Je glisse mes mains le long de son torse et descends son boxer en dégageant habilement sa queue. J'ai un genou à terre et ne me redresse pas. Elle est devant moi, bandée à l’extrême, j’ai faim.
J’enroule mes doigts autour de sa verge et la caresse doucement, finissant de dévoiler son gland gonflé. J’alterne les pressions en caressant sa cuisse de ma main gauche de plus en plus près de ses couilles. Je le regarde, je sais ce qu’il attend tandis qu’il passe sa main tendrement dans mes cheveux. Je dévoile totalement son gland, me lèche les lèvres et pose le bout de ma langue tout au bout, subtilement.
Je la fais glisser de haut en bas avant de l’enrouler progressivement autour de son bout puis de le prendre dans ma bouche, j’aspire doucement sans bouger, laissant ma langue faire le tour de sa collerette, si sensible, pour le sentir frémir entre mes doigts.
Sa main se plaque sur ma tête et je le regarde en desserrant les lèvres pour le prendre d’un coup, le plus loin possible dans ma gorge. Je reste là un instant pour l’entendre gémir avant de commencer à glisser réellement ma bouche le long de sa verge. Ma main le branle en cadence, sa queue est trop grosse pour que je la prenne en entier mais je m’applique à la faire entrer le plus loin possible en saisissant ses cuisses pour le plaquer sur moi. J’accélère et reviens jouer tout au bout de son gland laissant ma main le branler comme il me l'a appris.
Je l’aspire fortement entre mes lèvres et fais buter le long de ma joue en le faisant glisser. A nouveau je détends ma gorge au maximum pour le prendre au fond, à plusieurs reprises. J’essaie d’oublier mes réflexes physiques et le garde de longues secondes au fond de ma gorge en enroulant ma langue à la base de la queue.
Alors que la sors pour déglutir et respirer, il m’attrape et me redresse, plonge ses yeux dans les miens et m’embrasse violemment. Je goute dans ce baiser tout le plaisir que je lui ai donné en le suçant, sa voix est rauque, son regard est intense, ses mains se posent sur mes seins juste avant ses lèvres, je le sens prêt à me dévorer.
Il me retourne et me plaque sur le capot de la voiture, mes mains sur le pare choc. Je sens ses doigts effleurer mon corps et descendre le long de ma taille et de mes hanches, il appuie en bas de mon dos pour me faire me cambrer et du genou, écarte mes cuisses.
Ses mains commencent à caresser doucement mes fesses, lentement. Il joue à la lisière de mon tanga et s’approche dangereusement de ma chatte, ma respiration s’accélère, je suis trempée, j’ai envie qu’il me touche. Me sens mon tanga glisser le long de mes jambes, me laissant nue avec mes seuls talons sous la lumière de la lune.
Il reprend ses caresses, continuant à mettre mon corps sous pression, j’ondule sous sa main pour qu’elle touche enfin mes lèvres. D’une claque brève sur fesses il m’intime d’arrêter de bouger. Je crie, surprise et me cambre encore plus pour lui offrir mon cul et ma chatte avides…
Je sens un doigt descendre entre mes fesses et caresser furtivement mon petit trou. J’ai un frisson. Sa main continue à descendre pour attraper habilement mes lèvres et les faire coulisser entre-elles, massant mon clitoris à chaque mouvement. Je mouille abondamment facilitant la manœuvre. Il glisse enfin un doigt entre mes lèvres et le fait courir de mon clito à mon cul, mouillant ainsi ma rondelle.
Ses mains me quittent soudain, je n’ai pas le temps de me retourner que je le sens écarter mes fesses et poser sa langue sur mon petit trou. Je me tends dans un râle sous cette caresse si spéciale, tout mon corps est aux aguets. Je le sens jouer avec sa langue autour de ma rondelle avant de s’agenouiller et de saisir mon clito entre ses lèvres. Il le suce ardemment, j’ai les jambes qui tremblent, je sens sa langue se présenter à l’entrée de ma chatte et me pénétrer doucement.
Il me prend les mains et les pose sur mes fesses pour que je les tienne bien écartées, sa langue remonte sur mon petit trou tandis qu’un doigt commence à me pénétrer.
J’enfonce mes ongles dans la peau de mes fesses, je ne suis plus capable de réfléchir. Son doigt s’enfonce au fond de ma chatte, bientôt suivi d’un second. Je me redresse et le regarde : « Prends-moi, je n’en peux plus. S’il te plaît… ».
Il sourit et m’embrasse, je sens sa queue se plaquer entre mes fesses, je bouge mes hanches pour la faire glisser dans ma raie trempée de mouille et de salive, je soupire, tendue, j’attends.
Soudain, je sens son gland à l’entrée de ma chatte, ma respiration s’arrête. Il le fait glisser sur mon clito, je répète « Prends-moi ! ». Je l’entends inspirer et sens soudain sa queue me pénétrer lentement, centimètre par centimètre. Mon corps se détend subitement, je plaque ma tête sur le capot et vais à sa rencontre jusqu’à le sentir buter au fond de moi. Je me serre autour de lui, c’est tellement bon d’être pleine.
Il se retire totalement, je me sens soudainement vide mais cela ne dure heureusement pas longtemps. Il me prend à nouveau, fort, vite, je gémis. Je pose ma main sur sa cuisse et la serre entre mes doigts, il commencer à bouger doucement.
Je sens son pouce jouer avec ma rondelle. Je n’avais jamais encore été enculée à cette époque, nous jouions souvent avec mon cul, un plaisir qu’il m’avait fait découvrir, mais n’étions jamais été allé jusqu’au bout. Je savais que la sodomie est une pratique qu’il aimait énormément, j’étais plutôt ouverte à l’idée mais quelques peurs très naturelles subsistaient encore et je ne me sentais pas prête à les affronter.
Il enfonce son pouce doucement dans mon cul en même temps que sa queue dans ma chatte. A son grand étonnement, j’ai toujours été très souple à ce niveau-ci, sans jamais ne m’être fait pénétrer. J’ai envie qu’il me prenne durement, je commence à m’agiter sur sa queue, imposant le rythme, faisant par la même occasion entrer son pouce totalement dans mon cul. Il me laisse faire quelques instants, je le sens tendu, avide. Je le suis aussi.
Je sens un second doigt se frayer un passage dans mon petit trou, sa queue grandit encore en moi, je soupire, j’aime cette sensation d’être prise intégralement.
Je me retourne et le regarde, ses traits sont durs, ses yeux me transpercent, je sens qu’il est prêt à jouir mais je sais au fond de moi que la soirée n’est pas finie.
Je l’embrasse en haletant et je décide sous l’impulsion « Encule-moi !». Son visage se transforme, ses yeux s’écarquillent, j’ai presque envie de rire face à sa surprise. – « Tu es sûre ? » me dit-il ? – « Oui ». Je m’aventure en terrain inconnu, j’ai peur, mais je sais qu’il fera tout pour que la « chose » se passe bien. Il m’embrasse avec passion, je sais qu’il a pleine conscience de ce que je lui offre à cet instant et de mes appréhensions, et me serre fort avant que je ne replonge sur le capot.
Je sens sa queue toujours en moi avant qu’il ne la retire doucement. Soudain, c’est sa langue qui vient titiller mon petit trou déjà dilaté. Il y plonge doucement son index tout en léchant le contour de ma rondelle...
Il bouge délicatement son doigt pour m’élargir, la sensation est précise, intense. Je saisis mes fesses pour les écarter afin de lui faciliter la tâche, son autre main joue avec ma chatte et il me pénètre de ses doigts pour multiplier mes sensations et me détendre. Un deuxième doigt effleure mon cul et trouve son chemin aux côtés de son index. Mon cul répond bien à ses sollicitations et se dilate à sa guise.
Il remonte le long de mon corps, m’attrape le cou pour me faire tourner la tête et m’embrasse. – « Tu es prête ? ». « Oui », je déglutis, je n’en suis pas sûre au fond, le sommes-nous jamais ? Mais je voulais vivre ça avec lui.
Je sens son gland se poser sur mon petit trou, ses mains me caressent le dos et les fesses tendrement, je commence à sentir sa queue se presser contre mon cul. Ma rondelle résiste, je commence à avoir un peu mal, je me contracte mais ses caresses me calment et m’apaisent. Il force un peu plus sur mon anneau pour permettre le passage de son gland, la douleur s’accentue alors quand je sens subitement que mon cul s’ouvre et laisse passer son bout.
C’est fait, il est entré. Il est large et je me sens déjà pleine alors qu’il n’a rentré que le début de sa queue en moi. Il râle, je sais qu’il doit être plus à l’étroit et serré qu’il ne l’a jamais été avec moi. Il ne bouge plus pendant quelques instants, le temps que je m’habitue à la sensation et en profite pour lubrifier le reste de sa verge afin de faciliter la suite des événements.
Il m’embrasse le dos et continue finement sa progression, par étapes. Je découvre cette sensation, étrange, d’être prise « par-là », c’est assez particulier, comme un corps étranger au début, quelque chose qui n’à rien à faire là.
Je respire par à-coups, il est entré, il est au fond. Je n’ai plus mal. Il reste profondément en moi. Mon corps commence à comprendre et à éprouver du plaisir, c’est encore flou mais mes perceptions évoluent. Il m’embrasse le dos, le cou, l’angle de la mâchoire, les lèvres. Il voit que je ne suis pas totalement à l’aise mais je sens dans son regard la confiance qu’il a en moi et en lui. Il commence lentement à bouger, sans trop d’amplitude au début mais il finit par ressortir complètement et reprendre mon cul.
Le passage est encore un peu douloureux mais cela s’estompe immédiatement, je tends une main pour me masturber en même temps, j’ai envie de combiner les plaisirs et voir leurs effets sur mon corps. Il accélère, je sais qu’il est à bout et qu’il retient sa jouissance.
Je le regarde, j’ai envie qu’il vienne, j’ai envie qu’il aille au bout et le sentir se déverser dans mes fesses. « Viens, jouis dans mon cul » je murmure. Il n’en faut pas plus, je le sens se tendre et libérer ce qu’il retient depuis de longues minutes déjà, juste pour profiter du moment et de l’érotisme de la situation. Il me prend, fort, à trois ou quatre reprises, je sens sa queue buter au fond de moi et ses couilles taper sur mes fesses. Je m’écrase sur le capot en gémissant de plaisir. D’un coup, je le sens se tendre à l’extrême. Il pousse un cri et plonge sa queue encore à quelques reprises dans mon cul. Je sens sa queue se contracter, étroitement enserrée...
Il tremble, moi aussi. Il s’effondre sur mon dos, sa queue toujours en moi, haletant, épuisé. Je sens sa queue se rétracter doucement. Je lui caresse la cuisse et sens ses lèvres sur ma joue. Je tourne la tête et l’embrasse, nos esprits sont ailleurs.
Après quelques minutes de ce doux délassement d’après l’amour, quand nous eûmes repris un peu possession de nos corps, il se redresse et se retire doucement de mon cul. Je prends appui sur la voiture pour en faire de même, je n’ai pas mal, la perception est étrange mais supportable.
Je le vois sous la lune, il est beau, dans sa nudité, sa fatigue, son regard. Je suis heureuse de nous avoir offert cette expérience ce soir.
C'était il y a 5 ans, nos récits s'écartent un peu du fait de nos mémoires respectives mais ce fut très excitant de les revivre ensemble.
J’avais 23 ans et lui 30 à l’époque. Je venais d’entrer comme stagiaire au sein d’un régiment militaire pour quatre mois. À notre première rencontre, j’ai immédiatement su que j’allais me mettre en chasse. Il n’avait pas grand-chose d’une proie facile mais j’ai toujours aimé la difficulté. Sa façon de serrer la main, si fort qu’il me broyait les doigts chaque matin ; son corps, musclé et compact ; sa voix, grave et profonde ; et ce laconisme dans les quelques mots qu’il m’adressait, contredit par l’expression de ses yeux, amusée et coquine. J’ai tout de suite eu une puissante envie de le percer à jour et plus si affinités.
Après 4 mois de traque et un flirt poussé (et très érotique) au régiment, j’ai enfin réussi à l’attirer chez moi. Je résidais temporairement chez ma mère à l’époque et devais mettre tout le monde à la porte pour pouvoir vivre quelques moments d’intimité en sa compagnie. Ainsi, nous avons souvent choisi de vivre nos aventures en plein air. J’avais la surprise du lieu à chaque escapade et bien que l’air soit parfois frais, ces soirées étaient extraordinairement chaudes.
L’histoire que nous avons envie de vous raconter aujourd’hui est celle de ma première expérience de la sodomie, au naturel si je puis dire.
Comme toujours, il est venu me chercher dans sa Mazda verte, une vieille voiture sur laquelle nous plaisantions souvent et qui a vu de nombreuse fois sa queue disparaitre dans ma bouche ou ma chatte remplie de ses doigts, pour le plus grand plaisir des routiers croisés sur l’autoroute. Comme à son habitude, il n’a pas attendu d’être arrivé pour commencer à m’exciter. Ses doigts m’ont effleuré la cuisse, se rapprochant petit à petit de mon intimité en retroussant ma robe. J’ai toujours apprécié qu’il n’ait pas besoin de ses deux mains pour conduire…
Je le sens me caresser tout autour de mon tanga, sans jamais me toucher plus en avant, ce qui a le don de me rendre folle. J’écarte les cuisses et me presse sur sa main en me renversant dans le siège. Je pars alors à la conquête de sa queue et griffe sa cuisse avant de me rapprocher de sa virilité que je saisis par-dessus son jean en la massant doucement. Il bande déjà, j’ai envie de le gouter.
Avant d’avoir pu commencer à essayer de le déshabiller, nous arrivons. Il glisse subitement un doigt dans ma chatte trempée, c’est bon, mais c’est trop peu, j’ai envie de plus. Nous sortons de la voiture pour trouver un terrain de jeu plus pratique. Je découvre que nous sommes sur un sentier, à quelques dizaines de mètres d’une route peu fréquentée, plongée dans le noir. Discret, mais pas trop, cela m’excite.
Il m’embrasse et me plaque sur le capot, me saisissant les fesses. Ses lèvres courent sur mon cou, il mordille mon oreille et ma clavicule, je frissonne. J’aime ça. J’attrape ses lèvres avec les miennes et me plaque contre lui, ma poitrine contre son torse. Il met sa cuisse entre les mienne et j’en profite pour appuyer mon bassin dessus, fort, en bougeant doucement.
Cette caresse apaise un peu l’envie que j'ai qu’il me pénètre, de me sentir pleine, de sentir sa queue bouger en moi. Je n’ai jamais été patiente. Je mords son cou tandis qu’il attrape un de me seins, fermement, il ne le ménage pas et j’aime ça, je sens son désir grimper à l’identique du mien.
Trouvant cette robe trop encombrante, il me déshabille rapidement, me laissant avec mes sous-vêtements blancs et mes talons. Il sort un de mes seins de son écrin et prend mon téton dans sa bouche me faisant gémir. Il le suce ardemment en empoignant le deuxième où il joue avec ses doigts sur mon téton, le pinçant doucement. Je plaque sa tête sur ma poitrine et oriente ses lèvres vers mon second sein, avide d’y sentir sa langue.
Je dégrafe mon soutien-gorge pour ne pas le voir batailler avec, c’est amusant comme un homme si doué de ses doigts peut se compliquer la vie avec deux agrafes. Ma poitrine libérée, il s’en saisit tandis que je récupère sa bouche et mordille ses lèvres.
Je le repousse et commence à le déshabiller, après lui avoir ôté son tee-shirt je déboutonne son jean et sens son membre frémir sous la pression de mes doigts cherchant les boutons. Jo a une queue magnifique, 18.5cm, épaisse, lisse et douce. Il me remplit parfaitement malgré ma capacité d’accueil insoupçonnée.
Je plaque ma main sur son boxer en l’embrassant et saisis fermement sa queue en glissant ma main de haut en bas. Je la sens se dresser. Je décolle doucement l’élastique de son boxer et effleure son gland de mon pouce en y récupérant la goutte qui perle pour l’humidifier et en faire le tour.
Je glisse mes mains le long de son torse et descends son boxer en dégageant habilement sa queue. J'ai un genou à terre et ne me redresse pas. Elle est devant moi, bandée à l’extrême, j’ai faim.
J’enroule mes doigts autour de sa verge et la caresse doucement, finissant de dévoiler son gland gonflé. J’alterne les pressions en caressant sa cuisse de ma main gauche de plus en plus près de ses couilles. Je le regarde, je sais ce qu’il attend tandis qu’il passe sa main tendrement dans mes cheveux. Je dévoile totalement son gland, me lèche les lèvres et pose le bout de ma langue tout au bout, subtilement.
Je la fais glisser de haut en bas avant de l’enrouler progressivement autour de son bout puis de le prendre dans ma bouche, j’aspire doucement sans bouger, laissant ma langue faire le tour de sa collerette, si sensible, pour le sentir frémir entre mes doigts.
Sa main se plaque sur ma tête et je le regarde en desserrant les lèvres pour le prendre d’un coup, le plus loin possible dans ma gorge. Je reste là un instant pour l’entendre gémir avant de commencer à glisser réellement ma bouche le long de sa verge. Ma main le branle en cadence, sa queue est trop grosse pour que je la prenne en entier mais je m’applique à la faire entrer le plus loin possible en saisissant ses cuisses pour le plaquer sur moi. J’accélère et reviens jouer tout au bout de son gland laissant ma main le branler comme il me l'a appris.
Je l’aspire fortement entre mes lèvres et fais buter le long de ma joue en le faisant glisser. A nouveau je détends ma gorge au maximum pour le prendre au fond, à plusieurs reprises. J’essaie d’oublier mes réflexes physiques et le garde de longues secondes au fond de ma gorge en enroulant ma langue à la base de la queue.
Alors que la sors pour déglutir et respirer, il m’attrape et me redresse, plonge ses yeux dans les miens et m’embrasse violemment. Je goute dans ce baiser tout le plaisir que je lui ai donné en le suçant, sa voix est rauque, son regard est intense, ses mains se posent sur mes seins juste avant ses lèvres, je le sens prêt à me dévorer.
Il me retourne et me plaque sur le capot de la voiture, mes mains sur le pare choc. Je sens ses doigts effleurer mon corps et descendre le long de ma taille et de mes hanches, il appuie en bas de mon dos pour me faire me cambrer et du genou, écarte mes cuisses.
Ses mains commencent à caresser doucement mes fesses, lentement. Il joue à la lisière de mon tanga et s’approche dangereusement de ma chatte, ma respiration s’accélère, je suis trempée, j’ai envie qu’il me touche. Me sens mon tanga glisser le long de mes jambes, me laissant nue avec mes seuls talons sous la lumière de la lune.
Il reprend ses caresses, continuant à mettre mon corps sous pression, j’ondule sous sa main pour qu’elle touche enfin mes lèvres. D’une claque brève sur fesses il m’intime d’arrêter de bouger. Je crie, surprise et me cambre encore plus pour lui offrir mon cul et ma chatte avides…
Je sens un doigt descendre entre mes fesses et caresser furtivement mon petit trou. J’ai un frisson. Sa main continue à descendre pour attraper habilement mes lèvres et les faire coulisser entre-elles, massant mon clitoris à chaque mouvement. Je mouille abondamment facilitant la manœuvre. Il glisse enfin un doigt entre mes lèvres et le fait courir de mon clito à mon cul, mouillant ainsi ma rondelle.
Ses mains me quittent soudain, je n’ai pas le temps de me retourner que je le sens écarter mes fesses et poser sa langue sur mon petit trou. Je me tends dans un râle sous cette caresse si spéciale, tout mon corps est aux aguets. Je le sens jouer avec sa langue autour de ma rondelle avant de s’agenouiller et de saisir mon clito entre ses lèvres. Il le suce ardemment, j’ai les jambes qui tremblent, je sens sa langue se présenter à l’entrée de ma chatte et me pénétrer doucement.
Il me prend les mains et les pose sur mes fesses pour que je les tienne bien écartées, sa langue remonte sur mon petit trou tandis qu’un doigt commence à me pénétrer.
J’enfonce mes ongles dans la peau de mes fesses, je ne suis plus capable de réfléchir. Son doigt s’enfonce au fond de ma chatte, bientôt suivi d’un second. Je me redresse et le regarde : « Prends-moi, je n’en peux plus. S’il te plaît… ».
Il sourit et m’embrasse, je sens sa queue se plaquer entre mes fesses, je bouge mes hanches pour la faire glisser dans ma raie trempée de mouille et de salive, je soupire, tendue, j’attends.
Soudain, je sens son gland à l’entrée de ma chatte, ma respiration s’arrête. Il le fait glisser sur mon clito, je répète « Prends-moi ! ». Je l’entends inspirer et sens soudain sa queue me pénétrer lentement, centimètre par centimètre. Mon corps se détend subitement, je plaque ma tête sur le capot et vais à sa rencontre jusqu’à le sentir buter au fond de moi. Je me serre autour de lui, c’est tellement bon d’être pleine.
Il se retire totalement, je me sens soudainement vide mais cela ne dure heureusement pas longtemps. Il me prend à nouveau, fort, vite, je gémis. Je pose ma main sur sa cuisse et la serre entre mes doigts, il commencer à bouger doucement.
Je sens son pouce jouer avec ma rondelle. Je n’avais jamais encore été enculée à cette époque, nous jouions souvent avec mon cul, un plaisir qu’il m’avait fait découvrir, mais n’étions jamais été allé jusqu’au bout. Je savais que la sodomie est une pratique qu’il aimait énormément, j’étais plutôt ouverte à l’idée mais quelques peurs très naturelles subsistaient encore et je ne me sentais pas prête à les affronter.
Il enfonce son pouce doucement dans mon cul en même temps que sa queue dans ma chatte. A son grand étonnement, j’ai toujours été très souple à ce niveau-ci, sans jamais ne m’être fait pénétrer. J’ai envie qu’il me prenne durement, je commence à m’agiter sur sa queue, imposant le rythme, faisant par la même occasion entrer son pouce totalement dans mon cul. Il me laisse faire quelques instants, je le sens tendu, avide. Je le suis aussi.
Je sens un second doigt se frayer un passage dans mon petit trou, sa queue grandit encore en moi, je soupire, j’aime cette sensation d’être prise intégralement.
Je me retourne et le regarde, ses traits sont durs, ses yeux me transpercent, je sens qu’il est prêt à jouir mais je sais au fond de moi que la soirée n’est pas finie.
Je l’embrasse en haletant et je décide sous l’impulsion « Encule-moi !». Son visage se transforme, ses yeux s’écarquillent, j’ai presque envie de rire face à sa surprise. – « Tu es sûre ? » me dit-il ? – « Oui ». Je m’aventure en terrain inconnu, j’ai peur, mais je sais qu’il fera tout pour que la « chose » se passe bien. Il m’embrasse avec passion, je sais qu’il a pleine conscience de ce que je lui offre à cet instant et de mes appréhensions, et me serre fort avant que je ne replonge sur le capot.
Je sens sa queue toujours en moi avant qu’il ne la retire doucement. Soudain, c’est sa langue qui vient titiller mon petit trou déjà dilaté. Il y plonge doucement son index tout en léchant le contour de ma rondelle...
Il bouge délicatement son doigt pour m’élargir, la sensation est précise, intense. Je saisis mes fesses pour les écarter afin de lui faciliter la tâche, son autre main joue avec ma chatte et il me pénètre de ses doigts pour multiplier mes sensations et me détendre. Un deuxième doigt effleure mon cul et trouve son chemin aux côtés de son index. Mon cul répond bien à ses sollicitations et se dilate à sa guise.
Il remonte le long de mon corps, m’attrape le cou pour me faire tourner la tête et m’embrasse. – « Tu es prête ? ». « Oui », je déglutis, je n’en suis pas sûre au fond, le sommes-nous jamais ? Mais je voulais vivre ça avec lui.
Je sens son gland se poser sur mon petit trou, ses mains me caressent le dos et les fesses tendrement, je commence à sentir sa queue se presser contre mon cul. Ma rondelle résiste, je commence à avoir un peu mal, je me contracte mais ses caresses me calment et m’apaisent. Il force un peu plus sur mon anneau pour permettre le passage de son gland, la douleur s’accentue alors quand je sens subitement que mon cul s’ouvre et laisse passer son bout.
C’est fait, il est entré. Il est large et je me sens déjà pleine alors qu’il n’a rentré que le début de sa queue en moi. Il râle, je sais qu’il doit être plus à l’étroit et serré qu’il ne l’a jamais été avec moi. Il ne bouge plus pendant quelques instants, le temps que je m’habitue à la sensation et en profite pour lubrifier le reste de sa verge afin de faciliter la suite des événements.
Il m’embrasse le dos et continue finement sa progression, par étapes. Je découvre cette sensation, étrange, d’être prise « par-là », c’est assez particulier, comme un corps étranger au début, quelque chose qui n’à rien à faire là.
Je respire par à-coups, il est entré, il est au fond. Je n’ai plus mal. Il reste profondément en moi. Mon corps commence à comprendre et à éprouver du plaisir, c’est encore flou mais mes perceptions évoluent. Il m’embrasse le dos, le cou, l’angle de la mâchoire, les lèvres. Il voit que je ne suis pas totalement à l’aise mais je sens dans son regard la confiance qu’il a en moi et en lui. Il commence lentement à bouger, sans trop d’amplitude au début mais il finit par ressortir complètement et reprendre mon cul.
Le passage est encore un peu douloureux mais cela s’estompe immédiatement, je tends une main pour me masturber en même temps, j’ai envie de combiner les plaisirs et voir leurs effets sur mon corps. Il accélère, je sais qu’il est à bout et qu’il retient sa jouissance.
Je le regarde, j’ai envie qu’il vienne, j’ai envie qu’il aille au bout et le sentir se déverser dans mes fesses. « Viens, jouis dans mon cul » je murmure. Il n’en faut pas plus, je le sens se tendre et libérer ce qu’il retient depuis de longues minutes déjà, juste pour profiter du moment et de l’érotisme de la situation. Il me prend, fort, à trois ou quatre reprises, je sens sa queue buter au fond de moi et ses couilles taper sur mes fesses. Je m’écrase sur le capot en gémissant de plaisir. D’un coup, je le sens se tendre à l’extrême. Il pousse un cri et plonge sa queue encore à quelques reprises dans mon cul. Je sens sa queue se contracter, étroitement enserrée...
Il tremble, moi aussi. Il s’effondre sur mon dos, sa queue toujours en moi, haletant, épuisé. Je sens sa queue se rétracter doucement. Je lui caresse la cuisse et sens ses lèvres sur ma joue. Je tourne la tête et l’embrasse, nos esprits sont ailleurs.
Après quelques minutes de ce doux délassement d’après l’amour, quand nous eûmes repris un peu possession de nos corps, il se redresse et se retire doucement de mon cul. Je prends appui sur la voiture pour en faire de même, je n’ai pas mal, la perception est étrange mais supportable.
Je le vois sous la lune, il est beau, dans sa nudité, sa fatigue, son regard. Je suis heureuse de nous avoir offert cette expérience ce soir.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Sa première sodomie - Sa version (Elle)
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<