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Sauvageries à Moréa

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Lue : 20858 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/05/2011

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Baby n’allait pas bien, depuis un moment, fatiguée, sans force, la moindre chose à faire lui coutait, son moral au plus bas. Elle qui était une battante était comme une loque, elle ne quittait sa chambre d’étudiante que pour ses cours et pour acheter des plats tout fait. Le reste du temps elle gardait le lit, la tête pleine de soucis.


Seul, Pierre, prévenu de ses afflictions essayait en vain de par ses messages de la consoler. En ce moment il fait une chaleur étouffante dans la chambre, Baby est allongée vêtue d’uns nuisette légère sur son lit défait. Mélancolique elle rêvasse à tout et à rien. Qu’ils sont loin les soirs où elle se faisait jouir en se caressant, que son sommeil était lourd alors après le plaisir intense qui inondait tout son corps. Comment remonter la pente, comment retrouver sa vitalité après cette dépression qui la laissait sans force.


Un frappement discret sur la porte, une poignée qui tourne, non ! Comment cela serait il possible ? Cet homme dans sa chambre, devant elle allongée sur son lit, c’est Pierre, il ressemble à la photo de lui qu’elle garde précieusement, il parait plus jeune, plus grand, il ne sourit pas, il est inquiet, intimidé de voir enfin celle qu’il chérit dans leur monde irréel.
Il s’agenouille auprès du lit, son visage proche du sien, il ne dit rien, son regard enveloppe celle qui l’a inquiété au point de prendre tous les risques, le risque de tout perdre.


« Je n’ai pu résister Baby, quand tu m’as dit que cela n’allait pas, il fallait que je vienne……que puis je faire pour toi ?……parle moi….. soulage toi…..je suis là….à deux nous serons plus fort……Tu es belle ma Baby…..je serais heureux de t’aider… tu le sais »
« Oui Pierre je le sais, c’est pour cela que j’espérais que tu viennes…..et tu es là…merci…..assis toi près de moi……prends moi dans tes bras….réchauffe moi….j’ai froid malgré la chaleur de la chambre… »


Alors Pierre la prit dans ses bras, chastement, Baby levée s’était assise à ses côté, à sa gauche, au bord du lit. Ils restèrent comme cela sans rien dire, le visage de Baby lové au creux des épaules de Pierre, ses lèvres dans son cou.
Pierre n’osais bouger, il ne voulait pas que Baby se méprenne sur ses intentions, sur la pureté de son geste. Malgré la beauté de Baby, la gracilité de son corps que la nuisette mettait en valeur plus qu’elle ne le cachait, sa chaleur qui l’envahissait il restait comment dire…..comme un père protecteur ?... je ne trouve pas le mot qui convient.


Pourtant il ne pouvait pas être insensible à cet être fragile confiant en lui, en sa force, à sa douceur. Qu’elle était belle ainsi offerte dans ses bras, il devinait ses jeunes seins dressés, son ventre, sa nuisette retroussée révélant ses cuisses sombres, parfaites. Ils restèrent ainsi les yeux fermés, sans rien se dire, ils étaient bien tous les deux. Ils semblaient dormir.


Un frisson parcouru le corps de Baby, elle s’était assoupie d’un sommeil léger ignoré depuis longtemps, elle avait rêvé, elle ne savait plus trop à quoi mais c’était un beau rêve, elle avait un peu froid, la fièvre sans doute.
« Réchauffe moi mon Pierre, caresse moi…oui merci…..continue….. »
Pour rester dans le rôle de réconfort qu’il s’était fixé Pierre lui massa chastement le dos, les épaules, les bras…… »
« Continue mon Pierre cela me fait du bien…..tu masses bien….tes mains sont douces …..elles sont chaudes…..tu peux m’embrasser tu sais…. »


Malgré le désir qu’elle lui inspirait Pierre résista à son envie de la caresser de partout, ses seins, son ventre….enfin tout quoi !……mais il ne le fit pas…..attendant une demande plus précise. Si elle ne venait pas il saurait se tenir, heureux d’avoir soulagé sa Baby l’espace d’un moment…..
Le visage de Baby se dégagea doucement du nid où elle se trouvait si bien et plongea son regard, rivé dans celui de Pierre. Ils s’observèrent longuement en silence, chacun cherchant dans les yeux de l’autre l’état de son âme.


Une lumière s’était allumée dans les yeux de Baby et Pierre en fut heureux. Comme il aurait aimé lui communiquer sa force, son énergie.
Dans celui de Pierre Baby lisait la gentillesse d’abord, il la couvait tendrement du regard, il était fort, elle le sentait ; avec lui elle ne craignait plus rien. Il l’attirait irrésistiblement et elle avança ses lèvres ;
« Embrasse-moi chéri » lui dit elle en fermant ses beaux yeux sombres »


Elle sentit sa bouche sur ses lèvres et elle s’ouvrit sur lui, sur sa langue qu’elle prit au creux de la sienne. Que c’était bon ! Depuis leur voyage à Cannes elle n’avait rien connu de plus bouleversant, c’était comme un feu qui s’allumait en elle ? Bouches grandes ouvertes ils s’aspiraient entremêlant leurs deux muqueuses à la limite de la douleur, c’est comme s’ils avaient envie de se dévorer, de ne faire qu’un. Avec leurs mains dans les cheveux de l’autre ils s’attiraient fort pour se pénétrer davantage. Leurs souffles étaient courts et se conjuguaient en une douce musique.


Quand ils se désunirent et qu’ils se regardèrent à nouveau, leurs yeux riaient et heureux de s’être retrouvée ils se penchèrent l’un contre l’autre et s’embrassèrent, leurs bouches dans la douceur de leurs cous.
En cet instant Pierre avait envie de la prendre dans ses bras de la caresser, de la faire jouir, il savait ce qu’elle aimait mais il s’abstint il n’était venu que pour la réconforter lui faire prendre un nouveau départ.
« Pierre je vais m’allonger….j’ai froid…..viens contre moi……oui…..serre toi contre moi…..c’est bon….tu es chaud……je sens ta chaleur…..merci….je suis heureuse que tu sois venu……frictionne moi……. »


Avant de s’allonger près d’elle Pierre avait simplement quitté son pantalon pour ne pas salir le lit et il s’était plaqué sur elle, seuls sa chemise, son boxer et la nuisette relevée le séparaient des fesses de Baby masquées d’une adorable petite culotte, sorte de short en lainage noir. Pour lui communiquer sa chaleur il s’était collé contre elle, sa poitrine sur son dos, son ventre à hauteur de ses fesses et ses cuisses pliées collées aux siennes. Il la ceinturait avec son bras droit pour mieux la plaquer contre lui.
« Pierre….mes seins sont glacés…..caresse les…..réchauffe les… oui…..merci mon Pierre….. »



Alors avec sa main il frôla sa belle poitrine, prenant chaque sein à pleine main pour les masser doucement, ils étaient froids en effet et il se passa un bon moment avant qu’il les sente se gonfler et durcir en se réchauffant, il n’osa pas prendre entre ses doigts ses tétons raidis. Il descendit sa main sur son ventre nu, sur l’avant de ses cuisses repliées avant de la faire aller et venir sur son corps parfait qu’il connaissait et avant de fixer la paume de sa main sur ses deux seins en les serrant l’un contre l’autre.

C’est dans cette position, encastré chastement l’un contre l’autre qu’ils s’endormirent…..



Le jour pointait, sans dire un mot, ils s’étaient réveillés blottis l’un contre l’autre dans la tiédeur du lit, Baby faisant mine de dormir confortait sa position en encastrant ses fesses contre le ventre de Pierre .Elle ne pouvait ignorer l’effet qu’elle lui faisait et la raideur qu’elle sentait contre elle.

« Pierre ! tu dors ?... »

« Non ma chérie, je suis réveillé depuis un moment….je suis bien….et toi ? »

« Très bien, j’ai bien dormi….j’ai fait un beau rêve…. »

« Tu t’en souviens ? »

« Oui nous étions tous les deux dans une île paradisiaque, sur une plage de sables d’or, bordées de palmiers qui nous faisaient une ombre claire, nous étions nus pour nous baigner dans l’eau bleue du lagon….. »

« C’est précis comme souvenir…. »

« C’est normal je viens de me réveiller il y a une minute nous faisions les fous dans les vagues….. »

« On peut y aller si tu es libre…… »

« Que dis tu ? »
« Je dis que si tu es libre, si tu veux on part demain à Moréa ? »

« Oh oui ! Partons, je le veux, j’en ai besoin, du soleil, la mer, de toi ! Mais avant profitons mon Pierre….caresse moi les fesses…..fais moi jouir…..comme tu sais le faire….j’en rêve depuis longtemps …… »


Alors Pierre ébloui pris possession de ce corps qu’il aimait tant, en posant sa main sur la hanche droite de Baby en la caressant, en la pétrissant doucement, elle redescendit sur la fesse voisine l’écartant de sa sœur jumelle pour ouvrir le passage en écartant sa culotte. Il n’eut pas besoin de mouiller ses doigts de salive car il trouva la raie ouverte inondée du miel de sa chatte. Baby excitée par les perspectives mouillait abondamment.


Pierre savait qu’il devait la pénétrer rapidement car c’est ce qu’elle aimait mais il s’attarda entre ses fesses, entre ses cuisses ouvertes, dans sa raie, entre ses lèvres intimes avec sa main, merveilleux instrument fait pour çà semble t’il. Son pouce s’enlisa sans aucun mal dans l’anus, les deux doigts suivant dans sa chatte tandis que les deux doigts restant recherchèrent plus haut son clitoris caché dans son petit capuchon.


Baby facilita sa tache en s’ouvrant, en se tortillant, en roulant des fesses, elle ponctuait les pénétrations de » ouiiiiii « encourageant ou des » C’est bon , continue, des plus vite, des plus fort » Mais durant ces préliminaires passant son bras en arrière elle glissa sa main entre les cuisses de Pierre, elle l’aida à quitter son boxer qu’ils envoyèrent balader au diable. Alors saisissant sa queue pour constater sa bonne forme elle lui dit en minaudant
« Aller prends moi maintenant, glisse ta grosse queue dans ma chatte comme tu sais le faire….fais moi jouir…. »


Alors se fut fulgurant ; l’intensité de leur jouissance n’eut d’égal que sa brièveté ; Les yeux dans les yeux, chacun vit le moment où le plaisir les submergea, ils prirent bien soin de jouir ensemble et ce fut merveilleux.


Ils étaient allongés maintenant sur le dos, cote à cote, se donnant la main, heureux de s’être retrouvés, heureux d’avoir bien joui si fort. Baby avait quitté sa nuisette mettant à jour ses jeunes seins mordorés , biens ronds, biens fermes. Qu’elle était belle ainsi, offerte, ses longs cheveux bouclés sur ses épaules graciles, ses bras ouverts, sa taille étroite, son ventre, ses cuisses nues et surtout son sourire indéfinissable qui ornait son visage, sa bouche, ses lèvres entre ouvertes qui semblaient dire :
« Occupe toi bien de moi, caresse moi longuement, fais moi jouir mille fois mon chéri, j’en ai besoin, prends ton temps maintenant, nous avons toute la journée….. »


Quand Pierre la regarda le doute n’était plus permis, dans les yeux sombres de Baby c’était comme une invitation, presqu’une prière. Pierre connaissait ce regard, ce besoin de caresses qui s’exprimait ainsi, sans un mot, sans un geste. Il était allongé à ses côtés sur sa droite, tourné vers elle, leurs deux visages proches, il la prit dans ses bras et commença ses caresses, sa main sur ses seins, son ventre, ses cuisses, ce n’étaient que des frôlements de doigts indiscrets qui allaient et venaient sur ce corps merveilleux qui anticipait ses caresses en s’offrant, en allant au devant d’elles, en ondulant langoureusement, en s’ouvrant pour mieux les accueillir.


Baby souriait, elle était bien. De temps à autre elle fermait ses jolis yeux pour mieux apprécier la sensation, le bien être qui l’inondait, elle sentit, des lèvres dans son cou, sur sa bouche, une main dans ses cheveux, l’autre qui lui prenait un sein, que c’était bon mais quand la bouche de Pierre descendit sur son torse sur le sein délaissé et que de la pointe de sa langue il lapa son téton elle poussa un petit cri de surprise. Seule elle adorait se caresser ainsi mais là tout la surprenait, Pierre était son maître, il malaxait sa poitrine souple, comment dire, fermement mais en douceur ; avec sa bouche grande ouverte il aspirait son mamelon avant de pincer son téton entre ses lèvres, entre ses dents.


De ses mains libres Pierre continuait ses caresses sur son ventre, à l’intérieur si doux de ses cuisses nues. Par moment il se penchait sur elle et les pointes de leurs poitrines se frôlaient et ce n’était pas moins jouissif, au contraire ; enlacés ainsi ils purent s’embrasser, mêler leurs langues, se lécher le cou, leurs oreilles, leurs doigts, le dessous des bras, se mordiller les épaules avant que les mains de Pierre, sa bouche, sa langue, attirées par les rondeurs de ses seins ne replongent sur eux. Baby redressée lui rendait ses caresses, ses mains sur sa poitrine bombée, elle embrassa ses tétons, massa ses épaules, mis ses doigts dans les boucles de ses cheveux bruns, elle souriait manifestement heureuse. Elle se rallongea quand Pierre se redressant, à genoux s’installa face à elle entre ses cuisses ouvertes.



La situation était plus pratique, plus favorable pour des caresses symétriques. Baby était offerte, Pierre n’avait qu’à se pencher pour profiter de son corps, il caressa sa poitrine, son ventre et quand la prenant à la taille par-dessous, il décolla son dos de la couche arquant son corps, ses seins gonflés pointèrent montrant la fermeté de ces harmonieux volumes bandés par le plaisir. Alors de nouveau Pierre tout en caressant le corps, les jambes, les cuisses de Baby repris possession de ses seins avec sa bouche , avec ses mains. Ils étaient fermes et souples à la fois, ils furent léchés, aspirés, pelotés à tour de rôle pour le plus grand plaisir de Baby qui ne pouvait cacher son émoi, bouche ouverte, tête renversée elle gémissait et quand aspiré entre les lèvres de Pierre un téton étirait son sein elle ne pouvait retenir des petits cris de surprise.



Pierre était comme envoûté par tant de beauté, ses mains descendirent sur le ventre de Baby, s’attardèrent entre ses cuisses sur son espèce de short de lainage et symétriquement caressèrent ses jambes, ses cuisses, ses genoux relevés. Puis relevant ses longues jambes jointes, calées sur sa poitrine il put les lécher longuement en continuant de les caresser et il trouva du plaisir à sucer ses pieds en les prenant dans sa bouche, en insérant sa langue entre ses orteils. Il téta chaque pouce et cela fit hurler Baby étonnée.


Ils reprirent la position initiale, enfin presque, les jambes de Baby allongées, réunies, légèrement écartées sur la droite de Pierre. Alors ses mains de celui-ci se centrèrent sur son ventre, entre ses cuisses et au travers de l’étoffe de sa culotte, pouce en avant, commencèrent à palper la boursouflure de sa chatte, doucement, très doucement en cherchant sous le tissu les lèvres de ce fruit caché. Baby commença à onduler en s’ouvrant une cuisse en appui sur celle de Pierre, les hanches relevées, pour laisser plus de champ à ses mains en dégageant ses fesses, l’une entretenait son plaisir sur son sexe tandis que l’autre caressait ses cuisses, son ventre, ses seins .


De nouveau Pierre s’était installé entre ses cuisses et en se penchant sur elle il pouvait lui mordiller le ventre avant de remonter sur ses seins en les léchant par-dessous pour remonter, langue déployée vers leurs pointes qu’il aspirait. Finalement les mains sous ses fesses, sa bouche descendit encore et prenant la ceinture de sa culotte entre ses dents il tira sur le tissu pour tenter ainsi de la décalcifier ; j’adore ce mot à double sens, mais pour l’heure il s’agissait de la dénuder, de la mettre à nue. Pierre fut surpris de voir sous le short la soie d’un adorable string violet brodé de blanc, alors délaissant le lainage il prit la ceinture du string dans sa bouche et tira dessus imaginant l’effet de la ficelle roulant cachée entre les lèvres de la chatte de Baby.


Cela se précisait donc, Baby se tortillait sous lui. Pierre glissa une main sur son ventre, sous le devant du string et pour la première fois ses doigts s’enlisèrent entre les grosses lèvres de sa chatte inondée. Il entreprit de quitter le short en premier en le démoulant de ses fesses ; il le fit glisser sur les cuisses, puis sur les jambes relevées , arrivé aux chevilles il ne put résister à ce qu’il voyait, les fesses écartelées de Baby ne cachant plus rien dans sa raie, son anus mignon, sa chatte entre ouverte, son ventre, son nombril, alors il plongea, son visage, sa bouche, sa langue et d’une lippée rapide, sa bouche grande ouverte fit le chemin qui va de sa mignonne rondelle bistre jusqu’au ventre en passant entre les grosses lèvres de sa vulve. Ce fut fugace, irrésistible pour Baby qui poussa un grand cri, surprise, comme foudroyée, en se dégageant en un fouettement des jambes.


De nouveau côte à côte Ils ne purent retenir leurs rires qui présageaient bien de ce qui allait suivre. Seul son string protégeait maintenant Baby de sa nudité, faible rempart contre l’envie qui les dévorait. Pierre calé entre ses cuisses n’eut qu’à tendre la main pour lui caresser la chatte sur le fin tissu, il mouilla de salive les doigts d’une main et n’eut aucun mal, par-dessous, entre ses fesses, à trouver sa vulve là où le string n’est qu’une simple ficelle, il mouilla abondamment la partie mole de son pouce qu’il cala sur le capuchon de clitoris tandis qu’avec ses autres doigts il palpait délicatement ses petites lèvres gorgées de sang. Avec l’autre main il entretenait l’émoi de Baby en la caressant de partout, son ventre, ses cuisses, ses seins qu’il pétrissait. Baby commençait à bouger, elle gémissait, les yeux fermés, elle ondulait des hanches, avançait son ventre pour montrer à Pierre l’intensité du plaisir qu’il lui donnait. Alors de temps en temps il se penchait sur elle, sur son corps merveilleux et il prenait et reprenait ses seins durcis par le plaisir dans sa bouche.


Ses deux mains étaient maintenant réunies sur son ventre et entre ses cuisses, l’une par devant écartait son string, les doigts sur le mon de vénus, le pouce sur le clitoris tandis que l’autre par-dessous entre ses fesses doigtaient les lèvres de sa vulve. Pierre se pencha sur elle pour embrasser son ventre, sa bouche descendit sur le string et il entreprit de l’enlever avec ses dents en reculant son visage. Pour l’enlever complètement il le fit glisser sur ses cuisses à la main avant de le jeter au diable sans précaution. Ils étaient nus tous les deux, beaux comme des dieux, Baby toute alanguie par tant de caresses était offerte, un sourire sur ses lèvres attendant la suite. Elle regardait son Pierre excité comme elle .


Par de simples gestes Baby compris de se mettre à croupetons, elle se retourna à genoux, le buste penché, les bras en appui sur le lit, les fesses bien relevées, en levrette quoi ! Pierre à genoux lui aussi installé derrière elle entre ses cuisses il lui ouvrit ses fesses et de nouveau se penchant sur elle il lécha la raie, plusieurs fois en s’attardant sur son petit gouffre. Chaque aller et retour de sa langue était ponctué de gémissements d’aise de Baby qui semblait apprécier ces caresses subtiles d’autant que les mains de Pierre visitaient tout son corps, son dos, massant ses épaules, ses cuisses, ses seins et l’intérieur de ses cuisses en passant sous son ventre.


Pierre mis sa main droite dans sa bouche pour enduire ses doigts de salive et Baby les sentit s’agiter entre ses cuisses, sur les lèvres de sa chatte, ce n’était qu’une sorte de longs fourmillements du simple bout des quatre doigts mais cela suffit à enflammer Baby qui montrait son plaisir par des gémissements langoureux. Le pouce se joignit à la fête en s’enfonçant lui entre les grosses lèvres en les massant doucement, en surface, en titillant au passage les petites lèvres, les autres doigts malaxant la vulve gonflée de Baby. Pierre pu mesurer le plaisir qu’il donnait aux ondulations de cette croupe qui s’offrait sous ses yeux, alors à nouveau son visage plongea entre ses fesses admirables et il lui bouffa le cul, la pointe de sa langue centrée sur son anus mignon. Cela, plus les caresses de sa main gauche sur elle amena Baby à son premier orgasme.


Pour mieux jouir elle se redressa à genoux et se reculant elle se lova dans les bras de Pierre son dos collé sur sa poitrine. La main de Pierre n’avait pas quitté l’entrejambes mais maintenant Baby pouvait lui rendre ses caresses, passant son bras droit en arrière elle pu saisir son membre qui pulsait entre ses doigts et elle eut du plaisir à le manipuler d’autant qu’ainsi placée les caresses de Pierre étaient encore plus jouissives. Il avait passé ses deux bras par devant et avec ses deux mains, son armée de doigts il pétrissait sa chatte malaxant ses lèvres.


Le visage de Pierre derrière le sien, elle sentait son souffle court dans son cou, lui aussi était excité par la petite branlette qu’elle lui faisait ; avec sa bouche il l’embrassait, son dos, son cou, il mordillait son épaule, de temps à autre une main quittait sa chatte pour empaumer ses seins raidis par le plaisir avant de revenir se vautrer entre ses cuisses. Qu’ils étaient bien dans ces tendres préliminaires et dans la tête de Baby elle imaginait le plaisir qu’elle aurait quand cette verge énorme qu’elle branlait fermement lui défoncerait la chatte.


A cette pensée elle se remit en position de levrette recevant au passage une petite claque amicale sur ces fesses. Mais Pierre la dirigea la remettant sur le dos et à nouveau à genoux entre ses cuisses écartées il s’allongea sur elle pour une suite de baisers langoureux. Leurs bouches étaient heureuses de se joindre à nouveau, leurs langues enlacées. Pierre pétrissait ses seins d’une plasticité admirable. Baby pouvait jouir par les seins, Pierre le savait et il s’occupa d’eux, enfin du sein droit de Baby qui, elle, se caressait le gauche tout aussi gonflé de désir. Il tira sur le téton bien formé en le faisant rouler, pincé entre le bout de deux doigts, le pouce et l’index bientôt rejoint par sa langue qui s’affola sur cette pointe durcie tirant de Baby des petits cris déchirants à chaque coup de langue.


Pierre se retira en arrière en s’inclinant, son visage maintenant entre les cuisses de Baby, et quand sa bouche s’avança sur la chatte offerte, que sa langue s’inséra entre ses lèvres, Baby poussa un cri une main sur chaque sein pour les peloter convulsivement. Les préliminaires prenaient une autre dimension car qui mieux qu’une bouche, une langue, des lèvres, un nez peut égaler leurs effets sur une vulve en chaleur, sur des petites lèvres, sur un clitoris gorgé de sang? Rien ! sauf si des mains, leurs doigts se joignent à la fête en frôlant, en pinçant les parties charnues de la chatte avant de la pénétrer.


La langue de Pierre s’activait sur le capuchon du clitoris de Baby , largement déployée, toutes papilles dehors elle s’agitait en allant et venant en tout sens entre ses grosses lèvres ou alors en pointe elle affolait les petites lèvres par le travers tout en les suçant, en les aspirant, en les mâchonnant. Dans cette position Pierre pouvait guetter le visage de Baby, c’était sa récompense de le voir irradié de plaisir, cela le guidait pour le choix de ses caresses, sur leurs intensités, leurs rythmes ; ses mains, ses doigts avaient rejoint sa bouche, le clitoris relevé, sucé, pincé entre deux doigts. Par moment la main seule lui faisait minette, quatre doigts sur la bosse du mont de Vénus, le pouce fouaillant le petit sexe érecté ; à d’autres, bouche grande ouverte Pierre aspirait le fruit charnu de sa vulve comme s’il voulait la dévorer, avec ses lèvres, avec sa langue avec en contrechant un bruit de sussions mouillées qui les bouleversait.


Pierre avait les yeux fixés sur le ventre de Baby, sur les trésors qui s’offraient à lui, cette belle chatte sombre imberbe qui ne cachait rien, son clitoris bien gonflé dans son antre, ses petites lèvres délicates si sensibles à ses caresses émergeant du fruit fendu de ses grosses lèvres ; ce ventre qui ondulait. Avec ses doigts il ouvrait le passage pour lécher à son aise avec la pointe de sa langue cet endroit sensible à l’extrême, là où les petites lèvres se rejoignent à la naissance du clitoris. Il s’appliqua longuement en variant les mouvements de sa langue, il s’efforçait de suivre les mouvements chaotiques de ce ventre, les gémissements de Baby le confortait dans sa manière de faire, elle se triturait les seins, les bras en croix, bouche ouverte, le souffle court, les yeux fermés pour rester dans le monde du plaisir, alors Pierre de sa main libre, paume en l’air sous sa bouche glissa doucement son majeur dans sa vulve, première pénétration profonde de sa chatte, l’orgasme éclata fulgurant.


Baby jouissait comme elle aimait, ce bref moment où elle ne contrôlait plus rien, où son tout corps était irradié par un spasme puissant de plaisir. Elle aimait aussi le retour à la réalité, le moment où elle était simplement bien, désireuse de nouvelles caresses, de pénétrations profondes qui la feraient replonger dans le plaisir intense de nouveaux et nombreux orgasmes. En ce moment elle pensait à la verge de Pierre si douce, si grosse qu’elle avait eut dans ses mains et qui parachèverait ces moments exquis en remplissant sa chatte, elle poussa un cri d’impatience :

« Baise moi mon Pierre, j’ai envie de ta queue aller viens ! »
Pierre ne semblait pas pressé de la mener à l’orgasme suprême celui qu’il lui procurerait en la fourrant avec sa verge et en éclatant lui aussi au fond de son vagin. Il n’était pas pressé de voir le moment où morte de fatigue elle s’écroulerait, son corps satisfait pour un profond sommeil réparateur. Il la fit jouir de toutes les autres façons, avec ses seules mains, c’est fou ce que dix doigts peuvent faire sur une chatte exacerbée, sur un clitoris bandé, sur des petites lèvres que l’on pince et puis il y a les petites pénétrations avec un doigt, puis deux laissant le soin à ce ventre houleux de s’empaler sur eux. Et puis en parallèle les caresses sur tout ce corps électrisé, les jambes, l’intérieur des cuisses, les seins, les avancées pour des baisers fous en suçant les tétins au passage.


Il était temps de satisfaire sa Baby , Pierre à genoux l’amena vers lui en la prenant sous les cuisses et en les calant ouvertes sur les siennes, leurs sexes n’avaient jamais été aussi proches, le bassin relevé de Baby permettait toutes les fantaisies d’autant qu’avec une verge de la longueur de celle de Pierre le spectacle était garanti. C’est Baby qui plongea sa main dans les vés de leurs cuisses et qui sortit l’engin, il avait fière allure et toute l’attention que Pierre avait eu pour Baby ne l’avait pas endormi, au contraire, il se dressait énorme, décalotté, plaqué sur son ventre tant il était tendu.


Pierre le tenait dans sa main et il l’abaissa de telle sorte qu’il émerge des cuisses de Baby, sur son ventre plat, sur la légère bosse de son mont de Vénus. Avec ses mains elle enduisit le gland et sa hampe de sa salive translucide. Pierre commença à tapoter son gland sur son ventre, mais en se décalant à son gré c’est le clitoris qui était frappé puis ses petites lèvres. Rapidement ces petits chocs devinrent des caresses et guidé comme le ferait un pinceau le gland s’enlisa dans la boursouflure lubrifiée, écartelée de Baby . En s’avançant au plus près c’est la hampe entière qui allait et venait entre les grosses lèvres de sa chatte, écrasant tout sur son passage. Baby participait, elle sentait le dénouement proche et favorisait les mouvements d’approche en se vautrant sur l’énorme cylindre, en serrant ses cuisses, le ventre animé de circonvolutions erratiques.


Le moment était venu, en s’écartant encore un peu Pierre ploya sa verge en présentant son gland sous les petites lèvres, à l’entrée de la vulve et là d’une petite poussée il entra en Baby de quelques centimètres, le seul gland caché dans cet antre et il y resta. C’est elle qui alors mena la danse, en agitant son bassin en tout sens, en faisant varier la profondeur des pénétrations qui due à la position restait modeste mais si jouissive. Assez cependant pour lui faire perdre pied, Baby s’agitait de plus en plus violemment, ses mouvements ponctués de gémissements de plus en plus forts, elle se caressait une main sur ses seins, l’autre entre ses cuisses violentait son clitoris, les gémissements devinrent des cris d’impatience plus que de plaisir.


Avant de porter l’estocade espérée par Baby, Pierre la coucha sur le coté gauche, en chien de fusil, en s’avançant un peu il présenta son gland entre ses fesses bien en évidence. Pour ne pas se tromper de cible, avec sa main il écarta les merveilleuses rotondités aidé en cela par Baby qui leva sa jambe droite dévoilant ainsi son entre cuisses. Pierre était tout fébrile, troublé au plus haut point par le surréalisme du tableau qu’il avait sous ses yeux, sa verge énorme, claire et rose sur le fond couleur café de la raie sublime de baby, du fruit gonflé de sa chatte entre ses cuisses ouvertes, de la petite dépression de son anus froncé.


Alors prenant son sexe dans sa main à la base Pierre le présenta aux grosses lèvres de la vulve encore entre ouverte et largement lubrifiée. Son plaisir manifestement partagé par Baby quand son gland décalotté s’attarda sur son clitoris avant de se vautrer entre ses petites lèvres si sensibles. Pierre le fit aller et venir en glissements onctueux dans la plaie ouverte couleur de sang et si il l’agitait en tout sens sur son bourgeon, sur les pétales tourmentés de sa chatte, il ne manquait pas en passant devant sa vulve de mimer des petites pénétrations de son gland qu’il agitait au bord des lèvres.


Alors comme il l’avait fait le moment précédent il s’avança et s’enfonça doucement de quelques centimètres dans la chatte brulante en l’écartelant, serrée autour de son membre. Maintenant centré en bonne place il laissa Baby refermer ses cuisses sur lui, allongée sur le côté et il fut subjugué de la voir s’exciter sur lui. Elle ondulait du bassin en agitant ses fesses, elle s’ouvrait pour conforter sa position cherchant à en prendre plus, à engamer sa verge autant que la position le permettait. Ses mouvements devinrent heurtés à la mesure de ses gémissements, le souffle court elle haletait, le plaisir était là dans tout son corps, dans ses seins qu’elle pétrissait avec violence. Pierre glissa sa main entre ses cuisses et avec ses doigts serrés au dessous de sa verge entre ses petites lèvres il tourmenta l’antre de son clitoris.


Il était temps pour eux deux de conclure, plus cela aurait été trop. Pierre se retira vivement, remis Baby sur le dos cuisses ouvertes, il se pencha sur elle et se faisant empala sa verge au plus profond de la chatte de Baby qui hurla, bouche ouverte, sa tête dodelinant en tout sens, ses bras ouverts battant la couche.


Alors Pierre la prit sous les fesses, son visage, sa bouche dans son cou et cette fois il s’agita en elle de toute la longueur de son sexe, lui aussi était sous pression, il se retenait pour ne pas jouir trop vite, Baby était si bien, en plein orgasme qu’il voulait faire durer mais quand elle lui hurla « viens » il se laissa aller, son sperme remontant des profondeurs comme la lave incandescente d’un volcan et il éclata en elle en jets puissants inondant son utérus. Alors agrippés l’un à l’autre, ne faisant plus qu’un dans l’immense plaisir qu’ils se donnaient tout le corps de Baby se tétanisa et ivre de fatigue le sommeil la terrassa en plein orgasme et d’un coup son corps s’affaissa pantelant.

Le lendemain ils prenaient l’avion en première classe pour Tahiti


Pierre avait choisi des cabines en classe affaire à l’étage du monstrueux Boeing. Ils avaient de la place bien installés dans leurs fauteuils en cuir fauve. Ils pouvaient se lever pour se rendre dans la salle de restaurant. Ils pouvaient se rafraîchir au bar. Baby fut heureuse de n’être pas tassée comme des sardines avec les passagers de la classe économique à l’étage inférieur. Elle reconnaissait bien là le savoir vivre de Pierre, sa délicatesse.
Il ne la serrait pas de trop près, il la laissait respirer, vivre, se détendre, retrouver ses forces, son énergie.


L’avion fonçant plein ouest devait faire escale à Los Angelès, il essayait de suivre le soleil dans sa course relative, en vain ; la nuit tomba insensiblement et dura plus que de raison.
Ils purent s’allonger dans des couchettes voisines et Pierre veilla sur elle jusqu’à son endormissement. Baby était calme, elle devait rêver car par moment son corps se raidissait comme s’il subissait un outrage, une angoisse ; à ces instants Pierre lui prenait la main dans la sienne et un léger sourire illuminait son visage. Jusqu’à l’escale américaine il resta près d’elle le regard posé sur elle chastement. Qu’elle était belle, quelle chance il avait de pouvoir durant quelques jours vivre dans son intimité, la réconforter, la faire sourire ; comme il allait s’appliquer à la faire revivre, comme se serait facile et agréable pour lui.


Quelques minutes avant d’atterrir à Los Angelès il la réveilla doucement, ils se préparèrent pour l’escale américaine. C’était facile car ils n’avaient pas de bagages, Pierre avait dit : nous achèterons tout sur place.

Les formalités s’avérèrent compliquées, les américains en ce moment sont pointilleux et la diplomatie de Pierre fit merveille. Baby se laissait mener en se serrant sur lui en lui prenant la main ; réconfortée elle sentait son énergie passer en elle. De l’Amérique ils ne connurent que la zone de transit, froide et impersonnelle.


Quel contraste quand ils descendirent du jet à Papeete, sur la coupée de l’avion le soleil les attendait, l’aéroport ? Un jardin rempli de fleurs multicolores et odorantes, de palmiers de toutes sortes de toutes tailles. On semblait les attendre, des vahinés dansaient en chantant, à moitié nues, elles s’agitaient en ondulant des hanches ceints de plumes vaporeuses au son endiablé des ukulélés, leurs jeunes poitrines parées de demies noix de coco sombres. Comme les autres passagers on leur passa au cou des colliers de coquillages et sur leur tête une couronne de fleurs blanches à l’odeur poivrée, envoutante.


Pierre l’entraîna dans l’aéroport et dans une boutique de fringues où ils choisirent avec soins, chacun de leur côté, une tenue plus en harmonie avec le paysage et la douce chaleur de l’île. Quand ils se retrouvèrent, ils se précipitèrent dans les bras l’un de l’autre. Pierre avait le souffle coupé par la beauté de sa Baby, son corps sombre orné d’un paréo à fleurs mettant en valeur sa poitrine parfaite et ses longues jambes. A ses pieds de jolis escarpins avec de confortables talons mettaient en valeur sa silhouette. Elle avait gardé ses colliers et sa couronne de fleurs. Un joli sac de toile complétait le tableau fabuleux qu’elle offrait à tous ; on se retournait sur son passage et Pierre était fier de lui confier son bras. Lui avait choisi un pantalon blanc, une chemisette bariolée, des chaussures blanches et un magnifique panama finement tressé, il avait fière allure lui aussi.


Ils laissèrent leur tenue parisienne dans une consigne et c’est libres comme l’air qu’ils sortirent de l’aéroport…..l’enchantement commençait pour eux.
Ils descendirent bras dessus bras dessous vers le port et à l’embarcadère ils n’eurent aucun mal à trouver le bateau en partance pour l’île de Moréa voisine que l’on distinguait au loin, énorme piton rocheux habillé de vert.


Sur le pont, enlacés fascinés ils virent le bateau franchir la passe du lagon, les eaux de couleurs turquoises s’ouvraient sur l’étrave en deux sillons cristallins. Comme Baby avait rêvé de cette situation, loin de tous ses soucis, avec Pierre qui la sécurisait ; le voyage merveilleux qu’ils avaient fait à Cannes lui revenait en mémoire et d’un coup un frisson parcouru tout son corps et Pierre attendri sembla surpris quand elle se blottit contre lui sa tête sur sa poitrine.


Moréa est une île rocheuse, la montagne masquée par une végétation luxuriante de tiare et de vanille. Une avenue carrossable en fait le tour au bord de la rive. Pour monter on doit emprunter des petites routes en lacets et au fur et à mesure de l’ascension, à chaque virage le panorama devient de plus en plus vertigineux.


Pierre semblait maître de la situation, une voiture les attendait et elle emprunta la route du littoral. Après une dizaine de kilomètres elle quitta la route pour obliquer vers le lagon et c’est au bord d’une plage immense de sable doré qu’elle fit halte. Pierre paya la course devant Baby intriguée.


Enlacés ils firent quelques pas sur la grève jusqu’à un vaste bungalow de bois exotiques cerné sur le sable par un bouquet de palmiers et des arbustes fruitiers. Derrière un jardin bien entretenu à l’abri de l’air marin n’était qu’une fleur. Pour entrer on devait monter sur une petite terrasse en bois elle aussi. Alors Baby se sentit soulevée dans les bras de Pierre, elle se laissa faire serrée contre sa poitrine, ils entrèrent.


Emerveillée Baby découvrit, la rusticité de cette maison. Tout était simple mais tout était fonctionnel. Une cuisine vaste installée, le frigo plein de légumes, de fruits, de coquillages, de poissons….on pouvait voir les longues antennes de belles langoustes fraîchement pêchées. Baby pensa qu’elle allait pouvoir faire montre de ses talents culinaires boostés par la reconnaissance qu’elle portait à Pierre, encore là, toujours là pour la réconforter.


Deux chambres avec des lits jumeaux enveloppés de moustiquaires translucides en voile. Là encore Baby vérifia le tact de son ami qui laissait le choix sans rien imposer.
Ils s’installèrent, allongés côte à côte sur des transatlantiques, sur la terrasse face au lagon dont les vaguelettes translucides venaient mourir presque à leurs pieds. Une embarcation était mouillée, ancrée face à eux ; c’était un prao, pirogue à voile, propre à la Polynésie, munie d’un flotteur latéral parallèle à la coque principale. L’embarcation se balançait mollement sur l’onde attendant leur bon vouloir.


Hier encore, le décalage horaire aidant, elle était encore dans la tourmente, dans le gris momentané de sa vie, et là, près de Pierre qui lui tenait la main, fatiguée, ravie, comblée, confiante, reconnaissante Baby s’endormit. Elle pressentait dans son rêve que ce séjour, ce dépaysement, la présence de l’ami fidèle allait être un enchantement, elle était prête pour des joutes amoureuses avec cet amant exceptionnel…………….

Pierre était encore à ses côtés quand elle reprit ses esprits, il faisait nuit et dans le ciel sans nuages le disque plein de la lune éclairait le lagon en le faisant briller de mille feux.
« Couchons nous mon Pierre, nous serons bien »


Ils se levèrent et Baby passa devant pour entrer dans le bungalow, Pierre la suivait la laissant libre mais quand ayant choisi une des deux chambres Baby l’invita à le suivre un sourire lumineux éclaira son visage. Ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre pour s’embrasser fougueusement.


C’est quasiment nus qu’en riant ils s’allongèrent blottis l’un contre l’autre sous la moustiquaire. Ils étaient heureux de se retrouver, ils savaient tous les deux le plaisir qu’ils allaient se donner. Qu’ils étaient loin les soucis de Baby laissés dans la grisaille de France. D’un coup elle était saisie d’une immense envie de baiser, de baiser avec Pierre qui savait si bien la faire jouir. Comment avait elle fait pour se priver de ce plaisir dont elle ne pouvait se passer avant son coup de blues.


Chassés d’un coup les papillons noirs, Pierre était dans ses bras et elle sentait ses mains sur elle, sur ses seins impatients. Allongés sur le côté, face à face, cuisses mêlées, leurs bouches ouvertes se joignirent et les langues s’enchevêtrèrent. Baby lui rendit ses caresses et une de ses mains s’aventura entre les cuisses entr’ouvertes de Pierre et délicatement empauma par-dessous son sexe et ses deux attributs.


Elle fut heureuse de constater que tout cela avait besoin de vigueur car elle avait toujours aimé voir l’effet qu’elle faisait à ses amants. Oui elle aimait mesurer son pouvoir, sentir la mignonne verge de ses partenaires grossir, durcir sous la caresse de ses doigts, elle adorait le moment elle était suffisamment rigide pour commencer à la branler en faisant jouer sa main sur toute la longueur de la hampe et quand devenu énorme le gland se décalottait ; alors elle mouillait ses doigts de salive et les mettant en corolle elle l’agaçait comme s’il était à l’entrée lubrifiée de sa vulve. Elle était fière quand le gland de velours s’agitait dans l’écrin de ses doigts mimant de violentes pénétrations ponctués de cris , de ahans rauques.


Avec son Pierre elle laissa faire sa main sur cet appendice encapuchonné d’une peau de bébé, sur les deux fruits du dessous en les faisant tressauter entre ses doigts. Ce ne fut pas long pour réveiller tout cela. En gémissant Pierre s’offrait en s’ouvrant, déjà son sexe grossissait sans raideur, mais quand Baby entrepris de le dépuceler délicatement elle retrouva dans sa main le sexe vigoureux qu’elle aimait tant, Son gland énorme émergeant de son fourreau retroussé.


Elle savait ce qu’il aimait et avec l’étoffe soyeuse de son string qu’elle quitta prestement avec sa main elle caressa sa verge en la faisant glisser de toute sa longueur dans les plis de satin, les couilles ne furent pas oubliées, elles avaient durcies blotties bien rondes et bien dures dans leur sac de peau plissé.


La suite fut moins précise, Baby perdit pied à son tour car la bouche de Pierre broutait la pointe de ses seins qui d’un coup s’étaient raidies et elle s’abandonna au plaisir des préliminaires. Pierre était très fort à ce jeu et il la retourna contre lui, un bras par devant pétrissant ses seins, l’autre descendant sur son ventre entre ses cuisses alla chercher au fond de ses fesses ouvertes sa verge raidie et toujours parée du string de Baby, il la décolla de son ventre, l’abaissa et il l’inséra entre ses cuisses dans sa raie.


Une fois bien installé contre elle, son ventre sur ses fesses, il commença de petits mouvements de reptation, sa verge nue débarrassée du satin de sa petite culotte coulissant dans la lucarne de son entre cuisses; alors sa main, ses doigts lui ouvrirent ses lèvres intimes et ils se joignirent aux caresses du gland sur sa vulve s’occupant eux du petit bourgeon qui commençait à poindre de son capuchon bandé de bonne taille.


Baby sentait la large main de Pierre sur sa poitrine, il prenait chaque sein à pleine main et le triturait avant, entre deux doigts, de pincer doucement délicatement chaque téton, passant de l’un à l’autre, il tirait sur les pointes durcies les faisant rouler. Pierre avait toujours marqué son intérêt pour la poitrine de Baby, un jour qu’il l’avait fait jouir en lui écrivant une histoire, elle l’avait récompensé en lui envoyant une image de sa généreuse poitrine, il aurait voulu en voir plus, mais là cette nuit il en profitait pleinement, il savait qu’il allait en continuant de la peloter lui faire franchir avec lui les portes du plaisir. Il savait comment elle s’y prenait quand seule sous la couette elle se caressait, les yeux fixés sur son portable et que par la magie de l’imagination elle se mettait à la place de cette Baby fictive que ce Pierre connu depuis peu sur le Web savait si bien la transporter.


Pierre arrivait à serrer ses deux seins l’un contre l’autre ses doigts sur leurs pointes réunies. Collé contre elle il l’embrassait dans son cou gracile en mordillant son oreille, en insérant dans son pavillon la pointe agile de sa langue avant de mordiller la chair tendre de son épaule. Baby commença à se tortiller sous ses caresses qui sollicitaient tout son corps : ses seins et leurs pointes, son cou, ses oreilles, le corps chaud de son amant pressant son dos, son ventre sur ses fesses mais aussi et surtout son membre qui sans arrêt allait et venait entre ses fesses dans sa raie.


Elle sentait l’énorme et si doux cylindre encastré entre ses grosses lèvres écartelées de sa chatte inondée, depuis le début elle mouillait abondamment et rien n’était plus doux que ce qu’elle ressentait. Comme quand elle se caressait seule sous sa couette Baby ne laissait pas son plaisir déborder trop vite sur la jouissance qui aveugle en la laissant pantoise, épuisée au bord d’un lourd sommeil. Elle savait rester tout le temps qu’elle voulait sur la crête du plaisir prenant garde de ne pas tomber trop vite dans l’ivresse de l’orgasme.


Ce fut très dur de ne pas plonger car quand Pierre se décalait vers le bas, dégageant sa verge de son écrin, son sexe rigide, arqué se redressait et c’est maintenant son gland qui visitait sa raie. En ondulant des hanches d’avant en arrière l’un comme l’autre elle sentait le mufle de velours glisser entre ses fesses en s’attardant sur son anus avant tel un soc de se frayer un chemin entre ses grosses lèvres ; il se centrait, l’ogive à l’entrée de sa vulve et Baby lui était reconnaissante de ne pas s’enliser en elle car elle n’aurait pu résister à l’ouragan qu’elle sentait poindre dans tout son corps.


Quand de nouveau Pierre se replaquait sur elle, son sexe entre ses cuisses et que c’était la hampe qui déformait à nouveau sa chatte, la tornade s’éloignait, le plaisir de l’attente toujours présent demeurait, lui, dans tout son corps. Depuis le début, Baby sentait les doigts de la main de Pierre entre ses petites lèvres qui massaient doucement pour l’instant l’antre de son bourgeon, ils appuyaient en tournant cherchant à l’intérieur de son ventre les racines sensibles de son clitoris, des racines rondes et dures gonflées par le plaisir, il devait sentir la fourche nerveuse car elle roulait sous ses doigts. Baby savait par expérience que cette caresse continue conjuguée aux pincements de ses tétons allait la mener au plaisir suprême mais là elle ne contrôlerait plus rien.


Elle fut gré au sang froid de Pierre de la laisser toujours à la limite de l’irréversible, à la limite du non retour, là où plus rien ne compterait plus pour elle que le vortex, le trou noir de jouissance où elle serait entraînée, aspirée avant d’être rejetée, anéantie, morte d’avoir trop joui. Elle savait que ce moment arriverait sans prévenir mais elle aimait le retarder le plus possible pour rester le plus longtemps dans l’état de plaisir diffus où les caresses de l’amant merveilleux de ce Pierre, si habile, si câlin, la plongeait.


Pierre le savait et il allait tout faire pour contenter celle qu’il aimait, sa Baby qu’il chérissait, sa Baby qui lui avait confié ses secrets, tendres confidences qu’il relisait souvent en se caressant lui aussi les doigts serrés sur sa verge et quand Baby à la fin plongeait dans le plaisir suprême, en lisant sa jouissance, loin d’elle, il jouissait avec elle souillant ses doigts, son pantalon ouvert de sa semence en long jets nacrés.


Pierre agaçait les seins de Baby et leurs pointes d’une main passée sous elle tandis que l’autre, la droite plus libre glissée entre ses cuisses massait en tournant son clito érecté. Entre ses fesses serrées sa verge se vautrait dans sa raie. Baby sentait son gland aller et venir dans son entre cuisses. Par des mouvements amples de son bassin il se frayait son passage de la commissure des fesses, frôlant l’anus avant de s’enliser entre ses grosses lèvres pour sortir par devant comme un diable de sa boîte il retrouvait la main de Pierre entre ses petites lèvres, y restait un moment en effleurant son bouton avant de se retirer pour mieux revenir.


« Caresse-moi les seins avec tes deux mains » dit Baby dans un souffle

« Oui……plus fort…..roule mes tétons entre tes doigts…..oui…ouiiiii…tire dessus….écrase mes seins….serre les fort… oui…. Continue…..c’est bon….je sens ta queue entre mes cuisses…..elle est grosse.....elle est douce….j’aime quand elle sort…..attends reste…..tu sens ma main sur ton gland…..Je te caresse par-dessous…..je m’enfonce…..Ahhhh….tes couilles…..elles sont dures…..je ne te fais pas mal ? »


« Non ma chérie.. continue…..je suis bien…..Je sens tes deux mains sur moi»

« Oui Je te caresse la verge et avec l’autre j’effleure mon antre, elle s’active sur mon clito….Ahhhhh …..c’est bon……j’ai envie de jouir…..de m’abandonner au plaisir…..je résiste…..je sens ta queue …..ouiiii ….bouge…..bouge….je la sens qui pulse dans ma raie…..Qu’elle est grosse…..Quelle longueur….il me tarde qu’elle soit dans ma chatte….Pétris moi bien mes seins….ne les ménage pas….je bande….mes tétons sont tout durs….mon clito aussi…..je le branle embrasse moi dans le cou….serre toi bien contre moi…..plus vite ta queue…..tu sens ma main sur tes couilles…..Tu es bien toi aussi ? »


« Merveilleusement bien ma chérie…..j’aime te peloter les seins tu le sais….j’aime ton ventre plat…..j’aime ta chatte sombre….je pourrais jouir comme nous sommes …… »

« Non ……nooommm….résiste…..continue de te branler entre mes cuisses…..presse bien mes seins….plus fort…..plus fort…tire dessus….prends mes tétons entre tes doigts…..tu sens comme je bande ? »
« Oui ma chérie, je me régale…si tu savais comme je suis bien…..ma queue je le sens n’a jamais été si grosse……j’aime quand mon gland rejoins ta main par devant…..prends le et caresse toi le clito avec…..plus fort…. N’ai pas peur ….tu bandes toi aussi…… »

« Oui comme jamais mais il faut que je sois sage sinon je pars….si tu savais comme mon plaisir est grand….comme quand je me caresse seule en te lisant mais là en plus j’ai ta grosse queue calée entre mes grosses lèvres….et c’est toi qui me pelote…..c’est mieux.. car tu sais me surprendre…..arrête….Pierre…..ne bouge plus……oui, surtout reste en place….que je me calme….oui…. tu peux rebouger, j’ai cru que j’allais partir…..oui….ouiiiii….c’est bon…continue mon chéri ! »

« Il fallait jouir, ma Baby, je saurais te faire jouir autant de fois que tu voudras…. »

« Tu crois ? D’habitude quand d’un coup je suis arraché à la réalité, quand tout mon corps n’est que plaisir….après quand j’émerge je suis vidée de toute énergie et je m’endors. »

« Nous verrons ma chérie…..prends ma queue à pleine main…..attend redresse là…..place bien mon gland sur toi. »

« Où ? »

« Oui… à l’entrée de ta chatte…..centre le bien…..tu le sens ? »

« Il est énorme…..oufffff…..tu entres….je le sens…..je m’ouvre…..continu de me peloter…..reste au bord……remue un peu….bouge…..ahhhhh… c’est bon….je continue de me caresser le clito…..Ahhhhhh….ouiiiii…..c’est bon…..enfonce toi doucement en me branlant……ouiiiiii….plus fort sur mes seins…..caresse moi avec tes mains……Je suis comme éventrée….c’est bon….Je n’en peux plus…..je ne résiste plus…..baise moi…..prends moi…. A fond maintenant……ouuuuuiiiiiii…..tu gicles toi aussi…..ah que c’est bon de baiser…..encore…..encooorrre……plus fort……plus vite……claque moi sur les fesses…..va plus profond…..ahhhhhhhouiiiiiicébonnnnnnn…… que fais tu ? en levrette ? ouiiiii mais continue de me fourrer la chatte……attends je te présente mes fesses…… »



La queue plantée Pierre redressait sa Baby fesses en l’air, un genou sur chacun des deux lits jumeaux et là sans se désaccoupler il écarta les deux lits par l’arrière écartant de la sorte les cuisses de Baby penchée les bras en appui un sur chaque lit.


Alors Pierre pu s’approcher de Baby, debout au plus près du merveilleux compas de ses cuisses, de ses fesse écartelées et jamais au grand jamais il ne fut si bien placé pour faire aller et venir son sexe dans le fourreau intime de Baby. Il la prit d’abord par les hanches pour l’attirer et la repousser pour empaler sa chatte sur son pieu ; au bout d’un moment cela alla de soit sans les mains, ils s’entendirent à merveille pour se masturber, pour rythmer le claquement sec du ventre de Pierre sur les fesses de Baby.


Pierre se pencha sur elle et lui reprit les seins qui sous l’effet de la pesanteur dodelinaient anarchiquement. Baby il s’en rendit compte en appui sur un seul bras se massait le clito et par moment en enfonçant sa main entre ses cuisses saisissaient les couilles de Pierre qui battaient la chamade. Tous les deux étaient dans un état second, noyés dans la jouissance absolue. Pierre se remit à jouir et sa semence gicla souillant les fesses de Baby qui ne put s’empêcher de hurler quand elle sentit les jets puissants de foutre au fond de son être.


Alors d’un coup déchaînée la bête sauvage qui dormait en elle se réveilla, elle se dressa d’un coup renversant Pierre sur le dos et l’enfourchant face à lui elle lui prit le sexe et cuisses ouvertes s’empala sur lui
« baise moi….baise moi….hurlait elle sans retenue ….elle ponctuait chaque pénétration de ouiiiiii…..de ahhhhh…..de c’est bonnnn…..elle tressautait sur Pierre les yeux dans le vague en se triturant les seins …..en se penchant sur lui pour lui mordre la bouche elle tordait sa queue dans tous les sens….en bougeant son bassin elle faisait glisser sa verge à la limite de sortir de sa chatte pour mieux par un mouvement inverse se la refouler jusqu’aux couilles…..elle lui ordonna de jouir, de l’inonder à nouveau et n’eut de cesse en le broyant dans sa vulve de le faire exploser à nouveau, le gland dans son utérus fracturé.



Alors d’un coup dans un hurlement de bête en rut elle s’écroula sur son amant et s’endormit comme une souche.
C’est la clarté du soleil inondant leur chambre qui les réveilla. Enorme cercle rouge l’astre émergeait de l’océan en dardant ses rayons sur ce paradis qui s’éveillait. Il était à peine sept heures quand Pierre et Baby main dans la main s’élancèrent nus dans l’eau rose du lagon.



Ils étaient heureux comme des gosses, ils s’éclaboussèrent avant que leurs corps se mêlent étroitement dans l’eau tiède. La pente était douce et ils durent avancer d’une vingtaine de mètres pour avoir de l’eau aux épaules. Quand enlacés ils se retournèrent vers la grève ils se crurent au paradis. Ils virent leur bungalow cerné dans un écrin de verdure et de fleurs ; ils virent les palmiers bordant la plage infinie ; alors ravis ils se regardèrent et soutenue par l’eau Baby emprisonna ses cuisses à la taille de Pierre et les bras serrés autour de son cou elle lui murmura merci à l’oreille avant de lui confier sa bouche.



Ils restèrent une bonne heure à s’amuser dans l’eau, tout était motif à des caresses, des frôlements des enchevêtrements de leur corps. Baby avait la pointe de ses seins raidis par l’eau et par la bouche de Pierre qui les butinait. Après l’orgie sexuelle de la nuit, ces caresses presque chastes étaient douces, comme purificatrices des séquelles de leur plaisir ; leurs mains s’égaraient sur leurs torses, sur leurs fesses, entre leurs cuisses.



Sans trop le vouloir mais facilité par la position de Baby à califourchon sur lui Pierre la pénétra, elle était ouverte, et grâce à la poussée de l’eau qui la rendait légère il la manipula en la soulevant avant de la laisser retomber sur lui, sa verge bien au fond d’elle. Jamais pénétrations n’avaient été si douces et si par moment ils se désaccouplaient le gland tel un piston pénétrant dans la vulve dilatée en chassait l’eau qui giclait sur leurs cuisses.



Inconsciemment ils multiplièrent cette manière de faire l’amour pour la sensation intense et inconnue qu’elle leur procurait. Baby se mit à jouir avant Pierre, agrippée à lui c’est elle maintenant qui se trémoussait sur lui pour faire aller et sortir l’énorme membre de sa chatte et quand elle s’empalait sur lui, de plus en plus vite, de plus en plus fort elle se mit à hurler tant la sensation était forte à la limite du supportable, elle avait des étoiles pleins les yeux et sans Pierre qui la soutenait elle se serait abandonnée, comme noyée dans une jouissance jamais connue jusqu’alors.



Pierre ne pu résister plus longtemps lui aussi, mêlant son souffle à celui saccadé de Baby, il gémissait de plaisir mais quand la jouissance le submergea et qu’il déchargea tout son plaisir dans le ventre de Baby lui aussi se mit à crier. Alors il fit en sorte de rester en elle en faisant durer leur plaisir par des reptations de faibles amplitudes, leurs deux corps enlacés, soudés par leur passion , leurs bouches bâillonnées .



Quand ils rejoignirent le bungalow, Baby eut la surprise de voir qu’un somptueux petit déjeuner était servi sur la terrasse et c’est une jeune tahitienne qui fit le service. Ainsi Pierre avait tout prévu pour ne laisser au temps que le plaisir. Il y avait des fruits, du poisson, de la langouste et du vin de palme. Baby avait un appétit d’ogresse et ils se jetèrent sur les mets étalés, offerts sur la table.


La jeune Tahitienne qui était là pour les servir était d’une rare beauté, gracieuse, souriante, les seins nus, elle virevoltait autour d’eux attentive à leur moindre désir. Pierre et Baby furent surpris de voir que son joli pagne végétal ne cachait rien de ses fesses et la vue de son dos nu quand elle faisait la vaisselle les firent sourire. Elle parlait bien le français avec l’accent des îles


« Je m’appelle Aata ce qui veut dire Enfant de la lune, si vous voulez vous rincer de l’eau salée, je vais vous montrer et après je vous masserais….vous verrez comme c’est relaxant….et agréable »



Baby ne se fit pas prier laissant Pierre finir sa langouste elle suivit la belle Aata dans la salle d’eau. Tout est simple dans cette île, Aata dénuda Baby et sans façon la suivit nue également sous la douche serrée contre elle.

Baby ne savait que penser mais quand Aata commença à savonner tout son corps elle se laissa faire car c’était agréable, ses mains qui glissaient sur elle en mouvements enveloppants en s’attardant sur ses seins et sur son ventre, entre ses cuisses, sur ses fesses n’avaient rien du rinçage prévu. Agréable est un mot faible car quand les doigts de la Tahitienne se fixèrent sur sa vulve et sur la pointe de ses seins, le doute ne fut plus de mise, Aata était là pour agrémenter le séjour, pour la faire jouir et elle réussissait, le désir de Baby était en marche de la pointe de ses seins à l’entrée de ses lèvres intimes


.
Vu l’étroitesse de la cabine elles étaient serrée l’une contre l’autre, presque enlacées, et le moindre de leurs mouvements était une douce caresse, les deux femmes devenaient complices et Baby elle aussi rendit les attentions qu’elle recevait et appréciait. Elle aussi prit la jeune poitrine dans ses mains, elle aussi lui caressa les fesses en doigtant son anus mignon, elle aussi passa sa main entres les cuisses offertes pour pénétrer sa chatte avec ses doigts. C’était nouveau pour elle mais cela faisait parti du dépaysement, de l’exotisme de leur séjour, une remise à zéro des compteurs, un nouveau départ durant cette semaine qu’elle avait appelée de tous ses vœux pour sortir du stress qui l’avait terrassée.



A aucun moment Baby ne sentit lesbienne et pourtant elle goûtait pleinement les caresses de cette Aata, belle comme la nuit. Dans ces îles enchanteresses on apprend de bonne heure les façons de donner du plaisir et d’en recevoir, rien n’est interdit, rien n’est tabou, seul le plaisir compte.


Alors plus rien ne fit barrage au plaisir, les corps des deux femmes se durcirent en s’enlaçant sauvagement, à tour de rôle chacune s’excitait sur la cuisse de sa complice, leur ventre sur les fesses de l’autre, les doigts pinçaient les tétons ou fourraient les chattes lubrifiées. Elles surent jouir en même temps et longtemps, elles ne purent retenir leurs gémissements et les longs cris au moment le plus fort de l’orgasme qui les laissa pantelantes ivres du plaisir qu’elles venaient de se donner par leur simples caresses, presque chastes. Un jet d’eau tiède les ramena à la réalité et Baby prenant Aata dans ses bras lui prit la bouche …avec la langue.


« C’était bon Baby, sortons, je vais vous masser, vous êtes belle »
« Toi aussi Aata »


Aata allongea Baby sur le ventre sur une sorte de banquette basse, très étroite garnie de molesquine, elle prit un flacon d’huile odorante dans un petit meuble, elle enjamba Baby et s’assis sur ses fesses et commença à lui masser le dos, les épaules, le cou. Baby sentait ses mains sur elle et cela lui faisait du bien, elle se laissait faire en se demandant comment cela allait finir.



Elle commença à comprendre quand Aata se retourna toujours à cheval sur elle ses cuisses serrant sa taille. Alors les caresses se firent plus intimes, les mains huileuses lui pétrissaient les fesses et l’intérieur si doux des cuisses avant de s’enfoncer, les doits frôlant sa chatte. Baby sentait monter le plaisir et en ondulant des fesses elle écrasait sa chatte sur le moelleux de la banquette, elle sentait ses grosses lèvres s’ouvrir en glissant l’une contre l’autre. Son clitoris érecté se vautrait sur les coussins de cuir comme sur la peau d’un ventre.

« Retourne toi…..oui…..tu es belle Baby…j’ai envie de toi… »



Aata prenait l’ascendant sur elle, Baby le sentait et laissait faire, c’était si bon, si jouissif , tout était permis et quand Aata s’allongea sur elle en sens inverse elle comprit qu’elle allait jouir encore et offerte elle ouvrit ses cuisses à la bouche gourmande et sentit sa langue sur son bouton d’amour qui d’un coup se mit à bander. Que c’était bon cette muqueuse humide qui lapait sa chatte, quelle science cette manière d’être écartelée cuisses relevées tenues sous les bras de cette jeune femme. Alors elle aussi rendit le plaisir qu’elle recevait et avança sa bouche entre les cuisses de Aata qui poussa un petit cri de satisfaction.



Mais qu’est ce qui pouvait la pénétrer de la sorte, ce ne pouvait pas être la langue, ni les doigts de Aata, c’était bon, étrange, plaisant, c’était comme un énorme gland entre ses grosses lèvres, mais un gland très lubrifié qui s’agitait, qui vibrait déformant l’entrée de sa vulve et qui peu à peu faisait sa place en s’enfonçant en elle. La hampe qui suivait n’était pas moins grosse au contraire provoquant un effet inconnu dans son vagin. Ce devait être un de ces fameux godes terrifiant d’efficacité quand ils étaient bien utilisés.



Baby en eu rapidement la confirmation, conduit par la tahitienne il commença par rester aux bord de ses lèvres laissant agir le gland qui se tordait en elle, puis en allant et venant tout en s’enfonçant elle sentit l’effet de la hampe comme si des billes s’affolaient dans sa vulve, elle poussa un petit cri quand quelque chose de souple s’inséra dans le petit capuchon, l’antre de son clitoris et qu’une sorte de petit sexe s’immisça dans son fondement.



C’était déjà agréable mais quand tout se mit à vibrer, quand la membrane souple affola son clitoris, quand le petit sexe se tordit dans ses fesses et suivit dans ses allers et retours la grosse verge dans sa chatte, quand elle sentait l’énorme gland s’affoler au fond d’elle au plus profond de son ventre Baby ne fut qu’un spasme, la jouissance ne l’abandonnait plus, sans cesse relancée par cet attribut du diable qui la rendait folle. Jamais possession n’avait été si complète, Baby jouissait de toutes ces façons qui se conjuguaient, par le gland qui tournoyait au plus profond de son ventre, à l’entrée de sa vulve par la ronde anarchique des billes sous la peau translucide de cette hampe , par ces sortes d’oreilles souples qui vibraient en enveloppant son clitoris et par ce petit sexe qui vibrait dans son anus serré sur lui.



Aata s’était relevée agenouillée entre ses cuisses et mieux positionnée pour la fourrer avec ce fabuleux gode qui sollicitait en même temps sa chatte, son clito et son anus. Dans le silence de la pièce on entendait le bruit discret des vibrations , le chuintement du gode, les gémissements de Baby et les incitations de Aata les yeux rivés fascinée par le spectacle de cette chatte en furie.

C’est à cet instant que Pierre fit son apparition
« Mais que se passe t’il ici ? »
« Laisse mon Pierre si tu savais comme je jouis ! »
« Approchez monsieur » dit Aata


Pierre tout nu bandait comme jamais
« Mettez vous à genoux…..oui….approchez vous plus …..entre les cuisses de votre épouse…..vous permettez que je vous guide….vous avez une sacrée queue monsieur…..je la prends dans ma main….attendez je retire le gode….approchez vous plus……attirez votre femme vers vous…..je rabats votre sexe…..je présente votre gland…..Oui…….a vous de jouer monsieur….profitez vous avez une femme magnifique et qui est une jouisseuse…..je vais vous laisser »

« Non…restez » dit Baby d’un air suppliant « restez nous vous ferons jouir aussi »



Baby sentait la plénitude d’une bonne queue dans sa chatte, la belle verge de son amant qu’aucun artifice ne pouvait remplacer. Pierre penché sur elle lui prenait sa taille gracile pour bien l’enfoncer sur elle. Leurs regards se croisaient, Pierre guettait le moment où il la ferait jouir, et elle voyait le plaisir qu’il avait de la posséder, son souffle devenait haletant, elle savait qu’en contractant sa chatte sur lui elle le ferait exploser, elle s’en garda bien pour faire durer ce moment d’extase, elle sentit ses seins pris à pleine main, maltraités comme elle aimait.



A leurs côtés Aata les laissait à leur plaisir et ils la virent se poignarder la chatte avec ce gode infernal arrivé on ne sait trop comment de l’autre bout de la terre, ce gode rabbit comme il se nomme, parait il, faisait son œuvre et eut tôt fait de la faire jouir longuement. Ce spectacle fascinant, cette queue énorme qui la défonçait en ondulant, cette petite membrane qui affolait son clito , les cris de Aata qui se pâmait en gémissant, les ondulations de son ventre auraient pu faire éjaculer Pierre tant son trouble était grand, mais il résista pour que Baby puissent jouir le plus longtemps possible comme elle aimait.



Mais jamais son sexe n’avait jamais été aussi gros, aussi tendu, aussi perforant. Les lèvres de la chatte de Baby écartelées sur sa faille rose laissait émerger son clito des plus belles jouissances, alors avec ses doigts, avec la chair tendre de son pouce il le branla en le frôlant, Baby hurlait maintenant son plaisir elle adorait quand on lui branlait son petit sexe raidi par le plaisir, elle n’en pouvait plus d’attendre ce qu’elle adorait par-dessus tout. Alors elle se contracta en serrant sa chatte sur la hampe enfoncée à fond en elle et cela vint d’un coup, en hurlant le souffle court, le visage déformé par le plaisir Pierre l’inonda.



Pour Baby c’était le moment suprême, ces jets puissants de foutre qui cinglaient son utérus fracturés par le gland bien au fond d’elle. C’était sa récompense, sa victoire. Et puis après ce changement radical de la sensation, cette verge qui coulissait onctueusement en elle, ce miel d’amour qui remontait du fond de son vagin pour gicler en inondant ses cuisses, ses fesses. Alors elle sentait sa vulve s’ouvrir, se durcir de plaisir, elle aimait alors que cette queue sorte pour mieux la refourrer et si parfois elle ne trouvait pas son chemin la sensation était encore plus jouissive avant à nouveau de se sentir pleine de ce membre qui lui donnait tant de plaisir. ………



La journée fut idyllique, le temps s’y prêtait, ils firent le tour de Moréa en voiture en longeant la mer, s’arrêtant dans chaque village pour acheter des souvenirs, pour manger sur le pouce des spécialités, poissons, coquillages. Ils étaient heureux loin de tous soucis. Ils se tenaient par la taille et noyés dans la foule des marchés, leurs mains s’égaraient amoureusement sur la naissance des fesses .



Pierre apprit par un marchand ambulant que cette nuit si on le désirait, moyennant quelques billets, il pourrait nous guider en pleine forêt à flanc de montagne. C’était pleine lune et nous pourrions participer à une réunion tribale perpétrée depuis des siècles. En lorgnant sur les formes de Baby il nous dit que tous ceux qui avaient eu la chance d’être présents lors de cette fête en l’honneur de la lune ne l’avaient pas regretté. D’après lui Il ne fallait pas s’attendre aux danses folkloriques habituelles, que nous serions surpris par les mœurs primitifs de cette tribu isolée en marge de la civilisation. Et comme Pierre s’inquiétait s’il y avait du danger, notre guide eut un sourire étrange en nous disant que le danger viendrait de nous, de notre comportement.



Intrigués mais attirés par le mystère ils décidèrent d’attendre le soir et ils allèrent se baigner en attendant. A la tombée du jour le marchand les attendait et ils montèrent dans son quatre quatre. Il fallut une bonne heure de route de montagne pour arriver dans une clairière isolée, déserte. Baby légèrement inquiète serrait Pierre au plus près. Assez loin dans la forêt résonnait les bruits sourds d’instruments de percussion.

« Allez ! Guidez vous au son des musiciens, ce n’est plus très loin, je vous reprendrais ici quand vous reviendrez…..amusez vous bien…..oubliez un instant vos habitudes…..vous allez être surpris…. »



Le chemin était étroit, sombre, malaisé, Baby donnait la main à Pierre. La musique, les rythmes devenaient plus forts, c’était envoûtant…presque inquiétant…..Pourtant Baby fut rassurée quand ils débouchèrent dans une vaste clairière circulaire. Des torches, la lune bien ronde dans le ciel les inondaient de clarté. Des tables étaient dressées avec des montagnes de denrée : fruits, fleurs, boissons de toutes sortes. On alla au devant d’eux et toute l’assemblée se leva pour les applaudir.



Les musiciens reprirent leurs chants et la danse reprit. On les avait installés, assis à une place d’honneur, l’assemblée était nombreuse, de jeunes femmes et des jeunes gens dansaient au milieu de la clairière au rythme des percutions, ils étaient tous plus beaux les uns que les autres ; les filles portaient des jupes en fibres végétales serrées sur leur hanches, le ventre nu, leurs seins parés de titi coco sombres, leur tête ceinte de couronne de fleurs et de coquillages, des pompons aux poignets, des bracelets de nacre ; elles dansaient en agitant des hanches et des fesses en tendant les bras vers leurs partenaires masculins et leur corps tatoué quasi nus, une ceinture et deux bandes se tissu rectangulaire devant et derrière .



On leur servit des boissons dans des demi noix de coco et comme il faisait très chaud ils burent abondamment, c’était frais, sucré, mais très fort, des aromes de gingembre et de camphre. Pour l’instant le spectacle était conventionnel mais cela changeât quand les danseuses se mirent les seins nus en quittant leurs soutiens gorges ; alors en plus de leurs fesses leurs jolis seins se mirent en branle ; les danseurs les serrèrent de plus près et tirant sur leurs jupes ils les dénudèrent complètement mise à part leurs coiffes fleuries.



La danse s’accéléra les danseurs de plus en plus proches, enlacés…les couples se formaient et se déformaient les danseurs passant de l’une à l’autre…..c’était impressionnant, d’un érotisme sauvage….Baby serrée contre Pierre était sans voix les yeux rivés sur ces corps qui se mêlaient intimement…..est ce l’effet de la boisson ? d’un coup les danseurs se retrouvèrent nus eux aussi et plus rien ne cachait leurs sexes tendus par le désir. Non c’était bien réel et sans équivoque aucune, devant l’assemblée médusée les couples firent les gestes de l’amour.



Le spectacle devint fantasmagorique sous la lumière des flammes rouges tremblotantes des torches et la pâleur nacrée de la lune bien ronde, les couples de danseurs se baisaient l’un fourrant l’une par devant ou par derrière au rythme endiablés des tambours puis passant de l’une à l’autre, pas de couple, pas de jalousie, l’amour tribal pour le seul plaisir partagé des membres de la tribu d’accord sur cette manière de jouir depuis des lustres.



Pierre et Baby étaient impressionnés, troublés, excités, la boisson aphrodisiaque sans doute qu’on leur servait les sortait de la réalité, devant eux un jeune couple de danseurs se caressait, la souplesse de leurs jeunes corps leur permettait des accouplements dignes du Kamasoutra. Après une saillie la jeune danseuse alla rejoindre un autre homme aussi beau aussi bien membré qui prit à son tour son corps ouvert.



D’un coup Baby se sentit humide entre ses cuisses, une envie de jouir elle aussi la prenait au ventre. Il devait en être de même pour d’autres spectateurs qui émus sans doute comme elle par ces coït sauvages commençaient à caresser leur voisine; à les embrasser, à les dénuder. Baby avança sa main vers Pierre, il bandait fort lui aussi, elle ouvrit son pantalon et eut du mal à sortir sa verge tant elle était grosse et raide, alors il se leva et baissa sa culotte libérant son sexe décalotté. Baby excitée au possible se pencha sur lui et le prit dans sa bouche, Pierre lui avait pris ses seins, les remontant par-dessous et faisant rouler leur pointes entres ses doigts mouillés de salive.


Bientôt comme toute l’assistance ils furent nus tous les deux, ravis de cette occasion hors normes de jouir

« Pierre, baises moi, fais moi jouir….. »



Jamais Baby n’avait ressenti cette envie de baiser, tout son corps était irradié et avait besoin de puissantes pénétrations : ce spectacle envoûtant, ce qu’ils avaient bu et mangé, tous ces couples enlacés, l’assistance même qui commençait à forniquer, l’invitait à se joindre à eux.



Pierre excité comme elle l’allongea sur la table, mais contrairement à l’habitude ce ne furent pas ses fesses mais sa tête qu’il avança au bord de la table, dans le vide, penchée en arrière, vers le bas, il s’avança vers son visage et prenant sa verge à la main il la guida vers sa bouche, l’enfonça en elle et commença à bouger entre ses lèvres. Baby apprécia cette pénétration d’autant que Pierre penché sur elle lui pétrissait les seins. Quand se penchant sur elle il lui suça ses tétons elle se caressa la vulve, elle était inondée. A un moment Pierre sortit sa verge et se masturba, ses couilles agitées devant le visage de Baby qui les prit une par une dans sa bouche.



Sa main remplaça celle de Pierre sur sa verge et elle porta le gland à sa bouche pour le lécher, l’aspirer, elle le suçait en gémissant. Pierre la caressait maintenant, ses seins, sa taille, son ventre, ses cuisses ouvertes, une de ses mains caressait l’intérieur si doux de ses cuisses tandis que l’autre empaumait sa chatte en malaxant ses grosses lèvres humides, les doigts allant et venant dans sa raie de l’anus jusqu’au capuchon de son clitoris bandé. Baby sentit deux doigts la pénétrer profondément et s’agiter dans sa vulve alors pour la première fois de la soirée elle se mit à jouir en criant en sortant le gland de sa bouche.



Pierre la releva debout devant la table et Baby s’offrit en relevant sa jambe droite, calant son genoux sur la table, ainsi elle était debout , ouverte, Baby poussa un feulement de plaisir quand elle sentit la verge de Pierre s’enfoncer et se branler énergiquement en elle . Que c’était bon, autour d’eux c’était la baise générale, personne n’était oublié, les femmes, les hommes venus seuls s’accouplaient entre eux, allant d’une place à l’autre pour changer d’amant. Si malgré tout ils étaient délaissés c’est un danseur ou une danseuse de la tribu qui venait les satisfaire.



Baby se retrouva allongé sur la table Pierre allongé lui aussi derrière elle, contre elle, il lui releva sa cuisse gauche et pu ainsi continuer de la baiser plus confortablement. A chaque coup de boutoir son ventre giflait ses fesses, ses seins raidis ballotaient en cadence ; ils furent pris à pleine mains et jamais pelotage ne fut si jouissif. Cette fois ils jouirent tous les deux en même temps comme jamais.



Tous les deux étaient dans un état second, comme drogués avec un besoin irrépressible de jouir. Aussi ils trouvèrent normal d’accepter avec eux le couple de danseurs qui baisaient eux aussi devant eux. Ils s’agissaient de deux jeunes gens magnifiques, elle très typée avec sa peau cuivrée, ses longs cheveux de geai aux épaules, ses seins magnifiques, ses cuisses puissantes de danseuse, lui très viril, bien membré, tatoué sur tout son corps hormis son visage très sauvage. Ils s’approchèrent pour se rendre utiles, la jeune femme derrière Pierre lui caressait les bourses tandis que l’homme offrit sa verge à Baby qu’elle prit volontiers dans sa bouche.



Alors faisant comme les autres ils se mélangèrent eux aussi, les chattes des deux femmes prenant connaissance à tour de rôle des deux queues puissantes l’une aussi sombre que l’autre était claire, mais toutes deux énormes et dures, infatigables. Par moment Baby était le centre d’attention des trois comparses, deux d’entres eux, qui ? elle ne savait plus qui, lui léchaient ses seins pendant que le troisième venait titiller son petit bouton rose, c’était bien fait, cela durait, Baby sentait des bouts de doigts sur le bout de ses seins raidis avant qu’une langue agile viennent dénicher entre deux doigts son mamelon érecté.



Ce devait être la jeune femme qui s’occupait de sa chatte car elle savait ce qui faisait du bien, ses doigts dans sa raie triturait ses petites lèvres tandis que le pointu de sa langue frôlait le long capuchon masquant son clitoris, elle serrait ses lèvres sur lui en léchant son clitoris qui pointait gonflé de sang et de désir.



Et puis les baisages reprenaient les deux femmes penchées sur la table les fesses offertes à la bite qui voulait les forcer, pour mieux les défoncer elles étaient prise à la taille ou par les seins et étaient attirées vers le membre qui les perforait et qui les inondait. A d’autres moments elles étaient sur le dos, cuisses écartées, à bonne hauteur pour se faire prendre en douceur….et profondeur.



Il se fit alors dans la clairière un mouvement, des groupes de danseurs et danseuses se dirigeaient vers des couples et les attiraient au centre de l’arène. On vit alors un autre groupe se diriger vers Baby et Pierre en les invitant à les suivre, c’était une invitation, ils auraient pu refuser , en étaient-ils capables ; ils se regardèrent et lurent dans les yeux de l’autre la permission d’aller jouir encore plus intensément, encore plus sauvagement. Comme cette tribu primitive ils laissèrent de côté la jalousie, leur esprit de possession exclusive et se laissèrent entraîner.



Ils furent séparés sans être jamais loin de l’autre, les femmes entourant Pierre, les danseurs nombreux autours de Baby. Sur le petit parcours menant de leur table au centre de l’arène Baby eut un avant goût de ce qui l’attendait, des dizaines de mains caressaient son corps en l’entraînant ; son corps, ses fesses , ses cuisses, ses seins, mais quand on l’allongea sur une banquette étroite, aux mains se joignirent des bouches, des langues, des sexes.



C’était comme un rêve, la réalisation d’un de ses fantasmes les plus forts, elle était là à moitié consciente de ce qui lui arrivait pourtant elle n’aurait pas voulu fuir, refuser ce qu’elle pressentait de jouissance à venir. On lui écarta les cuisses et elle sentit un sexe énorme la pénétrer d’un coup, bien à fond, que c’était bon, elle cria son plaisir quand la verge s’ébranla en elle. Chacun des participants voulait son plaisir, les corps nus s’agitaient se vautraient sur elle, la caressant l’embrassant de toutes parts.


On lui suçait les bouts de seins, des bouches arrivaient au bord de la queue qui la transperçait à sucer ses petites lèvres, à lécher son clitoris. On lui mettait dans chaque main un sexe raidis qu’elle caressait en retroussant leur gland. Des bites forcèrent sa bouche à tour de rôle, chacune venant s’agiter en elle avant de libérer leurs semences qui inondèrent sa bouche et ses seins. Baby jouissait d’une manière continue en criant avec d’autres qui dans la clairière gémissait de plaisir.



En un moment de lucidité Baby se demanda quel sort était réservé à son Pierre, était il bien lui aussi avec ces belles femmes qui s’occupaient de lui. Baby fut prise dans toutes les positions, sur le dos cuisses écartelées par une suite d’hommes inégalement membrés, à genoux, en levrette, fesses en l’air par des mâles debout derrière elle sur la table qui l’attirait vers leur ventre en serrant sa taille creusée. Dans cette position on rampait sous elle suçant ses seins qui dodelinaient au rythme des pénétrations, on remplissait sa bouche, on lui faisait branler des verges. Curieusement on ne lui prit pas son cul et elle s’en trouva bien .



C’est en la retournant sur le ventre pour être prise par derrière qu’elle vit Pierre, il était seul, debout et la regardait, il semblait triste, abandonné, il semblait lui dire un vague sourire aux lèvres « profite bien, réalise ton fantasme, moi je ne peux, je ne veux être que le jouet de toi mon amour. » Il se branlait, ému par le spectacle érotique qu’elle offrait sa verge était énorme. Alors Baby submergée de tendresse et d’amour émergea de l’océan de stupre ou elle se vautrait à plaisir. D’une bourrade elle chassa les intrus qui respectèrent son vouloir ; elle se redressa assise sur la banquette et elle ouvrit ses bras vers son Pierre qui avait mis de côté sa jalousie pour son plaisir à elle.



Alors il s’avança vers elle, son visage rayonnait, il la prit dans ses bras, c’est elle qui le guida vers elle, contre elle, elle sentit la verge aimée la pénétrer doucement et d’un coup ils jouirent tous les deux sous les bravos de l’assistance.
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Histoire de Pierre le Grand

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