ACCUEIL > Hétéro > Récit : Secretaire story

Secretaire story

+6

Lue : 2447 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/07/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je n’ai aucune honte de ce temps-là. J’avais le regard ému lorsque que j’ai présenté à Paul, mon mari, M Marzucchi. Celui-ci avait été mon chef d’équipe entre 2000 et 2004. Temps de vache maigre pour notre famille. Paul avait été licencié et au chômage durant trois ans et moi près de l’être et recasée in extremis dans une autre branche de ma boîte. Paul mon mari, raconte encore qu’à moi tout seule j’ai préservé le nid et sauvé le navire. Il n’était pas mécontent de rencontrer l’un des types cause du sauvetage et de cette singulière épopée. J’ai dû expliquer à Marzucchi un peu du contexte pour qu’il prenne mesure de la reconnaissance de mon mari. Celle-ci étant par trop disproportionnée. Puis j’ai rougi lorsque ledit Marzucchi a dit en souriant : « Sait-il qu’on s’est bien amusé ensemble ? «


Il faut dire que pour moi ce fut quelques années de liberté. Quoiqu’en dit Paul qui récrit l’histoire, notre couple traversait une période de turbulences et dont le licenciement ne fut pas seul responsable. Nous ne faisions plus l’amour. J’avais su qu’il avait une maîtresse. L’âge tendre de notre dernier enfant me convainquit de rester. Je pris comme coup de grâce qu’on voulait me mettre dans la charrette de licenciements. Je me souviens : je croisais ce jour-là Marzucchi. Il avait toujours eu du béguin pour moi. J’étais pâle ne répondant pas à son salut. Il perçut le drame et me poursuivit. En larmes devant la machine à café je lui avouais tout. Il fit preuve ce jour-là d’à propos. Il devait le soir même dîner avec le boss, ami et partenaire de tennis.


Demain interloquée j’apprenais que le licenciement était commué en une sorte de mutation pour une autre division. Je travaillerais dans l’équipe de Marzucchi. Le job serait moins prestigieux et rémunérateur mais j’assurais à la famille une rentrée d’argent. J’étais émue devant Marzucchi. Je ne perçus pas de suite de quel ordre pouvait être la dette à l’égard de mon sauveur. J’eus honte de l’avoir méprisé. J’étais l’une de ces secrétaires vaniteuses de direction qui n’ont de cesse de mépriser les petits cadres sans parler des ouvriers. J’étais pourri de ce snobisme que je me reproche à présent. A Marzucchi je dus paraître souvent inaccessible. Cela m’excitait il est vrai d’être convoitée par ce genre d’hommes.


Celui-ci était entiché d’un physique peu flatteur. Court sur pattes, dégarni. Affublé cependant d’un torse et de bras puissants. Il avait fait les commandos dans sa jeunesse. Ses états de services et sa virilité en imposaient à notre patron. Marzucchi était impressionné par toute jolie femme. Nous nous moquions souvent de ses rougeurs et de ses balbutiements. Je sus que j’étais de ses préférées. Au seuil des quarante ans je ne pouvais concurrencer mes jeunes collègues. Je me faisais l’effet d’une vieille chaussette. J’eus accepté n’importe quoi pour n’être jetée hors du bateau. J’eus presque accepté de laver les latrines. C’est ce que je dis ce à Marzucchi qui éclata de rire. « On ne vous en demande pas tant. »


Je fus le lendemain soir invité au restaurant. Pouvais-je décemment refuser à ce sauveur. Il se trouva que la veille j’eus une engueulade avec Paul qui avait bu manifestement. J’étais offusquée de son ineptie et de l’ingratitude qu’il me marquait alors que je sauvais toute la famille. Je m’en ouvris à Marzucchi qui fit montre de plus d’indulgence à l’égard du mari. Il m’expliqua qu’il était difficile à un mâle de devoir être débiteur à son épouse. Il convenait d’un orgueil bien mal placé. Je balançais entre la joie et le dépit. J’eus des mots assez durs pour ce mari. Marzucchi emplissait mon verre que je vidais. Au bout du soir je vis que j’étais. ivre. Je vous laisse augurer du reste. Titubant sur les escarpins, je ne perçus rien d’abord.

Marzucchi avait arrêté la voiture peu loin au fond d’un chemin. J’avais chaud. Je lui demandais que les vitres fussent grandes ouvertes. Ses mains se baladaient déjà sur mes cuisses. Je n’avais plus la force de protester envahie d’une sorte de langueur. La lune là-haut semblait nous sourire signifiant que rien n’était grave. Je reçus avec quelque répugnance ses lèvres sur les miennes. Presque avec soulagement j’acceptais de passer à l’opération suivante. Sa queue était grosse hors du pantalon. Je le suçais machinalement comme si ce fut Paul, mon mari. Je haïssais maintenant ce dernier et trouvais que c’était lui jouer un bon tour. Ce sexe en ma bouche on eût dit un goulot de champagne.


Il me poussa hors contre un arbre m’arrachant la culotte. Il pénétra ma chatte par l’arrière. N’était-ce pas un peu mon baptême d’honneur ? J’étais intronisée par le nouveau patron dans ma nouvelle équipe. Je conçus d’un coup que je devrais m’habituer à ce type de mœurs. Je n’avais plus tant de prétentions. La gloire ancienne m’était refusée. J’avais depuis déchu. J’étais à cet égard devenue la simple de M Marzucchi. Ce salaud ce soir-là me baisa plusieurs fois dans et hors du véhicule. Même ivre je pus apprécier une virilité auquel mon mari ne pouvait prétendre. Je n’étais pas mécontente de confirmer le néant de ce minable.


Le lendemain consciente de ma faute, je n’éprouvais nul remords dans le regard de mon mari implorant que je l’excuse de la veille. J’appréhendais plutôt le regard de mon supérieur d’autant que celui-ci m’avait traité en catin. Il ne parut rien dans son regard dur et glacé. Il y avait deux collaborateurs dans le bureau que je découvrais. Il me demanda de prendre quelques notes pour les mettre au propre ensuite. Tout cela était parfaitement huilé ce dont je lui sus gré. Ma turpitude était oubliée. Je baissais les yeux afin de ne pas rencontrer les siens. J’allais vite taper mon rapport et l’adresser par email. Je reçus des félicitations laconiques. J’étais soulagée. En effet je crus ce matin qu’il put se raviser et me chasser.


Le soir même je fus peu étonnée qu’il m’appela tandis qu’autour les bureaux se vidaient. Il tint encore à féliciter ma promptitude et qualité de mes écrits. Il demanda si cela allait mieux avec mon homme. Je soupirais. Il dit avec malice : « N’oubliez pas ce qu’est l’orgueil d’un mâle » Puis il me dit d’approcher et avec douceur m’assit sur son genou. N’étais point ivre je pris cela naturellement. Je découvrais la volupté d’être soumise à un mâle vrai car dominateur. Je laissais sa main aller et venir dans ma culotte. Je lui rendis ses baisers. Le bureau fermé, nous passâmes au reste. Cuisses écartées sur le bureau il me pénétra. Puis avec rudesse jetée sur le ventre, sa langue fouilla mon petit trou.


J’avais toujours eu une répugnance pour la sodomie. Mon mari n’avait osé. C’était une première. Je priais que ce ne fut point douloureux. Marzucchi avait de la pratique et était équipé. Outre de me lécher le cul, il m’administra un gel. Je frissonnais. Je fermais les yeux et me mordis ma lèvre tandis que son sexe me pénétrait. N’allais je pas de découverte en découverte avec cet homme. En moins d’une journée j’étais devenue moins qu’une femme, une traînée et adorais cela. Nul mépris dans son regard. Il trouvait que je me comportais en femelle admirable. Je sortis excitée de son bureau. J’eus volontiers recommencé. Mon Paul ce soir-là me parut un piètre mâle qui se serait arrogé le titre de mari.


Marzucchi me sautait discrètement. Ce pouvait être tard dans le bureau ou le midi dans un hôtel proche. J’étais addict. Sa queue m’ouvrait d’autres horizons. Je changeais pour la circonstance de look. Je m’habillais jeune, court et sexy ce dont se fâcha un jour mon mari. Je lui dis qu’on recevait souvent et que Marzzuchi avait exigé que je fus d’attrait plus agréable au nom du business. Paul goûta peu l’argument. Il advint qu’un ou trois clients s’enquirent de moi au boss. Je commençais à protester. Qu’elle ne fut ma surprise de voir la colère noircir son regard. « C’est comme ça que tu me remercies ? » Penaude il m’abandonna au bas de l’hôtel du client coréen. Je bus du champagne plus que de raison pour que cela passa. A mon étonnement je fus enchanté de jouer la prostituée.


Je ne contais pas la chose en ces termes au patron mais celui-ci perçut pourtant ma perversité. Il sourit. Il avait vu juste. Je n’étais qu’une pute. Il m’offrit désormais sans scrupule. Outre les clients d’autres cadres de l’équipe s’avisèrent que mes mini jupes recelaient nombre de promesses. Pour un faux prétexte j’étais des fois convoqué en leur bureau. Cela allait au-delà de la fellation. Je courais vite aux toilettes pour me nettoyer de leur sperme. Bientôt ce fut au tour des ouvriers. Quelle déchéance. Les hommes se parlaient. Ma réputation risquait de se propager au-delà du service jusqu’aux oreilles du mari. C’eût été une humiliation suprême.


J’eus beaucoup de chance. Il n’était pas rare que trois, quatre hommes me prissent en un jour. Marzucchi lassé de moi avait pris une jeune secrétaire suppléante. Il organisa des jeux voulut que je m’initiai à des caresses gouines et que nous fîmes partie à trois dans son bureau. Ce fut là aussi une révélation. Ainsi découvris-je les partouzes organisées pour des clients. Marzucchi ne montra point de mépris à mon égard. Un jour, sentencieux il me dit qu’il m’avait révélé à moi-même. Grâce à lui je m’étais accomplie. Je pris cela comme un compliment. Puis un jour Marzucchi partit à l’étranger. Je ne pouvais le suivre. Grand seigneur il obtint que je trouvai un autre poste. Mon mari entre temps avait retrouvé un job. Bref tout rentrait dans l’ordre.
18 vote(s)


Histoire de balthus1

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Secretaire story


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :