Secrétaires de mairie partie 1

SECRETAIRES DE MAIRIE
partie 1
Ils étaient deux dans la pièce. Face à face. L'un derrière une table de travail, l'autre devant.
L'homme avait une cinquantaine d'années. Bien charpenté, musclé, un visage bien dessiné, il était pompier dans le civil, maire de Saint-J.... et il avait accepté une mission: faire défiler devant lui des prétendants et des prétendantes au poste de secrétaire de mairie.
C'était que la situation avait évolué en quelques années. Si vingt ans plus tôt, il y avait pléthore de secrétaires de mairie, les choses étaient aujourd'hui radicalement différentes, et la désintégration avait eu lieu ces dernières années. Les raisons, il n'y avait pas à les chercher loin. Les nouvelles générations avaient compris que c'était un métier mal payé, énergivore, chronovore, et qu'en plus on était à la merci d'agressions diverses. Donc aujourd'hui, les rares secrétaires de mairie devaient se partager entre plusieurs petites mairies, dans les départements ruraux comme celui-ci et il y avait des mairies où il n'y avait PAS de secrétaires.
Ce département avait choisi de prendre le problème à la racine, en organisant un recrutement.
Il y avait eu peu d'envois, et seulement 13 dossiers retenus sur 20. Et donc 13 entretiens, menés par David D... qui s'était dévoué, histoire de voir si ces 13 personnes étaient vraiment recrutables. Il y avait un immense besoin, que ces 13 personnes ne combleraient que partiellement, mais inutile de s'encombrer de personnes qui démissionneraient au bout de quelques semaines.
La femme qui était devant lui, Lisa B..., il l'avait compris au bout de quelques secondes, était une recrue de choix. Quelqu'un de qualité. C'était même étonnant qu'elle soit intéressée par un métier, somme toute très mal payé.
Elle avait une présence...Une présence que n'avaient pas les autres candidates. On sentait bien qu'elle était à la fois intelligente et vraiment capable, avec de nombreuses compétences. D'évidence, elle serait une bonne recrue, et plus qu'une bonne recrue. On la sentait aussi déterminée, et capable non seulement de prendre d'excellentes décisions mais aussi de s'y accrocher. Que du positif.
Et puis il y avait...Ce qui avait fait que la queue de David D... s'était durcie dès les premières secondes. D'après son CV, la femme qui se tenait devant lui avait 49 ans, et c'était une femme mûre, une MILF auraient dit certains, à l'apogée de sa beauté, de sa sensualité, troublante, vraiment troublante. Bien loin du cliché de la secrétaire vraiment fade, qui n'a pas de vie sexuelle, se concentrant entièrement à son métier, un sacerdoce lui permettant d'oublier sa vie moche.
Brune, avec une chevelure longue et épaisse, elle avait un joli visage, équilibré, avec des yeux sombres, elle était grande, avec un corps tout en formes que sa tenue mettait nettement en valeur. Elle avait un simple tailleur, rouge cerise, veste et jupe, mais cette simple tenue, classique pour des entretiens, prenait une toute dimension, portée par elle. Autant de détails troublants. Dessous, on voyait sa chair, et un soutien-gorge noir qui enveloppait une poitrine qui tendait le tissu.
La jupe, elle était courte, et quand elle s'était assise, elle était remontée suffisamment pour que David D... puisse bien voir que le nylon qui gainait ses jambes n'était pas celui d'un collant, mais de bas stay-up car les accroches élastiquées en dentelle étaient bien visibles.
Elle portait des bottes de cuir rouges, à talons aiguille, luisantes et toutes neuves ou alors peu portées. Une touche d'érotisme supplémentaire.
— Vous avez un CV très riche.
— J'ai quitté l'école très tôt, je ne la supportais plus, et j'ai enchainé, j'ai fait beaucoup de métiers très divers. Je n'ai jamais eu honte de rien. Et j'ai appris énormément de choses, j'ai fait des formations en interne.
— Oui, je vois bien que vous avez travaillé dans le commerce, que vous avez managé un magasin à un moment, mais aussi que vous avez fait du secrétariat, y compris du secrétariat médical. Vous avez été engagée dans de nombreuses associations...C'est rare de voir un CV aussi riche. Une expérience vraiment très riche. Et qu'est-ce qui vous attire dans ce poste de secrétaire de mairie?
— J'ai envie de stabilité et d'un salaire qui tombe tous les mois.
David D. était fasciné par ses jambes...Elles étaient vraiment bien dessinées. Et ce n'était pas donné à tout le monde. Le nylon les rehaussait. Qu'elle porte des bas...C'était très troublant.
— Donnez-moi une raison pour laquelle vous recruter.
Elle esquissa un sourire dans lequel David sentit énormément d'ironie.
— Je pense qu'au niveau expérience personne ne me battra. Et puis j'ai des bonus à vous proposer.
Il n'eut pas le temps de se demander de quels bonus il s'agissait, Elle écarta les jambes. Le tissu de la mini avait remonté, très proche de son pubis. Mais elle ne lui avait pas encore donné à voir ce qu'elle lui offrait maintenant. Une absence de culotte qui au final, et au vu de sa personnalité, telle qu'elle se dessinait depuis dix minutes, n'était pas surprenante. Mais elle ne se contenta pas de lui présenter sa chatte. Une fente dans le renflement de sa chatte dont sortaient deux bouts de lèvre, en dessous d'une toison brune. Elle glissa, et ce geste était en accord avec sa personnalité telle qu'il avait pu la découvrir, ses deux index dans son sexe, et elle s'ouvrit dans un geste aussi obscène et excitant qu'inattendu. David D. ne s'attendait vraiment pas à ça en faisant passer ces entretiens de recrutement. Il put profiter pour un temps suffisamment long, figé dans la stupeur, de la vision de ce sexe féminin offert, se régaler d'une muqueuse toute rose.
Elle relâcha enfin la pression qu'elle exerçait sur elle-même, son sexe se referma, mais pas totalement, d'évidence parce que l'exercice l'avait excitée. David eut même l'impression qu'un filet de mouille se mettait à couler en continu.
— Si jamais je suis recrutée, vous pourrez mettre votre queue où vous voudrez. Dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon anus, et aussi entre mes seins.
— C'est un bon argument, mais ce n'était pas forcément la peine d'en arriver là. Je vous aurais prise de toute façon. Votre profil me convient, nous conviendra. Je pense que vous serez une employée exceptionnelle. Vous n'avez pas pensé que faire ce que vous venez de faire aurait pu me pousser en sens inverse?
En guise de réponse, elle se leva, et contourna le lourd bureau, venant se poser sur le bord de celui-ci, tout près de David D...Il se dit un instant qu'il aurait du casser ce qui se passait, dire quelque chose comme 'On va en rester là, et je vous rappellerai...' mais il en aurait été incapable, parce que la jeune femme le troublait autant qu'on puisse être troublé par une femme, mais aussi parce qu'il s'en rendait bien compte, elle l'avait plus ou moins hypnotisé et qu'il était une proie paralysée par sa prédatrice.
Elle se pencha sur lui, le défit, pour le trouver en pleine érection. Elle ne dit rien, mais elle sembla apprécier qu'il ait une belle queue, longue et bien dure, charnue avec un gros gland, fendu en deux par un méat qui commençait à suinter. Elle vint frotter le gland de la pulpe de l'index, une caresse délicate qui le fit vibrer, le mouvement de son doigt bientôt lubrifié par le liquide qui sortit en abondance du méat, et il se dit qu'elle maîtrisait parfaitement tout ce qui avait trait au sexe, qu'elle était capable de donner plus que la partenaire moyenne, entre habileté et imagination. Elle relâcha sa caresse quand elle sentit qu'il était sur le point de jouir, descendit sur les deux couilles gonflées, au bas de la tige, et les massa. Du plaisir à l'état pur. David était incapable de la repousser : Il ne s'était vraiment pas attendu à ça quand il avait commencé les entretiens. Sa queue se dilatait encore, et il dégoulinait.
Dans un geste, plus classique, mais qui prenait avec elle une autre dimension, elle vint envelopper sa queue de sa paume, et elle se mit à le masturber. Elle s'engagea sur des gestes infiniment lents, qui emportèrent David sur une vague de plaisir. Les filles qui avaient pu le masturber de par le passé avaient toujours eu des gestes très rapides. C'était vraiment bon comme ça...
Il sentit l'orgasme monter, remplir son corps, et cracha des jets de sperme copieux, en pensant qu'il n'avait jamais joui aussi fort, ni en crachant autant de sperme, ça n'en finissait pas de sortir. Et aussi qu'il avait heureusement l'idée, depuis qu'un agriculteur furieux avait arrosé tout les membres du conseil municipal de purin, avec une pompe, d'avoir des vêtements de rechange à la mairie. Ses vêtements allaient être couverts de sperme. Non, étaient déjà couverts de sperme. Comme sa main à elle, qu'elle lécha, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus la moindre trace, son regard planté dans le sien. Un moment tellement excitant qu'il ne débanda même pas.
Elle s'éloigna, ses fesses nues dansant sous sa mini.
Fichu pour fichu...Il amena sa main sur sa queue et la fit monter et descendre le long de sa verge. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'il jouisse à nouveau.
Les mois qui s'annonçaient seraient indéniablement chauds.
Il passa dans la pièce à côté pour se changer.