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Serge et Sylvie

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Lue : 1907 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/05/2019

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Il y a eu vraiment ce moment, assez étrange, comme il y en a parfois dans la vie. Vous savez, l’existence déroule son fil, paisiblement, dans une routine que l’on pense établie, et puis tout d’un coup, il y a une rupture.
J’avais loué cette grande salle pour accueillir tous mes collègues. Je suis infirmier en milieu hospitalier et j’ai décidé de prendre ma retraite. J’aurais pu continuer quelques années, mais comme j’avais mes annuités…J’ai des passions personnelles, auxquelles je ne me suis que partiellement consacré. Et puis c’est un métier pas facile…Alors, bien sûr, j’ai un pincement de cœur en pensant à toutes ces années, mais en même temps…On peut passer à autre chose…
Il y aurait…Une cinquantaine de personnes ce soir…Je n’avais convié que des personnes dont je me sentais proche…J’avais passé deux jours à préparer le buffet…J’avais tout fait moi-même…Du sucré, du salé, de quoi boire…Un moment sympathique, enfin je l’espèrais…J’avais prévu une bande son pour ceux qui voudraient danser…
Les gens commençaient à arriver, en ce vendredi soir, garçons et filles. Le dress code c’était venez comme vous voulez…Mais beaucoup avaient choisi une tenue simplement décontractée, un jean…
Et puis Sylvie est arrivée.
On était une vingtaine dans la salle…Et tout le monde s’est figé…
Aucun d’entre nous ne l’avait jamais vue comme ça.
Elle avait une très jolie robe, noire, longue, qui bougeait autour d’elle alors qu’elle avançait et qui mettait en valeur sa silhouette impeccable. Ses cheveux blonds coulaient sur ses épaules, que d’habitude, elle gardait attachés…Elle était maquillée, elle dont le visage était toujours neutre…Si la robe descendait bas, cependant, je pouvais voir ses jambes gainées de nylon, et des escarpins à talons…
Sylvie…Ca faisait cinq ans qu’elle travaillait à l’accueil des urgences, avec ses deux collègues…
La Sylvie qui était devant moi ce soir, je l’avais imaginée ainsi pendant très longtemps…A partir de ce que l’on a sous les yeux, on construit facilement autre chose.
Pendant toutes ces années, je l’avais vue identique. En jean, et chemisier, pull, sans maquillage, les cheveux ramenés en un strict chignon…
J’avais très vite fantasmé sur sa silhouette. Car si elle faisait le choix de tenues fonctionnelles, malgré tout, celles-ci rendaient quand même hommage à un corps qui avait été sculpté par des années de sport, qu’elle pratiquait à haute dose. J’aimais ses longues jambes fines, sa croupe rebondie, sa taille étroite…Elle avait pas mal de charme, c’était une évidence, et je l’avais souvent rêvée plus femme, plus érotique…Ce soir, c’était comme une concrétisation de mes rêves, que j’avais devant moi…
J’ai senti mon sexe se durcir de désir, concrétisant mon envie d’elle qui avait trainé en moi pendant des années, une envie qui avait tourné, qui m’avait aiguillonné, était apparue, avait disparu…Mais jamais totalement…Car elle était une belle femme…Ce soir, elle était splendide.
Elle a traversé la salle, le moment de grâce passé, la vie reprenant son cours…S’arrêtant pour parler à chacun. Puis elle est s’approchée de moi. Elle m’a souri.
—Hé bien, ce soir, tu es…Resplendissante…Oui, c’est le mot, resplendissante.
—J’ai pensé que ça te ferait plaisir de me voir ainsi. Vraiment féminine. Avec le métier qu’on a, la féminité n’est pas toujours au rendez-vous. Je reste fonctionnelle quand je viens travailler…
—Ca c’est certain, pour être féminine, tu l’es, aujourd’hui…
—Tu m’as souvent rêvée comme ça, non ? Enfin, pas forcément avec cette robe, mais plus féminine que je ne le suis habituellement.
J’ai failli lui répondre que féminine, même sans robe, sans jupe, elle l’était quand même, en portant du basique, puisqu’un jean, son vêtement favori pour le travail, collant, mettait en valeur ses charmes.
—Sans doute, oui.
Elle s’est penchée vers moi pour m’embrasser, comme elle le faisait souvent quand on se croisait au travail. Mais d’habitude, nous étions deux collègues de travail, moi infirmier, elle secrétaire médicale, et on se faisait la bise, comme c’est souvent le cas dans les relations humaines. A ce moment, les choses ont été différentes. Ca a été quelque chose d’éphémère, de fragile, quelque chose de flou, le genre de choses dont on se demande par la suite si elles ne sont réellement produites ou pas…Elle m’a embrassée sur les deux joues, mais en passant d’une joue à l’autre, elle a effleuré mes lèvres, tandis que sa main frôlait ma queue, dure dans mon pantalon.
—Hé bien, si je pouvais me poser des questions à savoir si tu me désirais, j’ai bien la réponse aujourd’ hui.
Et elle s’est éloignée. Elle est partie discuter avec Patricia et Manon, deux de ses collègues qui assuraient le secrétariat avec elle.
Pas mal de souvenirs sont remontés en moi. Cinq ans ensemble, depuis qu’elle avait intégré le staff. A l’époque, on cherchait quelqu’un, et elle avait posé sa candidature avant d’être retenue. Dans un premier temps, je ne l’avais pas vraiment regardée. Et puis il y avait eu un déclic, un jour. Il n’était d’ailleurs pas du au hasard. A l’époque, j’étais marié depuis vingt-cinq ans, mon épouse et moi, on s’entendait de moins en moins. Des conflits perpétuels. J’avais sans doute ma part, mais elle était devenue, au fil du temps, très difficile à vivre, capricieuse, et nous étions en conflit permanent, quand nous ne nous faisions pas la tête, ce qui au final, n’était pas mieux. J’étais lassé de ces heurts permanents, et alors même que j’aimais profondément ma femme, j’en étais arrivé , pour la première fois à regarder d’autres filles.
Pourquoi je l’avais regardée elle plutôt qu’une autre personne ? Sans doute parce qu’elle était souriante, à l’écoute, et oui, parce qu’elle avait une belle silhouette…
Et au fil du temps, mon intérêt pour elle ne s’était jamais émoussé. J’avais fini par divorcer, je m’étais retrouvé seul, et j’avais commencé à rêver d’elle. D’une construction totalement fantasmée, dans laquelle nous aurions été, elle et moi, ensemble. Mais je n’avais jamais fait le premier pas vers elle. Il y avait plusieurs raisons à cela. Elle était très discrète et ne parlait jamais de sa vie privée. Vivait-elle avec quelqu’un ? Ca aurait été inopportun de lui proposer qu’on sorte ensemble si elle était mariée…Et puis, peut-être que je ne l’intéressais pas. Ce n’est pas parce qu’on discute avec quelqu’un et qu’on lui sourit qu’on est attirée par lui.
Quasiment tout le monde est enfin arrivé. Ca faisait du monde et on a plus ou moins perdu le contact. Pourtant, son regard m’accrochait de temps en temps. Je me demandais ce qu’il fallait y lire. La seule certitude que j’avais c’était que dans ses yeux, je pouvais lire de la bienveillance à mon égard. C’était peu et déjà beaucoup.
C’est plus tard dans la soirée que les personnes présentes, enfin sustentées, se sont mises à danser. Je l’ai cherchée du regard. Elle a disparu de ma vue. Je me suis retourné, elle était là. Elle a attrapé ma main, et m’a dit :
—Viens, on va danser !
Quand on est arrivés dans la zone à cet effet, la musique pop a laissé la place à un slow.
Elle est venue naturellement se coller contre moi. Malgré l’épaisseur du tissu, j’ai été très vite saisi par la sensation de son corps contre moi, et sa chaleur m’a envahi. Ses seins, ronds et fermes, son ventre…
—C’est bien d’être contre toi, comme ça.
On a dansé, l’un contre l’autre un moment comme ça. Elle ne pouvait pas ignorer mon érection, pourtant ça ne semblait pas la déranger outre mesure. Son bassin ondulait doucement contre le mien.
—C’est un nouveau départ pour toi, cette retraite…On pourrait prendre le même chemin toi et moi.
—Tu en as encore pour quelques années avant de prendre ta retraite ?
—Oui, mais ça serait bien de dormir ensemble toutes les nuits, même si le matin j’allais travailler et toi plus.
—Je me suis souvent demandé si…
—Si tu m’avais proposé qu’on sorte ensemble ? J’aurais dit oui. Je suis seule depuis quelques années, après deux mariages ratés. Et tu me plais…Ca a grandi au fil du temps…Comme pour toi, non ?
Sautant du coq à l’âne, elle m’a soufflé :
—Tu veux savoir comment je suis dessous ?
Est-ce qu’elle lisait en moi ? Intuition féminine…C’était vrai que, quand je voyais une femme porter une robe, une robe longue, je me demandais souvent, mystère moins présent quand elle portait une jupe, qui plus est courte, ce qu’elle avait dessous…C’était troublant d’imaginer…Ce n’est pas la nudité qui perturbe le plus, mais plutôt ce qu’on ne voit pas et qu’on imagine, qui traine dans l’esprit, y tourne et retourne longtemps…
—Je vais te donner tous les détails…Dessous, j’ai des bas stay up…Ils sont sombres, et la jarretière élastiquée qui entoure ma cuisse est noire, en dentelle, avec des arabesques…Après j’ai une petite culotte…Une petite culotte en coton, blanche…Tout ce qu’il y a de plus classique, mais j’aime être confortable…Elle est collante, et elle colle bien au renflement de ma vulve et à la rondeur de mes fesses, mais elle s’enfonce aussi bien dans mes fentes…Et il y a un autre phénomène, parce que je mouille depuis un bon moment…Je suis mouillée, et le tissu est tout humide, et tout transparent…On voit ma chatte à travers…Et je mouille encore plus parce que je te dis ça…Oh, tu ne peux pas savoir à quel point j’ai envie de t’accueillir en moi…Je voudrais vraiment t’accueillir en moi, que tu rentres mais très doucement, centimètre après centimètre, pour que j’aie un maximum de sensations…J’en rêve depuis très longtemps…Tu sais que je fantasme sur toi comme une folle…Quand je suis à la maison, je me caresse en pensant à toi.
J’ai été surpris, jusqu’à un point de stupeur. C’était vrai, elle me plaisait, mais je n’avais pas imaginé que, de son côté, il puisse y avoir ce côté passionnel…Qu’elle puisse AUTANT me convoiter…
La danse finie, elle s’est décollée de moi. A regret, j’ai senti les formes de son corps et sa chaleur s’éloigner. Elle m’a fait un clin d’œil, et a précisé :
—Je m’éloigne, mais je reviendrai bientôt vers moi…
Elle a glissé au milieu des personnes présentes, avant de sortir sur sa gauche, disparaissant. Je me suis demandée ce qu’elle allait faire. Cinq minutes plus tard, mon téléphone vibrait dans ma poche. Je l’ai attrapé.
Sors du même côté par lequel je suis sortie. Tu fais une dizaine de pas et tu as une double porte sur la droite. Je t’attends.
Je suis parti dans la même direction, m’efforçant de ne pas marcher trop vite pour ne pas trahir mon impatience.
J’ai débouché dans le couloir et avancé le long de celui-ci. Une dizaine de pas et cette double porte. Je l’ai poussée. La salle était pour ainsi dire le clone de celle où j’avais reçu mes collègues. Des tables étaient posées au milieu, de ces tables que l’on utilise souvent dans ce genre de circonstances, de gros blocs blancs avec des pieds repliables. Elle était appuyée contre l’une d’entre elles. Elle m’a souri, et m’a simplement jeté :
—Allez viens voir ce qu’il y a sous ma robe.
J’avais rarement été aussi long et aussi dur. Mon désir pour elle, longtemps retenu, explosait littéralement. Je me suis laissé tomber à ses pieds, gainant ses chevilles de mes mains et commençant déjà à remonter, avec sous mes mains la double sensation de la chaleur qui émanait d’elle, et l’électricité du nylon. Elle a soulevé doucement sa robe, pour me laisser profiter d’elle des deux mains. Ses mollets, ses genoux, ses cuisses…Elle n’avait pas menti, la jarretière était bien noire, et en dentelle…Je ne m’étais en tout cas pas trompé, ses jambes étaient vraiment magnifiques.
Je suis arrivé à la limite du bas, et je suis rentré en contact avec sa chair, en haut de la cuisse. Je préférais, je n’aurais pas hésité à l’avouer, le contact du nylon, que je trouvais excitant au possible, mais avoir sa peau nue au bout des doigts, c’était rentrer au contact de son intimité.
Elle n’avait en tout cas pas menti. Elle portait bien en guise de lingerie intime une simple culotte en coton bio blanche, celle-ci la collait bien, mettant en valeur ses reliefs intimes, et le tissu était effectivement mouillé, sur une grande surface, qui couvrait la partie entre ses cuisses, mais remontait devant, et sa chair était partiellement visible. Je pouvais voir le bourrelet gonflé de son sexe, dilaté d’excitation, et un bout de lèvres qui sortait.
J’ai descendu le slip et je suis venu poser ma langue sur elle. Le premier contact, la pointe de ma langue sur l’ouverture de son sexe, lui a fait pousser un gémissement, premier d’une longue série à venir. Le goût de ses sécrétions vaginales, qui couvraient, en une fine pellicule, sa chair, a envahi ma bouche, qui ne m’a plus quitté, tout le temps que je l’ai caressée buccalement. J’ai tourné sur elle, sur les lèvres qui se sont dégagées et sorties, poussant ma langue à l’intérieur d’elle, contre la paroi interne de son sexe, prenant le temps de remonter sur son clitoris, qui sortait de sous le capuchon qui le masquait. Elle a littéralement dégouliné sur moi, se tordant sur mon visage, comme si c’était la première fois, ou que les hommes avant ne l’avaient jamais caressée aussi bien. C’était peut-être le cas…Elle m’inondait tellement que je ne pouvais pas tout absorber…A-t-elle joui ? Difficile à savoir…Elle a frémi, s’est tordue…J’ai fini par me redresser, parce que j’avais envie de plus…Elle a tendu la main vers mon pantalon. J’avais une érection tellement forte qu’elle en était presque douloureuse…Elle a mis mon sexe à nu. On l’a regardé tous les deux. Je me suis fait cette réflexion, sans doute un rien stupide, que j’avais rarement était aussi gros, ni aussi dilaté…Mon gland en particulier, était énorme, tout rouge et tout dilaté…Elle a souri, en me disant :
—Je vais te caresser encore pour que tu sois encore plus gros…Je veux que tu sois énorme quand tu rentreras dans mon ventre…Et que tu frottes bien contre mes parois internes…Mais surtout ne jouis pas…
—Même si je jouis, je lui ai répondu, je suis tellement excité que je ne débanderai pas, rassure-toi.
Elle m’a entouré de sa main chaude et douce, et elle s’est mise à me masser avec une lenteur infinie. Bien des filles m’avaient déjà branlé, dès l’adolescence, mais ça n’avait sans doute jamais été aussi bon. J’en rêvais depuis longtemps de cette caresse. Et de bien d’autres choses encore. Et pour la première fois j’envisageais qu’elles puissent se réaliser. J’avais tellement rêvé d’elle…Des rêves que je pensais être impossible…Et pourtant…
Ca s’est passé de manière concomitante, comme si les deux événements étaient liés, l’un ayant été le déclencheur de l’autre, alors que ça n’avait rien à voir…J’étais tellement excité par cette caresse, et j’avais encore gonflé…Je crois bien que je n’avais jamais été aussi gros…Un trait de sperme, épais et copieux, a jailli de mon gland, et est venu maculer son bas gauche, en haut, sur sa cuisse…On a regardé tous les deux la longue bande blanche qui s’étalait sur le nylon, vision excitante pour moi, peut-être pour elle aussi…
C’est à ce moment-là que les alarmes se sont déclenchées, et que l’eau s’est mise à pleuvoir des arroseurs au plafond. Une pluie fine qui nous a trempés en quelques secondes…C’était sympathique de voir la robe coller à sa peau, mais ça nous a coupés toute envie…Elle m’a dit :
—On reprendra ça plus tard, on va sortir…
Quand on est revenus dans la salle, quasiment tout le monde l’avait évacuée…On a appris plus tard qu’il y avait effectivement eu un départ de feu, en effet, les invités sortaient fumer devant l’établissement, mais aussi dans l’entrée et l’un d’entre eux avait stupidement jeté le bout de sa cigarette consumé dans une poubelle qu’il croyait être vide, mais qui contenait du papier, qui s’était mis à flamber…Quelqu’un s’en est rendu, mais c’était trop, l’alarme s’était déclenchée…La salle a été inondée, par chance, la nourriture avait déjà été consommée…La soirée était définitivement gâchée, et on en est restés là…
Je suis resté en moi, la queue encore raide, et un regret au cœur, qu’on n’ait pas pu aller jusqu’au bout…Je n’ai pas vraiment dormi cette nuit-là, entre désir et regret.
J’étais sorti du système vendredi soir, mais j’avais encore les plannings dans la tête…Je savais quelle embauchait très tôt le dimanche matin, et qu’il n’y avait pas trop de malades le matin…De toute façon les secrétaires fonctionnaient par trois…
Elle n’était sans doute pas là depuis très longtemps quand je suis arrivé…Elle était redevenue la Sylvie que je côtoyais tous les jours, mais elle était tout aussi séduisante….Un jean très moulant qui soulignait la longueur de ses jambes, le galbe de ses hanches, la pente naturelle conduisant au renflement de sa vulve, et quand elle s’est tournée, la rondeur cambrée de ses fesses.
Quand elle s’est retournée à nouveau, j’étais face à elle. On s’est regardés. On a eu la même pensée. Cette fois, rien ne nous en empêcherait.
Elle s’est retournée vers ses deux collègues, qui n’ont en rien été dupes quand elle a dit :
—Je vais boire un café.
On savait où on allait. Juste à coté du bloc de l’entrée, se trouvait une grande salle aveugle qui servait pour entreposer du matériel médical, mais également des fournitures de bureau.
Mon premier réflexe a été de pousser une table contre la porte. Nous aurions au moins une dizaine de minutes devant nous.
Nous sommes allés l’un contre l’autre, nos bouches se rejoignant.
—On n’a pas beaucoup de temps, elle a soufflé, en se détachant de moi. Viens…Je veux que tu rentres en moi. Ce sera une première fois. Il y en aura beaucoup d’autres…
Elle m’a défait, mettant à queue à nu. J’étais aussi long et aussi épais que la veille, mon désir revenu.
—C’est bien, tu es aussi épais qu’hier. Exactement comme je le voulais.
—Tu as raison, il y aura encore des dizaines, non des centaines de fois comme celle-là…
Je lui ai tendu un préservatif que j’avais pris dans une poche.
—Tu n’en auras plus besoin bientôt.
Elle m’a gainé de latex, puis m’a laissé déboutonner son jean, comme j’en avais souvent rêvé. Dessous, elle avait une simple culotte noire avec de petites fleurs blanches dessus…Je suis venu passer mes index dans l’élastique, et je l’ai tirée bas, dévoilant un pubis imberbe. Elle s’est retournée, me présentant sa croupe pleine et rebondie. Elle s’est penchée en avant, m’offrant son ventre dans toute sa plénitude, comme tant d’hommes aiment que ce soit le cas. Sa croupe charnue ouverte sur les plissements de son anus, et le dessin complexe de sa vulve dilatée entre ses cuisses, gonflée, ouverte et suintante.
—On n’a pas beaucoup de temps, mais fais quand même bien les choses…
J’ai amené la tête de mon sexe contre ses lèvres, et j’ai frotté son relief intime, percevant la délicatesse de son sexe…Elle n’a pas pu s’empêcher de gémir, me laissant faire jusqu’à ce qu’elle ait envie de plus.
—Rentre-moi, maintenant, j’en peux plus.
J’ai glissé aussi lentement que je le pouvais en elle. Dans les toutes premières secondes, il n’y a rien eu, puis la sensation, unique, de sa muqueuse autour de moi a afflué. Ca a été une caresse de velours pour moi que de glisser jusqu’au fond d’elle…Mon gland a buté contre son utérus.
--Tu ne peux pas imaginer à quel point j’ai rêvé de ça…
—Je peux en dire autant.
J’ai bougé d’abord lentement. Puis un peu plus vite. Puis lentement…J’ai trouvé ainsi mon rythme. Comment se fait-il que d’une personne à l’autre, ce soit différent, meilleur ou moins bon, alors que l’acte reste identique…Ca n’avait sans doute jamais été aussi bon avec une fille que ça l’était avec elle…Je sentais bien que nous étions en harmonie, et que cette harmonie s’étendrait à l’ensemble de notre relation…
Ses gémissements se sont transformés en un cri de jouissance qu’elle a étouffé autant que possible, premier cri suivi par plusieurs autres…Je m’efforçais de maitriser mon plaisir, mais j’ai senti que j’explosais dans la capote, crachant des traits de semence qui n’auraient pas été aussi nombreux si je n’avais pas été à ce point excité.
C’est encore traversés par notre jouissance que nous nous sommes rajustés, et embrassés. Devant nous, se dessinait avenir à deux qui faisait qu’une part du rêve devenait réalité.
—Passe me chercher, je finis à vingt heures…
Elle m’a souri avant que je ne m’éloigne.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Serge et Sylvie

Le 20/05/2019 - 23:03 par mangouste
Une très bonne histoire, voir la suite.

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