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Sexe, workout et covoiturage

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2023

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SEXE, WORKOUT ET COVOITURAGE

partie 1
J'ai toujours aimé faire du sport, et une de mes détentes, après une journée de travail, c'est d'aller m'entrainer. On se fait du bien au corps et au moral. Je suis responsable de la centrale d'achats d'une plateforme liée à des supermarchés bien connus, pour le département, et je passe des moments intenses. Le soir, quatre fois par semaine, je rejoins un club, on fait des exercices de workout, en fait c'est très diversifié, on mélange les techniques, il y a du crossfit, du stretching, de la musculation pure, et du High Intensity Training Interval. Ca ne vous dira sans doute pas grand chose, il faut être vraiment sinon un spécialiste, du moins un connaisseur.
Tous ensemble, on est à peu près vingt-cinq à chaque fois.
Il y a une majorité de femmes, quelques hommes. Une bonne ambiance. On s'entend tous bien. On discute pas mal.
C'est comme ça que j'ai découvert que Tatiana et moi on travaillait dans la métropole régionale très proches l'un de l'autre. Elle, elle est secrétaire dans un grand cabinet de dentistes, alors que moi, je suis chez un avionneur, à la qualité.
Dans notre groupe, il y a des filles entre à peu près 29 et 65 ans, vraiment de jolies filles, et il serait difficile d'ignorer leur anatomie, vu qu'elles ont des tenues de sport et que celles-ci, même la plus basique, sont très moulantes, mettant en valeur leur anatomie parfois de manière très révélatrice.
Tatiana, elle, a une trentaine d'années comme moi, et, comme son nom ne l'indiquerait pas forcément, elle est d'origine Russe. Il y a le cliché qui veut que les filles russes soient de belles plantes...C'est tout à fait vrai la concernant. Elle est vraiment magnifique, une crinière blond-roux épaisse et pleine de vie, un visage rond et aussi pulpeux que son corps, des lèvres pleines de sensualité, et des formes qui ressortiraient même sous le vêtement le moins révélateur qui soit...En plus une fille simple et sympa...
Et un soir, en discutant après le cours, on s'est rendu compte qu'on travaillait tous les deux dans la même zone.
C'est elle qui m'a proposé, parce que je n'y aurais pas forcément pensé,
--Si on faisait du covoiturage ?
Dans le département, des aires de co-voiturage, il y en a partout. Je n'y avais pas forcément pensé, c'est moins simple qu'il n'y paraît, il faut avoir une destination commune, mais aussi des horaires communs...Mais elle et moi on embauchait à la même heure, et on parlait de L...à la même heure aussi. Donc les conditions étaient remplies.
On avait calculé qu'on prenait notre voiture chacun une semaine. Un bon calcul. Je commençais. On se donnait rendez-vous sur l'aire de co-voiturage.
Imaginez ce lundi matin...Je me cale sur l'aire de co-voiturage, encore un rien endormi. Une semaine qui commence. Et je la vois arriver...Elle gare sa voiture un peu plus loin, sur ma droite. Elle descend de voiture, et elle avance vers moi.
C'est certain, il y a mille et une formes d'érotisme. Et celui des uns n'est pas celui des autres. Les tenues de sport sont troublantes et révélatrices. Mais les tenues de ville le sont aussi, et d'infinies manières, parce qu'elles sont variées, alors que la tenue de sport se contente d'être moulante, jusqu'à l'extrême.
Je ne la voyais qu'en tenue de sport, et c'était la première fois en civil.
Elle était en tailleur. Un tailleur noir simple, la veste ouverte sous un chemisier en soie, et j'étais à peu près convaincu qu'elle n'avait pas de soutien-gorge dessous. Ses seins se dessinaient avec une grande précision, tétons y compris, et ils bougeaient librement. La jupe était courte, donnant à voir des cuisses gainées de nylon, qui s'effaçaient un peu plus bas pour être enveloppées par des cuissardes de velours noires.
J'ai remercié le Bon Dieu que ce soit une journée froide, et d'avoir un blouson un peu long qui masquait l'érection massive qui s'est emparée de moi. Une autre Tatiana, mais une Tatiana aussi désirable. Sinon plus.
Toujours chaleureuse, elle a ouvert la portière, m'a dit :
--Salut, ça va ?
Un immense sourire, sa présence et son parfum ont envahi le véhicule.
Elle avait plusieurs sacs avec elle, elle les a mis derrière et j'ai démarré
60 kilomètres aller, en sa compagnie. Le temps d'être bien imprégné de ses charmes. D'ailleur, je n'ai pas eu à attendre très longtemps pour en profiter. Le mouvement pour se glisser sur le siège, le fait qu'elle se contorsionne, ont fait remonter sa jupe d'une manière radicale.
Je me souvenais bien que, plusieurs fois, je m'étais posé la question de savoir si elle avait une culotte sous ses tenues hypra-moulantes. La manière dont ses fesses pouvaient bouger sous le tissu...Je la revoyais aussi encore, tournée et redressée vers moi, le pantalon collant à son pubis, et le relief de son sexe, ultra-précis, ses lèvres pesant contre le tissu et se dessinant avec une précision très nette. Et puis je m'étais dit, non, elle doit avoir quelque chose en dessous. Juste après, non, sans doute pas, je ne pourrais pas voir le dessin de ses lèvres de manière aussi précises...
Là, en tout cas, ce matin-là, il n'y avait pas de question à se poser. Le lycra était appuyé directement sur ses parties intimes, et il donnait directement à voir celles-ci, ce qui aurait pu ne pas être le cas, s'il y avait eu un parement. Là, rien, sinon la vision d'un sexe nu, sans rien pour le masquer. Contrairement à la mode ambiante, elle avait bien gardé une toison, qui disait qu'elle était vraiment blonde, et son sexe s'entrouvrait, laissant bien voir deux morceaux de lèvres qui n'étaient peut-être pas dans la même configuration que le jour où j'avais posé les yeux sur elle à l'entrainement, paysage changeant. Mais elle s'est calée sur le siège, a bouclé sa ceinture, sans juger nécessaire de redescendre sa jupe, et j'ai démarré.
Ca a été un moment un rien schizophrénique. J'étais pour ainsi dire divisé en trois. Il y avait une première partie de moi vraiment concentrée sur la circulation, parce que ce n'était jamais difficile de circuler, et encore plus quand on se rapprochait de la métropole régionale, une autre partie de moi qui discutait avec elle de tout et de rien, de nos métiers respectifs, de workout, de nos vies, et une troisième partie de moi qui avait l'oeil rivé sur son sexe. Elle avait gardé cette position, légèrement tournée vers moi,
Ca a été au bout de quelques kilomètres que son index est venu se poser sur le collant, au niveau de sa fente, et qu'elle a commencé à le faire aller de bas en haut. Un premier mouvement, une pause, puis un deuxième mouvement. Il y a en tout cas eu une réaction physiologique, et elle a été bien visible. Son sexe a commencé à s'entrouvrir et il y a du liquide qui a commencé à couler, faisant luire ses chairs, mais aussi le collant.
Elle a continué de se caresser ainsi, le temps entre chaque caresse diminuant.
A vrai dire, ce n'était pas la première fois que je la voyais se caresser, aussi surprenant qu'il puisse y paraître.
Quand on allait faire du crossfit, on arrivait tous à des heures très diverses. Certains tôt, d'autre plus tard, d'autres encore vraiment en retard. Moi, j'arrivais dans les premiers, et j'allais me caler devant la salle, encore fermée.
J'arrivais de la gauche, et j'avais reconnu sa voiture. Dans un mouvement qui avait été stoppé net, j'avais eu la tentation d'aller lui dire bonjour.
Installée en travers, entre le siège conducteur et le siège passager, elle se caressait.
J'avais été à la fois gêné et fasciné. Fasciné parce que, comme tous les hommes, du moins je le pensais, j'étais absolument scotché de voir une fille se caresser, opportunité qu'on avait rarement d'ailleurs dans l'intimité, sauf subrepticement, et s'il s'agissait d'un jeu. Là, elle avait descendu son pantalon de survêtement, accroché à une cheville, et elle faisait aller et venir de deux doigts réunis dans son sexe, dans un mouvement qui prenait de plus en plus d'ampleur, et qui, lorsqu'ils glissaient en elle, faisaient jaillir un liquide de plus en plus copieux. Elle avait fini par se figer, doigts plantés en elle, autour desquels avaient jailli des jets de liquide, yeux clos, bouche ouverte. Reprenant ses esprits, elle avait attrapé un rouleau d'essuie-tout, posé près d'elle, et s'était épongé les jambes avant de remonter le pantalon et de se recaler dans une position plus orthodoxe. Moi j'avais rebroussé chemin, pour aller changer de caleçon dans ma voiture, heureusement que j'avais toujours des vêtements de rechange. Je m'étais joui dessus, dans mon trouble extrême, mais je n'en avais pris conscience que lorsque j'avais senti mon sperme, chaud, jaillir, et que la jouissance m'avait traversé.
Là, elle était dans quelque chose de différent, moins intense, mais le mouvement devenait plus marqué, comme l'ouverture de son sexe et son humidification.
En même temps, elle continuait de parler.
Le lycra était brillant d'humidité, sur une large surface, quand elle m'a dit :
--Le matin, j'ai envie de sexe. Je me donne du plaisir avant de partir de chez moi, mais j'ai pas eu le temps, et j'ai envie de jouir, sinon je reste avec une tension et une frustration toute la journée. J'espère que ça te choque pas...Tu sais, moi je suis assez libre...
Ca c'était le moins qu'on puisse dire. Quand on faisait des pots, après le sport, avec un grand naturel, elle pouvait parler de sa vie sexuelle avec une crudité, qui fascinait ou gênait, c'était selon. 'J'avais sa queue dans ma bouche, je ne pensais pas qu'il allait jouir, et il a commencé a balancer son sperme. J'ai été surprise, mais j'ai tout avalé, c'était bon.' 'Il avait sa queue dans ma chatte, et j'ai compris qu'il voulait jouir là. Je l'ai surpris, je l'ai sorti, et je l'ai appuyé contre mon anus et je suis descendue sur lui. Bon, il a eu l'air d'aimer. J'adore me faire sodomiser. C'est plus serré, c'est vraiment bon.'
--Fais ce que tu veux, ça ne me gêne pas.
Avec mon accord, elle a été totalement rassurée, et elle a donné un rythme plus vigoureux à sa caresse. Elle était déjà au bord de la jouissance, celle-ci est venue en quelques secondes. Elle s'est tenue collée au siège, s'est mise à gémir, et a craché des jets humides qui sont venus maculer le lycra. Reprenant ses esprits, elle a gémi :
--Je me sens mieux, mais il va falloir que je change de collant, je suis toute mouillée.
C'est à ce moment-là qu'elle s'est rendue compte que j'avais une belle érection, qui avait atteint un point où elle était difficilement invisible. Semblant soucieuse, elle m'a demandé :
--Je vois que toi aussi tu as besoin...Tu veux que je te caresse ? Tu vas pas rester la journée comme ça.
--Je conduis, alors c'est compliqué.
--On est en avance, on peut s'arrêter sur une aire. Il y en a une un peu plus loin.
--Difficile de résister à une proposition pareille.
Pour appuyer ses propos et me montrer qu'elle me plaisantait pas, elle est venue poser sa main sur mon pantalon et au niveau de mon érection.
Deux kilomètres plus loin, il y avait une zone de parking. En longueur, elle permettait de rester à distance des autres. Il n'y avait de toute façon personne à ce moment.
J'ai ralenti, coupé le moteur, pendant qu'elle me défaisait. J'ai frémi au contact de ses doigts tièdes contre moi. Elle a dégagé ma queue, me trouvant déjà bien érigé.
--Mmm, tu as une belle queue.
Elle a jeté un coup d'oeil à l'horloge.
--On a de l'avance. On peut s'accorder dix minutes.
Ses doigts se sont mis à tourner sur moi, m'effleurant. Elle savait caresser, mais je n'en aurais jamais douté. Elle a mis plus d'intensité sur des zones sensibles, frottant mon gland, lubrifié par le jus pré-sementiel qui s'est mis à couler de mon méat, allant et venant le long de ma tige, venant caresser mes couilles. Elle souriait, et si j'avais jamais pu en douter, c'était une évidence que le sexe, pour elle, était quelque chose de magique, qui prenait une grande importance dans sa vie.
Je sentais la jouissance monter en moi. Elle aussi. Plongeant sur moi, elle a refermé sa bouche sur ma queue deux secondes avant que mon premier jet de sperme ne sorte, et elle l'a maintenue étroitement serrée autour de moi pendant que je jouissais, un orgasme d'autant plus fort qu'elle m'avait bien caressé, et que la voir ainsi plongée siur moi, bouche obstinément close pour ne pas perdre de semence était hyper troublant. Elle a laissé la semence couler dans sa gorge, me gardant suffisamment longtemps pour venir me nettoyer de la langue ensuite. Souriante, elle s'est recalée dans son siège, après m'avoir rhabillé.
--Allez, on sera de meilleure humeur pour aller travailler.
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Commentaires du récit : Sexe, workout et covoiturage

Le 31/05/2023 - 16:33 par OlgaT
Et bien, voilà une belle occasion!

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