Sexe, workout et covoiturage partie 2

SEXE,WORKOUT ET COVOITURAGE
Partie 2
En arrière-plan, tout au long de la journée, même si j'étais toujours concentré sur mon travail, j'ai repensé à cet aller. Ces moments de plaisir pur. En me posant des questions sur ce que j'avais pu penser en amont, anticiper... Avais-je à un moment pensé que ce serait comme ça, ou bien étais-je dans un autre positionnement, concevant que ce serait un co-voiturage banal ? Etais-je séduit par elle, par sa plastique impeccable et son charme indéniable, ou bien étais-je plus neutre ? Difficile de s'auto-analyser, d'autant que tout n'est pas forcément à la conscience.
Au-delà, je me demandais clairement si elle avait, à un moment ou à l'autre eu envie de me séduire, ou si pour elle j'étais juste une personne susceptible de l'accompagner pour un co-voiturage qui présentait de nombreux avantages...Et il y avait eu un basculement...Difficile de savoir.
Mais je n'étais pas bégueule...Si tous nos trajets devaient se dérouler selon le même modèle...Ce serait bien...Et je prenais sans chercher à aller au-delà, sans vouloir plus, pour simplement profiter de ce que j'avais. J'avais appris à profiter du moment présent, sans chercher plus.
Je l'avais déposée devant son entreprise le matin, et j'avais été jusqu'à la mienne. On était sur la même zone industrielle. Je n'ai pas été surpris de la retrouver donc appuyée contre ma voiture quand je suis sorti, même si je devais passer la prendre. Elle tirait sur une cigarette.
--J'avais fini un peu plus tôt. Je suis passé.
Elle a tiré sur la cigarette, et craché un jet de fumée.
--Ce soir, on n'a pas entrainement. Ca te dirait si on s'arrêtait quelque part pour avoir du plaisir ensemble ? Sur le chemin il y a plein d'endroits sympas...
--Tu les as repérés ?, je lui ai demandé.
--Toujours. Il n'y a rien qui me plait plus que le sexe hors de chez moi. A chaque fois, c'est une expérience nouvelle.
Elle a tendu la main vers mon pantalon et m'a caressé à travers le tissu.
--Je suis folle de queues. Folle de plaisir, de sexe...Quand je pense qu'il y a des personnes qui passent à côté de ça toute leur vie...Quelle tristesse.
Pendant que j'ai pris le volant, elle m'a défait, et elle a commencé à caresser ma queue avec un air extatique. Elle savait bien caresser, c'était une évidence. Elle a su me le rappeler, si par hasard je l'avais oublié. Sa main tournant sur moi, souple et habile, travaillant une zone jusqu'au point de la jouissance, avant de repartir ailleurs. En même temps, elle a glissé sa main entre ses cuisses pour se caresser aussi.
On remontait vers notre point de départ. Elle m'a dit :
--La prochaine bretelle. Il y a une grande zone pour s'arrêter, et on sera masqués par des arbres.
Elle avait effectivement bien étudié la question. Sans doute même fait des pauses avec des partenaires.
Il y avait déjà une voiture quand on est arrivés. Apparemment, c'était un lieu de rendez-vous. En tout cas, appuyée contre un véhicule noir, une Citroen, une belle blonde, je distinguais sa crinière, mais pas son visage, masqué par sa chevelure qui coulait autour, et une robe bleu ciel, roulée à la taille, dévoilant un cul charnu et rebondi, dans l'ouverture duquel un homme faisait aller et venir sa queue dilatée,que je pouvais parfaitement distinguer, enveloppée d'une capote. Ca a décuplé mon envie. Mais apparemment le spectacle a aussi séduit Tatiana, faisant briller plus son regard.
--Faisons comme eux. Ils ont compris ce qui était bon.
Notre arrivée représentait la fin d'une pièce, et le début d'une autre. La fille s'est dégagée, agenouillée, elle a fait glisser le préservatif pour mettre la queue à nu. Bouche ouverte, elle a esquissé un aller-retour de la main le long de la tige roide. Le sperme a jailli, saturant son palais, sperme qu'elle a fini par avaler. Se redressant, elle a échangé un long baiser au goût de semence avec son amant, scellant ainsi leur complicité. Ils sont remontés en voiture, et sont partis, nous laissant involontairement la place.
Même si elle était déjà bien haute, Tatiana a roulé sa jupe à sa teille. Venant appuyer ses doigts à l'endroit où les coutures du collant faisaient intersection, elle a appuyé et déchiré pour mettre son sexe à nu. Dilaté et humide, offert. Elle a pioché dans son grand sac à main, pour en ramener un préservatif et un gode rouge vif. Je me suis demandé pourquoi. Elle avait une queue de chair, vibrante, à sa disposition. J'ai compris dans les minutes qui ont suivi.
Elle a déchiré l'emballage d'aluminium et fait glisser le latex le long de ma queue. D'un mouvement souple. Ca a été très vite ensuite. Gardant le gode à la main, dont je me demandais à quoi il était supposé servir, elle est venue en aplomb de ma queue, avant de se faire descendre dessus. Elle l'a guidée vers ses lèvres, et c'est rentré tout seul. La sensation a été tout de suite très forte, et le plaisir intense, celui que tout homme éprouve, avec la nuance qu'il est propre à chacun, dans ses ramifications et ses subtilités, lorsque le sexe d'une femme vient l'envelopper, qu'il est pris par cette gaine infiniment chaude et douce, quelle que soit la manière qu'elle ait de l'utiliser.
C'est d'elle-même qu'elle s'est mise à bouger sur moi, se frottant avec ma queue dure, mais en même temps me caressant. Je ne savais pas si c'était mieux avec elle qu'avec mes précédentes petites copines, mais c'était en tout cas intense, et très bon. Pour la première fois, j'ai réalisé qu'un moment comme celui-là, je l'avais attendu et j'y avais pensé chaque fois que je la voyais, mais dans des zones subconscientes, et sans vraiment l'admettre.
Elle m'a gardé longtemps en elle, dans ce moment hors de tout où nous étions tous seuls tous les deux, bien loin du collectif du cours de workout, dans une intimité profonde teintée de plaisir. Mon sexe apparaissait et disparaissait, esquissant un mouvement hors d'elle pour mieux y replonger, le latex couvert de ses coulures intimes, poisseuses et qui s'épaississaient.
Elle avait toujours le gode à la main, elle se l'était fourré dans la bouche et elle mimait une fellation plus vraie que nature autour du métal rouge, de coups de langue en mouvements de va-et-vient de la bouche. C'était vraiment excitant d'être avec elle...Quelque chose que j'avais anticipé sans doute, mais pas à ce point. Souvent quand on cotoie des partenaires potentielles, on se demande souvent comment ça serait si on était plus proches. Parfois on n'a malheureusement jamais la réponse...J'avais la chance de l'avoir ici.
D'un spasme, elle a éjecté ma queue de son vagin. A force de cette caresse intime, j'étais très dilaté.
Elle a souri.
--Mon plaisir, celui que j'aime par dessus tout c'est de me faire prendre autrement. Je ne voulais pas me donner comme ça à mes partenaires. Un jour j'ai accepté pour un homme, parce qu'il me le demandait de manière insistante. Tu sais ce qu'on dit...Les hommes ne pensent qu'à une chose : enculer les femmes. Ca a été...Un plaisir auquel je ne m'attendais pas. Je suis devenue accro...Et j'ai trouvé le moyen de rendre ce plaisir encore meilleur.
Je voyais à peu près se dessiner ce qui allait se passer dans les moments à venir.
Ses muqueuses totalement offertes, son sexe dilaté à force d'avoir été fouillé, qui suppurait, ses liquides intimes coulant sur sa chair et sur moi.
Elle a appuyé mon gland dilaté contre les plissements de sa muqueuse anale, et elle m'a fait rentrer en elle en poussant un soupir de plaisir, et en fermant les yeux, comme si c'était vraiment l'apex de ce qu'elle pouvait vivre.
D'un mouvement de bassin, elle m'a englouti totalement. Elle s'est laissée le temps de bien ressentir mon sexe en elle, tout comme je pouvais sentir l'étroitesse de sa muqueuse autour de ma queue, qui me caressait, comme aucune chatte ne le ferait jamais.
C'est à ce moment que, comme je l'avais prévu, elle a amené le gode contre ses lèvres. Elle n'avait pas encore actionné le moteur, ce qu'elle a fait. Elle s'est mise à se frotter les lèvres, toutes congestionnées, en même temps qu'elle esquissait un nouveau mouvement de bassin pour faire aller et venir ma queue en elle...
Je crois que j'ai rarement vu une partenaire aller aussi loin dans le plaisir. Ce n'était pas qu'il n'avait pas été aussi intense, aussi fort chez d'autres partenaires, mais elle se laissait aller d'une manière totale, qui était d'ailleurs émouvante. Ca je l'avais bien remarqué, qu'il n'y avait jamais de faux-semblants chez elle.
Ca a été l'un de mes moments les plus excitants de toute ma sexualité. Sentir la caresse autour de ma queue, voir le vibro aller et venir dans son sexe, comme l'avait fait ma queue, apparaître et disparaître, frotter contre ses parois intimes bien visibles, ses jus jaillir sur ses chairs, et faire briller le métal du vibro. Mais aussi et surtout son plaisir marquer son visage et tordre son corps.
Tout ce temps, j'ai été, comme peu souvent, sur le fil du rasoir. Au bord de la jouissance, il suffisait d'un rien pour m'y faire basculer, et en même temps, je me retenais, je me raccrochais, parce que je ne voulais pas jouir tout de suite, au cœur de ce moment d'une rare intensité, que je rêvais de voir durer. Il y avait un plaisir intense à la sentir me caresser, à la voir se donner du plaisir, à faire l'amour avec une fille aussi superbe...La surprise de basculer d'une réalité vers une autre réalité...Je n'aurais jamais imaginé quand je la voyais au club, qu'on puisse un jour se retrouver aussi intimes, dans un plaisir partagé, dont je n'avais pas non plus pensé qu'il puisse être si fort...
Et puis elle s'est mise à jouir. Secouée de spasmes, se tordant, criant, et son sexe crachant ses jus intimes, gras et épais, arrosant nos chairs.
Je crois que je n'avais jamais vu une fille jouir ainsi, d'une manière aussi intense, mais aussi d'une manière aussi sincère.
Assez ironiquement, à force de me contenir, je me suis retrouvé bloqué.
--J'ai envie de sentir ton sperme jaillir en moi...
--Je suis bloqué...
--Je vais te débloquer...
Elle m'a dégagé de son anus, que j'ai vu, tout dilaté, ouvert sur une muqueuse rouge. Elle a ôté le préservatif. J'avais rarement été aussi gros. Elle a glissé, de telle manière à coller ma queue contre son ventre, chaud, doux. Elle l'a massé deux ou trois fois, et des jets de sperme copieux se sont mis à jaillir, poissant son ventre, ses seins, jusqu'à son visage. Elle avait gardé le gode en elle, ses muscles vaginaux le bloquant. Je l'ai attrapé, et, la surprenant, je l'ai fait bouger en elle...Elle a crie et encore joui.
On est revenus après à une réalité plus terre à terre. Il y avait pourtant quelque chose qui avait changé entre nous. Nos regards accrochés, et une complicité qui allait peut-être durer.
La vie peut parfois être magique.
On s'est rajustés.Elle a fait glisser son collant déchiré, préférant rester jambes et cul nus sous la jupe. On avait passé...Quasiment 45 minutes à ce rapprochement que j'aurais pensé plus court. Quand on vit de bons moments, c'est toujours trop court.
On est remontés. Les regards, les sourire qu'on a pu échanger disaient clairement notre complicité. La jupe était redescendue sur sa chatte, mais elle a relevé le tissu, avec un sourire, pour me laisser la mater.
Je venais de me garer sur le parking de co-voiturage quand elle m'a dit :
--Tiens, regarde. Tu y penseras quand tu seras seul et que tu te branleras.
Et, plantant ses deux index dans son sexe, même si elle était restée entrouverte à cause de la dilatation provoquée par l'orgasme, elle s'est faite béante, me donnant suffisamment de temps pour enregistrer l'image.
Elle a fini par se retirer, et a fait tomber d'un mouvement la jupe sur ses parties intimes.
Je pensais que c'était un cadeau d'adieu, mais en sortant de la voiture, elle m'a dit, se retournant et souriant:
--A demain matin!
Elle s'est éloignée. Arrivée à sa voiture, elle a retroussé sa jupe, pour me laisser voir un derrière plein et rebondi. Un clin dz l'oeil et elle a glissé dans sa voiture avant de démarrer et de quitter le parking.
Nos prochains moments de co-voiturage seraient intéressants.