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Sexe autour d'un lavoir partie 1

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Lue : 970 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/10/2020

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Partie 1
- Tiens, j’ai quelque chose qui peut t’intéresser.
Sylviane m’a tendu la feuille. Nos doigts se sont frôlés. Son regard a accroché le mien. Je savais ce qu’elle voulait, mais j’en avais envie aussi. D’ailleurs, si j’étais passé à la MJC cet après-midi, c’était justement pour ça.
Elle s’est levée, pour aller photocopier une liasse de documents, et s’est arrêtée en passant devant moi. Secrétaire de la MJC locale, je l’avais toujours connue en tailleur jupe veste, rarement pantalon, mais ça lui allait parfaitement bien. D’autant qu’elle y ajoutait toujours des éléments sexy qui en brisaient le classicisme et faisaient bander tous les adolescents dès qu’ils étaient conscients qu’ils avaient une bite, et qu’elle était faite pour rentrer dans le vagin d’une fille.
Elle avait une collection de bottes assez incroyable, qui la sublimaient, mais aussi des escarpins, comme ceux qu’elle avait au pied ce jour même, avec des talons de 10 centimètres, qui, outre le fait qu’ils étaient sexy en eux-mêmes, la grandissaient, parce qu’elle était un mini-format, la cambraient, et mettaient en valeur ses charmes. Ses fesses bien rondes en particulier, galbées ainsi, sur lesquels j’avais posé le regard longtemps, avant de pouvoir y mettre les mains.
Elle m’a fait un petit sourire, puis elle a soulevé sa jupe. Je me suis demandé si le ‘Tiens j’ai quelque chose qui peut t’intéresser’ concernait le papier que j’avais sous les yeux mais que je n’avais pas encore lu, ou le fait qu’elle soulève sa jupe. Elle était menue, mais son corps était vraiment bien dessiné. Elle portait très souvent des collants, pas forcément avec une culotte dessous, et le résultat pouvait être plus que troublant.
Là, elle avait opté, c’était la première fois que je la voyais avec, pour des bas stay up, qui tiennent tous seuls, gris perle, avec une bande de la même couleur entourant la cuisse, aux deux tiers de celle-ci. Quant à une culotte…Elle avait oublié d’en mettre, et je pouvais distinguer ce sexe que j’avais déjà honoré de toutes les manières possibles, avec mes doigts, ma langue, et ma queue, mais dont je ne me lassais pas. Une fente dont sortait toujours un bout de lèvre, jamais deux fois du même côté, et jamais de la même manière, fente entourée par une toison châtain abondante, domestiquée d’aucune manière, ce qui m’avait toujours énormément troublé, contrairement aux mecs de mon âge qui n’aimaient que les chattes rasées.
Elle a baissé sa jupe et est partie faire les photocopies, pendant que je lisais l’annonce. Elle venait d’une MJC à 300 kilomètres de là qui proposait un chantier jeunes, entre 18 et 25 ans, durée une semaine, pour restaurer un lavoir, tous frais payés, avec en récompense une semaine dans un parc d’attraction.
Elle est revenue tenant dans une main les originaux, dans l’autre les photocopies.
—J’ai pensé que ça pouvait t’intéresser…Comme tu ne pars pas toujours en vacances…La région est belle, il y a du soleil, ce qu’on vous demande est minime, vous serez logés, nourris, vous aurez du temps libre, et en plus ce séjour dans un parc d’attractions…Autant que ce soit toi qui en profite.
Longtemps, Sylviane avait été comme une maman pour moi. Avant que nos relations changent et qu’elle devienne ma maitresse; Mais les deux se cumulaient.
Elle est revenue en arrière pour pousser la porte du bureau, la fermer la clef, et a avancé vers moi, se calant dans le siège à côté de moi, et tendant une main avide vers mon jean.
—J’ai envie de ta queue.
Moi aussi j’avais envie d’elle. C’était d’ailleurs pour cela que j’étais passé à la MJC, même si ce n’était pas mon objectif principal. Je voulais aussi savoir si je pouvais avoir quelque chose à faire pendant les vacances. J’avais toujours gardé un lien avec la MJC.
J’avais commencé à 13 ans, en faisant des échecs et du basket, j’avais ensuite testé d’autres activités, mais en restant toujours sur les échecs et le basket.
Je crois que Sylviane et moi on avait sympathisé dès le premier jour, sans imaginer bien sûr qu’on puisse un jour basculer sur cette relation où le sexe avait une importance essentielle. Je venais de la cité à côté, avec des parents désargentés, et j’avais été touché par sa chaleur, sa compassion, comme elle sans doute avait été touché par cette misère qui était la mienne, moins physique que morale.
C’était elle, quand j’avais eu 18 ans, et alors que nous nous côtoyions depuis des années, qui m’avait proposé de passer des diplômes et d’enseigner les échecs et le basket.
—Ca te fera de l’argent, et ça te permettra de te payer tes études.
J’étais parti dans un BTS de maintenance industrielle, et je venais de venir une licence, embauché à la rentrée dans une entreprise dans laquelle j’avais fait mon stage. Ce chantier serait l’occasion de faire une pause.
Sylviane avait très vite fait fantasmer l’adolescent que j’étais. Elle avait un joli visage, un joli corps, elle savait se mettre en valeur, toujours féminine. Mais je n’aurais jamais pensé qu’il puisse se passer quelque chose entre nous. Jusqu’à un samedi après-midi, où j’étais passé pour entrainer les joueurs d’échec. Je m’étais glissé jusqu’à son bureau, et je l’avais trouvée entrain de se masturber, la robe retroussée, le collant descendu aux genoux. Elle ne s’était pas interrompue, m’avait souri, et m’avait dit:
—J’avais envie de sexe, et je t’espérais. Je vois que mes espérances n’ont pas été vaines. Viens, j’ai envie que tu me fasses jouir. Fais comme tu le sens…
J’étais venu me mettre à genoux devant le fauteuil qu’elle occupait. J’avais eu un contact visuel avec ce sexe que je découvrais et que je devais par la suite connaître par coeur, à ce moment ouvert d’excitation, ses deux lèvres allongées, l’intérieur ouvert laissant voir ses muqueuses, un clitoris fin sorti. Ses chairs étaient luisantes des sécrétions qui coulaient d’elle. Je crois qu’elle s’attendait à autre chose, mais elle m’avait laissé faire, alors que je la caressais avec ma langue. Elle avait très vite joui, une fois, puis encore une fois, enchainant les orgasmes, et crachant de plus en plus de liquide à chaque fois, m’arrosant le visage, jusqu’à ce qu’elle pose sa main dans mes cheveux et me dise ‘Arrête, j’en peux plus! J’ai trop joui, je suis à bout de nerfs!’
On en était restés là ce jour-là, mais j’étais très vite revenu vers elle, elle aussi allait vers moi, et notre relation était devenu comme une drogue, quelque chose d’intense, et de sans doute difficile à comprendre pour quelqu’un qui l’aurait vue de l’extérieur. Elle avait 25 ans de plus que moi, et nous étions issus de deux milieux différents, moi de la tess, et elle d’un milieu plutôt bourgeois, avec un mari cadre commercial. Pourtant il existait entre nous un lien intense, difficile à expliquer, et qui avait perduré au fil des années. Basé certes sur le sexe, mais il n’y avait pas que cela.
Pourtant, à ce moment, c’était bien l’envie du corps de l’autre qui prédominait, pour elle comme pour moi.On se caressait mutuellement, sa main allant et venant sur ma queue congestionnée (Je n’étais jamais aussi dilaté que quand j’étais avec elle, il fallait croire que les filles de mon âge ne me faisaient pas autant envie…)tandis qu’elle me laissait caresser son sexe, sa jupe s’était retroussée quand elle s’était assise, et elle ouvrait bien les cuisses. La sensation, déjà connue, de ses lèvres au bout de mes doigts, je crois que je connaissais leur relief par coeur, de son humidité abondante…
—J’ai envie de toi depuis ce matin, de ta queue dans mon ventre…
Elle m’avait plus ou moins laissé entendre que si son mari et elle s’entendaient bien, toute sexualité avait disparu de leur existence depuis belle lurette. Et elle aimait le sexe.
Moi ce que j’appréciais, c’était qu’une femme aussi attirante qu’elle puisse me donner son corps, mais aussi ses fantasmes, dans lesquels elle m’incluait, mettant en scènes des moments qui avaient tous leur originalité, leur folie, et restaient en moi, gravés, comme autant de souvenirs intenses, bien loin des plates étreintes que je pouvais avoir avec des filles de mon âge.
C’est quand elle s’est légèrement basculée, poussant son ventre vers moi en me disant:
—Tu peux rentrer tes doigts si tu veux, tu sais bien que j’adore ça…
que j’ai remarqué qu’elle avait quelque chose dans l’anus. Je ne savais pas très bien ce que c’était, un objet j’imagine, qui se terminait ou commençait, c’était selon, par quelque chose de rond, et de métallique, tout rose.
Elle m’a vu remarquer l’objet, et elle m’a dit:
—C’est un objet qu’on s’enfonce dans l’anus, qui le dilate pour préparer une pénétration, après ce n’est pas forcément une obligation, et qui donne aussi du plaisir, en tout cas moi il m’en donne, en frottant tes muqueuses. Regarde.
Elle a attrapé la rondelle métallique, et elle a fait lentement sortir l’objet d’elle. Elle a gémi, éprouvant du plaisir à l’enlever, je suppose parce qu’il frottait contre ses parties les plus sensibles. Elle m’a présenté l’objet, souillé de liquides et de maculations plus épaisses, épais en bas, plus fin en haut, ou vice versa. Mais elle m’a aussi montré comme son anus avait été ouvert par l’objet, qu’elle devait avoir en elle depuis un moment. Les plissements étaient largement écartés, laissant voir l’intérieur rosâtre d’une muqueuse anale. Ca m’a donné envie de la pénétrer, mais j’imagine que c’était ce qu’elle voulait.
Elle a fini par me gainer d’un préservatif, tiré de son décolleté, et je l’ai attrapée par la taille. Elle n’était pas bien lourde, et je l’ai amenée sur moi, comme je l’avais déjà souvent fait. Je l’ai posée juste derrière ma queue, et elle l’a attrapée, pour frotter mon gland contre ses lèvres, avant de se soulever, et de me faire rentrer en elle.
J’avais 24 ans, cela faisait six ans maintenant qu’on était amants, et pourtant je n’avais jamais été blasé. C’était toujours très bon avec elle. Elle avait le savoir-faire d’une femme de 49 ans, qui n’avait rien à voir avec celui des filles de mon âge.
Mon sexe a glissé en elle jusqu’à être complément avalé. Elle s’est posée sur moi, avec une expression de jouissance sur le visage. Mêlée à une certaine tristesse.
—Quand tu ne viendras plus me voir, ça sera dur pour moi. Le sexe avec toi, c’est vraiment très bon.
—Je viendrai toujours te voir. Je te dois beaucoup.
—Le jour ou tu auras trouvé une fille qui te plaira vraiment, je ne te verrai plus, je le sais très bien. Mais il faut en profiter en attendant.
Elle a pris appui sur les bras du fauteuil, et elle s’est faite monter et descendre sur ma queue. Je voyais celle-ci réapparaitre puis disparaitre à nouveau,le plastique du préservatif souillé par ses sécrétions abondantes. Je suis sorti d’elle par accident. Elle en a profité pour amener ma queue vers sa muqueuse anale. Celle-ci était restée ouverte, et avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, oui ou non, elle m’a fait rentrer de quelques centimètres…Elle a donné un coup de bassin pour me faire glisser plus profondément en elle. Je l’avais rarement sodomisée. Cette fois, elle en avait très envie. La sensation du conduit étroit, qui m’a avalé, était intense, mais je n’étais pas obsédé, contrairement à certains, par le désir de sodomiser une fille. J’aimais bien par la chatte aussi.
Elle s’est faite bouger sur moi, en même temps qu’elle faisait tourner ses doigts sur son sexe, pour avoir le maximum de plaisir. C’était aussi excitant d’être dans son anus que de la voir frotter son sexe ouvert sur un intérieur bien rouge, et suintant. Elle recherchait son plaisir, et elle l’a vite trouvé, se tordant de jouissance, traversée par plusieurs orgasmes. Moi-même, je m’efforçais de juguler l’orgasme qui montait en moi, je voulais encore profiter de la situation, j’aimais vraiment ces moments avec elle. J’ai lâché un premier trait de sperme avant même d’avoir un orgasme, celui-ci m’a pris au deuxième.
On ne se séparait pas comme ça, parce qu’il y avait un lien entre nous qui allait au-delà de la sexualité, même si celle-ci était essentielle entre nous. Elle avait un petit frigo, et elle y puisait des pâtisseries maison qu’elle faisait le matin même quand elle savait que je venais. On buvait du thé, en discutant.
—Ecris, n’hésite pas, ça sera une expérience intéressante. Et envoie un CV, avec tout ce que tu as fait, s’ils ne te prennent pas…
C’est ce que j’ai fait le soir même, lettre de motivation et CV. Et puis, je dois bien l’avouer, je n’y ai plus pensé. J’avais des examens, je revoyais Sylviane régulièrement, je gérais mes clubs d’activité…Et donc, dans les derniers jours de juin, j’ai reçu cette lettre, qui venait de V… les Bains…

Bonjour,
Nous avons retenu votre candidature pour le chantier qui se tiendra dans la troisième semaine de juillet à V… les Bains. Nous serons enchantés de vous compter parmi nous, au vu de votre profil.
Notre responsable, Linda Raymond vous attendra lundi 18 juillet à la MJC de V…les Bains, sur le coup de 10 heures.
A très bientôt.

J’ai été très surpris, autant parce que j’avais complètement oublié ce chantier, Sylviane ne m’en avait d’ailleurs pas reparlé, que parce que je n'avais jamais pensé avoir le profil pour être recruté. D’ailleurs, je me demandais vraiment pourquoi ils m’avaient retenu… Mes origines sociales? Mon cursus?
J’avais fini mes cours à la MJC, mais je passais quand même voir Sylviane. Ce qu’elle me le donnait, aucune autre fille ne me le donnait, à savoir le sexe dans ce qu’il avait de meilleur et de plus subtil. Et puis sans doute que j’avais un gros coup de coeur pour elle, même si je ne me le serais jamais avoué. Elle était comme une seconde maman pour moi. Mais une maman avec qui j’aurais eu des rapports incestueux.
Pour l’heure, j’étais calé dans le fauteuil réservé au visiteur, et Sylviane tournait autour de moi. Elle avait sorti ma queue et mes couilles de mon pantalon, et elle me faisait une de ces fellations dont elle avait le secret, suave, subtile, et terriblement excitante, et en même temps à chaque fois différente. Au lieu de venir sur ma queue, elle avait plongé directement sur mes couilles et elle les parcourait de sa langue. Depuis qu’elle avait entrepris cette caresse, ma queue avait quasiment doublé de volume, et je devais me retenir pour ne pas jouir tellement c’était bon. D’habitude, elle venait bien sûr toujours sur mes couilles, mais là, c’était la première fois qu’elle les travaillait directement et longuement, et je devais me retenir pour ne pas jouir. Mon liquide pré-séminal coulait avec une rare abondance, qu’elle lapait avec avidité. Elle avait aujourd’hui opté pour une robe, plutôt qu’un tailleur, une robe simple, noire, basique, courte, mais qui sur elle, prenait une autre dimension, soulignant les charmes de sa silhouette dont je n’avais épuisé le plaisir d’admirer les lignes, et, les jambes gainées de bas stay-up noirs, et une absence de culotte. Je me demandais si elle avait définitivement renoncé à mettre un slip, ou si c’était juste quand je venais. Pareil pour les bas stay-up, en mettait elle régulièrement ou bien était-ce juste quand elle savait que j’arrivais? Mais c’était bien de ne pas avoir des réponses à tout, de garder une part de mystère…Elle se caressait le sexe, insistant sur son clitoris pour se faire jouir, le sexe ouvert, on voyait bien son intérieur tout rouge, et elle mouillait abondamment. On a eu, comme c’était souvent le cas, je le voyais comme un signe, nos orgasmes quasiment en même temps, moi me libérant d’un torrent de sperme, comme si la caresse de sa langue sur mes couilles les avait fait se vider de tout leur contenu, elle éjaculant comme elle le faisait parfois, des jets de liquide qui étaient venus tremper le sol. Heureusement, c’était un parquet et pas une moquette, un coup d’éponge dessus, et le mal était réparé.
—Tu reviens me voir quand tu rentres? Tu sais que j’ai du mal à me passer de toi? Je sais que tu peux avoir toutes les femmes que tu veux.
—Je t’ai dans la peau.
Comme quoi on peut parler pour ne rien dire… Quand j’ai vu Linda Raymond, et que le feu du désir m’a envahi, en même temps que ma queue durcissait , Sylviane était bien loin de mes pensées.
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Histoire de JamesB

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