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Un amour de tante 13 (escapade sans moi)

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Lue : 804 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/08/2020

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Je n'ai pas attendu bien longtemps après notre séparation... deux semaines tout au plus! Dans un mail, elle m'explique que son amant R désire la revoir au plus vite, que sa femme est en formation en Normandie pendant trois jours. Il ne peut la recevoir car ses enfants sont encore chez lui et lui a demandé si elle pouvait le recevoir une nuit. Elle a réfléchi longtemps, J étant présent, elle devait trouver une échappatoire pour deux jours. Et l'idée d'aller faire une petite visite à une amie à Toulon que son mari n'aime vraiment pas du tout, elle tenait la justification de son absence... Elle a appelé son amie et lui demander de ses nouvelles... juste pour prouver qu'elle avait appelé ! Mais c'était scellé. L a réservé un mobil home à Hyères pour deux jours. Elle me disait être très fébrile dans sa démarche d'adultère...Elle en parlait à J qui, lorsqu'elle lui disait qui elle allait voir, il lui dit
J "M? Ouh là... tu peux aller la voir... sans moi ! Moi je reste ici. Tu prends la voiture et tu y vas" L'affaire était jouée. Est venu le jour du départ, sa petite valise, une tenue légère car la chaleur était intenable, la voici partie en voiture à Toulon. R l'attendait à la sortie de la ville, dans un parc privé où il a laissé sa voiture sous bonne garde. Et les voilà réunis pour deux jours et... une nuit ! L m'a avoué que lorsqu'elle l'a revu, elle n'a pas pu lui résister et ils se sont embrassés devant la voiture, devant les voitures qui passaient à quelques mètres d'eux... Ensuite, c'est L qui décrit le reste dans son mail que je reprends.

《R a préféré conduire ma voiture, il ne la connaissait pas bien, il a dû s'y habituer surtout en mode électrique. Il y avait une autoroute à prendre jusqu'à Hyères et un peu de route jusqu'au camping près de la mer. R roulait assez lentement sur l'autoroute, c'était bizarre... puis il m'a lancé
" Remonte ta jupe pour voir... il y a des camions qui aimeraient se rincer l'œil!" J'étais surprise...au début, tu penses bien. Mais, je me suis laissée griser, son souhait me paraissait presque anodin. J'ai remonté le bas de ma jupe largement au-dessus de mes cuisses... R a vérifié
"C'est pas assez! Remonte la sur toi... et ouvre-toi...laisse nos copains routiers se délecter de ce qu'ils vont voir!" je me suis soulevée un peu plus pour remonter ma jupe bien au dessus de mon bas ventre... et comme je ne portais pas de culotte, bien sûr, R l'a remarqué
"Oh! Surprise! T'as rien en dessous? Tu es superbe... montre leur ta petite chatte! Mets les pieds sur le tableau de bord et ouvre tes cuisses"
J'ai obeï, posé mes pieds sur le tableau, laissant mes jambes largement écartées pour que mon petit abricot apparaisse au soleil. Cela m'a excitée au possible...J'ai baissé le dossier de mon siège, je ne voyais pas les camions arriver sur nous. Puis, R a ralenti... j'ai découvert le visage d'un routier mal rasé, mais assez jeune, qui fixait la route devant lui... mais, quand il a vu notre voiture ralentir, il a tourné le visage vers moi et là... son regard a marqué un grand étonnement! Ses yeux ne quittaient plus mon bas ventre offert. R a posé une main dessus et, délicatement, a écarté mes lèvres pour dégager mon clitoris qu'il a titillé en le pressant fortement, me faisant sursauter de plaisir! Son majeur a aussitôt plongé dans mon vagin, j'ai découvert une forte humidité qui avait pris place dans mon ventre et je n'ai pu retenir mes premiers soupirs, excitée au possible par cette scène en direct. Hélas, il y eut un petit coup de klaxon derrière nous, une voiture s'impatientait, R a dû accélérer et se placer devant le camion, puis, après le passage d'autre véhicules pressés, il s'est remis à côté du routier.
R "Montre lui tes seins!" je déboutonnais mon chemiser et l'ouvrais largement pour laisser mes seins bien visibles...j'étais presque nue devant ce routier toujours rivé sur moi.
R "Caresse toi... Laisse toi aller" J'ai rechigné à obéir à sa demande, mais il a insisté. Mes deux mains se sont placées de chaque côté de mon sexe et j'ai laissé mes doigts jouer avec mon bouton au début, puis investir mon vagin...j'étais terriblement mouillée ! je m'asticotais le clitoris sans réserve, je m'offrais sans limite et cela me plaisait affreusement, c'était le pire! R pressait mes seins par moment, il laissait sa main sur la mienne qui s'agitait entre mes cuisses, je sentais que mon plaisir allait surgir rapidement. Mais ce que je n'ai pas vu venir, c'est quand R a obliqué vers une aire d'autoroute. Je supposais qu'il aurait voulu profiter de moi, mais quand j'ai aperçu notre camionneur approcher de ma portière, j'ai vivement réagi. Dans un premier temps, je me suis protégée en cachant mon entre jambes et mes seins, quand R m'a parlé lentement
R "Ne t'inquiètes pas... laisses le te regarder, c'est ce qu'il veut!" Et dans la foulée, il baisse ma glace à l'aide du bouton de son côté, j'étais totalement découverte aux yeux de notre ami. Il s'est approché de ma portière en baragouinant un bonjour avec un accent type pays de l'Est, mais il semblait jeune, entre 25 et 30 ans, son visage mal rasé et son regard brillant qui m'avait transpercée quand nous roulions... J'ai compris qu'il avait sorti son sexe et qu'il se caressait, son bras s'agitait rapidement, mais, en étant allongée sur mon fauteuil, je ne pouvais le voir. Sa tête est entrée dans l'encadrement de ma portière, j'ai senti une odeur de cigarette mélangé à cette de sa sueur, mais son regard curieux qui se promenait sur mon corps, m'excitait.
R "Enlève tes mains... laisse le voir ton corps, tu ne risques rien" Rassurée par ses paroles, j'ai lentement ôté mes mains de mon bas ventre et de mes seins, je tremblais autant par ma peur d'être agressée que par l'excitation qui montait en moi. Mes jambes se sont doucement ouvertes pour laisser mon sexe apparaître en entier, mes seins se sont durcis, mes pointes dardaient en se resserrant... j'étais dans un état second. R a avancé sa main entre mes cuisses et ses doigts ont ouvert mon abricot, mon clito a surgi de son étui et l'extrémité de son index l'a gratté fortement, me faisant ressentir des petites décharges électriques qui me poussaient à soupirer fortement. Mon observateur n'en perdait pas une miette, ses yeux étaient fixés sur ma chatte alors qu'il se caressait rapidement. Je fermais les yeux, je me laissais aller, pleinement rassurée. Ma tête bourdonnait, mon rythme cardiaque montait, ces doigts qui n'étaient pas les miens, me caressaient sans cesse, je ne résistais plus. Je sentais une onde d'orgasme arriver, les doigts se sont faits plus incisifs, plus insistants, plus précis, ils taquinaient l'entrée déjà accessible de mon vagin et, quelques secondes après, ils étaient introduits en moi, plongeant dans mon canal jusqu'au fond, tournant, pressant ma zone G extrêmement sensible, j'étais allée loin. Mon instinct a voulu que je laisse mon regard s'enivrer de ma scène que je proposais et qu'ai je vu? R me regardait fixement, mais sa main avait été remplacée sans que je m'en aperçoive, par cette de notre routier! Je découvrais cette main bronzée qui s'affairait entre mes cuisses et son majeur qui ne brillait pas par sa propreté, qui me pilonnait en laissant de grands bruits de clapotis de plus en plus bruyants, envahir l'intérieur de notre voiture! R avait laissé sa place au routier sans me prévenir... J'ai failli réagir, mais R a insisté
R "Ne bouge pas... laisse le continuer. Il semble bien t'apprécier." Bien sûr qu'il devait bien apprécier! Pour ne pas briser l'ambiance et pour parvenir rapidement à un orgasme malgré tout très attendu, je fermais les yeux, imaginant que tu étais là ou que c'était R qui me caressait... Les gros doigts de notre camionneur faisaient effet, ils étaient rugueux, épais, ils me faisaient renoncer à toute pudeur. J'ai entendu le déverrouillage de ma porte, je découvrais qu'elle s'ouvrait entièrement, j'ai découvert le tableau. Le bermuda de notre routier était tombé et j'ai découvert un membre terriblement gonflé, bandé à l'extrême et une main active qui allait et venait le long de cette colonne nerveuse. L'homme, rassuré que je ne le chasse pas, s'est approché de mon fauteuil, a saisi ma main droite pour l'amener à la place de la sienne. Au contact de sa peau, j'ai reculé, mais ma curiosité me poussait à rester... c'est ce que j'ai fait. J'ai enserré son membre dans ma main et j'ai fait coulisser la peau sur cette colonne dure comme du marbre. Son gland rose perlait, j'ai eu cette soudaine envie d'aller le sucer. Pourtant l'odeur pas très engageante me retenait... R a compris... il a débouclé ma ceinture de sécurité qui s'est enroulée brusquement, je me suis redressée difficilement, notre homme a vite compris. Il m'a laissée m'installer tout en gardant son majeur bien enfoncé dans mon vagin qui s'était rempli de cyprine, son sexe n'était qu'à une dizaine de centimètres de mon visage, un dernier regard vers R qui me souriait, sans réfléchir, j'ai ouvert la bouche pour gober son pénis qui avait une odeur de sperme mélangée avec de l'urine... j'étais tombée bien bas, moi qui exige de la propreté, j'étais rendue à sucer cet inconnu étranger qui n'avait pas fait de toilette intime depuis des lustres! Bizarrement, le dégoût a vite fait place à une excitation hors du commun. Tout cela me donnait une force intérieure qui m'emmenait dans une spirale extrême, mon plaisir avait décuplé... et passé les premiers instants où son membre avait rempli ma bouche, je me suis mise en route pour une fellation complète, laissant mes lèvres monter et descendre sur cette tige bandée, encerclant son gros champignon et laissant ma langue taquiner son méat qui suintait de grosses gouttes de liquide visqueux. L'homme a repris ses pénétrations dans mon vagin, j'ai compris que je mouillais atrocement, mes fesses baignaient dans mon jus... j'avais craint pour mes housses de siège... mais cela m'importait peu à ce moment. Tous les deux étions actifs, chacun profitait de l'autre, jamais je n'avais connu pareille situation depuis l'expérience avec le p1ssant en forêt avec toi, mon amour. Je sentais R qui se caressait derrière moi, mais je n'étais plus avec lui... j'appartenais à ce routier inconnu qui m'offrait ce délicieux moment. Celui ci était endurant, toutes mes caresses buccales lui donnaient une belle érection, certes, mais il ne jouissait pas... par contre, moi, le plaisir arrivait! Mes soupirs et mes gémissements, même étouffés par la présence de son sexe qui me remplissait entièrement la bouche, devaient s'entendre loin! Le temps passait et je n'arrivais pas à le faire éjaculer. A cet instant précis où j'allais changer de méthode, je me relevais et j'ai aperçu deux hommes derrière mon routier et sur le côté de la voiture... tous se branlaient en silence, tous des routiers de passage qui avaient dû nous apercevoir en pleine action. Je ne me suis pas laissée intimider, je reprenais ma fellation sur mon premier camionneur qui m'a pris la tête pour m'appuyer davantage sur son sexe jusqu'à m'étrangler... R a lancé une phrase en anglais pour que tout ne dérape pas. Les deux autres mateurs se sont bousculés entre eux pour être le plus proche de moi... ils espéraient que je les suce ensuite, mais c'était hors de question. Le premier a parlé à R, il semblait lui demander quelque chose, mais mon cerveau ne fonctionnait plus! R a dû acquiescer, dès cet instant, mon premier routier s'est retiré de ma bouche, j'ai pensé qu'il en avait marre de moi et que je ne devais pas être une bonne suceuse... mais il a attrapé une jambe avec sa main, il m'a obligée à sortir les deux de la voiture tout en restant assise à ma place.
R "Laisse toi faire... il veut un peu plus" Et il m'installe sur ses jambes, ma tête sur lui, je sens deux mains solides tenter d'écarter mes genoux... je ne pus résister à cette pression et j'ai cédé. J'ai aperçu le visage satisfait du routier disparaître entre mes cuisses... le contact violent de sa bouche sur ma vulve m'a faite crier. Je ne réalisais pas l'étrangeté de cette scène... moi qui avait regardé des vidéos pornos de femmes qui se faisaient toucher par des inconnus, ce jour, c'est moi qui était là! Je voyais les visages curieux des deux autres routiers qui observaient leur copain me dévorer sans ménagement, sans précaution, m'arrachant presque mon clitoris tellement il était excité. J'ai senti deux doigts me pénétrer violemment jusqu'au fond de mon vagin et il me doigtaient avec beaucoup de rudesse, m'arrachant presque des cris de plaisir. D'autres mains se sont précipitées sur mes seins, les autres avaient profité de ma position pour me toucher et s'empresser de pincer mes bouts, je me transformais lentement en petite pute de plaisir sous le regard de R qui laissait faire en silence. Dirai je que je n'ai pas pris un certain plaisir pendant ces attouchements? Je suis franche... oui, j'ai apprécié, malgré tout, la situation extraordinaire dans laquelle j'ai été l'objet dans tous les sens du terme. J'ai eu deux orgasmes quand le premier routier m'a broutée comme un affamé et quand un second a profité d'un instant libre pour me triturer mon clitoris, j'en ai mouillé le sol tellement j'ai joui! R a préféré arrêter les assauts de plus en plus insistants des trois routiers qui pensaient vraiment que cela allait se terminer par une débauche de pénétrations en tous genres... et ils étaient persuadés que j'allais me prêter à leurs envies... il n'en n'a rien été et ils n'ont pas insisté. Nous sommes repartis, R et moi, en silence, personne ne disait mot, probablement gêné, voire étonné de la manière dont cela c'était déroulé. Moi, la belle blonde un peu bobo, se faire salir comme cela... mais, au fond de moi, je devinais que j'étais assez "salope" pour avoir supporté ces hommes affamés. J'ai été la première à briser le silence qui me pesait
Moi "Tu as aimé? Que penses tu de moi maintenant? je suis une salope, c'est ça?" R a souri...
R" Oui, j'ai beaucoup aimé te voir avec ces mecs... mais c'est surtout te voir prendre ton pied sous leurs mains et leur bouche qui m'a plu! Et tu étais belle, crois moi! Je ne savais pas que tu étais capable de cela et...je voudrais que cela continue, bien sûr si tu le voulais" Je comprenais qu'il voulait me voir avec d'autres hommes
Moi "Tu accepterais que j'aille avec d'autres hommes, faire l'amour, me faire caresser, baiser en ta présence?"
R " En ma présence... pas obligé! Je t'autoriserais à aller avec d'autres sans que je sois là! Tu pourrais passer la nuit avec eux et revenir me voir ensuite! Tu ne voudrais pas?" La proposition était lourde de conséquences... il me suggérait d'aller me dévergonder avec son aval! Je jouais franc jeu
Moi "Pourquoi pas! je n'y suis pas hostile...tu as un plan préparé?" R a serré ma jambe en disant
R "Oui... ça t'étonne, hein? Je connais des amis sérieux qui t'ont vue sur photo et ils ont vraiment envie de mieux te connaître. Et tiens toi bien... c'est pour ce soir!" J'étais stupéfaite! Il avait tout prévu.
Moi "Et nous alors, on ne fera rien? Nous sommes venus pour nous revoir?"
R "Oui... mais nous, ce sera pour après! Ce soir, je t'ai réservée une surprise!" je suis restée muette jusqu'à Hyères, en bas de notre gîte. Il était 16h, nous avons pris en compte le mobil home, installé nos affaires et R m'a attrapée par la taille alors que je sortais de la douche, il m'a couchée sur le lit et sa bouche a parcouru mon corps bouillant, s'attardant sur mes lèvres, mes seins et surtout ma chatte qu'il a dégustée avant de me pénétrer en force. Son sexe était fort bien bandé et il m'a arraché de longs cris de plaisir qui ont certainement dû s'entendre à l'extérieur. Nous avons joui ensemble, j'étais heureuse dans ses bras, je ne le cache pas. Bizarrement, il avait éjaculé en dehors de moi, lui qui prenait un plaisir intense à jouir en moi...R a essuyé son sperme avec de l'essuie tout. Nous étions encore allongés l'un contre l'autre, quand plusieurs petits coups ont été entendus sur le mobil home. J'ai réagi, étonnée, je me disais que quelqu'un ou alors le guide du camping voulait demander quelque chose... mais le mobil home a bougé, quelqu'un entrait par la porte! R est sorti du lit, il n'y avait qu'un drap de dessous, il s'est dirigé nu, vers l'entrée et j'ai entendu qu'il parlait à cette personne... un homme qu'il connaissait.
R "Entre, Armand, viens, nous sommes là!" Je n'avais aucun moyen pour cacher ma nudité, j'étais paniquée. J'ai aperçu la tête du visiteur, un homme barbu, assez jeune, très athlétique et bronzé, il m'a vue sur le lit et a souri
A "Ah... voilà ton amie L, c'est ça?"
R "Oui! L je te présente Armand, un collègue avec qui je bosse, il est en vacances dans le camping" Je tentais de me préserver du regard de notre visiteur avec mes deux seules mains, sur ma poitrine et mon sexe
Armand est entré dans la chambre, ses yeux me scrutaient avec insistance
A "Bonsoir L... vous êtes belle comme R m'avait dit!" R s'est avancé vers moi, toujours nu, il s'est glissé le long de mon corps, a saisi mon bras qui cachait mon sexe et il l'a forcé à me dévoiler sous le regard rivé de son ami. Celui ci s'est assis sur le côté du lit, il a fait passer son débardeur par dessus sa tête, dévoilant une musculature remarquable, parfumé d'une odeur orangée fort agréable...puis, il s'est allongé de l'autre côté de moi. R ne disait mot, il souriait alors que la main de son copain se posait sur ma joue, descendait le long de mon cou, de ma poitrine, sur mes seins qu'il caressait habilement, puis, elle a continué à dévaler sur mon bas ventre, ses doigts se sont vite glissés dans mon sillon encore chaud des ébats précédents, j'étais gênée de mon état car j'avais joui avec R et je sentais mes secrétions humidifier mon entrejambe. R m'a embrassée tendrement et m'a chuchoté à l'oreille une phrase choc
R "Ma petite chatte... je te laisse avec Armand, je vais chercher à manger, amuse toi bien!" J'ai tenté de le retenir, il s'est arraché à moi et a disparu dans la cabinet de toilette. Armand s'est approché de moi, son visage était calme, rassurant. Le premier contact avec ses lèvres s'est fait lentement, délicatement, par petites touches coquines de sa langue habile qui a ensuite plongé dans ma bouche retrouver ma langue pour un baiser très ardent, fougueux, agité et profond. Je n'en revenais pas... me retrouver ainsi dans un lieu extérieur, sans mon amant et en compagnie d'un inconnu qui te prend... j'étais perdue. Notre baiser a eu un effet radical sur moi, je me suis retrouvée docile, incapable de réagir, de repousser sa main qui insistait entre mes cuisses, je me suis retrouvée en quelques secondes avec ses doigts imbriqués dans mon vagin trempé, il était très adroit, touchant mes zones les plus sensibles. J'étais paralysée, comme électrifiée, j'ai réagi trop tard, son visage était collé contre mon pubis, sa langue extrêmement longue et adroite, me pénétrait dans un grognement bestial qu'Armand soufflait. Sa bouche déchiquetait mes chairs, aspirant mes lèvres, dévoilant mon bouton désormais accessible, je ne pus l'empêcher de le sucer et il ne l'a abandonné que lorsque j'ai obtenu mon premier orgasme! Oui, j'ai joui sans aucune retenue, allant même jusqu'à appuyer sa tête sur mon sexe pour qu'il profite de mon sexe que je lui offrais... une véritable furie! Je crois même qu'Armand a été surpris par tant de débordement tellement j'étais active... Je me suis abandonnée à cet homme le temps de reprendre mes esprits, quand je me suis un peu reprise, son corps était sur le mien, son bassin collé contre moi... il m'avait pénétrée sans que je réagisse. Oui, j'avoue avoir perçu quelque chose, mais l'orgasme puissant qui m'avait terrassée, m'avait laissée sans réaction. Armand était très habile et il avait réussi à me prendre sans opposition de ma part et cela a été très facile pour lui. Nous n'avons échangé quelques mots pendant l'acte, mais ils étaient inaudibles tellement j'étais troublée. Je voulais l'arrêter, mais je ne faisais rien pour le repousser, bien au contraire, je crois même que mon corps transpirait une forte envie de faire l'amour dans de telles conditions! Armand s'est senti vainqueur d'un combat qui n'avait jamais eu lieu, j'étais consentante, disposée à me donner du plaisir et à lui en donner aussi. Je sentais son sexe qui glissait facilement dans mon couloir humide, mes jambes se sont resserrées dans son dos, l'empêchant de reculer... il me possédait... cet inconnu me baisait comme une femme de petite vertu. Sa cadence était lente mais profonde, il me donnait de puissants coups de reins qui me faisaient gémir à chaque fois, j'ai cru que je me fendais par le milieu. Armand transpirait, sa sueur permettait à nos deux corps de glisser sans accroc, je me suis surprise à avoir aussi chaud que lui, mon front suintait tout comme mon vagin qui perdait sa cyprine qui ruisselait entre mes fesses, j'étais dans un état second. Armand continuait à aller et venir en moi, il ne faiblissait pas, au contraire, je sentais son sexe se dilater davantage, il me remplissait totalement, il raclait sur mes terminaisons nerveuses, provoquant des petits éclairs de sensations qui remontaient dans mon cerveau... je me souviens encore que je criais à chaque fois. Pourtant, à chaque moment calme de notre accouplement, je me rendais compte de l'étrangeté de cette rencontre, jamais de ma vie je ne m'étais laissée aller comme ce jour. Jamais un homme ne m'avait possédée dans un laps aussi court! A peine dix minutes qu'il s'était présenté et il me pénétrait... on n'a jamais vu ça, sauf dans des films pornos! Mais cette étrangeté de situation, la brièveté de rencontre, le tabou qui volait en éclat et le plaisir que j'en retirais, j'étais heureuse... je l'avoue. Il y eut ce petit bruit provenant de la porte du mobil home, Armand n'y fit pas attention, continuant à me besogner sans pause, il y avait bien une personne qui entrait dans notre habitation, je pensais à R rentrant de ses courses, je ne me détournais pas d'Armand qui me faisait monter de plus en plus, je devinais mon orgasme imminent! Les pas se rapprochèrent, j'étais certaine que R entrait...j'ai entendu
X "On ne s'ennuie pas ici! R a eu raison... L est une femme magnifique, n'est ce pas Armand? Ben mon cochon, tu n'as pas perdu de temps!" La panique me prenait...mon regard passait au dessus des épaules d'Armand qui continuait à aller et venir en moi, comme si rien ne devait l'arrêter, je découvrais un homme aux cheveux blancs reliés par un nœud à l'arrière du crâne, un visage sympa, des moustaches grises épaisses, un corps bronzé dans un maillot type Marcel, un bermuda qui dissimulait difficilement une bosse qui poussait à l'intérieur...
X "Oups...je m'excuse chère L...je suis Michel, un ami de R et d'Armand. Il m'a demandé de passer vous voir pour quelques ennuis de plomberie...je comprends ce qu'il a voulu dire!" Armand, craignant que je proteste ou que je le repousse, m'a maintenue serrée entre ses bras et ses jambes, je ne pouvais pas bouger. J'avais beau lui demander de se retirer, il m'immobilisait. J'ai entendu un bruit de vêtement qui glissaient sur la peau, je découvrais ce Michel qui se déshabillait et, sans aucune gêne, s'est approché de nous. Son parfum orangé était agréable, mais j'étais totalement dépassée par les événements qui s'accumulaient. J'ai senti sa main qui effleuraient ma jambe qui serrait le corps d'Armand, elle remontait le long de ma cuisse, mais notre position ne lui permettait pas d'aller plus loin. Il s'est avancé plus haut, son visage était à la hauteur du mien, Armand s'est légèrement redressé, Miche a continué sa progression et a déposé un baiser chaste sur mes lèvres...
Moi "C'est R qui vous a demandés de venir tous les deux. C'est bien ça? Et il vous a proposé de vous occuper de moi? C'est ça aussi?" Je réfléchissais vite... de toute façon, la cause était entendue, je décidais la suite...
Moi "Eh bien... messieurs...si R veut ça, eh bien...je suis votre femme...disons!"
Michel "Ah...mais voilà quelqu'un de bien! Chère L... vous ne regretterez pas notre venue!" et il revient sur ma bouche, cette fois, sa langue fouille mes lèvres que je lui ouvre, la mienne s'enroule à la sienne pour un baiser tendre. Son haleine de chewing gum me plaît bien, je me laisse embrasser un long moment pendant lequel Armand, qui ne bougeait plus en moi, reprenait son manège lentement. J'ai senti qu'il desserrait son étreinte, il a redressé son torse pour se hisser sur ses bras, laissant ma poitrine libre pour Michel qui s'est empressé de l'embrasser tout en mordillant mes bouts entre ses dents. J'avais deux hommes pour moi! Ma main libre est arrivée sur le membre dressé de Michel, sans attendre, je l'ai caressé entre mes doigts, je ne le voyais pas, mais je sentais sa colonne tendue avec un gros champignon au bout et du liquide séminal qui en sortait. Michel s'est relevé pour glisser plus haut, j'ai aperçu son sexe qui venait prés de mon visage...je comprenais. Il a saisi sa verge pour l'abaisser sur mes lèvres, je n'ai pas attendu, je l'ai gobé d'un coup, ma joue était déformée par la puissance de son membre, j'ai pu en profiter davantage en tournant ma tête vers lui, je pus le sucer plus confortablement. Armand continuait lentement à me faire l'amour, inexorablement, sans s'arrêter, à peine redressé sur ses mains pour laisser son ami prendre place afin de me permettre de le sucer plus confortablement... j'étais dans un rêve, je ne me rendais pas compte de ce qu'il se passait ce jour là... faire l'amour avec deux hommes en même temps, cela a toujours été mon rêve... mais en secret, tu le sais bien! Armand arpentait mon vagin sans aucune pose, l'acte aurait pu durer longtemps, il devinait mes réactions et il manœuvrait fort bien pour ne pas me faire jouir trop vite, quitte à s'immobiliser quelques instants pour faire redescendre la pression de mon corps, Michel, lui, s'amusait avec ma bouche en dodelinant son bassin et en disant des mots assez crus
"Quelle suceuse! Je prends mon pied! En plus, elle est douée... continue L... si tu aimes, je suis ton homme" et j'aimais ce sexe, long, dur, charpenté, qui me remplissait la bouche jusqu'à mon gosier, mais il ne me forçait pas, il me laissait faire ce que je voulais. Tous deux s'activaient sur moi, chacun dans sa partie, j'étais le centre d'intérêt et cela me plaisait bien. La seule inquiétude que j'avais, c'était l'absence de R. Il avait tout prévu pour que ses deux compères s'occupent de moi, mais que faisait il pendant ce temps? Il régnait dans ce mobil home, une chaleur croissante, due aussi bien à la température extérieure que celle de nos corps qui suaient à grosses gouttes, à tel point que je me pensais dans un hammam! Nos peaux glissaient l'une sur l'autre, cela facilitait tout mouvement sur moi, même moi, mon corps perlait jusqu'à la pointe de mes orteils... Amand battait tous les records de pénétration, jamais je n'avais été prise aussi longtemps! Cela durait depuis plus de quarante cinq minutes et il ne faiblissait pas, tout comme Michel qui était endurant malgré les meilleures caresses buccales que je lui prodiguais... C'est moi qui, sur la fin, ressentait une vague de plaisir monter et celle là, je l'imaginais sans retour! Je criais, je soupirais, mes mains serraient leurs corps pour résister... l'onde est passée sur moi... un tsunami... une jouissance hors du commun... j'ai totalement perdu le sens des choses. Armand m'a forcée à me déplacer pour me tourner et me retrouver pliée sur lui sans que son sexe ne sorte de mon ventre en feu, je l'ai suivi sans réaction, Michel a suivi en se plaçant derrière moi. Puis, j'ai entendu
A "Vas y Michel... elle est prête... prends la!" J'ai tout juste eu le temps de comprendre. Michel s'est approché, son sexe dans une main, tandis que l'autre s'insinuait entre mes fesses, son pouce perçant mon anus. Je sentais une pression, j'étais bien lubrifiée... mon anus a cédé sans difficulté et sa verge s'est facilement frayé un passage dans mon petit derrière... j'étais prise en double. Ce fût assez difficile pour Michel de s'introduire en moi, la présence de la verge d'Armand prenait beaucoup de place, mais les deux se sont installées, chacun dans mes orifices, alors que je gémissais de plaisir. Une fois installés, Armand a redonné le tempo... lent, puissant, profond, tous deux faisaient de gros efforts pour ne pas me faire mal, pourtant, je sentais mes chairs se distendre à la limite de la déchirure. Je les ai priés d'y aller doucement, mais l'onde plaisir arrivait quand même... je serrai Armand dans mes bras, je gémissais comme une louve affamée... j'allais encore jouir. Michel allait et venait dans mes fesses, ses genoux cognaient ceux d'Armand, mais leur excitation respective faisait oublier ces petits désagréments. Leurs sexes gonflés ravinaient mes conduits... un long cri est sorti de ma gorge... j'ai eu un orgasme puissant. J'ai senti l'éjaculation de Michel, puis celle d'Armand qui, lui aussi, a émis un feulement rauque alors qu'il me remplissait ma matrice. Tous trois étions affalés les uns sur les autres, en transpiration, mes deux hommes sont restés longtemps en moi, emboîtés. C'est Michel qui a été expulsé le premier, il s'est redressé pour s'extirper de nos jambes, puis il est allé dans la douche, me laissant dans les bras d'Armand
A "Tu es géniale toi... R a de la chance! J'aurais aimé te revoir... mais tu ne seras pas d'accord!"
Moi "Bien oui... mais on ne sait jamais! Un jour peut être..." Il parût étonné. Il m'a embrassée tendrement pendant l'absence de Michel. Ses mains pressaient mes fesses contre lui, son sexe encore en moi glissait au milieu d'un fleuve de sperme, j'ai vite compris qu'il voulait profiter de moi encore quelques instants. Je n'en revenais pas de ses performances, il était très endurant. J'ai senti qu'il bandait à nouveau et il a accéléré son ballet dans un vacarme de claquements, son bassin heurtait le mien avec force tout en m'arrachant, à chaque pénétration, un hoquet sonore. Moi même, je ne pensais pas pouvoir supporter un second accouplement aussi rapproché... mais, contrairement à certaines fois où j'abrégeais l'acte, ce jour là, j'en voulais encore! J'ai adoré subir ses assauts furieux, brutaux, jusqu'à me transpercer comme une feuille, je ne voulais pas que cela s'arrête... Michel était présent, il nous observait, sourire aux lèvres
M "Elle en veut, hein? C'est une sacrée bonne femme... et vu son âge... félicitations madame!" Il me mit une petite claque sur les fesses et dit
M "Allez... je file... amusez vous bien vous deux et... chapeau madame." Et il est parti.
A "Ha... enfin seuls... à nous deux maintenant" Il me retourne pour me placer sur le ventre, me saisit la taille pour avancer vers mon anus encore gluant de sperme de Michel et il m'a prise sans difficulté. L'entrée de son sexe dans mes fesses a été.comme un poignard qui rentrait en moi... mon cri a vite laissé place à des gémissements répétés... il me sodomisait. J'aimais ce qu'il me faisait, avec des mots salaces comme
A "Tu ma sens là? Oh tu es bonne toi tu sais? Qu'est ce qu'on est bien dans ton petit cul... je vais te défoncer... tu aimes?... dis moi que tu aimes..." et moi de répondre
"Oh ouii... j'aime ça... vas y... prends moi bien..." ce qui accentuait son plaisir qui a surgi après dix bonne minutes d'accouplement. Lui aussi s'est déversé en moi en râlant comme un lion... j'en avais assez. Mon corps tout entier me faisait mal et les senteurs de sperme emplissaient le mobil home. Armand s'est retiré pour aller prendre une douche à son tour. Je restais ainsi sur le ventre, incapable de bouger, le ventre en feu, jamais je n'avais été autant sollicitée que ce jour ci. R a su détecter en moi la femme prête à jouir avec plusieurs hommes en même temps, il m'avait ouverte à d'autres plaisirs. Pourtant, mon cher neveu, toi tu as été le déclencheur de cette vie qui couvait en moi... j'espère que tu ne seras pas jaloux de cette expérience. Je te promets de me rattraper à notre prochaine retrouvaille... et si le coeur t'en dit, je serais d'accord pour avoir une relation avec toi et... un autre?
Armand m'a quittée vers 21h... après m'avoir plusieurs fois embrassée aussi tendrement qu'un jeune amoureux, il m'a laissée sur le lit en désordre, des traces de sperme sur les draps. J'ai dû tout enlever pour mes remplacer par d'autres rangés dans un placard. En rangeant mon sac, j'ai trouvé à côté deux billets de 50€ pliés et un petit mot sur un morceau de papier "Pour toi... en souvenir d'un excellent moment... à renouveler le plus vite possible... mon numéro 06......." je n'en revenais pas... il m'a payée comme une femme des rues! La colère m'a prise au début... puis je me suis calmée... je me disais que cela avait un certain charme de se faire payer pour une rencontre... Je rangeais mes billets, décidée à ne pas en parler à R.
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Histoire de alma

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