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Sexe autour d'un lavoir partie 3

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Lue : 407 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/10/2020

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Je suis monté prendre une douche et me changer. Je savais que la ville la plus proche, la sous-préfecture était à cinq kilomètres et qu’un service de bus départemental fonctionnait jusqu’à 20 heures.
Je me suis approché de la fenêtre, et j’ai vu Linda. Si jamais j’avais pu avoir l’espoir qu’on finisse dans un lit, celui-ci venait de se dissoudre à tout jamais. Elle était dans la rue, juste en face; et une jolie blonde venait de s’arrêter. Vu la manière dont elle a traversé pour aller vers elle, j’ai pensé qu’il y avait plus entre elles qu’une simple amitié. Linda s’est collée contre la belle inconnue, et elles se sont embrassés à pleine bouche, pendant que la blonde, dans un geste qui disait clairement leur relation glissait ses mains sous son caleçon pour empoigner ses fesses à pleines mains. Elles se sont embrassées pendant un moment, puis la blonde s’est remise au volant, et elles sont parties.
Enfin…J’avais d’autres opportunités.
Je sortais de sous la douche, me savonnant, quand j’ai vu Sophie sur le lit.
—Je voulais te donner un avant-goût de ce que je sais faire.
Elle avait passé un jean avec une blouse sans soutien-gorge, ça se voyait à la manière dont ses seins tendaient le tissus, libres, et elle les a fait sortir l’un après l’autre de son décolleté. C’était vrai, elle tenait ses promesses, ils étaient vraiment bien dessinés. Rien de mamelles pendantes, comme c’est souvent le cas chez des filles en surpoids, mais deux seins biens charnus, ronds et fermes, avec deux aréoles larges, et deux tétons qui amorçaient un début d’érection. Elle a eu un mouvement troublant, qui a fait monter le désir en moi, quand elle a remonté un de ses seins, penchant la tête dans un même mouvement, pour venir cueillir un des tétons. C’était sûr, même en surpoids, elle savait exciter les hommes…Elle a avalé le téton, le gardant un moment dans sa bouche, j’ai imaginé qu’elle le travaillait de sa langue, avant de le libérer. Il avait doublé de volume. Elle a baladé sa langue dessus, cette fois à l’air libre. C’était impressionnant de voir comme ses tétons avaient des capacités érectiles, comme ils pouvaient s’élargir et s’allonger.
—Tu veux le faire à l’autre?
Si j’avais encore des réticences à aller avec elle, qui ne tenaient pas tant à ses kilos en trop qu’au fait qu’elle m’avait abordé très franchement, ce qui m’avait un rien décontenancé, je les ai totalement perdues après ce petit exercice. Ma queue était en pleine érection, et j’avais vraiment envie d’aller avec elle, et de faire plein de choses avec elle. Elle avait, semblait-il une imagination débordante, et je voulais en profiter. J’étais intrigué par ce qu’elle pouvait me proposer, à mon avis un panel de possibilités que je n’aurais même pas osé imaginer.
Je me suis laissé glisser sur le lit pour venir prendre le deuxième téton dans ma bouche. Le contraste entre les deux, celui avec lequel elle avait joué et l’autre était évident. Elle continuait de frotter l’autre, et j’ai compris que ça devait lui donner du plaisir, que ça n’était pas seulement une provocation. D’ailleurs, quand j’ai enveloppé le bout de son sein et que j’ai baladé la langue sur le téton, que j’’ai senti s’ériger, elle m’a dit:
—Mmmm…C’est cent fois meilleur quand on me le fait…
J’ai laissé les sensations m’envahir. Le téton gonflant dans ma bouche jusqu’à la remplir, un peu comme si j’avais sucé une queue, la douceur granuleuse de sa texture. J’ai basculé sur l’autre téton pendant qu’elle venait poser sa main sur ma queue, qui s’était dressée, et collée à mon ventre.
—Tu veux que je te caresse?
—A ton avis?
Elle avait des gestes habiles et délicats, ceux d’une fille qui avait pas mal d’expérience. Elle m’a masturbé doucement, avec des gestes très lents, me faisant éprouver du plaisir. Elle n’avait pas menti à midi, quand elle m’avait annoncé la couleur. Elle savait donner du plaisir à un homme, mieux sans doute que des filles qui s’estimaient plus jolies qu’elle.
Je suis passé au deuxième téton, le trouvant déjà plus gonflé. Pourtant, à force d’aller de l’un à l’autre, peu à peu, un équilibre s’est fait, et ils se sont trouvés quasiment au même niveau, épais et distendus. Elle me masturbait doucement, et j’inondais sa main de liquide pré-sécrétif.
—Redresse-toi,je vais te faire quelque chose que certainement aucune fille ne t’a fait avant.
Je me suis redressé. Elle m’a attrapé par les hanches, et m’a attiré près d’elle. Elle a entouré ma queue et m’a dit:
—Je n’imaginais pas que tu avais une aussi belle queue…J’aimerais que tu me la mettes partout…Mais ça viendra…En attendant…
Elle avait ma queue dans sa main gauche, et mon sein dans sa main droite. Je me demandais comment les deux allaient faire jonction. En même temps, je lui faisais totalement confiance.
Elle a approché son téton de ma queue, et elle s’est mise à le promener dessus. Des filles m’avaient touché avec leur main, leur bouche, leur chatte, mais jamais avec leur sein. Une caresse inédite, et forte, tellement forte que j’ai lâché deux traits de sperme, qui ont atterri sur ses seins, les maculant de blanc de manière transversale. Elle est venue sur mon gland, a appuyé dessus, lâchant son sein gauche pour le remplacer par le droit, pour redescendre et venir frôler mes couilles. J’aurais aimé tenir plus longtemps, mais ce qu’elle me faisait me procurait tellement de plaisir que j’ai explosé de jouissance, et j’ai arrosé ses seins et son visage de sperme, la faisant rire. Elle l’a recueilli mon sperme du bout de ses doigts, et elle l’a avalé, avant de masquer ses seins, et de dire:
—On va manger? Je meurs de faim.
On était les premiers pour le buffet. Elle s’est calée face à moi, et elle m’a raconté sa vie, sans pathos ni fausse gloire. Elle avait eu un Bac STMG puis avait décidé de faire un CAP Petite Enfance, car ce qui lui plaisait vraiment, c’était de s’occuper de petits. Elle venait de réussir son concours d’ATSEM et elle était heureuse parce qu’elle allait enfin pouvoir faire le métier qui lui plaisait.
On a pris le bus de 19 heures 10. Il n’y avait absolument personne à l’intérieur. On s’est calés au fond et on s’est embrassés. Elle m’a fait un échantillon de plusieurs manières d’embrasser, la plus audacieuse la faisait sortir se langue, venir lécher mes lèvres avant de se glisser dans ma bouche et de la caresser de l’intérieur en tournant dedans dans un mouvement circulaire.
On a été très rapidement dans la ville, passant dans les quartiers résidentiels externes, avant d’arriver dans le centre. On est descendus près d’un magasin d’optique fermé. On a marché jusqu’à arriver devant un grand bar/restaurant.
—Si on allait là? Regarde, il y a un billard. Tu sais jouer au billard?
J’ai avoué que non.
—Pas grave, je vais t’apprendre.
Décidément, elle était surprenante.
On s’est risqués dans le local, qui était vaste, avec plusieurs salles. On a commandé deux Irish coffee et on a demandé au patron si on pouvait jouer au billard…Il a désigné une salle, avec un billard, et deux tables…
C’est comme ça que j’ai pris mes premières leçons de billard. Comme ça aussi qu’on a eu la surprise de voir arriver les autres. Sans doute avaient-ils fait le même calcul que nous. Un tour en ville. La même ligne de bus. Et ce local, attrayant, ce qui nous évitait d’aller plus loin.
On représentait sans doute un changement par rapport à la clientèle habituelle. Ici, tout le monde se connaissait et il était bien évident qu’on était pas d’ici. Et ce d’autant plus qu’on était des bras cassés. Tout en apprenant en jouer, j’ai entendu Marie, la fille anorexique expliquer au patron qui nous étions.
Très vite, certains ont voulu lier connaissance. J’ai vu débarquer la serveuse, une petite brune fine et très maquillée, moulée dans une jupe. Sans beaucoup hésiter, elle m’a dit:
—Vous êtes vraiment très beau. Je finis mon service à 22 heures. Je vous attends?
Sophie a répondu:
—Il va rentrer avec moi, et je peux t’assurer que je sais cogner, si ça te tente.
Le sourire a disparu du visage de la serveuse, qui a grommelé quelque chose qui ne devait pas être très flatteur pour Sophie, et elle s’est éclipsée.
C’est dans l’autre salle que se sont noués très vite des liens. Le garçon à la jambe artificielle avait eu apparemment un coup de foudre pour une ravissante blonde avec un brushing digne des années 80, dont le couturier qui avait coupé sa robe avait souffert d’un
manque net de tissu sur la fin.
On passait une bonne soirée. A un moment, Sophie avait saisi ma main, et, soulevant sa jupe, elle l’avait glissé dessous. Sans me lâcher, elle m’avait guidé sous son slip, à la rencontre du relief de son sexe. J’avais senti ses lèvres, humides, comme le tissu de sa culotte, mais aussi la dilatation de son sexe, à cause de l’excitation.
—C’est ce que je te donnerai tout à l’heure. Ca te fait envie?
C’était curieux comme elle bouleversait mes certitudes. Jusqu’à présent, toutes les filles que j’avais eues m’avaient attiré parce qu’elles étaient jolies, mais je ne m’étais jamais soucié de leur personnalité, souvent fade, à l’exception de Sylviane…Quant au sexe… Ca les dégoutait. Sophie n’était pas un canon, même s’il y avait largement pire qu’elle, mais elle était intelligente, il y avait une complicité entre nous, et elle aimait le sexe. Et puis mon regard sur elle évoluait, et j’en arrivais à la trouver extraordinairement sensuelle.
On avait prévu de rentrer sur le coup de 22 heures. Mais on est partis beaucoup plus tôt, car les choses ont dérapé sur le coup de 21 heures. Tout allait bien pourtant. L’unijambiste s’était éclipsé avec sa blonde, et Marie avec un gars, quand un grand brun s’est approché de la table où se trouvait Plumpy et sa gardienne.
—Si tu laissais ton débile tranquille et si tu venais avec moi. On pourrait passer un bon moment. J’ai une belle queue, qui manque d’affection.
—Je serais vous, je m’éloignerais très vite.
—A cause de qui? Vous ou ce crétin?
Le type brun a posé la main sur l’épaule de Plumpy. La fille brune a averti:
—Non, ne…
Elle n’a jamais eu le temps de terminer sa phrase. Plumpy a bloqué sa main avec la sienne et il s’est redressé. Il s’est levé et a balancé un coup de poing de revers au type, qui s’est littéralement envolé dans les airs, pour aller atterrir un peu plus loin.
Deux autres gars, sans doute des copains du brun, sont arrivés à la rescousse. Le premier n’a pas eu le temps d’arriver, Plumpy l’a stoppé avec un coup de pied en plein ventre, et l’a fini avec un crochet du droit. Le troisième a envoyé son poing, mais Plumpy l’a bloqué, a récupéré le bras, et il lui a fait une clef pour l’envoyer par terre.
Ca a été la panique. Le patron a hurlé:
—Ca suffit!
et plein de clients se sont précipités à l’extérieur.
je ne sais pas si quelqu’un a entendu la brune quand elle a fini sa phrase.
—…Le touchez pas, ses parents l’ont mis dans un club d’arts martiaux quand il avait cinq ans.
—ne revenez plus jamais ici, a jeté le patron, pendant qu’on payait précipitamment les consos et qu’on partait.
La moitié de l’équipe avait disparu. Sophie et moi on est partis à pied. 3 kilomètres ça n’était pas le bout du monde. L’auberge était silencieuse quand nous sommes arrivés, les premiers. Sophie m’a souri, et à cet instant, elle était plus belle que jamais.
—Je t’attends dans ma chambre…Prends ton temps, je vais me faire impeccable…
Je l’ai regardée s’éloigner, mon regard sur ses cuisses et ses fesses. J’avais envie d’elle, même si elle avait des formes imparfaites.
Quand je l’ai rejointe, elle était allongée en travers du lit, les cuisses largement ouvertes, et elle se caressait. Quand je suis rentré, elle a planté ses yeux bleus dans les miens, et elle m’a dit:
—Viens, j’ai envie de tout ce que tu pourras me donner. Ta langue, tes doigts, et ta queue.
Mon regard a accroché son sexe. Je ne savais pas depuis combien de temps elle se caressait, mais son sexe avait déjà bien subi les effets de ces caresses. Il était ouvert, de telle sorte qu’on pouvait bien voir son intérieur, et ses lèvres étaient sorties d’elle, gorgées de sang, qui s’étendaient comme un appel. Je pouvais même distinguer le point rose mais épais de son clitoris.
J’ai plongé sur elle. J’avais rarement, je crois, autant désiré une femme que je la désirais elle. Elle a poussé un gémissement quand ma langue est venue au premier contact avec ses lèvres. J’ai aimé tout de suite qu’elle soit hyper-réactive, alors que d’autres filles étaient indifférentes à des caresses…Le goût de ses sécrétions a envahi ma bouche. Je l’ai caressée de ma langue, tournant sur le renflement de son sexe, sur ses lèvres et sur leur pourtour, avant de la fouiller à l’intérieur, plongeant ma langue aussi loin que je le pouvais. Ses sécrétions vaginales étaient abondantes, et elles coulaient dans ma bouche, un nectar dont je me délectais. J’aurais voulu boire la moindre goutte qui coulait d’elle. J’ai fini par remonter sur son clitoris. Fasciné par ses dimensions. C’était la première fois que je voyais un clitoris aussi épais, et aussi long…Ca n’était pas surprenant non plus, vu les dimensions de son corps. Je l’ai pris dans ma bouche, et je l’ai caressé de la langue, en faisant tourner celle-ci autour du morceau de chair. J’avais un peu peur de lui faire mal, mais elle a poussé un long gémissement, qui m’a fait penser que je pouvais continuer de le caresser. Ce que j’ai fait, alternant des caresses précises de la pointe de la langue et une succion en va-et-vient sur le clitoris qui me semblait encore grossir. C’était une sensation troublante que de l’avoir dans ma bouche, car il était si épais que j’avais un peu l’impression que c’était comme si j’avais sucé une queue. Certains micro-pénis, dont j’avais vu les photos sur le Net étaient moins développés que ce clito.
—J’ai envie de ta queue dans ma bouche…
Je ne voulais pas lâcher son sexe, et je me suis arrangé de telle manière qu’on soit tête-bêche, mais pas l’un sur l’autre, l’un à côté de l’autre, en formant un cercle. C’était curieux, je me sentais totalement en harmonie avec elle sur le plan sexuel, comme je l’avais rarement été avec une autre fille. Je continuais de caresser son clitoris, pendant qu’elle travaillait ma queue avec sa langue, dans une caresse souple et habile qui me mettait en feu. On est restés longtemps comme ça, avant qu’elle ne me dise:
—J’ai envie que tu me pénètres…Mais je te préviens, je vais te faire quelque chose que j’adore faire, c’est un peu ma spécialité…Ne sois pas surpris, et surtout retiens toi de jouir trop tôt…
Je me suis basculé sur le dos, et elle est venue au-dessus de moi, attrapant ma queue entre ses doigts pour la guider vers son sexe. Elle était tellement dilatée qu’il aurait été impossible que ça ne rentre pas, et c’est bien rentré. On voyait loin dans son sexe, jusqu’à son utérus.
Elle s’est posée sur moi. Elle était épaisse, mais pas lourde. Et la graisse autour de son ventre ne me semblait pas rébarbative. Au contraire, j’aimais ces kilos en trop.
Elle a souri, un sourire de triomphe, quand elle a resserré les muscles de son vagin autour de ma queue. La première, je ne m’en suis même pas rendu compte…C’est quand elle a répété la manoeuvre, que je suis vraiment rendu compte, et j’ai été emporté par la caresse, si intense, que j'ai cru effectivement que j’allais jouir sur le champ. Elle a répété plusieurs fois cette caresse, et la question ça n’a pas été de savoir si j’allais jouir, mais plutôt comment m’empêcher de jouir. J’ai mobilisé toute mon énergie. C’était une caresse exquise, qu’aucune fille ne m’avait fait avant, et que sans doute plus aucune ne me ferait. Un peu comme si une main avait exercé une caresse sur ma queue, à la fois ferme et douce. J’ai tendu la main vers son clitoris, et je l’ai masturbé pendant qu’elle enserrait ma queue, relâchait la pression, attendait, puis venait à nouveau exercer cette caresse. C’est quand j’ai resserré une dernière fois mes doigts autour de son clitoris, à présent très épais et très long qu’elle a joui, criant et se tendant, et que j’ai laissé libre cours au plaisir qui montait en moi, très fort, en crachant mon sperme dans le préservatif.
J’ai jeté un coup d’oeil à ma montre. Il était près de minuit.
—Je vais retourner dans ma chambre. J’ai peur qu’on ait des histoires si on nous trouve ensemble.
—Pas de souci, la semaine ne fait que commencer, on aura encore plein d’occasions de se retrouver.
J’ai jeté un dernier coup d’oeil sur elle, alors qu’elle faisait glisser une nuisette sur elle pour dormir et je me suis éloigné dans le couloir après avoir refermé la porte de sa chambre, avec le goût de ses sécrétions dans ma bouche.
Je n’étais pas le seul à profiter de la soirée. La plupart des portes étaient restées entrouvertes, comme si les occupants provisoires des chambres avaient envie de s’exhiber. Et c’était peut-être le cas. J’ai aperçu la brune, installée sur le sexe de Plumpy, qui se faisait monter et descendre dessus, et l’anorexique à quatre pattes sur le lit, en partie masquée, avec derrière elle le gars qu’elle avait levée qui la fouillait avec ardeur.
En passant devant la chambre d’Emilie, j’ai été surpris de la trouver elle allongée sur le lit, en pyjama, lisant sagement. Je l’observais depuis le matin. Une très jolie brune, avec un visage très sérieux. Je ne l’avais pas encore vue sourire une seule fois depuis son arrivée.
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Histoire de JamesB

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