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Sexe autour d'un lavoir partie 5

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Lue : 291 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/10/2020

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Je me suis réveillé au milieu de la nuit. J’avais soif et envie de boire quelque chose d’autre que de l’eau du robinet. Je me suis souvenu que les patrons nous avaient dit qu’il y avait un frigo avec du lait et des jus de fruits si on avait envie. Sophie dormait près de moi, elle n’était pas retournée dans sa chambre.
Tout le monde avait du rentrer, mais la grande bâtisse était silencieuse. J’ai descendu le long escalier en colimaçon et je me suis glissé dans un couloir étroit, pour arriver au frigo, installé juste en face des réserves. J’ai pris une bouteille d’eau, et j’ai laissé l’eau fraiche couler dans mon gosier avec joie.
C’est en revenant que j’ai eu conscience d’une présence dans un des salons. Si on se positionnait en bas de l’escalier, on se trouvait face à un couloir qui se prolongeait jusqu’à la porte d’entrée. Sur la droite, il y avait la salle de restaurant, et sur la gauche, contigus l’un à l’autre, trois salons, riches en un mobilier un rien suranné, mais qui étaient douillets et confortables, et donnaient en vie d’y passer un moment.
C’avait été en tout cas le choix d’Andréa la blonde réservée et d’un garçon qu’elle avait ramené, blond lui aussi, les cheveux coupés en brosse, avec un corps musclé.
J’ai jeté un coup d’oeil à ma montre. Il était une heure du matin. Elle venait sans doute de rentrer. J'ai été un rien surpris qu’aussi timide, elle soit arrivée à lever un mec. C’était sans doute lui qui avait fait tout le travail. Il était vrai qu’elle était vraiment séduisante, et on pouvait avoir envie d’elle, malgré son côté introverti.
Elle était d’ailleurs totalement différente avec le gars…Elle dégageait quelque chose de très fort, comme si, à ce moment, elle s’était mise vraiment à vivre. Elle était certes jolie fille, mais à ce moment, elle était vraiment séduisante.
Elle était posée sur un fauteuil, et elle avait juste devant elle la queue du type, qui avait baissé son pantalon. En restant dans l’ombre, et près de l’entrée de la pièce, sur la gauche, je pouvais les voir de trois-quarts. Le type avait une belle queue, longue et dure, en pleine érection. Andréa avait un sourire radieux sur le visage, et elle semblait vraiment très motivée pour lui faire une fellation. Ce n’était sans doute pas sa première, car les techniques qu’elle mettait en place supposaient une certaine pratique. Elle parcourait la queue de sa langue comme elle l’aurait fait d’une glace, faisant gémir le type. On aurait dit qu’elle avait retenu toutes ses pulsions jusqu’à ce moment et qu’elle les laissait enfin exploser. Son visage resplendissait de joie, une joie intense. C’était comme si la, maintenant, elle avait trouvé une raison de vivre. Elle est venue sur le gland et elle a lapé le liquide qui coulait du méat.
—Si je me suis occupé de ta queue, j’aimerais bien que tu viennes me caresser les seins, maintenant. Donnant, donnant.
Le garçon est venu se poser sur le divan à côté d’elle, et il a défait le haut qu’elle portait, une veste de survêtement, faisant jaillir à l’air libre une paire de seins hauts et fermes que nul soutien-gorge n’emprisonnait. Mais elle n’en avait pas besoin pour le moment. Le garçon les a regardés avec un mélange d’envie et d’admiration, et il est venu balader sa langue dessus, parcourant la chair, puis venant sur les tétons. Elle s’est pâmée et a glissé sa main dans son pantalon de survêtement pour se caresser d’une main, tandis que de l’autre, elle continuait de caresser la verge dressée de son partenaire.
Elle a fini par lui demander:
—Tu as envie qu’on aille plus loin?
Le garçon en mourait d’envie, ça se voyait à son expression, à ce léger tremblement qui l’agitait.
—Je t’ai prévenu, je ne suis pas tout à fait une fille comme les autres. J’ai quelque chose de plus, ou de moins, ça dépend comment on voit les choses.
—Même si je ne suis pas très vieux, j’en ai déjà vu pas mal, tu sais.
—Je crois que tu vas quand même être surpris. Fais descendre mon pantalon de survêtement et ma culotte.
Il a obéi, attrapant l’élastique du pantalon de survêtement, et le tirant vers le bas. La culotte, dont j’ai aperçu le tissu, noire, est venue avec. Je n’ai compris que quelques secondes avant qu’il ne la dévoile, à la manière dont le tissu était déformé. La verge en pleine en érection, une fois libérée des tissus qui l’enveloppaient, est apparue dans toute sa splendeur, pleine, dure et longue. Ca m’a tellement troublé de la voir, que j’ai failli m’éjaculer dessus. Je n’aurais pas imaginé, pas un seul instant, qu’Andréa avait une bite entre les cuisses, d’autant qu’elle n’avait absolument rien de masculin. Je me suis posé plein de questions, qui n’auraient sans doute jamais de réponses. Nous ne côtoyions que pour quelques jours, et l’autre resterait indubitablement un mystère en grande partie.
C’était en tout cas fascinant de la voir ainsi, silhouette ultra féminine, mais avec une queue au lieu d’une fente entre les cuisses.
Ca fascinait aussi totalement le blondinet qui a plongé sur la queue et s’est mise à la sucer comme s’il voulait l’avaler totalement. Ca devait être bon en tout cas, parce que le visage de Andréa exprimait une totale volupté. Il a relâché plusieurs fois sa queue, et à chaque fois, elle était encore plus longue, plus épaisse.
—J’ai envie que tu me pénètres, a finalement dit Andréa.
Quand on a des rapports sexuels, c’est bien sûr très fort, mais il y a toujours des moments plus forts que d’autres, qu’on n’oublie pas et qu’on n’oubliera pas. Qui marquent parce qu’ils sont exceptionnels, qu’ils correspondent à sa propre vision de la sexualité ou les deux. Pour moi, dans mon Panthéon personnel, il y a et il y aura sans doute ce moment où Andréa est venue le corps tourné vers moi se placer au dessus de son amant d’un soir…Elle était magnifique, et si différente, avec son corps souple, ses seins pleins, et ce sexe en pleine érection, collé à son ventre. Elle a attrapé le membre du blondinet, et elle l’a guidé vers sa zone anale. Le gland, très épais, enveloppé de latex, est venu appuyer contre les muqueuses. Il y a eu un double mouvement, elle s’est laissée tomber sur le membre, en même temps elle l’a poussé pour le faire rentrer en elle. Elle devait souvent se faire sodomiser, car la queue est rentrée sans difficulté, glissant en elle jusqu’à ce qu’elle l’ait totalement absorbées, les couilles de son amant seules visibles.
Dans l’ombre, je me masturbais avec vigueur, totalement excité par ce que j’avais sous les yeux, devant me retenir pour ne pas jouir, spectacle excitant. Clarisse montait et descendait sur le membre qui apparaissait et disparaissait, sa queue à elle toujours aussi raide, agitée de spasmes, du liquide pré-sécrétif sortant d’elle comme d’une fontaine, inondant sa chair, et la queue de l’homme qui la fouillait. Elle caressait ses seins, les remontant pour en mordiller les tétons. Elle était transfigurée par le plaisir, et la jouissance, splendide.
Dans la vie on a souvent des envies, des rêves, des fantasmes, mais malheureusement ceux-ci restent à l’état d’ébauches. J’aurais voulu, à ce moment plein de choses. Mais ce qui m’aurait tenu le plus à coeur aurait sans doute été le plus simple, avancer jusqu’au couple d’un moment, me baisser sur la queue dilatée, qui gonflait encore, dilatée à exploser, et la prendre dans ma bouche pour ne plus la relâcher, faire tourner ma langue dessus jusqu’à ce qu’elle explose dans ma bouche, et me nourrisse de sperme.
La différence d’Andréa, inédite pour moi, me faisait profondément la désirer.
Mais ça s’est fini sans moi. Le garçon qui était planté dans le rectum de Andréa a arraché sa queue de son fondement. Il avait gonflé dans le rectum de la jeune femme. Il a rapproché sa queue de la sienne, et a uni leurs deux queues dans sa main, sans parvenir à les encercler tellement ils étaient dilatés tous les deux. Son sperme est sorti le premier, suivi par celui d’Andréa, et leurs semences se sont croisées, et dans certains cas superposées, en souillant leurs chairs et leurs vêtements. Ils n’en finissaient pas de jouir.
Je me suis éclipsé. Je ne voulais pas que la jeune trans me surprenne.
Je n’avais pas encore joui. Je suis arrivé dans la chambre avec la queue dure. Sophie s’est réveillée à ce moment.
—Je suis descendu boire un coup.
—Et tu as vu quelque chose qui t’a excité apparemment?
—Quelque chose à quoi je ne m’attendais pas…
—Tout est surprenant ici. Nous sommes tous trop hors normes pour avoir une sexualité normale. Tu veux que je te fasse jouir?
—Soulage-moi.
Elle s’est penchée sur moi, a fait darder sa langue, et l’a baladée sur mon gland. J’étais trop excité pour tenir très longtemps, ce n’était d’ailleurs pas mon intention, et j’ai très vite joui. Elle a ouvert la bouche juste avant que le premier jet de mon sperme ne sorte, et, jet après jet, j’ai nappé son palais d’une crème blanche, jusqu’à la dernière goutte. Elle a fermé la bouche et tout avalé, avant de se glisser hors du lit.
—Je retourne finir la nuit dans ma chambre. Je n’ai pas envie qu’on ait des problèmes.
Je me suis retrouvé seul, sachant qu’à mon réveil, Anne serait là, de retour.
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Histoire de JamesB

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