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Sexe autour d'un lavoir partie 4

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Lue : 405 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/10/2020

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J’avais mis le réveil pour le lendemain matin, mais je n’en ai pas eu besoin. A vrai dire, mon réveil s’est produit d’une manière plutôt étrange. J’étais encore endormi et j’ai senti quelque chose au bout de mes doigts. Quelque chose d’ouvert, d’humide, une chair délicate. Je me suis dit, et c’est ce qui m’a fait revenir à la réalité ‘On dirait un sexe de fille’.
Je me suis dit que je devais laisser ma main où elle était, et j’ai ouvert les yeux.
Entièrement nue, allongée près de moi, se trouvait Anna, la belle brune qui veillait sur Plumpy. Sans doute parce qu’elle était près de moi, une manière de dégager cette présence que j’avais sentie comme trop proche, j’avais tendu la main et croché son sexe. J’ai touché doucement pour que les sensations m’imprègnent, le renflement du sexe, son ouverture, l’humidité qui commençait à en sourdre. J’ai eu cette pensée, instinctive, que ce sexe, qui s’ouvrait, était fait pour m’accueillir, et qu’elle me laisserait rentrer dedans plein de choses. Mes doigts, ma langue, ma queue.
Mais ça n’est pas vraiment ce qui s’est passé.
Je me suis retournée, et je l’ai regardée. Elle avait deux seins bien ronds, et hauts perchés. Pour la première fois, sans doute, je la trouvais belle. Elle avait un visage reposé, et sans l’hostilité qu’elle manifestait, même inconsciemment, pour faire sans doute comprendre qu’elle protégeait Plumpy.
—J’ai envie, très envie même, de sexe avec toi, mais je ne veux pas que tu mettes ta queue dans mon ventre. Tu crois que c’est envisageable?
—Et pourquoi c’est pas possible?
— C’est réservé pour Plumpy. Mais je changerai peut-être d’avis.
—J’ai des idées et de l’imagination. Ca devrait le faire.
Je n’avais, à vrai dire, aucune idée de ce que je pouvais lui faire, mais je me suis dit que j’allais improviser. Je suis descendu le long de son corps, caressant une peau douce. Elle avait un corps vraiment bien dessiné, sans défaut.
J’avais gardé la main sur son sexe, et la vision que j’en ai eue correspondait totalement au ressenti que j’avais au bout des doigts. Son sexe, c’était une large fente qui béait d’excitation, laissant voir ses intérieurs, dont suppuraient des liquides sirupeux. Son clitoris, plutôt fin, rien à voir avec celui de Sophie, en tout cas, était dégagé de sa gaine, et pointait en haut de ses lèvres. Elle avait en tout cas fait le choix, loin de la dictature de la mode, de garder l’intégralité de sa chatte, qui entourait ses lèvres et dont certaines touffes passaient en travers, et j’ai trouvé cela excitant. J’aimais les filles qui avaient des poils.
J’ai glissé un doigt en elle. Ca a fait un appel d’air, ce qu’on appelle un pet vaginal. C’est à ce moment là que j’ai su comment lui donner du plaisir.
Je suis rentré en elle doigt après doigt. Son sexe était déjà bien ouvert au premier doigt, et on aurait dit que l’introduction d’un doigt supplémentaire faisait qu’il s’ouvrait encore plus. Ses liquides intimes coulaient avec de plus en plus d’abondance, venant tremper ma main et couler au-delà sur mon poignet et le long de mon avant-bras. Entre chaque doigt, je faisais une pause, et je la caressais. Je sentais la délicatesse de ses muqueuses au bout de mes doigts. Si je l’avais sentie un peu réticente au début, et pas certaine que je parviendrais à relever le défi, à présent, elle s’offrait, s’étant mis dans une position, sur le dos, jambes ouvertes, qui me permettait d’avoir accès à elle.
Il me restait le pouce à rentrer. J’ai hésité un instant sur la manoeuvre, avant de me rendre compte que je pouvais le replier contre ma paume.
J’ai poussé et ma main est rentrée entièrement en elle. Ca m’a fait un drôle d’effet. C’était comme si ma main avait disparu. Pourtant, elle était bien en elle, bien enfoncée et j’avais un contact unique autour de moi, une chair soyeuse et liquide. Je me suis rendu compte que la situation m’excitait, et que mon sexe entre mes cuisses, était déjà très dilaté. Et ce n’était pas seulement parce que c’était le matin. Il s’est crée une sorte d’équilibre entre ma main en elle, avalée par ses chairs, et mon autre main, entourant mon sexe congestionné, et le caressant, moins pour me faire jouir que mon apaiser ma tension.
Je me suis mis à la caresser à l’intérieur. Je n’avais jamais pensé qu’un vagin puisse avoir cette complexité, ces reliefs multiples, plats, striés, ces profondeurs qui côtoyaient des reliefs. Je n’avais pas imaginé non plus que mes caresses puissent procurer autant le plaisir à une femme, ce dont le signe le plus évident était sans doute qu’elle m’arrosait littéralement de ses sécrétions vaginales. Elle se tordait, yeux clos, et puis elle s’est mise à jouir, le corps traversé par des tensions qui étaient autant d’orgasmes. Elle a fini par poser sa main sur mon poignet.
—Arrête, j’en peux plus. Je crois que je vais devenir folle.
J’ai sorti doucement ma main d’elle, couverte de liquide, et de parties plus épaisses, et j’ai léché son goût. Avant de se rétracter, son vagin est resté dilaté, me faisant voir une partie de ce que j’avais pu caresser. Elle m’a regardé, et à ce moment, elle a eu une attitude de compassion, celle qu’elle avait avec Plumpy. Elle s’est rendue compte que je n’avais pas joui. Elle a dit:
—Attends, je vais arranger ça.
Elle a tendu la main vers ma queue, et elle m’a masturbé doucement. C’était indéniable, une main de femme sur soi, chaude et douce, c’était quelque chose d’irremplaçable, et la jouissance que j’espérais est montée, j’ai explosé en crachant trait de sperme sur trait de sperme, ce qui l’a faite sourire.
Elle s’est glissée hors de la chambre, après avoir repassé son T-shirt. Elle m’a souri:
—Je reviens demain. Tu as passé l’épreuve haut la main, j’ai envie qu’on tente d’autres expériences. Ca te dit?
Je n’avais pas imaginé qu’on puisse en arriver là, mais oui, ça me disait, et je lui ai exprimé clairement.
J’allais partir sous la douche quand j’ai vu arriver la blonde, au volant de sa voiture, avec Linda. Elle venait nous rejoindre pour le petit déjeuner, sans doute pour créer de la cohésion dans l’équipe, aller au-delà de la distance qui pouvait exister entre nous. J’étais juste en face, et j’avais une vue très nette sur la voiture, de ma hauteur, je pouvais voir à l’intérieur.. Les deux jeunes femmes ne se sont pas séparées immédiatement. Linda s’est penchée vers sa partenaire, et elles ont échangé un long baiser passionné. La blonde avait une jupe très courte, et Linda est venue d’abord caresser ses jambes, puis elle s’est glissée dessous, pour une caresse intime qui a duré un bon moment. Elles ne lâchaient pas les lèvres de l’autre. Quand elle a enfin remonté sa main de sous sa jupe, elle est venue lécher ses doigts.
Je me suis vu un instant dans un schéma à trois, et mon érection qui s’était apaisée m’a accompagné sous la douche. M’approchant de la voiture et venant proposer mon sexe dressé à l’une des deux femmes, ou encore ouvrant la portière pour venir descendre le caleçon rouge qui avait remplacé le caleçon noir de Linda, et lui caresser le sexe, peut-être pas forcément avec les doigts, mais avec la bouche.
Je l’admettais parfaitement, il y avait Sophie, il y avait Anna, peut-être encore d’autres filles avant mon départ, mais c’était elle qui m’attirait le plus. Et les raisons pour lesquelles elle m’attirait autant, d’évidence c’était parce qu’elle était inaccessible. Elle était et elle resterait notre supérieure hiérarchique, au dessus de nous, sans aucun espoir de l’approcher, et d’approcher une relation intime avec elle. Ce que je pourrais faire au mieux, ce serait de me branler en pensant à elle.
C’est comme ça que s’est calée la routine de la semaine. Le matin, Anna venait me rejoindre, le soir, j’allais voir Sophie. Et puis entre bien sûr, il y avait les travaux autour du lavoir, et nos moments de libre. Il a fallu encore une deuxième journée de travail pour faire place nette. Le lavoir est apparu dans son intégralité, enfin débarrassé de ce qui l’encombrait. Il ressemblait à bien des lavoirs, témoin d’une autre époque où les machines à laver n’existaient pas, et où les femmes devaient accomplir régulièrement ce labeur épuisant. Il y avait effectivement des travaux à faire pour le renforcer, plusieurs parties présentaient des faiblesses.
—Demain matin, on ira récupérer des galets au bord de la rivière. Le lavoir a été fait avec ces galets. Il faudra en récupérer, les mettre en place et ensuite cimenter. L’un d’entre vous a déjà cimenté un mur?
—Oui, moi.
Je crois bien que c’étaient la première fois que la plupart des membres du groupe posaient leur regard sur Andréa, qui semblait affigée par une timidité maladive, symptôme visible de troubles mentaux. Non qu’elle ne soit pas attirante, mais elle était très effacée, et elle parlait très peu.
—Mon père est maçon, je l’aide depuis longtemps.
—Parfait, alors tu pourras montrer aux autres.
Cette soirée a été très différente de la première. Chacun était plus ou moins calé en couple à présent, et ceux qui ne l’étaient pas cherchaient un partenaire. Sophie et moi, on était ensemble, alors on a décidé d’aller se balader ensemble après le diner, mais en explorant le village, et en poussant jusqu’au village voisin qui le jouxtait. On s’est retrouvé dans un parc qui jouxtait un cimetière. On s’est calés sur un banc. Elle m’a souri et m’a dit:
—Tu sais ce qui serait sympa?
—Non, mais je pense que tu vas me le dire.
—Du sexe, ici et maintenant.
—ici. Mais…On est en plein air et tout le monde peut nous voir.
—Tu vois du monde autour de nous? Il y a les morts au cimetière, mais à mon avis, on ne va pas trop les déranger.
—Et si quelqu’un passe?
—C’est ça justement, qui excitant, la prise de risque.
Mes craintes ont fondu comme neige au soleil, pour totalement disparaître quand elle a posé sa main sur ma braguette, et s’est mise à me caresser à travers le tissu de mon jean. Dès qu’elle avait suggéré cette possibilité, ma queue avait commencé à gonfler d’excitation, Elle m’a caressé doucement, et j’ai gémi. Elle avait tous les bons arguments pour convaincre. Elle m’a mis à nu, sa main chaude, douce, et habile comme à l’accoutumée, et elle m’a masturbé doucement. J’ai lâché un trait de sperme. Elle s’est penchée sur moi pour me caresser avec sa langue, en faisant tourner celle-ci sur mon gland.
—Oh putain, arrête!
J’ai descendu précipitamment le chandail que j’avais passé, les soirées étaient fraiches, pour cacher ma queue. Une vieille femme arrivait vers nous. Elle devait avoir 80 ans bien tassés, et elle avançait d’un pas très lent, en s’aidant avec une canne. Elle semblait plongée dans ses pensées, et ne pas nous avoir remarqués. J’ai rangé précipitamment ma queue dans mon pantalon, et Sophie s’est recalée sur le banc.
Elle s’est arrêtée à notre niveau, souriante.
—Ca va, les jeunes? Vous prenez le frais?
—Très bien madame, a répondu Sophie.
—Ce banc est là depuis longtemps… Quand j’étais plus jeune je venais souvent m’y asseoir…Ils ont changé le bois bien sûr, mais l’armature est identique…Le temps est passé si vite…
On s’est regardés Sophie et moi. On avait hâte qu’elle parte, tous les deux habités par une envie de sexe, mais ça n’en prenait pas le chemin. Elle a continué de parler, sans attendre d’ailleurs une réponse. On se demandait quand ça allait finir, et puis finalement elle a rebroussé chemin. On s’est regardés, soulagés l’un comme l’autre. Je me suis penché vers Sophie, et on s’est embrassés avec l’ardeur de nos envies. Elle a tendu la main vers moi pour récupérer ma queue, et la masturber, pendant que je me glissais sous sa jupe. Elle m’a soufflé:
—J’ai pas mis de culotte, j’ai pensé que ça te plairait.
Elle s’est ouverte pour me permettre d’accéder à son sexe nu, aussi ouvert qu’humide. On s’est caressés mutuellement, jusqu’à ce qu’on soit interrompus:
—Non, mais vous n’avez pas honte! Mais vous vous croyez où?
Devant nous, il y avait un type grand et sec, à la limite de la maigreur, qui nous regardait, avec une expression de colère sur le visage.
—Oh, sur un banc, simplement, a répondu Sophie, qui n’avait apparemment pas la langue dans sa poche si on la titillait un peu trop.
—Vous avez un comportement inapproprié.
—On n’est pas les premiers, ni les derniers à se peloter sur un banc, et il me semble qu’on ne frôle que de très loin l’attentat à la pudeur, non?
Le type n’a plus su quoi dire. Il a jeté:
—Je vais en parler au maire!
Et il s’est éloigné. Sophie a soupiré, et m’a dit:
—Ecoute, je crois qu’il n’y a qu’un endroit où on sera vraiment tranquilles.
On est repartis pour l’auberge. Finalement, c’était un bon choix, tout le monde avait quitté l’auberge, même les propriétaires apparemment. On avait vraiment envie de sexe, tous les deux. On a foncé en direction de sa chambre. On a même fermé la porte à clef, ce qu’on n’avait pas fait la veille. Elle a plongé sur le lit, et elle s’est basculée à quatre pattes, soulevant sa jupe pour m’offrir sa croupe charnue, sans doute trop grasse, mais c’était comme ça qu’elle me plaisait, et son sexe, tout gonflé, ouvert d’excitation, dont pendaient des filaments de sécrétions vaginales. Je suis venu sur elle, en l’attrapant par les hanches. J’ai posé la pointe de ma langue là ou précisément s’amorçait le sillon qui coupait sa croupe en deux et je suis descendu dans la fente. Elle a poussé un long gémissement, alors que je glissais sur elle, en m’efforçant d’être aussi lent que possible, et de bien appuyer sur sa peau. Le lisse de son sillon a laissé la place, au milieu du chemin aux plissements de son anus, sur lesquels je me suis attardé un moment, la travaillant en allant sur un plissement après l’autre. Apparemment, c’était chez elle une partie sensible, je l’ai compris aussi bien par ses gémissements que par la manière dont son corps se tendait et se tordait. Ca a été comme un jeu que d’insister sur ce point.
—Tu veux me faire jouir, et je crois bien que ça ne va pas tarder si tu continues…
Je sentais son anus se distendre, s’ouvrir. Je voulais descendre plus bas, mais j’étais rivé à ce petit bout de chair qui s’est suffisamment dilaté pour que je puisse faire rentrer ma langue dans son canal anal.
—Oui, continue comme ça…Rentre ta langue plus loin.
Je rentrais et je revenais, allant chaque fois plus profond. j’ai senti un mouvement plus bas, j’ai jeté un coup d’oeil, et je me suis rendu compte qu’elle se masturbait, frottant son sexe avec frénésie en même temps que je fouillais son anus. Ma langue allait de plus en plus profond. Elle m’a dit:
—Ta langue ne me suffit plus. Mets ta bite maintenant que je suis bien ouverte. J’ai envie que tu me remplisses.
Elle m’a regardé, et s’est soudain inquiétée.
—Tu as déjà sodomisé des filles? Ca ne te gêne pas? Moi j’aime par là, mais je ne veux pas te choquer.
—Ca m’est arrivé, oui,je lui ai répondu, en repensant à Sylviane, et comme, très rapidement, elle avait guidé ma queue vers son anus alors que j’allais glisser dans sa chatte, en me disant
—Aucune femme n’a le courage de l’avouer, mais toutes aiment se faire prendre par le cul. C’est un plaisir très fort.
J’ai attrapé un préservatif, je m’en suis couvert, et je suis venu poser mon gland contre la muqueuse anale qui était suffisamment ouverte pour que je puisse rentrer en elle sans problème. Elle a tendu les bras en arrière et m’a poussé en avant, comme si elle voulait être bien sure que je poussais ma queue en elle. C’est d’ailleurs comme ça que ça s’est passé. Je me suis enfoncé dans son rectum jusqu’à ce que mes couilles viennent battre contre ses fesses.
—Je suis tellement contente que ce soit toi qui me prennes! Fouille-moi et fais-moi jouir.
Je me suis mis à aller et venir dans la muqueuse étroite pendant qu’elle frottait ses lèvres et son clitoris du plat de sa main. Très vite, elle a joui, se laissant aller à crier, parce qu’elle pensait qu’il n’y avait personne dans l’auberge.
—Continue, je veux jouir encore…
Elle a eu plusieurs orgasmes, déversant au dernier un torrent de sécrétions vaginales sur le couvre-lit, alors que je crachais mon sperme dans le préservatif.
On ne s’est pourtant pas arrêtés là, tenus l’un comme l’autre par une soif de sexe intense. Quand on était ensemble, tout était décuplé.
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Histoire de JamesB

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