Vacances sexuelles pour des soignants partie 1

Partie 1
On était au lit, il devait être pas loin de neuf heures et demi du soir, et on faisait l’amour ma femme et moi. On faisait souvent l’amour et je me disais que je n’avais pas à me plaindre. Muriel est une très jolie femme, et à 35 ans, elle est vraiment resplendissante. Imaginez une jolie blonde avec un visage aux traits fins et délicats, un corps sans défaut, quelqu’un de plutôt chaleureux, avec qui je suis marié depuis douze ans sans qu’il y ait jamais eu de réel conflit entre nous, une entente paisible à la maison, et vous pouvez comprendre que je m’estime comblé.
J’étais allongé sur le lit, et elle était sur moi, avec mon sexe dans le sien. C’était une de nos positions préférées, même s’il y en avait bien d’autres, et c’était vrai ça me plaisait quand elle était au-dessus de moi, mon sexe totalement avalé par le sien et que j’avais la sensation autour de moi de cette gaine chaude et humide qui me caressait. J’aimais qu’on fasse durer ce moment longtemps, et elle aussi. Il y avait des moments où elle se faisait monter et descendre sur moi, d’autres où c’était moi qui l’attrapais par les hanches, et des moments où on faisait une pause.
C’est pendant une de ces pauses qu’elle m’a dit:
—Tu sais, j’ai eu une idée.
J’admirais sa capacité à penser à autre chose, puis à se recentrer sur notre rapport.
—Le maire a lancé une belle initiative, d’accueillir des soignants aux prochaines vacances. J’ai envie qu’on s’inscrive. Qu’est-ce que tu en dis?
Je l’ai attrapée par les fesses et je l’ai faite bouger sur moi. Si moi j’avais du plaisir de sentir ses muqueuses vaginales frotter contre ma queue, elle c’était de sentir ce gros truc en elle qui la caressait.
Quand je l’ai reposée, elle m’a dit:
—Il pense que c’est bien d’accueillir gratuitement des soignants. On vient de sortir de la crise, ils se sont épuisés à soigner les gens, ils sont mal payés, et il veut qu’on les accueille aux vacances prochaines.
—Gratuitement?
—Ils le méritent, non? Ecoute, ici, on est en zone touristique, il y a des centaines de possibilités. Depuis hier, ça défile à la mairie.
—On a peut-être pas besoin de s’inscrire, alors.
—Qu’est ce que tu peux être égoïste, c’est pas possible!
—J’aime bien ma tranquillité, c’est tout.
On avait une propriété de moyenne importance, qu’on avait achetée cinq ans plus tôt. Elle était composée d’une grande maison, celle dans laquelle nous vivions, et une plus petite, mais tout à fait confortable, avec deux chambres, une cuisine et un living. Entre, un grand jardin et une piscine. Donc, oui, on pouvait tout à fait accueillir quelqu’un.
—Tu sais que j’ai bien des moyens de te convaincre.
—Comme quoi par exemple?
On se connaissait très bien, et on connaissait les goûts de l’autre. Elle savait par exemple que, si j’adorais jouir dans son sexe, j’aimais aussi énormément qu’elle me masturbe, elle faisait ça vraiment très bien. Elle s’est arrachée de moi, libérant mon sexe vraiment dilaté, couvert de ses liquides intimes. Elle a attrapé ma queue. Je pensais qu’elle allait me caresser, mais elle est partie sur quelque chose de tout à fait différent. Elle a amené mon gland sur la zone, en haut de ses lèvres, où s’épanouissait son clitoris. Elle était plutôt menue, et son clito n’était pas énorme, mais il était bien présent, plutôt fin, long, et il avait une tendance naturelle à sortir de sa cachette quand il était excité. En tout cas, ça m’excitait toujours de le voir pointer son museau.
Elle a baladé mon gland sur son clito. Elle n’avait encore jamais fait ça avant, et c’était une caresse très excitante, autant pour elle que pour moi d’ailleurs. Elle était un peu prise à son propre jeu, parce qu’elle s’est mise à jouir. Sous son le clitoris, son sexe, ouvert, coulait de manière très abondante. Elle a bien eu deux orgasmes, avant que je ne jouisse moi aussi, et que je ne l’arrose d’un sperme toujours copieux chez moi.
Ca a été comme ça que, le quinze juillet, les J… sont arrivés chez nous.
Entre le mois de mai et le mois de juillet, il s’est passé pas mal de choses. Il y avait eu énormément de demandes, et finalement la décision de faire un tirage au sort. Une fois le tirage au sort fait, chaque personne qui s’était portée volontaire s’était vue attribuer un soignant, ou un couple de soignants.
C’était comme cela qu’à la mi-juin, on avait eu un mail.
Bonjour je m’appelle Lola, je suis aide-soignante au CHU X et mon mari est infirmier. Nous avons appris que nous avions la chance de venir passer quinze jours chez vous à la mi-juillet, et cela nous ravit. Est-ce qu’il y a des conditions d’hébergement particulières, des choses que vous souhaitez que l’on amène? Merci de nous le faire savoir. Nous avons vu sur le site des Logis votre demeure, c’est vraiment magnifique.

On les avait rassurés. Non, ils venaient sans contrainte d’aucune sorte, simplement, on leur demandait de nous prévenir 48 heures avant leur arrivée, pour qu’on puisse s’organiser.

Ils nous avaient donc envoyé un mail nous disant qu’ils arriveraient le vendredi matin, puis un SMS une heure avant leur arrivée.
Ils ont été là à dix heures du matin.